dimanche 28 avril 2013

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Explosion à Reims: Duflot annonce une "enquête approfondie" - 28/04

Gouvernement d'union nationale: Hidalgo veut rassembler, NKM ironise - 28/04

Hollande : popularité en baisse, à 24 %

François Hollande n'en finit plus de chuter dans les sondages. Selon un sondage BVA pour Le Parisien publié dimanche, le président de la République ne récolte que 24 % d'opinions favorables. "François Hollande est certes très bas, mais il peut encore tenir et même rebondir", estime Gaël Sliman, directeur de BVA, dans les colonnes du quotidien. "Certains autres présidents, comme Jacques Chirac, ont même réussi à se faire réélire", ajoute-t-il encore.
D'après ce sondage, les Français seraient par ailleurs favorables (61 %) à un remaniement ministériel, mais opposés (54 %) à une dissolution.
Sondage réalisé les 25 et 26 avril auprès de 1091 personnes recrutées par téléphone et Internet selon la méthode des quotas.
 

Elections : Marion Maréchal-Le Pen (FN) "extrêmement optimiste"

La députée FN Marion Maréchal-Le Pen s'est déclarée dimanche dans le Tarn "extrêmement optimiste" sur le succès du Front national aux prochaines élections.
"Je suis extrêmement optimiste pour les élections à venir". Dimanche, à Laboutarié (Tarn) devant quelques journalistes, la députée FNMarion Maréchal-Le Pen s'est dite très confiante quant au succès du Front national aux prochaines élections. La députée du Vaucluse d'assurer que dans ce département le FN "ambitionne de gagner 4 ou 5 villes" lors des élections municipales de 2014.

"On est à la croisée des chemins", a ajouté Marion Maréchal-Le Pen, en soulignant "la mobilisation très forte" contre le droit au mariage et à l'adoption pour les homosexuels, "un mouvement de la jeunesse, durable, pacifiste (...) dans lequel le FN trouvera un vivier". "Le FN est en bonne voie de rassembler les patriotes de droite et de gauche", a-t-elle encore dit.
 

Sapin parle de "2e phase", pas de remaniement

"Dans l'effort et le redressement, peut-on être encore plus efficace ? La réponse est oui", a reconnu dimanche Michel Sapin, qui assure que le gouvernement rentre dans la deuxième phase du quinquennat. "La deuxième phase du quinquennat c'est l'application des outils et l'efficacité", a-t-il martelé, précisant qu'il ne parle pas de la "composition du gouvernement" et donc d'un éventuel remaniement. Invité dimanche du Grand Rendez-vous Europe 1/Le Parisien/i>Télé, le ministre du Travail semblait répondre indirectement à Claude Bartolone, qui presse le chef de l’État de passer "au deuxième temps du quinquennat"... avec l'ambition de Matignon en toile de fond.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sapin-parle-de-2e-phase-pas-de-remaniement-604459

Marseille : la colère de Bennahmias

Furieux de ne pouvoir participer à la primaire marseillaise, Jean-Luc Bennahmias (MoDem) a "engueulé" par téléphone les responsables socialistes parisiens. Déterminé à jouer un rôle, il pourrait soutenir l’un des candidats du PS. "Nous travaillons bien avec Eugène Caselli à la communauté urbaine." Il y a peu, Caselli confiait qu’il pensait bien engranger le soutien du centriste : " Je ne vais pas jouer à 'plus à gauche que moi, tu meurs'. Ça, je ne sais pas faire. Mais je peux rassembler plus large que mon camp."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Marseille-la-colere-de-Bennahmias-604520

Valls : Bartolone "irresponsable"

Envisager une "confrontation" avec l'Allemagne sur la politique économique est "irresponsable" et "démagogique", juge le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, interrogé dimanche dans Le Parisien sur les récents propos du président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone.
"Ces propos sont irresponsables, démagogiques et nocifs. Ils risquent de mettre en très grande difficulté la relation historique entre nos deux pays, essentielle pour l'avenir de l'Union" européenne, met en garde le ministre.
Selon lui, "il ne peut pas y avoir de recherche d'un bouc émissaire qui aurait le visage d'Angela Merkel. Si elle gagnait les élections en septembre, que ferions-nous? Nous déclarerions la guerre à l'Allemagne?".
 

