vendredi 31 janvier 2014

Municipales à Paris : le débat résumé à un duel NKM-Hidalgo


Municipales à Paris : le débat résumé à un duel... par LCP

Immigration: Valls dresse son bilan

Morin : « L'élection présidentielle au suffrage universel est un des drames de la démocratie »

Zapping : Emmanuelle Cosse invitée de Jean-Michel Aphatie

L'expresso du 31/01

"Je ne crois absolument pas à l'homme providentiel". C'est ce qu'a déclaré Hervé Morin sur i-Téle à propos de l'éventualité d'un retour de Nicolas Sarkozy"La démocratie française meurt de l'idée qu'il y aurait un homme providentiel capable de tirer le pays", hors "périodes historiques", a insisté l'ancien ministre de la Défense. Pour lui, les Français n'ont pas "complètement oublié, en termes de concentration des pouvoirs, de caractère excessif, d'agressivité dans l'exercice du pouvoir" ce que fut la présidence Sarkozy, même s'ils n'ont pas non plus "oublié qu'il a été capable de sortir la France du chaos en 2008" au moment de la crise bancaire et financière. 

Les coulisses

Nicolas Sarkozy "se sent obligé de parler aux journalistes pour montrer qu'il est toujours là et gêner ceux qui peuvent émerger à droite", explique au Parisien, sous couvert d'anonymat, un ancien ministre de l'ex-président. Ajoutant : "Franchement, c'est pas la marque d'un type serein."

La mise en garde  

Un revirement de la politique gouvernementale en faveur de l'exploitation des hydrocarbures de schiste constituerait "un casus belli", a prévenu la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts Emmanuelle Cosse sur RTL. Selon le Canard enchaîné, Arnaud Montebourg, ministre du Redressement Productif, veut publier après les municipales un rapport défendant une nouvelle technique expérimentale "propre" d'exploitation des hydrocarbures de schiste, qui consisterait à utiliser du "fluoropropane" comme alternative à la fracturation hydraulique interdite en France. "Qu'est-ce qu'une technique propre, quand il s'agit d'aller chercher dans des couches géologiques extrêmement profondes des gaz qui sont emprisonnés? Il n'y a pas seulement la question de la pollution de l'eau et des terrains, il y a aussi la question de la stabilité des terrains", a expliqué Emmanuelle Cosse. 

La précision 

Le président du CSA Olivier Schrameck a réfuté toute immixtion du pouvoir dans la nomination du prochain président de Radio France. "Je vous le dis ce matin très clairement et très fermement, il n'y aura non seulement aucune consigne, mais pas la moindre suggestion du pouvoir politique, et je vous accorde que c'est peut-être la première fois", a-t-il assuré.

Le chiffre : 0,1%

La consommation de biens par les ménages est repartie en légère hausse (+0,1%) en 2013, après le sévère repli de -0,5% enregistré un an plus tôt, a annoncé l'Institut national de la statistique et des études économiques. Malgré un recul de -0,1% en décembre, les dépenses ont augmenté globalement de 0,8% sur l'ensemble du dernier trimestre et ce rebond a permis de compenser l'atonie relevée en début d'année, a expliqué l'Insee dans un communiqué
 

jeudi 30 janvier 2014

Politique Matin : François de Rugy, député de Loire-Atlantique, président du groupe Ecologiste à l’Assemblée nationale et Philippe Vigier, député UDI d’Eure-et-Loir


Politique Matin : François de Rugy, député de... par LCP

Nicolas Sarkozy se confie sur son retour - 30/01

Que révèle la polémique sur la "théorie du genre"? - L'édito de Christophe Barbier

Sondage BFMTV: à Marseille, Jean-Claude Gaudin devant Menucci - 30/01

Bourdin Direct: Michel Sapin - 30/01

Sarkozy : "Quand on est Président, on a un devoir"

Dans le train qui l'emmenait jeudi matin en Charente-Maritime, où il doit remettre une légion d'honneur au maire UMP de Chatelaillon, Nicolas Sarkozy s'est confié longuement à quelques journalistes. "Je suis dans l'état d'esprit du discours de la Mutualité", au soir de sa défaite, le 6 mai 2012. "C'est très sincère", a-t-il expliqué. "D'ailleurs, ce discours, c'est moi qui l'ai écrit", a-t-il glissé en référence à ce texte dans lequel il annonçait redevenir "un Français parmi les Français", expliquant que son engagement serait désormais "différent". Un regret? "J'ai perdu la présidentielle, je n'y pense plus. J'ai perdu de si peu. Les gens sont tellement gentils avec moi."
L'ex-Président a également débuté un mea culpa, notamment sur sa manière de gouverner entre 2007 et 2012. Pas d'autocritique pour autant car, "pour cela", il suffit de "faire une revue de presse de l'époque". En "off", il a fait un éloge de la lenteur : "L'accélération du calendrier provoque la lassitude. Quand vous êtes en retrait, les gens vous regardent. La période immobile, c'est là où l'opinion se forme", a-t-il analysé. "Les gens ont besoin de calme, on me l'a suffisamment reproché", a-t-il dit. Pourtant, quand il remet un pied sur scène, les médias s'agitent. "Je suis la moitié du temps à l'étranger! C'est sûr que quand je suis là, cela se remarque!"

"Je n'ai jamais souffert avec Fillon"

Et sur l'actualité? Il veut bien parler de la campagne des municipales à Paris : "Nathalie Kosciusko-Morizet, tout le monde connaît l'amitié, la reconnaissance, l'admiration que j'ai pour elle", a-t-il expliqué, alors que l'équipe de la candidate attend toujours un soutien public. Sur le reste, Nicolas Sarkozy ne veut pas tomber dans le piège : "Vous voudriez que je réagissent aux annonces de François Hollande? Je ne suis plus dans la vie politique", a-t-il rappelé. L'"Ex" est en retrait. Mais ne peut s'empêcher. "Vous me dites qu'il y a des baisses de charges patronales, mais où?" Interrogé sur son successeur, il a seulement concédé : "Quand on est président, on a un devoir", a-t-il lâché, assurant que, lui, ne se sentait pas "enfermé", à l'Elysée.
Et la primaire à l'UMP, censée désigner le prochain candidat du parti à la présidentielle? "C'est l'actualité d'un parti", a-t-il balayé comme il a évacué les questions sur son rival François Fillon : "Je ne dirai jamais de mal de ceux qui ont travaillé avec moi. Je n'ai jamais souffert avec lui."
 

L'expresso du 30/01

Je plaide pour la dissolution de l'Assemblée nationale. Je ne souhaite pas la démission de Hollande." C'est ce qu'a déclaré sur France Inter la présidente du FN Marine Le Pen, interrogée au sujet des difficultés de l'exécutif.  

