jeudi 31 juillet 2014

Marine Le Pen: "Le pauvre Jean Jaurès doit se retourner dans sa tombe" - 31/07

Politique Première: Hommage à Jean Jaurès: "une Politique de rétroviseur" – 31/07


Politique Première: Hommage à Jean Jaurès: "une... par BFMTV

L'expresso du 31 juillet

Le co-président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon n'a pas apprécié le discours de François Hollande en avril dernier à Carmaux qui faisait de Jaurès un réformateur et en avait profité pour vanter ses réformes : "François Hollande rabougrit tout ce qui touche. Il rabougrit la France, il rabougrit Jaurès. C'est une autre manière de l’assassiner", a-t-il estimé sur RTL jeudi.
"Jaurès, ce n’est pas Hollande, ce n’est pas le baratin fumeux pour dire des mots qui veulent dire le contraire de ceux qu’ils veulent dire. C’est le contraire de Hollande, c’est une intelligence engagée alors que François Hollande, c’est avant tout un planqué de l’esprit", a poursuivi l'ancien candidat Front de gauche à la présidentielle.

L'inquiétude

Ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino a émis quelques nuances sur le retour prévu en politique de l'ancien président de la République : "Je ne suis pas enthousiaste à l'idée de voir revenir Nicolas Sarkozy dans le bourbier actuel", a-t-il affirmé sur i-Télé.

Le soutien

Selon Libération, le ministère de l'Intérieur envisagerait la dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ), l'ancien ministre de la Défense, Hervé Morin (UDI) est plutôt favorable à cette hypothèse : "Si elle ne respecte pas les règles républicaines, je suis pour la dissolution de la Ligue de défense juive", a-t-il expliqué sur Sud Radio.

Le reproche

Silencieuse depuis quelques semaines, Marine Le Pen est revenue sur le devant de la scène médiatique sur BFMTV/RMC. Elle y a regretté que François Hollande ne respecte pas la "position d'équilibre" de la France sur le conflit israélo-palestinien. Elle a également estimé que "Israël et le Hamas ont une responsabilité partagée dans ce conflit."
 

mercredi 30 juillet 2014

"Sarkozy c'est l'ennemi public numéro un"


"Sarkozy c'est l'ennemi public numéro un" par Europe1fr

Politique Première: "Ségolène Royal, l'indépendante" - 30/07


Politique Première: "Ségolène Royal, l... par BFMTV

L'expresso du 30 juillet

LCI ne mérite pas la peine de mort." C'est ce qu'a affirmé le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, au micro de RTL, après la décision du CSA de refuser le passage de la chaîne d'information sur la TNT gratuite.

Le regret

Le député de l'Eure, Bruno Le Maire, candidat à la présidence de l'UMP, regrette que François Hollande ait choisi Pierre Moscovici pour devenir Commissaire européen : "C'est une erreur de mettre à chaque fois ceux qui ont échoué aux responsabilités européennes", a-t-il plaidé sur i-Télé.

La satisfaction

"C'est une bonne chose que Jaurès, qui a été honni, assassiné, devienne une figure repère de notre nation", s'est réjoui Jean-Christophe Cambadélis à la veille de la commémoration de l’assassinat de Jean Jaurès par Raul Villain.
Retrouvez la tribune de Jean-Luc Mélenchon sur le sujet :"Jaurès, reviens! Ils ont changé de camp!"

Le souhait 

Après les vraies-fausses révélations du Parisien sur l'ouverture d'une enquête sur la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007, le député UMP, Jacques Myard, s'en est pris sur Sud Radio au "tribunal médiatique" et préconise que "le secret de l'instruction s'applique à tous, y compris aux journalistes"

La confirmation

La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a confirmé sur RMC/BFM TV l'annulation de l'augmentation au 1er août des prix de l'électricité.
 

Ségolène Royal s'explique sur la polémique de l'autoroute A381 - 30/07

mardi 29 juillet 2014

L'expresso du 29/07

Interrogé sur son retrait de la présidence de l'UMP en cas de retour de Nicolas Sarkozy, le député de l'Eure, Bruno le Maire, s'est offusqué de la question : "Mais, vous plaisantez? J'irai au bout de mes convictions, je suis là pour gagner," a-t-il plaidé sur RTL.

Le coup de blues

La ministre de la Justice, Christiane Taubira, qui reconnait avoir de temps en temps des "coups de fatigue ou des coups de blues", donne ses remèdes pour les combattre : "Je lis de la littérature, de la poésie, j'embrasse les gens, je marche pieds nus sur la terre", a-t-elle expliqué sur France Inter.

Le soutien

Le patron des députés EELV, François de Rugy, et le leader des sénateurs EELV, Jean-Vincent Placé soutiennent Ségolène Royal qui s'opposent à la construction de l'autoroute A 831.
 

Présidence UMP : Bruno Le Maire ne se retirera pas si Nicolas Sarkozy est candidat

lundi 28 juillet 2014

L'expresso du 28/07

Nicolas Sarkozy ne compte pas abandonner ses conférences grassement rémunérées même s'il est élu président de l'UMP. "Il a déjà donné un accord de principe pour plusieurs déplacements en Asie et en Amérique cet automne", raconte lundi le Figaro.

La mise en garde

Interrogé sur la mise en cause des Verts par le Premier ministre au sujet des manifestations propalestiniennes, Manuel Valls, le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Harlem Désir, a appelé sur I-télé "chacun à ne pas cautionner des manifestations interdites." Le maire du 2e arrondissement (EELV) de Paris, Jacques Boutault, s'était rendu à la manifestation interdite à Barbès samedi 19 juillet. Dans un communiqué diffusé jeudi, Europe Ecologie-Les-Verts fait part de son "soutien" à Jacques Boutault en affirmant qu'il s'était rendu en "observateur" au rassemblement qui avait été interdit.

Le tacle 

L'ancien conseiller à la présidence de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, a critiqué sur BFMTV-RMC la ligne diplomatique fluctuante de François Hollande sur le conflit opposant le Hamas à Israël : "Il a été maladroit. Dans ce domaine comme dans tous les autres, on a du mal à percevoir une ligne claire."

http://www.lejdd.fr/Politique/Guerre-Israel-Gaza-Hollande-a-ete-maladroit-selon-Guaino-677950

"Nicolas Sarkozy est l'homme du passif et du passé", dit Florian Philippot

Vallaud-Belkacem : "L'UMP a donné une image d'elle qui n'est pas à son honneur"

jeudi 24 juillet 2014

Laurent Fabius : Le vol AH5017 d'Air Algérie s'est "probablement écrasé mais n'a pas été retrouvé"

Manuel Valls : "L'antisémitisme n'est pas une opinion, c'est un délit"

Quand Dominique de Villepin salue le "talent" de Nicolas Sarkozy - 24/07

Politique Première: La satisfaction de Manuel Valls - 24/07


Politique Première: La satisfaction de Manuel... par BFMTV

L'expresso du 24/07

L'ancien Premier ministre, Dominique de Villepin, a livré quelques critiques sur la politique actuelle menée par la France au Proche-Orient, jugée par certains trop pro-israélienne : "l'exigence d'équilibre n'est pas suffisamment exprimée. La voix de la France ne se fait assez entendre", affirme-t-il. L'ancien ministre des Affaires étrangères propose également "un mandat de l'ONU sur la Palestine" pour régler le conflit israélo-palestinien.

Le satisfecit

Le Premier ministre, Manuel Valls, se félicite dans Le Figaro d'avoir vu venir le nouvel antisémitisme qui s'exprime aujourd'hui en marge de certaines manifestations pro-palestiniennes. "Lisez mes œuvres complètes, dit-il. J'ai été un des premiers à parler d'un nouvel antisémitisme. Il se construit depuis des années. J'ai été un des rares, avec Sarkozy, à me confronter à Tariq Ramadan." Le Premier ministre estime également qu' EELV et l'extrême-gauche ont "ont un problème avec Israël". 

La non-candidature

L'ancienne candidate à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, ne sera pas candidate à la présidence de l'UMP, annonce jeudi Le Point. "Je travaille à fond pour préparer la primaire", lance-t-elle également.

Le tacle

Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État aux Relations avec le Parlement, assure, dans un entretien publié jeudi par Les Echos, qu'il n'y a "pas d'alternative à gauche" à la politique gouvernementale, les socialistes dits "frondeurs" n'ayant "ni stratégie, ni discours homogène".
 

mercredi 23 juillet 2014

Manifestation pro-Gaza: l'autorisation fait débat à l'Assemblée - 23/07

Manifestations pro-palestinennes: carton jaune pour Bernard Cazeneuve - L'édito de Christophe Barbier


Manifestations à Paris: carton jaune pour... par LEXPRESS

Bourdin Direct: Michèle Alliot-Marie - 23/07

Jean-Marie Le Guen : "Nous avons toujours dit que manifester est légitime"

Luc Chatel demande à tous les partis de "jouer la transparence" sur leurs finances

L'expresso du 23/07

Michèle Alliot-Marie veut "arrêter avec les querelles d'égos" à l'UMP. L'ancienne ministre a expliqué sur BFMTV pourquoi son parti se trouve aujourd'hui dans une impasse : "Ne pas suffisamment prendre en compte les militants a mené à cette situation." "Je n'ai jamais fait partie d'aucune écurie présidentielle, il faut faire passer de côté les égos des personnes et se concentrer sur les militants", a-t-elle encore répété avant de lâcher : "Il y a des fessées qui se perdent à l'UMP."

La critique

Dans les colonnes du Parisien de mercredi, l'ancien ministre Bernard Kouchner "accuse l'Europe" qui ne fait rien pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza. Sur i-Télé, la socialiste Elisabeth Guigou, qui pourrait candidater au poste de chef de la diplomatie européenne, n'a pas nié cette réalité : "L'Europe devrait avoir une position plus nette (…) L'Europe devrait se montrer et dire nous voulons le cessez le feu."

Le soutien

Interrogé sur France 2 sur l'hypothèse d'une primaire à gauche en vue de la présidentielle de 2017, le secrétaire d'Etat André Vallini a rejeté cette idée : "Je ne peux même pas y penser. François Hollande est évidemment le candidat naturel du PS."

Le voeu

Invité d'Europe 1, Jean-Marie Le Guen est revenu sur l'organisation d'une manifestation pro-palestinienne, autorisée, mercredi en début de soirée : "Aujourd'hui, beaucoup d'organisations font un effort tout à fait particulier pour encadrer cette manifestation. (Les pouvoirs publics) mettent des moyens considérables pour éviter les dérapages." "J'espère qu'il n'y aura pas de violences", a conclu le secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement.

La cuisine interne

Dans un entretien à Paris Match, Jean-Christophe Cambadélis a estimé qu'il "faut tout changer" au sein du PS. "Mais avant de s'occuper de la vitrine, il faut s'occuper du fond de commerce. Les socialistes sont confrontés à une nouvelle époque et ils doivent fonder leur socialisme moderne", a estimé le patron de la formation.

La une

Celle du quotidien espagnol El Pais qui a interviewé le Premier ministre français. "Il est temps d'avancer, notre pays l'a fait trop tard. Mais depuis trois mois, nous avons réussi beaucoup de choses", affirme Manuel Valls.
 

La réforme

Le Parlement a adopté définitivement dans la nuit de mardi à mercredi, par un ultime vote du Sénat, la réforme ferroviaire qui a été à l'origine d'une grève de deux semaines à la SNCF en juin. Le texte, issu d'un compromis entre députés et sénateurs, a été voté par les socialistes, les RDSE (à majorité PRG), les écologistes et l'UDI-UC, mais rejeté par les communistes et l'UMP.
 

mardi 22 juillet 2014

Le Député du Jour : Sylviane Alaux, députée socialiste des Pyrénées-Atlantiques


Le Député du Jour : Sylviane Alaux, députée... par LCP

Projet de loi: Que vont apporter les mesures de simplification? - 22/07

Bourdin Direct: Stéphane Le Foll - 22/07

L'expresso du 22/07

Invité sur BFMTV, Stéphane Le Foll a reconnu que l'interdiction n'avait pas suffi à éviter la manifestation pro-palestinienne qui s'est déroulée samedi à Paris. "On s’est laissé dépasser par des gens qui de toute façon voulaient aller manifester", a-t-il noté.

Le lapsus

Candidat à un poste de commissaire européen, l'ancien ministre de l'Economie Pierre Moscovici continue sa tournée médiatique. Sur Europe 1, il est revenu sur son action au sein du gouvernement Ayrault : "Quand j'étais ministre des Finances, je me suis battu pour redresser la compétitivité de la France, pour réduire les déficits mais aussi pour que nous fassions en sorte de sortir de la zone euro." L'ancien ministre a probablement voulu dire "rester" dans la zone euro.

L'analyse

Alors que la communauté internationale, et le Britannique David Cameron en particulier, veut geler tout éventuel contrat avec la Russie, Paris doit toujours livrer un deuxième Mistral à Moscou, créant la polémique. "C'est un faux débat mené par des faux culs", a réagi sur i-Télé le patron des socialistes Jean-Christophe Cambadélis. Pour lui, "ce n'est pas (l'annulation du contrat Mistral) qui va amener les Russes à infléchir leur position (sur l'Ukraine)".

Le soutien… par défaut

Christian Estrosi se présente à la présidence de l'UMP, alors qu'il soutenait pourtant François Fillon il y a deux ans. Invité sur France 2, il explique son revirement de position : "J'ai soutenu François Fillon pour m'opposer à Jean-François Copé, car je savais qu'avec Jean-François Copé, on retournerait à ce qui est sale et moche (…) Mais je ne partage pas le même projet que François Fillon pour la France."
Lire notre interview de Christian Estrosi : "Fillon doit rester neutre"

Le point santé

Stéphane Le Foll, qui a eu un "coup de chaud" et a fait un malaise la semaine dernière, a pourtant débattu tard lundi soir autour du projet de loi d'avenir de l'agriculture et était sur le plateau de BFMTV mardi matin. "Ça va mieux", a-t-il assuré avant d'expliquer : "En politique comme ailleurs, il faut parfois penser à soi (…) J'ai eu un petit souci, cela prouve bien que nous ne sommes pas des machines."
 

Pierre Moscovici : "Je suis un Français, je suis un Européen

Hollande répond à Gattaz : "Le patronat a un problème de langage"

lundi 21 juillet 2014

Manifestation pro-palestinienne à Paris: interdire, et après? - L'édito de Christophe Barbier


Manifestation à Paris: interdire, et après? - L... par LEXPRESS

Le Point politique de la semaine : Hollande, Taubira et la réforme territoriale

L'expresso du 21/07

Après la série d'incidents et de violences qui se sont déroulées ce week-end en marge de rassemblements pro-palestiniens, le vice-président du FN Florian Philippot a estimé qu'"interdire la manifestation (de samedi, à Paris) était la pire des solutions". "C'est inciter les manifestants les plus radicaux à venir défier l'Etat", a-t-il estimé. Autoriser ce type de manifestation permet, selon lui, de "mieux la contrôler, de contrôler le parcours". Et de dénoncer "un problème de fond de l'ordre républicain en France" : "On voit bien que les manifestations dégénérèrent à chaque fois (…) On a une émeute urbaine par mois en France."