La mise au point  

"Laisser croire que l'on enseignerait la théorie du genre est une façon de critiquer la République", a dénoncé Dominique Bertinotti, questionnée sur RTL à propos de cette polémique naissante. "Je suis catastrophée que certains puissent utiliser la notion de rumeur", a-t-elle déclaré encore. Selon la ministre de la Famille , cette rumeur "profite à une extrême droite qui n'aime pas la République et donc l’École".

L'attaque 

"J'ai trouvé qu'Anne Hidalgo passait mieux à la radio". C'est ainsi qu'a commenté sur LCI Charles Beigbederle débat diffusé entre les candidats à la mairie de Paris mercredi. Et le candidat dissident de l'UMP, adversaire de Nathalie Kosciusko-Morizet de préciser au sujet de la candidate socialiste : "C'est aussi la voix. Elle a une voix qui porte plus. Je ne sais pas, c'était peut-être un problème technique de micro".

La proposition 

Dans une interview au Parisien, Valérie Pécresse a dénoncé l'aide aux transports accordée par la Région Ile-de-France aux étrangers en situation irrégulière, qu'elle propose de supprimer. D'après son calcul le coût de cette mesure est "autour de 80, 100 millions d'euros". Soit "dix rames de trains neufs" ou "deux fois le plan de bus prévu pour la grande couronne", a assuré la chef de file de l'opposition à la région.  

Le chiffre 

Selon un sondage CSA pour BFMTV, l’UMP Jean-Claude Gaudin arriverait en tête au premier tour des municipales à Marseille. Mais au second tour, le PS et le Front de gauche unis pourraient l’emporter. Les listes Gaudin bénéficient toutefois cette fois-ci d’un léger avantage, créditées de 42% des intentions de vote exprimées à l’échelle de la ville contre 41% pour celles de Patrick Mennucci.

La mise en garde 

Laurent Fabius a estimé sur Europe 1 que l'humanitaire était la priorité en Syrie. "Il y a d'un côté, il y a les hommes de Bachar et leur objectif c'est de protéger son camp. Et de l'autre il y a l'opposition modérée qui veut protéger le peuple syrien", a observé le ministre des Affaires étrangères. "Si rien ne bouge, il faut ré-envisager d'aller devant l'ONU pour mettre en place un plan humanitaire", a prévenu Laurent Fabius.
 

mercredi 29 janvier 2014

Questions d'info : Bernard Accoyer, député UMP de Haute-Savoie, ancien président de l’Assemblée nationale


Questions d'info : Bernard Accoyer, député UMP... par LCP

Politique Matin : Thierry Mandon, Député PS de l’Essonne et Florian Philippot, Vice-Pdt du FN


Politique Matin : Thierry Mandon, Député PS de... par LCP

Le zapping des questions au gouvernement de mercredi !


Le zapping des questions au gouvernement de... par LCP

Alain Vidalies accuse un député UMP de "puiser" ses informations sur le site d'Alain Soral - 29/01

Présidentielle 2017 : l'UMP pourra-t-elle se passer des primaires ?

Bourdin Direct: Nadine Morano - 29/01

Brice Hortefeux : "Sarkozy apparaît peut-être comme une espérance"

Hollande vire de bord

L'expresso du 29/01

Oui, à l'évidence, Nicolas Sarkozy apparaît comme une évidence et peut-être même une espérance", a déclaré sur RTL Brice Hortefeux, proche de l'ancien Président.  

Le chiffre

Huit points. C'est désormais ce qui sépare Anne Hidalgo de Nathalie Kosciusko-Morizet au second tour de l'élection municipale à Paris, selon un sondage Ifop pour Le Parisien/LCI et Europe 1 publié mercredi. La candidate socialiste obtiendrait 54% (contre 52,5 début janvier), distanciant largement sa rivale UMP avec 46% (contre 47,5 lors de la précédente enquête). Pour le premier tour, 39,5% des personnes interrogées se prononcent pour Anne Hidalgo. NKM perd en revanche 2 points, passant de 38,5% début janvier à 36,5%.

Le commentaire

Michèle Aliot-Marie s'est dite "touchée" en tant que femme par la situation de Valérie Trierweiler. Mais "en tant que politique", l'ancienne ministre UMP considère que "ce n'est pas un sujet". "Les Français aujourd'hui ont des problèmes qui dépassent de beaucoup les questions des relations entre le président de la République et sa compagne", a-t-elle fait valoir. Et d'ajouter : "L'élégance, c'est une question personnelle."

La polémique

Sur Europe 1, la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem a tenté de désamorcer la polémique concernant le fils du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, recruté par le premier bailleur social de France, SNI, comme chargé de mission auprès du président de son directoire. "On parle de quelqu'un de diplômé et compétent, il n'y a rien de comparable avec Jean Sarkozy", a-t-elle balayé en référence à l'affaire de l'Epad. 

Le désaccord

Jean-Claude Mailly n'approuve pas le pacte de responsabilité lancé par le gouvernement. "Le pacte de responsabilité c'est la fièvre libérale", a estimé le secrétaire général de Force ouvrière sur i-Télé. "Comme tout le monde, j'ai découvert ça à la télé. Il n'y a pas eu de dialogue social, il ne faut pas se raconter d'histoire", a-t-il poursuivi.
 

mardi 28 janvier 2014

"Hollande est de nouveau sur la défensive"

Politique Matin : Charles Beigbeder, tête de liste « Paris Libéré », dans le VIIIe arrondissement de Paris, fondateur de pactepourlafrance.fr et Ian Brossat, président du groupe communiste au Conseil de Paris


Politique Matin : Charles Beigbeder, tête de... par LCP

François Hollande estime ne pas avoir "réussi à faire diminuer le chômage" - 28/01

PS: le cas de Malek Boutih examiné

Le cas du député socialiste Malek Boutih, qui a reproché à Jean-Marc Ayrault d'être "un peu le poids mort de la gauche", va être discuté au Bureau national (exécutif) du Parti socialiste, ont révélé mardi des sources concordantes.

Le Premier secrétaire du Parti socialiste Harlem Désir a fait cette annonce ce matin lors de la réunion du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, à laquelle M. Boutih ne participait pas. Il est "probable" que le bureau national décidera de sanctions, mais "pas forcément ce soir", a estimé un député.

Avant l'arrivée du Premier ministre à cette réunion, M. Désir a jugé les propos du député de l'Essonne "inadmissibles" et a été applaudi. Le Premier secrétaire a aussi évoqué le contexte pré-électoral dans lequel ces propos intervenaient, selon un autre député.

Récidive

Malek Boutih, s'exprimant samedi au Talk Orange-Le Figaro, avait aussi estimé que l'équipe gouvernementale manquait de "réactivité" après les annonces de François Hollande sur
le pacte de responsabilité.

En novembre, l'ancien président de SOS Racisme avait déjà plaidé pour un changement "d'urgence" de Premier ministre, ce qui lui avait valu les remontrances du Premier secrétaire mais aucune sanction n'avait été prise par le Bureau national.