La visite

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve était lundi matin, à l'aube, à Sarcelles (Val-d'Oise) pour constater les dégâts causés par les débordements faisant suite à un rassemblement pro-palestinien. "Quand on s'approche d'une synagogue, qu'on brûle une épicerie parce qu'elle est tenue par un juif, on commet un acte antisémite", a accusé le premier policier de France.

La métaphore

Dans un entretien au Figaro, le président du Medef Pierre Gattaz dit attendre encore la phase 2 du pacte de responsabilité. "Le noyé a été ramené sur la plage, il faut le réanimer", explique-t-il apèrs avoir dressé un constat sévère de la situation économique de la France : "Elle est catastrophique (…) La croissance n'est pas là! Il n'y a plus d'investissement et plus d'embauche."

L'explication
"Martine Aubry est une grande élue locale attachée à sa région." C'est ainsi que Marisol Touraine explique la position de la maire de Lille, fortement opposée à la fusion du Nord-Pas-de-Calais et de la Picardie dans le cadre de la réforme territoriale. "Mais Martine Aubry est une femme de progrès et je ne crois pas qu'elle puisse porter le statu quo", veut croire la ministre de la Santé qui, pour sa part, souhaite que "la région Centre ne reste pas seule dans cette reconfiguration".

Le choix

Xavier Bertrand, lui, valide la fusion des régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie. Pour le député-maire UMP de Saint-Quentin (Aisne), invité de RTL, ce rattachement est "d'une grande cohérence". Mais Xavier Bertrand ne votera pas pour le texte : "Je vais m'abstenir, je ne voterai pas contre. Je vais m'abstenir parce qu'il y a des situations qui ne sont pas cohérentes", par exemple les Alsaciens qui "voulaient rester seuls" et sont rattachés à la Lorraine et à la Champagne-Ardennes dans la dernière mouture de la réforme, examinée la semaine dernière à l'Assemblée nationale, qui doit voter le texte mercredi.

L'annonce

La ministre de la Culture Aurélie Filippetti propose, dans Le Figaro de lundi, de réduire le délai pour le passage des films à la télévision après leur sortie en salles et de rendre plus rapidement disponibles ces films sur les services de vidéo à la demande par abonnement. Mais cet aménagement "ne concernera que les services qui participent au financement et à l'exposition des œuvres françaises et européennes", prévient la ministre. Un moyen de mettre la pression sur l'Américain Netflix qui doit lancer son offre en France à la rentrée.
Lire sur le sujet : Patrick Drahi veut son Netflix

Le scepticisme

Quelques heures après le crash du MH17 en Ukraine, le FN a appelé à ne pas accuser trop rapidement les séparatistes pro-Russes. Alors que plusieurs éléments convergent en ce sens, Florian Philippot a expliqué la position de son parti : "On ne soutient pas les pro-Russes. Mais les Etats-Unis ont l'habitude de trouver des coupables en 3h quand ça les arrange." Et d'ajouter : "La parole des Etats-Unis est très décrédibilisée depuis la guerre d'Irak."lication

http://www.lejdd.fr/Politique/Philippot-Interdire-la-manifestation-pro-Gaza-etait-la-pire-des-solutions-676964

Martine Aubry contre François Hollande

Bourdin Direct: Bernard Cazeneuve - 21/07

Bernard Cazeneuve se rend à Sarcelles, théâtre de violents affrontements dimanche- 21/07

Xavier Bertrand appelle à "réagir" après les violences à Paris et à Sarcelles


Xavier Bertrand appelle à "réagir" après les... par rtl-fr

Politique Première: Manifestation pro-palestinienne: La France n'est pas apaisée - 21/07


Politique Première: Manifestation pro... par BFMTV

dimanche 20 juillet 2014

Les frondeurs préparent leur revanche

Prochaine cible des attaques des frondeurs socialistes à l'Assemblée : les 11 milliards d'euros de coupes budgétaires promises aux collectivités territoriales. "Une folie furieuse. C'est déraisonnable sans un grand plan d'investissements locaux", prévient le député Jean-Marc Germain. Ce nouveau bras de fer avec Manuel Valls aura lieu à la rentrée

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Les-frondeurs-preparent-leur-revanche-676921

Un dîner hollandais

Les amis de François Hollande se sont retrouvés une dernière fois avant les vacances. Le dîner s'est déroulé mercredi au ministère du Travail. Outre François Rebsamen, étaient présents autour de la table Stéphane Le Foll (avant son malaise dans l'Aude), Bruno Le Roux, Kader Arif, André Vallini et Frédéric Cuvillier. Appelé en Afrique, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian manquait à l'appel.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Un-diner-hollandais-676909

Valls dénonce les débordements de la manifestation à Barbès

UMP : Fillon attaque Sarkozy, Estrosi réplique

"S'il veut des règles différentes …" "Si François Fillon veut des règles différentes pour Nicolas Sarkozy, il doit quitter ses fonctions". La réplique n’a pas tardé dans le camp des Sarkozystes après les critiques de François Fillon. Dans une interview au Journal du Dimanche, le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi répond à l’ancien Premier ministre.
"Neutralité et impartialité". François Fillon a accepté d'être un codirigeant par intérim de l'UMP afin de préparer le congrès en toute neutralité et impartialité, sur des règles qui s'appliquent à tous et n'interdisent pas à un président de l'UMP d'être candidat à la primaire. S'il veut des règles différentes pour Nicolas Sarkozy, il doit quitter ses fonctions. Je ne doute pas que, si Nicolas Sarkozy choisissait ce chemin, il respecterait les règles et participerait à la primaire". La veille, l’ancien Premier ministre, dans un entretien au Monde, avait estimé que "si Nicolas Sarkozy a un projet pour la France, il pourra le confronter aux autres à l'occasion de la primaire" à droite en 2016, plutôt qu'en se présentant à la présidence de l'UMP.
Sarkozy à Nice en septembre ? Dans cette interview, Christian Estrosi annonce aussi un grand campus sous forme de forum pour tous les jeunes UMP et, plus généralement, les jeunes de la droite française", les 6 et 7 septembre, à Nice. Une piste d’atterrissage pour la candidature de Nicolas Sarkozy, lui demande-t-on ? "Nicolas Sarkozy a toujours aimé la jeunesse et ce rassemblement serait une occasion intéressante pour lui, mais il est le seul à pouvoir le décider", répond le député-maire de Nice.
 

Valls, fin de l’état de grâce

Manuel Valls chute de six points dans notre baromètre Ifop-JDD de juillet. Le Premier ministre passe de 51% à 45% de Français satisfaits, tombant donc sous la barre des 50%. Trois mois et demi après son installation à Matignon, le responsable politique préféré de la gauche reste certes crédité d’un capital important, 27 points au-dessus du président de la République. Mais l’impression positive donnée à son arrivée à Matignon (il culminait à 58% de satisfaits) s’est érodée.
"Il a connu un état de grâce, les Français estimant qu’il avait le bon profil pour ce poste. Ils apprécient son volontarisme et le gouvernement ne souffre plus de couacs. Mais ils attendent toujours des résultats et aucune éclaircie ne se dessine à l’horizon", commente Jérôme Fourquet, directeur du département Opinions à l’Ifop. La baisse du Premier ministre se constate dans toutes les catégories de la population, ce qui traduit de l’"impatience", selon le sondeur.
Pour sa part, François Hollande reste stable à son niveau le plus faible, avec 18% de satisfaits. Son intervention télévisée du 14-Juillet a donc été sans effet sur l’opinion. Reste que la cote du chef de l’Etat ne baisse plus depuis quatre mois. Il a enraillé la chute de l’hiver, et connait même un regain de popularité chez les sympathisants socialistes (56% de satisfaits en juillet contre 46% en juin). C’est la seule catégorie de l’électorat où il dépasse les 50%. 
 

samedi 19 juillet 2014

Aubry: "Il n'est pas trop tard pour réussir le quinquennat"

Touraine aux Antilles sur le front du chikungunya

Fillon: Sarkozy doit se présenter à la primaire

François Fillon estime que "si Nicolas Sarkozy a un projet pour la France, il pourra le confronter aux autres à l'occasion de la primaire" à droite en 2016, plutôt qu'en se présentant à la présidence de l'UMP.

Dans une interview samedi dans Le Monde, l'ancien premier ministre et membre de la direction collégiale de l'UMP reconnait que "rien n'interdit" dans les statuts du parti au futur président de l'UMP, qui sera élu en novembre, d'être candidat à la primaire. "Mais je considère que ce n'est pas la bonne formule, ni la bonne solution". "Chacun est libre d'être candidat. Plutôt que d'une candidature qui verrouille le débat, l'UMP a besoin d'une candidature d'apaisement, qui ramène de la sérénité et permette d'organiser la primaire dans un climat de confiance, de façon à aboutir à une compétition maîtrisée. Si Nicolas Sarkozy a un projet pour la France, il pourra le confronter aux autres à l'occasion de la primaire", ajoute-t-il.

Les affaires et le climat à l'UMP

Tout en trouvant "très excessive la mise en scène" de la mise en examen de Nicolas Sarkozy, il estime que "le rôle des responsables politiques - en particulier un ancien président ou un ancien premier ministre - n'est pas de remettre en cause les institutions judiciaires quelles que soient leurs imperfections".

A la question, "les affaires peuvent-elles empêcher le retour de Nicolas Sarkozy ?", François Fillon répond: "en tout cas, ce ne sont pas les affaires qui participent à l'établissement d'un climat serein au sein de l'UMP et d'un lien de confiance avec les Français". "Tous les ingrédients sont réunis pour une révolte contre le système établi et une crise nationale. C'est naturel de penser à son destin personnel. Mais chacun devrait aussi avoir à coeur de réfléchir au danger qui menace la République", prévient-il.

Fillon répète avoir fait "le choix de partir à la rencontre des Français, de préparer un projet politique et de présenter ce projet à la primaire pour la présidentielle de 2017". "Rien ne me détournera de cet objectif", affirme-t-il. Il assure ne pas avoir "de pulsion idéologique" l'amenant "à considérer que seules les solutions libérales sont efficaces". Mais "une ligne rouge a été franchie en termes d'accumulation de réglementations et d'impôts qui ruinent l'économie française. Il faut simplement retrouver un peu d'équilibre et de bon sens pour libérer notre capacité à entreprendre".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/19/97001-20140719FILWWW00070-fillon-sarkozy-doit-se-presenter-a-la-primaire.php

Pierre Servent : "L'erreur peut toujours exister"

vendredi 18 juillet 2014

Présence au débat sur la réforme territoriale : la charge de Bernard Cazeneuve contre Laurent Wauquiez


Présence au débat sur la réforme territoriale... par LCP

A Versailles, des policiers européens pour les touristes

Le Foll au repos jusqu'à lundi

Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll ne reprendra pas ses activités normalement cet après-midi comme prévu initialement, contraint au repos après un coup de fatigue hier, a appris l'AFP auprès de son entourage.

Le porte-parole du gouvernement et proche de François Hollande avait dû écourter hier un déplacement dans l'Aude auprès de viticulteurs touchés par la grêle après un "coup de chaud" à son arrivée en avion à Toulouse. A son retour à Paris, il a passé des examens médicaux au Val-de-Grâce qui se sont révélés tout à fait normaux, rapportait hier soir son cabinet qui pensait qu'il pourrait assister cet après-midi à l'examen en deuxième lecture au Sénat de sa loi d'avenir de l'agriculture.

Finalement, son entourage a expliqué aujourd'hui qu'il était contraint au repos jusqu'à lundi. Et qu'après un déjeuner avec des sénateurs au ministère, il rentrerait chez lui au Mans, pour revenir lundi dans la capitale et reprendre ses activités. La secrétaire d'État à la Consommation Carole Delga a remplacé au pied levé Stéphane Le Foll lors du début de l'examen de sa loi hier soir. Aujourd'hui c'est le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, qui s'y collait. Les sénateurs avaient encore de nombreux amendements à éplucher vendredi après-midi et il est probable que l'examen de la loi se poursuive lundi


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/07/18/97002-20140718FILWWW00195-le-foll-absent-pour-l-examen-de-sa-loi.php

Au Sénat, l'élection de septembre sera serrée

"On va gagner le Sénat." Le nouveau secrétaire général de l'UMP, Luc Chatel, l'a confié  mercredi au JDD : les prochaines élections sénatoriales du 28 septembre vont selon lui tourner à l'avantage clair de son camp et la chambre haute du Parlement va basculer, après un court intermède à gauche depuis 2011. La logique semble avec lui : la majorité socialiste n'est que de six sièges et, avec les très nombreux succès de l'UMP aux municipales (et comme les sénateurs sont élus essentiellement par les représentants des communes), le principal parti d'opposition devrait l'emporter. En interne, l'UMP a fait ses comptes. Selon un document de la Commission nationale d'investiture du parti, qui liste tous les candidats du parti et leur chance de gagner, l'UMP est déjà sûre de gagner 4 sièges et peut potentiellement en remporter 21 autres. Toujours selon le même document, le PS est sûr d'en obtenir 6 et peut potentiellement en prendre 3 autres.
Sauf que les sénatoriales restent des élections et que leurs modalités ne sont pas si défavorables au PS. Seulement 178 des 348 sièges de la Haute Assemblée sont remis en jeu : cette année seront renouvelés les sénateurs des départements compris, par ordre alphabétique, entre l'Ain (01) et l'Indre (37), puis du Bas-Rhin (67) à l'Yonne (89), hors ceux de l'Ile-de-France, ainsi que ceux de Guyane, de Polynésie française, de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin, des Iles Wallis et Futuna. A cette liste s'ajoutent deux sièges de sénateurs démissionnaires, dont celui de Jean Arthuis élu en mai au Parlement européen.

Le FN va-t-il avoir son premier sénateur?

Sur ces 130 sièges, le président du groupe socialiste au Sénat, Didier Guillaume, est formel : "Certes la droite va progresser", reconnaît-il. "Mais la série de cette année ne lui est pas favorable, en particulier à l'UMP qui aura 77 de ses 130 sénateurs renouvelables." Il souligne aussi que chaque élection sénatoriale est une élection départementale, par liste dans les départements ayant plus de trois sénateurs et au scrutin majoritaires à deux tours dans les autres. Plus que les questions nationales, ce sont les enjeux locaux qui comptent, selon lui. Et de prédire que le scrutin va se jouer dans un mouchoir de poche.
L'UMP devra, elle, faire face aux dissidences. Et aussi au Front national, qui a considérablement renforcé ses positions après les municipales. Le parti de Marine Le Pen espère obtenir un ou plusieurs sièges, ce qui serait historique. Ce ne sera sûrement pas dans le Vaucluse où Marion Maréchal-Le Pen et Jacques Bompard, maire d'Orange et patron de la Ligue du Sud, n'ont pas réussi à s'unir. Peut-être dans le Gard et plus sûrement à Marseille, où Stéphane Ravier fait tout pour devenir le premier membre du FN à entrer au Palais du Luxembourg. Cette montée en puissance du FN va gêner l'UMP : les voix pour les listes d'extrême-droite vont geler les scores du parti de Luc Chatel. Et les maires des petites communes pourraient bien aussi voter pour des listes Front national plutôt que pour celles de l'UMP.
A l'inverse, quelques facteurs ne jouent vraiment pas en faveur de la gauche : aucun accord n'a été conclu avec les écologistes, ni avec les radicaux et encore moins avec les communistes. Ce sont les maires des petites communes qui font réellement l'élection de part leur nombre. A droite, les candidats affûtent leurs arguments de campagne dans leur direction : ils dénoncent la baisse des dotations aux collectivités, qui vont devoir se serrer la ceinture alors que, selon eux, l'Etat ne fait pas un effort identique. Ils soulignent que la réforme des rythmes scolaires est mise en place par les communes sans compensation financière à long terme et ils critiquent la réforme territoriale.
Le scrutin risque donc d'être très serré. Et l'UMP est sûre d'une chose : certes la victoire de 2014 n'est pas acquise, mais celle de 2017 est assurée.
 