Confirmant que "le cas de Malek Boutih serait abordé au sein du bureau national du PS", une des porte-parole des députés PS, Annick Lepetit, a précisé en conférence de presse que les socialistes étaient "pour la liberté d'expression mais aussi pour la mesure des propos". "Son récent propos sur le Premier ministre n'a pas été particulièrement apprécié par ses collègues, comme plusieurs l'ont dit ce matin", a-t-elle ajouté.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/28/97001-20140128FILWWW00444-ps-le-cas-de-malek-boutih-examine.php

La remise en cause du Président enflamme l'Assemblée


«Hollande n'a pas l'air content de sa fonction»

Pour Lepaon, "Gattaz donne la feuille de route à Ayrault"

Bourdin Direct: Jean-Luc Mélenchon - 28/01

L'expresso du 28/01

Sur France Inter, Michel Sapin a maintenu son objectif d'inverser la courbe du chômage, après la publication la veille des mauvais chiffres. "Nous sommes à deux doigts de le faire, est-ce que c'est le moment de baisser les bras? Non, c'est le moment d’accélérer tous les moteurs", a fait valoir le ministre du Travail. Quant aux propos du patron de l'UMP, qui demande sa démission, Michel Sapin a estimé qu'il s'agissait là du "degré de zéro de la politique tout à fait à l'image de Jean-François Copé".

Le désaccord

"Je ne suis pas convaincu que ça soit en demandant la démission de je ne sais qui que le chômage baissera", a asséné sur France Info le député UMP Benoist Apparu, en référence aux propos de Jean-François Copé. "Ce qui me semble essentiel, c'est comment on fait pour faire reculer le chômage. La question de savoir si François Hollande a réussi son pari est totalement secondaire".

Les coulisses 

Le père de l'Agenda 2010 - les réformes du marché du travail allemand sous le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder - Peter Hartz, va conseiller François Hollande, selon des informations du journal de l'Etat régional de Sarre, Saarbrücker Zeitung. 

Le commentaire

Invitée sur i-Télé, Marisol Touraine a commenté son "tweetclash" la veille avec Christine Boutin, au sujet de l'IVG. "Christine Boutin a dépassé les limites de ce qui était acceptable. Me traiter d'esclavagiste est à la limite du ridicule", a lancé la ministre de la Santé. Selon elle, "les campagnes ne justifient pas les dérapages

L'attaque

Pour Jean-Luc Mélenchon, la promesse d'inverser la courbe du chômage, "c'est du pipeau, c'est la technique Hollande". "Ça fait des mois qu'ils font de la bricole pour faire une diversion", a asséné sur BFMTV le leader du Parti de Gauche. Et de qualifier le gouvernement de "bande de bras cassés qui n'arrivent à rien (...). Le Président Hollande et sa bande ne savent pas où ils vont actuellement."

Le chiffre

Nicolas Sarkozy fête aujourd'hui ses 59 ans. Sur Twitter, certains responsables politiques, parmi lesquels Christine Boutin ont déjà souhaité à l'ancien Président, un "bon anniversaire". 
 

lundi 27 janvier 2014

Pacte de responsabilité : début des consultations avec les partenaires sociaux


Pacte de responsabilité : début des... par LCP

Politique Matin : Carlos da Silva, Député PS de l’Essonne et Thierry Solère, Député UMP des Hauts-de-Seine


Politique Matin : Carlos da Silva, Député PS de... par LCP

NKM : «Il faut plus de transparence dans l'attribution des logements sociaux»

Peillon: des professeurs mieux formés pour enseigner la Shoah

François Hollande: "le peuple français sera consulté" sur l'entrée de la Turquie dans l'UE - 27/01

Il n'y a pas d'inversion de la courbe du chômage

Bourdin Direct: Henri Guaino - 27/01

Borloo hospitalisé pour une pneumonie aiguë

Le président de l'UDI, Jean-Louis Borloo, a été hospitalisé dimanche après-midi à Paris pour une "pneumonie aiguë frontale" qui "devrait le contraindre à quelques semaines d'absence", a annoncé lundi son entourage à l'AFP.
Jean-Louis Borloo, qui devait être l'invité de l'émission politique du dimanche de BFMTV, avait été remplacé par le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll.
L'entourage du président del'UDI n'a pas précisé combien de temps durerait son hospitalisation.
"Il souffre d'une pneumonie aiguë frontale qui devrait le contraindre à quelques semaines d'absence", a-t-on expliqué à l'AFP.
 

L'expresso du 27/01

Henri Guaino ne croit pas une seconde au programme d'alternance adopté par l'UMP samedi. "Je ne me sens pas engagé par ces promesses en l'air", a assuré le député UMP sur BFMTV. "Je ne me sens pas engagé par ce mesures décidées par dix personnes (...) On met tout le monde au pied du mur", a déploré l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy. Il évoque même des "petits arrangements derrière le rideau" et dénonce le "verrouillage de quelques-uns qui essayent de se partager les places".

La phrase

"J'ai eu l'impression de lire quelque chose qui ressemblait plus à une lettre de licenciement qu'à une lettre de rupture", a déclaré sur i-Télé la candidate UMP à la mairie de Paris Nathalie Kosciusko-Morizet, au sujet de la déclaration à l'AFP de François Hollande samedi soir pour annoncer sa séparation avec Valérie Trierweiler. 

La comparaison

Harlem Désir l'assure : le fait qu'il n'y ait plus de première dame à l'Elysée n'a "aucune incidence". Sur RTL, le premier secrétaire du PS a comparé la situation de François Hollande à celle de la chancelière allemande : "Madame Merkel, dans la plupart de ses déplacements, n'est pas accompagnée par son mari et ça ne change rien." 

Le point de vue

Dans une interview au Figaro, Arnaud Montebourg se dit indifférent à l'égard du scepticisme de l'agence Moody's sur les chances de succès des réformes proposées par François Hollande. "Sur les agences de notation, mon opinion ne varie pas : je suis pour leur démantèlement. Elles sont coupables de nous avoir entraînés dans la crise financière", martèle le ministre du Redressement productif. 

Le chiffre

Deux cent cinquante personnes ont été placées en garde à vue dimanche soir à l'issue des incidents lors de la manifestation anti-Hollande à Paris, a annoncé lundi à l'AFP une source policière. Dix-neuf policiers ont été blessés, lors des affrontements avec des manifestants, mais aucun n'a été hospitalisé.

Le regret

"La France est le seul pays au monde où les responsables politiques commentent les chiffres du chômage avant qu'ils ne soient publiés", a regretté sur BFMTV Henri Guaino. Le député UMP y voit là un "délit d’initié institutionnalisé" et considère l'inversion de la courbe du chômage comme "une promesse absurde".
 

dimanche 26 janvier 2014

Évènements : Conseil national de l’UMP


Évènements : Conseil national de l’UMP par LCP

Manuel Valls sur les terres du FN: un "message d'optimisme pour Hénin-Beaumont" - 26/01

Européennes : le FN en pole position

Marine Le Pen a fait des européennes un objectif prioritaire en 2014. Avec l’ambition de profiter du scrutin de listes à un tour pour arriver en tête et affirmer encore que le FN est le premier parti de France. Selon un sondage Ifop pour le JDD, le Front national devancerait l’UMP et le PS lors du scrutin de mai.
21 % pour le FN. Selon ce sondage, les listes du Front National obtiendraient 23% des voix, celle de l'UMP 21% et celles du Parti socialiste et du Parti Radical de Gauche 18%. Viendraient ensuite, les listes de L'Alternative, le nouveau parti centriste dirigé par Jean-Louis Borloo et François Bayrou, qui récolteraient 11% des voix, celles de Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon (9%) et les listes d'Europe Ecologie Les Verts (7%).
 

Bienvenue à l'Assemblée nationale

vendredi 24 janvier 2014

Politique Matin : La matinale du vendredi 24 janvier 2014


Entre les Lignes : Entre les lignes par LCP

Roselyne Bachelot chante sur le plateau de PolitiqueS


Roselyne Bachelot chante sur le plateau de... par LCP

Conseil national de l'UMP : Jean-François Copé veut tourner le dos aux divisions au sein du parti


Conseil national de l'UMP : Jean-François Copé... par LCP

Bourdin Direct: Najat Vallaud-Belkacem - 24/01

Nathalie Kosciusko-Morizet invitée de Ruth Elkrief sur BFM


Nathalie Kosciusko-Morizet invitée de Ruth... par NKM

L'expresso du 24/01

La France va convoquer ce vendredi à Paris l'ambassadeur d'Ukraine pour lui exprimer sa "condamnation" de la répression des manifestations à Kiev, a annoncé le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, se disant "inquiet et indigné". "J'ai donné instruction au Quai d'Orsay de convoquer aujourd'hui l'ambassadeur d'Ukraine en France, ce qui est un geste pour montrer qu'il y a une condamnation de la part de la France", a expliqué Laurent Fabius à la chaîne i-Télé. "Il y a eu des ordres de tirer sur la foule, ce qui est évidemment inadmissible", a-t-il ajouté.

Le chiffre

Une majorité de Français (54%) préférerait que le conjoint du président de la République ne joue "plus aucun rôle" et n'ait plus de moyens alloués, selon un sondage BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France de vendredi. Interrogés sur le statut souhaité pour les conjoint(e)s des présidents, 29% des Français penchent pour qu'il "soit créé un véritable statut". Enfin, 17% pensent que les choses peuvent rester en l'état.

La clarification

Le ministre des relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a affirmé jeudi soir que "l'instauration d'une dose de proportionnelle" pour l'élection des députés, un des engagements de François Hollande, restait "d'actualité d'ici 2017", mais a exclu toute proportionnelle intégrale. Il était interrogé, lors de ses voeux à la presse, à propos des déclarations du chef de file des sénateurs socialistes, François Rebsamen, qui avait plaidé le matin pour l'élection des députés à la proportionnelle.

Le pronostic

Le ministre du Travail, Michel Sapin a estimé que le chômage serait "quelque part comme étale à la fin de 2013", alors que les chiffres du mois de décembre seront connus lundi. "Ça avance, il faut accélérer", a ajouté le ministre. 

Le soutien

Le polémiste Dieudonné a réitéré jeudi son "soutien" au footballeur Nicolas Anelka, poursuivi par la Fédération anglaise pour avoir fait le geste de la "quenelle", en se disant "très fier" de l'ancien international français. "Nicolas Anelka a tout mon soutien bien évidemment", a déclaré Dieudonné à la chaîne de télévision britannique Sky News. 
 

jeudi 23 janvier 2014


Politique Matin : La matinale du jeudi 23... par LCP

PolitiqueS : les ZEP


PolitiqueS : les ZEP par LCP

Vincent Peillon en visite dans les écoles sinistrées de Hyères

Cambriolages: Valls promet de "renverser la vapeur"

Copé, "moi, Président"


Jeudy Politique : Copé, "moi, Président" par lejdd

Bourdin Direct: Marine Le Pen - 23/01

L'xpresso du 23/01

"Les chiffres de la délinquance sont un échec pour Manuel Valls. Que voulez-vous, on ne peut pas tout faire, aller soutenir les candidats socialistes contre le FN et faire baisser la délinquance", a fustigé Marine Le Pen, interrogé par BFMTV sur les chiffres de la délinquance pour l'année 2013. Le ministre de l'intérieur se rend samedi aux vœux du candidat socialiste à Hénin-Beaumont, une venue très contestée par le FN. "Cet homme est sans limite, sans morale. On attendait d'un ministre de l'impartialité. Mais cet homme va utiliser, ce week-end, les moyens de son ministère", pour faire campagne contre le FN, a encore ajouté Marine Le Pen.

Le détecteur de mensonges express

"Un record" : Marine Le Pen, toujours sur BFMTV, s'est félicité du nombre de listes complètes présentées par son parti aux municipales. "Nous allons présenter 500 listes aux prochaines municipales", a-t-elle assuré, évoquant du jamais-vu.
FAUX : Selon le journaliste de l'AFP Guillaume Daudin, citant des chiffres du ministère de l'Intérieur, en 1995, le FN était parvenu à constituer 512 listes dans les villes de plus de 5.000 habitants, quand Marine Le Pen évoquait jeudi matin les villes de plus de 3.500 habitants. Ce "record" vanté par la présidente du parti cache le fait que plus de 800 têtes de listes ont été trouvées, mais que les colistiers n'ont pas suivi. Surtout, seules 120 listes sont actuellement complètes et près de 300 sont à 80% terminées. En 1995, l'extrême droite avait obtenu 1.363 élus, quand le FN en vise 1.000 cette année.

La phrase

Interrogée jeudi matin sur la hausse du nombre de cambriolages et de vols en 2013 en France, Manuel Valls a mis en cause les réseaux "qui viennent de l'est de l'Europe" : "La montée du sentiment d’insécurité est liée à des réseaux qui viennent de l’est de l’Europe et des Balkans, qui écument notre pays, en s’installant parfois durablement en France."
 

L'aveu

Le ministre du Travail, Michel Sapin, a estimé jeudi qu'une baisse des impôts des ménages ne pourrait intervenir en 2015 que "si la croissance est plus forte que prévu", insistant pour que "les choses se fassent dans l'ordre". "Prenons les choses dans l'ordre: aujourd'hui nous accélérons pour que la croissance soit plus forte, pour que le chômage recule, et à partir de là, on retrouve des marges de manoeuvres. Au profit de qui? De l'économie française, de l'économie de nos entreprises, c'est la baisse des cotisations", a-t-il expliqué sur RTL.