Crise en Ukraine, Elisabeth Guigou: "le risque d'escalade est permanent" - 18/07

Bernard Cazeneuve : "Les contrôles seront multiples, il seront partout et aléatoires

jeudi 17 juillet 2014

UMP: Nicolas Sarkozy doperait les adhésions au parti - 17/07

Réforme territoriale : le zapping


Réforme territoriale : le zapping par LCP

Candidat à la présidence de l'UMP, Hervé Mariton répond aux militants du parti

Jean-Marie Le Guen déplore une "position toujours très négative" du Sénat

Bourdin Direct: Bruno Le Maire - 17/07

L'expresso du 17/07

C'est un chiffre surprenant que révèle aujourd'hui Europe 1. Malgré les affaires, les adhésions à l'UMP repartiraient à la hausse, selon des chiffres de l'actuelle direction. A la fin du mois de juin 2014, ils étaient en effet 161.000 à jour de cotisation, soit 38.000 de plus qu'il y a un an. Selon Edouard Courtial, le délégué général aux fédérations de l'UMP, l’explication se trouve dans le retour prévu de Nicolas Sarkozy : "Il y aujourd’hui, à la fin du premier semestre, plus d’adhérents à l’UMP et une vraie dynamique liée à ce qui touche Nicolas Sarkozy. Beaucoup de nos militants, à l’intérieur de la famille, ont voulu montrer leur adhésion en la renouvelant."

La nomination

Pierre Moscovici se rapproche encore plus du poste de Commissaire européen. Il devrait être désigné à la fin du mois de juillet, selon une source proche de l'Elysée, citée par l'AFP. "Notre candidat, il est pré-désigné, vous le connaissez", a indiqué cette source. D'autres personnalités socialistes ont fait acte de candidature, notamment l'ancienne ministre Elisabeth Guigou, actuelle présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, et la députée européenne Pervenche Berès.

La candidature

Le patron des députés socialistes au Sénat, Didier Guillaume, a annoncé jeudi sur Europe 1 qu'il était candidat à la présidence du Sénat en cas de victoire de la gauche aux élections sénatoriales de septembre. Il invite, par ailleurs, "les parieurs politiques à miser sur la victoire de la Gauche aux sénatoriales."

17/07/2014 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

mercredi 16 juillet 2014

L'expresso du 16/07

Le vice-président du FN Florian Philippot a estimé sur BFMTV que la condamnation d'une ex-candidate FN qui avait comparé Christiane Taubira à un singe était "grotesquement disproportionnée". Selon lui, il s'agit d'un "jugement politique" voire "illégal".

La réaction 

"Ce qui est révoltant, c'est ce qui a été dit par cette candidate du Front National. Comparer Christiane Taubira à une guenon, c'est parfaitement révoltant, inadmissible et c'est condamnable. Je ne porte pas de jugement sur le jugement, je condamne ce qui est un acte de racisme", a pour sa part déclaré le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll sur France 2.

La justification 

"Je me suis expliqué : il y avait des votes politiques d'un côté et de l'autre, les convictions", a expliqué Jacques Toubon au sujet des critiques suscitées par sa nomination comme défenseur des droits. Alors qu'il avait voté contre la dépénalisation de l'homosexualité, l'ancien ministre a ainsi clarifié sa position : "Toutes les sexualités sont équivalentes et il faut l'égalité entre tous". 

Les coulisses 

D'après Le Canard Enchaîné, François Fillon se frotte les mains après la mise en examen de Nicolas Sarkozy. "Sarkozy finira devant la justice mais pas devant les Français", analyse l'ex-premier ministre devant des proches. "En 2017, il en sera encore à ses rendez-vous avec les juges et ne pourra pas se présenter à la présidentielle", prévient l'ancien Premier ministre.

Le départ 

L'ancien journaliste Claude Sérillon a officiellement quitté ses fonctions de conseiller de François Hollande qu'il occupait depuis janvier 2013, selon un arrêté publié mercredi au Journal Officiel. Le départ de l'ancien présentateur du JT de France 2, n'avait pas été annoncé lors du vaste remaniement opéré à l'Elysée au mois de juin. "Je ne suis pas du tout démissionnaire", avait-il alors déclaré à la presse.
 

Élysée : Claude Sérillon prend la porte

L'ancien journaliste Claude Sérillon a officiellement quitté ses fonctions de conseiller de François Hollande qu'il occupait depuis janvier 2013, selon un arrêté publié mercredi au Journal officiel. Le départ de M. Sérillon (63 ans), ancien présentateur du JT de France 2, n'avait pas été annoncé lors du vaste remaniement opéré à l'Élysée au mois de juin. "Je ne suis pas du tout démissionnaire", avait-il alors déclaré à la presse. En avril, François Hollande s'est attaché les services, comme chef du pôle communication, de Gaspard Gantzer, ancien porte-parole de Bertrand Delanoë à la Ville de Paris puis de Laurent Fabius au Quai d'Orsay.

Critiques

L'Élysée a également entériné au JO les départs d'Emmanuel Macron, qui occupait les fonctions de secrétaire général adjoint et de conseiller économique et financier, Matthieu Peyraud (G20, enjeux globaux) et Christian Lechervy (affaires stratégiques et Asie). Un arrêté officialise l'arrivée comme conseillère économique et financière de Laurence Boone, auparavant chef économiste de Bank of America Merrill Lynch, dont le recrutement a suscité des critiques en raison de ses prises de position récentes contre la politique économique de l'exécutif.
Adrien Abecassis (conseiller affaires bilatérales européennes), Sophie Martin-Lang (affaires communautaires), Alice Rufo (sommets internationaux et Asie), Julien Marchal (adjoint énergie et logement) et Thomas Mélonion (adjoint Afrique) rejoignent également l'Élysée.

http://www.lepoint.fr/politique/elysee-claude-serillon-prend-la-porte-16-07-2014-1846438_20.php

mardi 15 juillet 2014

Antisémitisme : la colère de Valls répondant à Estrosi à l'Assemblée

Interview du 14 Juillet : Les trois contre-vérités de François Hollande

Les réponses plus ou moins vraies François Hollande lors de la traditionnelle interview du 14 Juillet…
Le 14 juillet, François Hollande s’est plié comme chaque année à l’exercice de l’interview télévisée. Pendant quarante minutes, le chef de l’Etat est revenu sur la situation de la France, ses chantiers avec le pacte de responsabilité, et esquissé les priorités pour la suite de son quinquennat. Mais lors de cet entretien, quelques-unes des déclarations de François Hollande étaient plus ou moins vraies. Quelques exemples avec le «véritomètre» de 20 Minutes…

>> Toutes les déclarations de François Hollande durant cette interview, par là

1/«Nous sommes en France à un taux de chômage depuis des années autour de 10 % de la population active».

Pas vraiment vrai. Le chef de l’Etat oublie ici les évolutions de ce taux, et notamment les baisses de celui-ci durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Selon les statistiques du Bureau international du Travail (BIT) le taux de chômage était de 8,5 % en France en 2003 et en 2007, de 7,3 % en 2008, avant de remonter à 9,5 % en 2010, puis 9 % en 2011. En moyenne sur le premier trimestre 2014, le taux de chômage s’élève à 10,1 % de la population active en France.