Le chiffre : 3,2%

La ministre de la Culture Aurélie Filippetti affirme vouloir "changer le regard que l'on porte sur la culture", qui est "un élément de croissance" et "pas seulement une dépense", dans un entretien à Libération jeudi. "La valeur ajoutée générée par ces investissements (dans la culture) est de 57,8 milliards d'euros, ce qui place la culture à 3,2% du PIB", précise Aurélie Filippetti. Elle ajoute que "la première source de création de richesse est le spectacle vivant, qui reçoit 830 millions d'euros de soutien public et génère 8,8 milliards d'euros de valeur ajoutée".

L'annonce

Dans le Journal officiel, on apprend la composition définitive du Conseil stratégique de la dépense publique, annoncé par François Hollande et chargé de trouver des économies. On y trouvera donc :
Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault ;
Le ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici ;
Le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances, chargé du Budget, Bernard Cazeneuve ;
La ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine ;
Le ministre du Travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social,  Michel Sapin ;
La ministre de la Réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, Marylise Lebranchu.
"D'autres ministres peuvent être appelés à siéger au Conseil par le président de la République qui peut également inviter les représentants des organismes ayant à connaître de la dépense publique ainsi que toute personnalité qualifiée", selon le JO.
 

L'invité politique de Guillaume Durand : Valérie Pécresse

mercredi 22 janvier 2014

Politique Matin : La matinale du mercredi 22 janvier 2014


Politique Matin : La matinale du mercredi 22... par LCP

UMP : les têtes de liste dévoilées pour les européennes


UMP : les têtes de liste dévoilées pour les... par LCP

Questions au Gouvernement - Questions au Gouvernement


Questions au Gouvernement - Questions au... par LCP

Cumul des mandats : "la loi est absurde" selon Christian Jacob

Formation professionnelle: projet de loi adopté en Conseil des ministres

Bourdin Direct: Pierre Moscovici - 22/01

EXTRAIT - "Jacques Chirac n'a pas vraiment les symptômes d'Alzheimer"

Le coup de poignard dans le dos


Jean-François Copé : "La loi sur l'IVG est... par rtl-fr

L'expresso du 22/01

Bernadette Chirac, qui avait assuré avant la présidentielle de 2012 que François Hollande n'avait pas "le gabarit d'un président", pense désormais le contraire, car "il a changé". Interrogée par Europe 1, l'épouse de l'ancien chef de l'Etat a déclaré à propos de l'actuel occupant de l'Elysée : "Je trouve qu'il a beaucoup changé". Et donc il a le gabarit aujourd'hui? "Mais oui !", a-t-elle tranché. Le 23 mars 2012, peu avant le premier tour de l'élection, Bernadette Chirac, très engagée en faveur de Nicolas Sarkozy, avait lancé à propos du candidat socialiste: "C'est un homme très courtois, parfaitement courtois", mais "ce n'est pas le gabarit d'un président de la République". "Vous savez, il faut beaucoup d'expérience pour être président de la République".

L'aveu

Il vient de Bernadette Chirac, encore. Nicolas Sarkozy lui a-t-il confié qu'il avait décidé de revenir en politique? "J'ai interdiction de le dire, il va me gronder." Quelques secondes plus tard, elle consent une réponse : "Bon… Evidemment!"

Les coulisses

Si Bernadette Chirac est si sure de ce retour, comment va-t-il s'opérer? Par les airs, visiblement, étant donné les analogies utilisées par Nicolas Sarkozy auprès de ses proches. Après la stratégie "stratosphérique" évoquée par Le Monde la semaine dernière, l'ancien président aurait confié à des invités qu'il reviendrait… en hélicoptère. Dans le Canard Enchaîné, un écho évoque en effet sa volonté de ne pas passer par la primaire : "Les primaires sont faites pour les seconds couteaux, et je n'y participerai pas. Je vais poser mon hélicoptère dans la plaine, et, quand j'en sortirai, je dirai : 'qui m'aime me suive!' Et vous verrez que j'aurai des gens de tous les partis qui se rangeront derrière moi."

L'anecdote

Xavier Bertrand raconte dans L'Express avoir un jour, au cours d'un déjeuner, vidé son sac auprès de Nicolas Sarkozy. Après avoir évoqué divers incidents lorsqu'il était son ministre, il a enchaîné sur l'avenir : "Je lui ai dit que je ne voulais pas être son ministre ni son Premier ministre, je lui ai dit que je voulais être président. Ensuite, je me suis levé, j'ai payé la note et je suis parti. Je ne me suis jamais senti aussi léger!"

Le d
Pierre Moscovici n'est pas aussi certain que François Hollande qu'une baisse des impôts aura lieu en 2015.  "Ce qui est prévu, c'est une baisse des prélèvements obligatoires à la fin du quinquennat", a-t-il précisé sur BFMTV. Mais "si la croissance est plus forte et s'il y a plus d'économies, donc s'il y des marges de manoeuvres", il pourrait y avoir des baisses plus rapides, a-t-il lâché tout de même. Pour 2015, il table sur 1,5% de croissance, après 1% en 2014.

Le démenti

Non, la France n'a pas falsifié la liste "Falcini", mentionnant des noms d'évadés fiscaux en Suisse livrée par l'ex-informaticien de la banque HSBC Hervé Falciani. C'est ce qu'assure le ministre du Budget mercredi. Bernard Cazeneuve a démenti fermement ces informations sur France Info. Le quotidien financierAgefiaffirme sur son site que les autorités françaises ont falsifié en 2009 les listes d'évadés fiscaux en Suisse livrées par l'ex-informaticien de la banque HSBC Hervé Falciani, ce qu'un rapport parlementaire infirmait en juillet. L'Agefi dit être "en mesure d'affirmer sans conditionnel que le contenu des listes a bien été modifié", "après avoir pu consulter un rapport de l'Office fédéral de la police".

L'attaque

Jean-François Copé pilonne François Hollande dans une interview à Valeurs actuelles, à paraître jeudi, accusant le président de mentir aux Français avec "sa mascarade de tournant social-libéral" et d'"introduire méthodiquement" du "trouble" dans le pays. Jean-François Copé "invite le Medef à la plus grande vigilance, car ce président n'en est pas à son mensonge d'essai. Il a promis d'arrêter d'augmenter les impôts. Et on démarre l'année 2014 avec les impôts qui augmentent. Il a promis 'coûte que coûte' d'inverser la courbe du chômage avant la fin de l'année dernière, le chômage a explosé en 2013. Il avait promis de ramener le déficit public à 3% du PIB fin 2013, nous sommes à plus de 4%".désaccord
 

mardi 21 janvier 2014

Arnaud Montebourg : "Ça ne coûtera pas d'argent aux contribuables"

Politique Matin : La matinale du mardi 21 janvier 2014


Politique Matin : La matinale du mardi 21... par LCP

Cumul des mandats : les modifications du Sénat supprimées à l'Assemblée


Cumul des mandats : les modifications du Sénat... par LCP

21/01/2014 L'ENTRETIEN

François Hollande présente ses voeux aux acteurs économiques

Vœux de Hollande au monde de l'entreprise et de l'emploi: les réactions - 21/01

Guaino: Hollande "ment tout le temps"

Manuel Valls: "ce n'est pas la première fois que je baisse dans les sondages" - 21/01

L'expresso du 21/01

Manuel Valls, sur BFMTV, était invité à s'exprimer sur la consommation de cannabis par les jeunes Français. Pour autant, en a-t-il déjà fumé? Mmmmh, pas sûr : "Non, euh, je... il m'est peut-être arrivé de fumer peut-être une fois…"

La piste de réflexion

Plus sérieusement, Manuel Valls est revenu sur les chiffres de la sécurité routière. Après s'en être félicité, il a annoncé que les routes pourraient voir leur limite de vitesse passer de 90 km/h à 80 km/h, pour "sauver plus de vies". "On va expérimenter" cette mesure, a-t-il ajouté, pour "convaincre les Français".

L'appel

Anne Hidalgo a appelé mardi les "femmes de droite espagnoles" à se mobiliser pour défendre le droit à l'avortement mis en cause par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy. "C'est une régression sur un droit fondamental acquis", "une régression absolument terrifiante", a lancé Anne Hidalgo, d'origine espagnole, sur i-Télé. Un projet de loi supprimant quasiment la possibilité de recourir à l'avortement a été approuvé en décembre par le gouvernement Rajoy. "J'en appelle à toutes les femmes de droite et de gauche espagnoles, et notamment aux femmes de droite: mobilisez-vous, ne laissez pas tomber ce droit fondamental", a lancé la responsable socialiste.

Le rendez-vous

Les deux principales candidates à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) et Anne Hidalgo (PS), débattront l'une contre l'autre pour la première fois mercredi 29 janvier à 18h30 sur LCI, Europe 1 et leparisien.fr. Le candidat du Front national, Wallerand de Saint-Just, l'écologiste Christophe Najdovski et la candidate Front de gauche Danielle Simonnet participeront également. 

La phrase

"Etre présent dans le capital de PSA, c'est un acte de patriotisme industriel", a déclaré le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, sur la radio RTL, au sujet de l'entrée de l'Etat au capital de PSA Peugeot Citroën, qui devrait s'effectuer "sur un pied d'égalité" avec le chinois Dongfeng.

Le rendez-vous

Les deux principales candidates à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) et Anne Hidalgo (PS), débattront l'une contre l'autre pour la première fois mercredi 29 janvier à 18h30 sur LCI, Europe 1 et leparisien.fr. Le candidat du Front national, Wallerand de Saint-Just, l'écologiste Christophe Najdovski et la candidate Front de gauche Danielle Simonnet participeront également. 

La phrase

"Etre présent dans le capital de PSA, c'est un acte de patriotisme industriel", a déclaré le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, sur la radio RTL, au sujet de l'entrée de l'Etat au capital de PSA Peugeot Citroën, qui devrait s'effectuer "sur un pied d'égalité" avec le chinois Dongfeng.
 

lundi 20 janvier 2014

Vie privée de Hollande: une clarification s'impose

Cécile Duflot aime les conseils mode de Cristina Cordula - ZAPPING ACTU DU 20/01/2014


Cécile Duflot aime les conseils mode de... par lezapping

Politique Matin : La matinale du lundi 20 janvier 2014


Politique Matin : La matinale du lundi 20... par LCP

LCP Actu : Journal du lundi 20 janvier 2014


LCP Actu : Journal du lundi 20 janvier 2014 par LCP

Le Point politique de la semaine : Léonarda sans famille

Inondations dans le Var : le gouvernement "veut aller vite" pour la reconstruction

Bourdin Direct: Bruno Le Maire - 20/01

L'expresso du 20/01

Ménager la chèvre et le chou… Marine Le Pen a une position ambivalente sur l'interruption volontaire de grossesse. Alors que des députés socialistes veulent en simplifier l'accès et que des députés UMP veulent au contraire le rendre plus difficile, Marine Le Pen a tenté lundi, sur France Info, de plaire aux deux franges de son électorat. Pour la plus moderne, elle assure : "Nous ne voulons pas modifier la capacité d'accès à l'IVG." Pour les catholiques conservateurs, elle glisse que le "droit à l'accès à l'avortement ne doit pas être restreint, mais il ne doit pas être banalisé".

L'annonce

L'Etat va-t-il intervenir dans le capital de PSA Peugeot-Citroën? Alors que le constructeur est en discussion avec le Chinois Dongfeng, le gouvernement ne confirme rien, mais n'écarte rien non plus : "Si nous sommes sollicités, nous interviendrons", a déclaré la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, sur RTL.

Le soutien

Bruno Le Maire veut une primaire à l'UMP pour désigner le candidat à la prochaine présidentielle, quel que soient les participants. Y compris Nicolas Sarkozy. Devra-t-il se plier à l'exercice? "Oui, aucun doute là-dessus", a-t-il répondu lundi sur BFMTV. Et pour sécuriser cet exercice prévu par les statuts du parti, il est prêt à monter un attelage inédit, avec Xavier Bertrand et Alain Juppé : "Bientôt, pourquoi pas." Le trio de prétendants à la présidentielle pourrait aussi compter Nathalie Kosciusko-Morizet ou Laurent Wauquiez, a-t-il dit.

La promesse

La loi interdisant le cumul des mandats, soumis au vote définitif mercredi à l'Assemblée, ne plait pas à droite. "Si nous revenons au pouvoir, elle sera abrogée", promet même le président du groupe des députés UMP Christian Jacob, au Figaro. Les parlementaires devront décider en 2017 entre leur mandat local et leur mandat à l'Assemblée ou au Sénat.

En coulisse

Jean-Marc Ayrault, dit souvent sur la sellette, va "mieux". "Il a été en difficulté à la fin de l'année mais là, il s'est senti rassuré", assure un proche du Premier ministre au Parisien, évoquant son état d'esprit après la conférence de presse de mardi. Un autre ami explique que "cela lui a fait du bien". "François et Jean-Marc son en phase en ce moment", conclut un proche de François Hollande.