>> Le diaporama du 14 Juillet, par ici

2/Interrogé sur la reprise économique: «Elle est là, mais elle est trop fragile, trop hésitante, trop vulnérable».

Faux. La croissance économique n’a pas repris en France, alors que le gouvernement attend 1 % de croissance cette année. Le produit intérieur brut français n’a pas augmenté au premier trimestre 2014, a annoncé l’Insee le 15 mai, dans une première estimation de la croissance pour cette période, ressortie en deçà des prévisions (0,1 %). Par ailleurs, l’espoir de 1 % de croissance a été battu en brèche par le Fonds monétaire international (FMI) qui a abaissé le 3 juillet ses prévisions économiques pour la France. Il estime la croissance cette année à 0,7 %, contre 1 % lors de sa précédente prévision en avril.

>> Revivre le live de cette journée du 14 Juillet, par là

3/«Nous avons créé la taxe sur les transactions financières»

Faux. C’est l’ancien président Nicolas Sarkozy qui a mis en place cette taxe à la fin de son quinquennat. Taxe qui a été relancée sous le quinquennat de François Hollande. Mais tout n’est pas si simple pour la taxe Tobin européenne, qui après multiples discussions, doit désormais être appliquée en Europe au «1er janvier 2016 au plus tard».

http://www.20minutes.fr/politique/1418387-le-veritometre-de-l-interview-du-14-juillet-de-francois-hollande

Jean-Christophe Cambadélis : "Les Français doivent pouvoir vivre en paix quelles que soient l

Dominique Bussereau : "Les affaires à l'UMP : du pain béni pour Le Pen"

Xavier Bertrand: Baroin "le meilleur choix" pour la présidence de l'UMP - 15/07

L'expresso du 15/07

"Après le congrès, il faut une nouvelle formation politique. L'UMP c'est fini", a déclaré le député Xavier Bertrand sur Bfmtv, au sujet des déboire de son parti. 

Le chiffre

La cote de popularité de Nicolas Sarkozy enregistre une forte baisse en juin (33%, -7 points) et l'ancien président passe de la 10e à la 15e place dans le palmarès des leaders politiques, selon le baromètre Ipsos-Le Point publié mardi. Seuls 33% des Français portent un jugement favorable sur Nicolas Sarkozy contre 62% qui portent un jugement défavorable (+7). 5% ne se prononcent pas. En juin, il avait déjà régressé de 6 points, soit une chute de 13 points en deux mois.  

La justification 

"Le lapsus présidentiel a lieu quand le président est assis à une table, il n’est pas couché sur un divan. On ne peut donc pas interpréter pleinement ce lapsus qui est dû à la fatigue de la journée". C'est ainsi que le secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat, Thierry Mandon a tenté sur i-Télé de dédramatiser le lapsus de François Hollande. Lors de son interview du 14-Juillet, la langue du chef de l'Etat a fourché au sujet la présomption d'innocence de Nicolas Sarkozy, évoquant un "prisonnier" innocent. 

La critique 

"C'est une réforme mal engagée", a déploré Dominique Bussereau au sujet de la nouvelle carte des régions. Le président du Conseil général de Charente-Maritime est pourtant d'accord avec François Hollande sur la nécessité de former "de grandes régions autour des métropoles". Il regrette toutefois la première carte proposée par le gouvernement, mettant en cause les "visiteurs du soir" du président de la République, responsable de nombreuses modifications du projet initial.

La comparaison 

Bruno Le Maire, candidat à la présidence de l'UMP, a dit sur France 2 son opposition au droit de vote aux étrangers pour les élections locales, évoqué lundi par François Hollande, mesure qu'il qualifie de "dernier clou sur le cercueil de la nation". "On attendrait du président de la République qu'au lien d'endormir les Français comme il l'a fait hier avec ses nouveaux mensonges, qu'il nous emmène, qu'il nous propose un cap, une vision. Au lieu de cela, on a eu une litanie de belles paroles, de belles promesses et quelques propositions totalement irresponsables, dangereuses pour le pays comme le droit de vote des étrangers", a-t-il fustigé.
 

lundi 14 juillet 2014

Défilé du 14 Juillet : 31 interpellations après les huées contre François Hollande

Des milliers de visiteurs ont afflué sur les Champs-Elysées pour voir défiler 4 000 hommes venus de 80 pays à l'occasion de la fête nationale du 14 juillet. La cérémonie a donné le coup d'envoi des célébrations du centenaire de la Première Guerre mondiale
Le chef de l'Etat, , est arrivé à 10 heures pour passer en revue l'ensemble des troupes. Il a été accueilli par le chef d'Etat major des armées au pied de l'Arc de Triomphe, Pierre de Villiers. A son arrivée, il a été hué et sifflé quelques secondes par des spectateurs, «pour manisfester leur désapprobation» sur la politique du . D'après le ministère de l'Intérieur, la police a procédé à 31 interpellations. Selon nos informations, les manifestants se réclament d'une mystérieuse «BAC», pour Brigade activiste des clowns...

http://www.leparisien.fr/politique/defile-du-14-juillet-francois-hollande-arrive-sur-les-champs-14-07-2014-4000231.php

Interview de Hollande: réaction de l'UMP

Un 14 juillet sous le signe de la Grande guerre - 14/07

Ce qu'il faut retenir de l'interview de Hollande

J'ai fait depuis deux ans ce que je pensais être mon devoir." En une phrase, François Hollande a éludé son bilan en entame de son interview télévisée du 14-Juillet, lundi. "La reprise est là, mais elle est trop fragile", a-t-il ensuite reconnu, modifiant légèrement son propos de l'an passé. Puis d'ajouter, quelques minutes plus tard : "La reprise, elle est là. Ne la gâchons pas avec des politiques d'austérité."
Interrogé sur les erreurs qu'il pouvait avoir commises depuis le début de son mandat, le chef de l'Etat est revenu sur l'inversion de la courbe du chômage : "On n'a pas réussi. Mais alors qu'est-ce qu'on va faire? Plutôt que de s'arrêter, on va donner une nouvelle impulsion." Cette dernière se traduit par la mise en oeuvre du pacte de responsabilité, annoncé en janvier.

Le pacte de responsabilité, "une décision très lourde"

"J'ai décidé d'accélérer, d'amplifier parce que la France ne peut plus attendre", a déclaré François Hollande avant de faire un point d'étape sur le pacte de responsabilité. "Au mois de mai, il y a déjà eu le versement de 10 milliards d'euros aux entreprises pour l'emploi", a-t-il expliqué avant de préciser que les entreprises recevront 40 milliards d'euros sur les trois prochaines années. Une somme financée par 50 milliards d'euros d'économies, a aussitôt ajouté le Président.
"J'ai pris une décision très lourde", a-t-il encore assumé, alors que les négociations autour du pacte de responsabilité peinent à aboutir au sein des branches professionnelles. François Hollande a annoncé qu'un accord avait toutefois été scellé dans le secteur de la chimie : les patrons qui vont bénéficier du pacte se sont engagés à embaucher 45.000 CDI et 5.000 apprentis d'ici à 2017. "Les entreprises doivent faire ce à quoi elles se sont engagées", a-t-il insisté avant de noter : "Mon rôle n'est pas de mettre au pilori les uns et les autres. Maintenant, on doit être ensemble."