L'anecdote

C'est son surnom, et il l'assume. Le président de l'Assemblée est souvent qualifié, et ce n'est pas affectueux, de "parrain". Se rappelant de ses origines italiennes, certains détracteurs vont jusqu'à le surnommer "Don Bartolone". Dans Libération, qui lui consacre sa une, Claude Bartolone s'en félicite : "Parrain? Mais ce n’est pas un gros mot. Chez les chrétiens, c’est celui qui aide l’autre à grandir. (…) C’est un compliment."
 

dimanche 19 janvier 2014

Ayrault rit jaune

Jean-Marc Ayrault et François Rebsamen se sont parlé au lendemain de la conférence de presse de François Hollande. "Le Président lui a donné une feuille de route très compliquée. C'est pour ça qu'il n'était pas très souriant. C'est lourd, il mesure l'ampleur de la tâche", résume Rebsamen. Ce qui n'empêche pas Ayrault de rire jaune : "Il aurait pu dire 60 milliards, il n'a dit que 50", s'est félicité le Premier ministre. "Il a de l'humour", a découvert le patron des sénateurs socialistes.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Ayrault-rit-jaune-649214

Hollande : Avec Rachid, c'est du sérieux

C'était le chauffeur historique de François Hollande. Mais après l'élection présidentielle, il est tombé en disgrâce… À l'heure des frasques conjugales, il vient de réintégrer les premiers cercles de celui qu'il appelle "François" et qu'il a appris à tutoyer. Un homme que la revue Charles a eu la bonne idée d'interviewer (avant les photos de Closer) pour son numéro spécial Hollande. "Je le connais par cœur, dit Rachid Kasri. Je savais quand il avait besoin de quelque chose, je savais où il allait mettre les pieds, quand il allait se gratter, quand il avait envie d'aller aux toilettes, quand il avait soif, besoin d'un Kleenex, d'un stylo. C'était un sacré boulot."
On apprend que François Hollande a toujours aimé déjouer les protocoles de sécurité et qu'il préférait suivre son propre itinéraire qu'un GPS, pas trop sourcilleux au niveau du compteur. "On n'avait pas de gyrophare, on n'avait rien, mais on a largement dépassé les limites de vitesse. […] Parfois, il décidait de rentrer en scooter tout seul. Il adorait ça, mais je n'étais pas tranquille." On apprend aussi que Hollande savait utiliser ses contacts dans la presse, notamment au Canard enchaîné. "Bien sûr, il alimentait le Canard", confie Rachid Kasri, qui a vu aussi son patron encaisser des droites. "Il y a eu des traîtres. On ne va pas dire les noms, mais le fait de devenir président et de les prendre dans son gouvernement, pour moi, c'est une forme de vengeance." Pourtant, "s'il faisait de la boxe, il serait très bon cogneur. Parce qu'il sait donner des coups là où on s'y attend le moins. C'est comme ça qu'on crée des KO en boxe, comme en politique. Un KO, c'est un coup que le cerveau n'a pas vu venir, qu'il n'a pas pu enregistrer".
 

Le serment de Sarkozy

C'était peu de temps après la réunion de ses Amis au Pyla, à la fin de l'été. Devant des parlementaires dont il est proche, Nicolas Sarkozy a fait la promesse "de ne pas laisser François Hollande et Marine Le Pen en tête à tête" en 2017.

http://www.lejdd.fr/Politique/Sarkozy-a-promis-de-ne-pas-laisser-Hollande-et-Le-Pen-en-tete-a-tete-en-2017-649173

Les invités politique du dimanche 19/01

C politique

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, est l'invité de Caroline Roux cette semaine. L'intervention française au Mali sera sans nul doute largement évoquée. Pendant toute la durée de l'émission, des journalistes spécialisés vérifient les chiffres et les faits annoncés par l'invité. Les internautes peuvent consulter le résultat en direct sur le site www.francetvinfo.fr.

Informations détaillées

Genre : Magazine politique
Invité :
Jean-Yves Le Drian
Présentateur : Caroline Roux
 
 
Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, invité du Grand Jury RTL – Le Figaro – LCI le dimanche 19 janvier 2014
 
 
Arnaud Montebourg devant le Grand Jury, c’est dimanche 19 janvier de 18h30 à 19h30 avec Jérôme Chapuis (RTL), Alexis Brézet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI)

La conférence de presse de Hollande change la donne politique

La cote de popularité de Hollande reste stable

La cote de popularité de François Hollande reste stable après sa conférence de presse, qui a marqué un tournant social-démocrate, et les révélations sur sa vie privée, selon le baromètre mensuel Ifop pour Le Journal du Dimanche.
Comme en décembre, 22% des personnes interrogées se disent satisfaites contre 77% qui se déclarent mécontentes, selon ce sondage réalisé avant et après la conférence de presse du 14 janvier.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault progresse quant à lui de deux points, avec 26% de satisfaits en janvier contre 24% en décembre. Le sondage a été réalisé du 10 au 18 janvier par téléphone auprès d'un échantillon de 1.950 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, réalisé selon la méthode des quotas.
 

vendredi 17 janvier 2014

Pacte de responsabilité : un projet qui ne fait pas l'unanimité


Pacte de responsabilité : un projet qui ne fait... par LCP

Parlement Hebdo : Rachida Dati, députée européenne, groupe PPE, maire UMP du 7ème arrondissement de Paris, ancienne ministre


Parlement Hebdo : Rachida Dati, députée... par LCP

17/01/2014 7 JOURS EN FRANCE

Centrafrique: Hollande y voit de "l'apaisement"

L'expresso du 17/01

Après les promesses de François Hollande mardi en conférence de presse, Jean-Pierre Raffarin est enthousiaste. "À partir du moment où (François Hollande) dit 'oui aux entreprises, oui aux entrepreneurs' et qu'il considère que la réforme est la solution et non l'impôt, je prends", a-t-il déclaré sur RTL. L'ancien Premier ministre tempère toutefois estimant que le chef de l’État "n'aura pas la force et l'autorité de mener tout ça".

La mise en garde

Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois et député PS du Finistère, critique l'ambition du gouvernement de faire passer le nombre de régions de 22 à 15. "L'aborder comme ça, c'est construire des herses alors qu'on a besoin de bâtir des ponts!", a-t-il regretté sur Europe 1.

La colère

Alors que la relation supposée entre François Hollande et Julie Gayet s'étale en Une de nombreux magazines, Jean-Vincent Placé a dénoncé, sur BFMTV, une"chasse à l'homme abjecte et scandaleuse". En France, "nous étions préservé sur la qualité de la presse et le respect de la vie privée", a-t-il poursuivi expliquant que les dérives actuelles sont "peut être dues à l'exposition médiatique affiché" de Nicolas Sarkozy.

Le chiffre : 74,9

Selon des chiffres dévoilés par Bercy, le déficit de l’État devrait s'établir à 74,9 milliards d'euros au cours de l'année écoulée. Il s'agit là d'une amélioration de plus de 12 milliards d'euros par rapport à 2012. Mais ce montant reste toutefois supérieur de 2,7 milliards d'euros par rapport à la prévision de 72,1 milliards arrêtée en novembre par le gouvernement lors du collectif budgétaire.

La phrase

A l'UMP, selon Harlem Désir, certains soutiennent le pacte de responsabilité présidentiel et "d'autres sont dans une opposition pavlovienne, comme M. Copé, avec zéro proposition, zéro projet, qui est à la tête de l'UMP qui a zéro leader", a-t-il tranché sur i-Télé.
 

La vie privée du président appartient à la nation


La vie privée du président appartient à la nation par rtl-fr

Economie: le déficit budgétaire se réduit moins que prévu - 17/01

NKM : "Voter FN, c'est aider les sortants"


NKM : "Voter FN, c'est aider les sortants" par lejdd

Frédéric Mitterrand réagit sur l'affaire Closer

jeudi 16 janvier 2014

Hollande-Gayet : «Manuel Valls, répondez-moi!»

Catherine Nay "Hollande est un économiquement faible de l'affectif

Pacte de responsabilité: le PS vigilant sur les contreparties

France : 20 tonnes de fumier déversés devant l'Assemblée Nationale

Hollande l’embrouilleur


Jeudy Politique : Hollande l’embrouilleur par lejdd

L'expresso du 16/01

"Les prestations familiales ne baisseront pas", a assuré Jean-marc Ayrault sur France Inter à propos de la suppression des cotisations familiales payées par les entreprises proposée par François Hollande mardi. "L’enjeu c’est d’aider les entreprises pour leur redonner des marges de manœuvre", a ajouté le Premier ministre, précisant qu'il comptait "tout faire pour ne pas rater le rendez-vous de la croissance qui est maintenant là". 

L’attaque

L'ex-ministre Hervé Morin (UDI-NC) a raillé sur RFI le rapprochement fiscal France-Allemagne proposé par le président François Hollande lors de sa conférence de presse. "C'est une imposture parce qu'il y a cent milliards d'euros de prélèvements supplémentaires en France", a argumenté le député de l'Eure. "Vous ne pouvez pas harmoniser quand vous prélevez cent milliards de plus que les Allemands, ça, ça n'est pas possible", a-t-il précisé.

Le chiffre

Vincent Peillon détaille jeudi sa réforme de l'éducation en ZEP, zone d'éducation prioritaire. "Ce serait 300 à 400 millions qui seraient réaffectés prioritairement dans ces zones", a indiqué le ministre de l'Education nationale sur RTL. "Il n 'y pas (...) un euro de plus par rapport à la loi de programmation de l'école", a-t-il ajouté.

L’annonce

La cession de 1% du capital d'Airbus Group (ex-EADS), annoncée mercredi soir par le gouvernement français, a été réalisée et va rapporter 451 millions d'euros à l'Etat, a déclaré jeudi le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, dans un communiqué. Cette opération a été effectuée par le biais d'un placement institutionnel accéléré et a porté sur environ 8 millions d'actions. Elle a été menée au travers de la société Sogepa.

Le sondage

François Hollande est stable avec 17 points de popularité en janvier tandis que Jean-Marc Ayrault perd un point à 14% d'opinions favorables, dans le baromètre YouGov pour i-Télé et le Huffington Post publié jeudi. A la question "quel jugement portez-vous sur l'action de François Hollande comme président de la République?", 3% (= par rapport à décembre) des sondés répondent "très favorable" et 14% (=) répondent "plutôt favorable". A l'inverse, 28% (+2) répondent plutôt défavorable et 46% (-5) répondent très défavorable.
 

L'invité politique de Guillaume Durand : Nathalie Kosciusko-Morizet

Pacte de responsabilité : "Tout le monde est divisé", dit Alain Duhamel

Carton rouge pour la grève violente des taxis

Hollande s'affirme social démocrate : "Un tournant et une nouveauté", selon Alain Duhamel

Bourdin Direct: Marylise Lebranchu - 16/01

mercredi 15 janvier 2014

Politique Matin : La matinale du mercredi 15 janvier 2014


Politique Matin : La matinale du mercredi 15... par LCP

Le zapping des questions au gouvernement de mercredi !


Le zapping des questions au gouvernement de... par LCP

Annonces d'Hollande: réaction favorable de la classe politique

Conférence de presse du président : "Hollande a une conception minimaliste du statut de la premiè...

Jean-Luc Mélenchon : "C'est le gouvernement de gauche le plus à droite depuis Guy Mollet"

Baroin : "Même le président a le droit au respect de sa vie privée"

La gaffe de Michele Cotta

Bourdin Direct: Marisol Touraine - 15/01

L'expresso du 15/01

L'ancien Premier ministre UMP Jean-Pierre Raffarin a salué au lendemain de la conférence de presse de François Hollande "un "changement de discours bienvenu" et une "vision lucide". Le sénateur qui avait, dans ses voeux publiés sur son blog, souhaité au président "l'inversion de sa politique", a commenté sur France Culture : "Il m'a quasiment écouté! Il y a encore du travail à faire, mais il faut dire clairement que ce changement de discours est le bienvenu". "Finalement, le président rejoint une vision lucide de la situation économique mondiale", selon l'élu de la Vienne.

L'encouragement 

L'ex-ministre UMP Bruno Le Maire a, lui aussi, jugé lors de l'émission Preuves par trois (Public Sénat, Dailymotion, AFP) mardi soir que les propos de François Hollande sonnaient "agréablement" et s'est dit prêt à soutenir une politique de l'offre centrée sur les entreprises. "Il faut que le président aille au bout de son chemin de Damas", a-t-il ajouté."Quand j'entends parler de politique de l'offre, de soutien aux entreprises, de simplification, je suis prêt à soutenir, à dire : oui, c'est la bonne direction pour la France", a expliqué encore Bruno le Maire. 

L'attaque

"Je pense que c'est le coup de barre à droite le plus violent d'un gouvernement de gauche depuis Guy Mollet", a lui lancé Jean-Luc Mélenchon sur RTL. Il a notamment qualifié le pacte de responsabilité de "tromperie géante", qui ne serait favorable qu'aux entreprises. "Le président de la République a adopté le point de vu des néo-libéraux et tenu des propos économiques de droite. Il évoque des charges sociales là où à gauche nous parlons de cotisations sociales, la théorie économique de François Hollande est totalement usée", a-t-il regretté.

La précision  

La réorganisation régionale évoquée par François Hollande vise à aboutir à "une quinzaine de régions", contre 22 aujourd'hui en métropole, a annoncé sur RMC le député PS Thierry Mandon, codirigeant du conseil de la simplification voulu par le chef de l'Etat. "C'est sept de moins, cela fait quand même 30% de régions en moins", a-t-il souligné.

L'annonce 

Le gouvernement a choisi de maintenir le taux du Livret A à 1,25% en ne suivant pas la proposition de la Banque de France de l'abaisser à 1%, a annoncé mercredi le ministre de l'Economie et des Finances. "Le taux du livret A sera maintenu à 1,25%", a déclaré Pierre Moscovici sur Radio Classique et LCI.

Le lapsus 

"La compagne de François Hollande... qui n'est d'ailleurs pas sa compagne...". C'est la maladresse commise sur i-Télé par le ministre du Budget Bernard Cazeneuveau sujet de Valérie Trierweiler