"Les Français ont payé beaucoup d'impôts"

"Les impôts, c'est un sujet sensible et concret." François Hollande a noté qu'"il y a plus de Français qui payent d'impôt sur le revenu aujourd'hui qu'il y a cinq ans". "Les Français en ont payé beaucoup", a-t-il regretté avant de confirmer : "En 2014, un peu plus de 3 millions de ménages vont payer moins d'impôts, sortiront de l'impôt." Et de promettre : "Il y aura un effort en 2015 en faveur des classes moyennes." Selon France 2, cinq millions de foyers pourraient être concernés par cette baisse d'impôts. "Il faut être prudent. On fera en sorte qu'il y ait plusieurs centaines de milliers de Français qui payent moins d'impôts", a toutefois nuancé le chef de l'Etat.

"Pas le moindre différend" entre Hollande et Valls

"Si j'ai choisi Manuel Valls, c'est parce qu'il met de l'efficacité, de l'organisation et aussi de la rapidité", a assuré François Hollande qui a confirmé qu'il n'y avait "pas le moindre différend" entre lui et son Premier ministre. "Il y a rien qui peut nous séparer", a-t-il insisté.

"Le conflit israélo-palestinien ne peut pas s'importer"

François Hollande a affirmé que "le conflit israélo-palestinien ne peut pas s'importer", au lendemain de heurts à Paris à l'issue d'une manifestation de soutien aux Palestiniens et à Gaza. "Je ne veux pas qu'il y ait des conséquences possibles en France", a exigé le Président qui a ajouté : "Il ne peut pas y avoir de dérives et de débordements, d'intrusion ou de volonté d'intrusion dans des lieux de culte, que ce soient des synagogues comme cela s'est passé (dimanche), mais je dirai la même chose pour des mosquées, des églises, des temples." "C'est un pays laïc, les religions doivent être respectées, toutes les religions", a-t-il poursuivi avant de conclure : "L'antisémitisme ne peut pas être utilisé parce qu'il y a un conflit entre Israël et la Palestine."

Hollande déroule son programme de réformes

Le chef de l'Etat n'a pas apporté de nouvelles précisions sur les réformes à venir. Après 2014 ("l'année des grandes réformes économiques"), il a listé les réformes à venir : la généralisation du tiers-payant, l'accompagnement des personnes âgées, la relance du service civique ("Je veux le revivifier", a-t-il dit)... Et le droit de vote des étrangers aux élections locales, promis en 2012 et toujours reporté? Après avoir esquivé la question, François Hollande a répété qu'il y était toujours favorable mais qu'il lui fallait rassembler une majorité parlementaire. "Moi, je ne renonce pas à ce que des majorités se constituent", a-t-il lancé avant d'assurer : "Tout sera abordé jusqu'avant l'élection présidentielle 2017."

Le lapsus sur le "prisonnier" Nicolas Sarkozy

François Hollande l'a assuré pour son interview du 14-Juillet : il n'est jamais intervenu dans les affaires judiciaires de Nicolas Sarkozy, contrairement à ce que ce dernier a laissé entendre. "Je ne l'ai non seulement pas fait mais je ne peux même pas y avoir songé", a insisté le Président, en réponse à une question sur la mise en examen récente de son prédécesseur. Alors qu'il défendait le principe de présomption d'innocence, un lapsus s'est toutefois glissé dans son discours : "Chacun doit être certain qu'il est prisonnier... est présumé innocent avant d'être condamné."

L'"espèce de maladie" des Français

Défendant son optimisme, François Hollande a défendu la besoin de retrouver la confiance. "Il y a cette espèce de maladie où on est toujours dans la déploration et dans le dénigrement (...) Or, beaucoup disent du bien (de notre pays), a-t-il assuré. "Il faut que la France se donne elle-même de la confiance. Il faut se faire confiance", a encore ajouté le président de la République.

Une vie privée toujours privée

François Hollande, qui s'est séparé de Valérie Trierweiler il y a six mois suite à l'affaire Gayet, a refusé tout commentaire sur sa vie privée. "J'ai un principe : la vie privée doit être la vie privée", a répondu le chef de l'Etat aux journalistes avant d'ajouter, sur un ton plutôt sec : "Quand j'aurai des choses à dire, je vous les ferai savoir par communiqué. Là, je n'ai aucune information à vous communiquer."
 

Le code informatique à l'école

"Le moral des troupes est en baisse"

dimanche 13 juillet 2014

Hollande n'a pas peur de Montebourg

François Hollande aime par-­dessus tout être le maître de la synthèse, au centre de sa majorité. Il est donc officiellement content du show d'Arnaud Montebourg. "Sur la ligne tracée", commente en privé le Président, qui a envoyé dès le soir même un SMS plutôt sympathique à son ministre de l'Économie. ­Hollande aime les fortes têtes. Il reste nostalgique de la "dream team" de Lionel Jospin, de cet alliage de deux stars de l'époque, Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry, et tant pis si Manuel Valls et Arnaud Montebourg font un peu équipe de réserve de cette ancienne équipe de rêve.
"Arnaud s'est mis dans un cadre, celui du gouvernement, sur ses textes. Il a fait son discours à Bercy, dans le lieu de sa responsabilité, sur son secteur", raconte le Président à ses interlocuteurs. Montebourg veut s'attaquer aux professions réglementées? "Il a raison", confie en privé Hollande. Et sur l'Europe? "Il ne met pas en cause ce qu'on dit." Le chef de l'État dit souvent de l'ancien candidat à la primaire qu'il est "utile". Montebourg a annoncé 6 milliards pour le pouvoir d'achat des Français. Le prix à payer pour que le flamboyant ministre reste au gouvernement? "C'est à lui de les trouver, pas à nous de les donner", a confié Hollande.

Hollande : "Je lui ai laissé une large place pour valoriser les annonces sur Alstom, plus qu'il ne fallait"

Le Président connaît par cœur son ministre si sensible à ses marques d'attention, alors il le cajole. Parfois trop. "Je lui ai laissé une large place pour valoriser les annonces sur Alstom, plus qu'il ne fallait", a-t-il expliqué en privé. "Hollande est un peu comme un chat avec son petit jouet avec Arnaud, il s'amuse", décrypte un des rares qui connaît parfaitement les deux hommes. Et Montebourg prend soin de ne pas franchir la ligne rouge. "Doucement, Arnaud a rangé ses gaules, il s'est beaucoup assagi. Il a demandé Bercy, ce n'est pas pour partir. Arnaud cherche à consolider son équation : être si possible un homme d'État, sans perdre son côté rebelle", analyse un ami du ministre. "Arnaud développe des scénarios économiques, c'est son rôle. Son discours, c'était toutes les bonnes raisons de rester", glisse un proche de Montebourg.
Le chef de l'État ne croit pas à la démission de celui qui était finalement resté après le fiasco de Florange. "Il n'est pas dans l'état d'esprit de partir. Ni Manuel Valls ni moi n'avons eu le moindre signal d'un départ d'Arnaud Montebourg", a-t-il expliqué cette semaine. Ou encore, à un autre interlocuteur : "Il est dans le gouvernement, il applique la ligne du gouvernement. S'il en déviait, il en sortirait, mais il veille à ne pas en dévier." Et quand Hollande est encore plus cash, il dit en souriant : "Ceux qui sortent du gouvernement ne sont pas dangereux, c'est pour ça qu'il n'en sortira pas" ou "on a plus de visibilité à l'intérieur qu'à l'extérieur".

"Valls, il fait comme je voulais qu'il fasse"

Dans son interview du 14-Juillet, six mois jour pour jour après sa conférence de presse, Hollande reviendra sur les cent jours du nouveau gouvernement. Et sur sa relation avec Valls, qu'il est si content d'avoir nommé à Matignon. Parfois, le chef de l'État, un des meilleurs observateurs de la vie politique française, avoue : "La faute de Jacques Chirac est de ne pas avoir nommé Nicolas Sarkozy Premier ministre." Au moment où ce n'était plus vrai du tout, Chirac avait dit à propos de Sarkozy : "Je décide, il exécute." C'était déjà un 14 juillet. Cette semaine, Hollande a confié à des proches : "Valls, il fait comme je voulais qu'il fasse." Le Président est content de la fluidité de leurs relations et de l'omniprésence médiatique de Valls. Car pour lui, avoir un Premier ministre maîtrisant parfaitement la communication est un atout essentiel. En privé, François Hollande dit à propos de Jean-Marc Ayrault : "Il n'était pas assez présent médiatiquement et pas à son aise."
Demain, le chef de l'État ­parlera aux Français pendant trente ­minutes. "C'est le moment où on remet de l'ordre, où l'unité de parole se rétablit", affirme un hollandais. Le Président sait bien que les ­Français ne pourront retrouver confiance en lui que s'il réussit à faire baisser le ­chômage. Et s'il échoue, il sait aussi que ce sera l'échec de tous ceux qui ont gouverné avec lui. Un de ses proches s'agace : "Quand vous êtes dans le camp du Président, vous ne pouvez pas être candidat contre lui. Le faire croire, c'est juste faire du bruit avec la bouche." Et au gouvernement, les beaux parleurs sont légion.
 

Wauquiez "se tient prêt"

Député de Haute-Loire et ancien ministre, Laurent Wauquiez a fait passer le message à Brice Hortefeux en marge de la réunion du dernier bureau politique de l'UMP. "Je me tiens prêt au cas où Nicolas Sarkozy est candidat", aurait glissé Wauquiez au député européen. En privé, Nicolas Sarkozy est formel : "Wauquiez est avec moi."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Wauquiez-se-tient-pret-675994

Mali. L'opération Serval terminée, voici Barkhane


Le Grand Rendez-Vous avec Jean-Yves Le Drian... par Europe1fr

Popularité : Hollande toujours au plus bas

Seuls 24% des Français ont une bonne opinion de François Hollande, soit trois points de moins que début janvier, selon un sondage BVA paru aujourd'hui dans Le Parisien.

Ils sont seulement 22% à estimer en outre qu'il est un bon président de la République, soit cinq points de moins qu'un autre sondage similaire réalisé en octobre 2013.

Si une majorité de Français (51%, -5 points par rapport à janvier) trouvent François Hollande sympathique, ils sont seulement 26% (-5 points) à le juger compétent et 19% (-7 points)à estimer qu'il est capable de prendre les bonnes décisions. Les deux tiers des personnes interrogées jugent qu'il ne va pas assez loin dans la voie des réformes, alors que 19% trouvent qu'il va trop loin, et 71% estiment qu'à la fin du quinquennat la situation de la France sera globalement moins bonne qu'aujourd'hui.

Seuls le premier ministre Manuel Valls (56%) et le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé (55%) feraient mieux que François Hollande s'ils étaient à l'Elysée, selon une majorité de Français. Quant à Nicolas Sarkozy, 45% des Français jugent qu'il ferait mieux, contre 50% qui pensent le contraire.

Le sondage a été effectué auprès d'un échantillon représentatif de 1050 personnes recrutés par téléphone et interrogés par internet les 10 et 11 juillet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/13/97001-20140713FILWWW00031-popularite-hollande-toujours-au-plus-bas.php

samedi 12 juillet 2014

Chikungunya: "épidémie majeure" aux Antilles

Réforme territoriale : des départements pourront changer de régions


Réforme territoriale : des départements... par LCP

Vacances des ministres : "Reposez-vous" ordonne Manuel Valls

Comme tous les Français, les ministres auront droit à des vacances cet été, du 4 au 18 août. Mais le chef du gouvernement leur a donné quelques consignes. Du repos mais pas trop loin de la capitale.

L'actualité politique était agitée en ce début du mois de juillet. Mais la trêve ne va plus tarder. Comme chaque année, les politiques et membres du gouvernement font un break durant la saison estivale. Nos ministres sont, en tout cas, invités à "déconnecter" et "essayer de vraiment profiter de leurs congés". Paroles de leur chef, Manuel Valls.

Le Premier ministre a clairement dit à son gouvernement : "Reposez-vous !". Mais les consignes habituelles restent à l'ordre du jour : "être joignable en permanence" et "séjourner à deux heures et demi de Paris maximum". Seule Christiane Taubira a droit à une dérogation pour aller voir sa famille en Guyane. En cas d'urgence, les ministres devront donc sacrifier leurs congés.
 
Philosophie différente de 2013Contrairement à l'an dernier, la troupe de Manuel Valls est invitée à se déconnecter pour ne pas revenir comme "des zombies" à la rentrée, explique un conseiller de Matignon sur Europe 1. "Se montrer au boulot en permanence, même en plein mois d'août, c'est un peu démago", ironise ce conseiller. Prendre de vraies vacances permettra peut-être au gouvernement de mieux repartir à la rentrée.
Quelles destinations ?
Contraint de relier Paris en moins de deux heures, beaucoup de ministres restent en France.
François Rebsamen a prévu de la plongée en Méditerranée. Jean-Yves Le Drian préfère quant à lui le vélo et la marche en Bretagne pendant dix jours (tout comme Marine Le Pen qui rejoindra sa famille dans le Morbihan).
 

L'UMP vers une dissolution ? Un tiers des sympathisants pour

L'idée d'une dissolution de l'UMP trace sa route, notamment chez les sympathisants de la formation politique. Selon un sondage, ils sont 32% à souhaiter que le parti soit remplacé par un nouveau.

Près d'un tiers des sympathisants UMP (32%) souhaitent que leur formation soit dissoute et remplacée par un nouveau parti alors qu'ils n'étaient que 15% il y a deux semaines, selon un sondage BVA pour le Parisien-CQFD-ITélé.
Au niveau de l'ensemble des Français, ils sont maintenant 48% à le souhaiter (contre 41% fin juin). "L'aggravation de la crise à l'UMP, avec la révélation cette semaine de la dette abyssale du parti, a produit en peu de temps des effets spectaculaires sur l'opinion", juge BVA.
71% des sondés (et 92% des sympathisants UMP) font par ailleurs porter la  responsabilité de la crise à l'UMP à "l'ensemble des cadres du parti" contre 21% qui l'attribuent "surtout à Nicolas Sarkozy".
L'enquête a été réalisée auprès d'un échantillon de 1.050 personnes recrutées par  téléphone et interrogées par Internet les 10 et 11 juillet.
 

vendredi 11 juillet 2014

Cote de popularité: Hollande stable, Valls en légère baisse

La cote de popularité de François Hollande est restée stable en juillet, à 22%, celle du Premier ministre Manuel Valls étant en légère baisse (-1 point à 47%), indique vendredi un sondage LH2 pour Le Nouvel Observateur.
Quelque 22% des sondés déclarent avoir, comme en juin, une opinion positive du chef de l'Etat. 2% ont une opinion "très positive" et 20% "assez positive". 77% des personnes interrogées ont au contraire une opinion négative de M. Hollande (32% "assez négative", 45% "très négative"). 1% ne se prononce pas.
Parmi les sympathisants de gauche, 54% ont une opinion positive (46% une opinion négative).
Le Premier ministre recueille lui 47% d'opinions positives, contre 48% en juin. 8% ont une image "très positive" et 39% "assez positive". 52% ont au contraire une opinion négative (33% "assez négative", 19% "très négative"). 1% ne se prononcent pas. Parmi les sympathisants de gauche, 70% ont une image positive, contre 30% une image négative.
Sondage réalisé par internet les 10 et 11 juillet auprès d'un échantillon représentatif de 1.050 personnes de la population de 18 ans et plus.

http://www.lepoint.fr/politique/hollande-stable-dans-les-sondages-valls-en-legere-baisse-11-07-2014-1845481_20.php