Placé pronostique un virage à gauche

Le patron des sénateurs Verts en est persuadé : il y aura un changement de ligne gouvernementale après les municipales. Une inflexion vers la gauche, prédit-il. "C’est une nouvelle figure de style. On s’éloigne d’abord des fondamentaux et on finit par y revenir", s’amuse Jean- Vincent Placé. Pas question donc de sortir du gouvernement : "Leur politique va dans le mur, mais on va essayer de les aider à freiner pour pouvoir changer de direction."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Place-pronostique-un-virage-a-gauche-604521

Reims: un "terrible drame" (Hollande)

Le président François Hollande a adressé dimanche "toutes ses condoléances" aux familles des personnes tuées dans l'explosion d'un immeuble à Reims, déplorant "un terrible drame".
Cette explosion, qui a fait au moins 2 mort et 13 blessés, est "un terrible drame", a indiqué l'Elysée dans un communiqué, en soulignant que "tous les moyens sont mobilisés pour porter secours et sécuriser les lieux". "Le président de la République adresse toutes ses condoléances aux familles des victimes et toute sa solidarité à la ville de Reims", ajoute le communiqué.
L'explosion, qui a provoqué l'effondrement de l'immeuble, est probablement due au gaz, selon la préfecture de la Marne. Un dernier bilan provisoire donné juste avant 15H00 par le préfet de la Marne, Pierre Dartout, faisait état de 2 morts et 13 blessés légers, parmi lesquels des enfants dont l'âge n'a pas été donné.
 

"L'union nationale n'existe pas en France"


"L'union nationale n'existe pas en France" par Europe1fr

Ayrault, le cocker aux oreilles qui sifflent


Ayrault, le cocker aux oreilles qui sifflent par rtl-fr

Hollande récuse les critiques sur son "indécision"

François Hollande fait un bilan emprunt de "gravité" de sa première année à l'Elysée, dans une période de crise "exceptionnelle" qu'il dit affronter avec persévérance.
Pris dans la tourmente d'une crise multiforme, en chute libre dans les sondages, François Hollande, qui achève sa première année de mandat, n'entend pas se "laisser impressionner". Dans une interview accordée il y a dix jours aux agences de presse, le chef de l'Etat revient sur ces douze mois semées "d'épreuves" et affirme vouloir maintenir le cap de son action contre vents et marées.

Il rappelle tout d'abord le contexte de son élection le 6 mai 2012, dans un pays déjà en pleine crise. "J'ai accédé à la présidence de la République dans une période exceptionnelle. Exceptionnelle au plan économique: une crise longue, une récession en Europe, un chômage à un niveau historique. Exceptionnelle parce que j'ai été amené à engager la France au Mali. Exceptionnelle parce que le populisme s'est installé, pas seulement en France, mais partout en Europe", énumère-t-il.
"La direction est fixée par le président"
Face aux doutes et aux critiques venues y compris des rangs de sa majorité sur le cap fixé et sa capacité à le faire respecter, le président réaffirme avec force ses prérogatives de chef de l'exécutif. "La direction est toujours fixée par le président, même si le respect qui est le mien du rôle du Premier ministre correspond à celui que j'ai pour le Parlement", rappelle-t-il, soulignant que "c'est le devoir du président de la République que de tenir bon et de voir plus loin, par delà les tempêtes d'un moment". Pour lui, "ça s'appelle la persévérance".

"S'il y a un reproche qui m'est apparu totalement inapproprié, c'est celui de ma prétendue indécision. On peut critiquer mes décisions, penser que je fais fausse route, dire que je n'ai pas pris le bon cap mais s'il y a une chose dont je suis sûr c'est que depuis un an, j'ai fait des choix majeurs pour la France", plaide aussi le président de la République citant le pacte "de compétitivité, la réforme du marché du travail, le sérieux budgétaire". "En 10 mois bien davantage qu'en 10 ans!", selon lui.

Confronté à une impopularité record sous la Ve République à ce stade du mandat présidentiel, François Hollande veut assumer. "En fait, c'est toujours vers le président que les Français se tournent. C'est au président qu'ils demandent des comptes et c'est légitime". "Je mesure ce que je dois faire dans ce moment particulier pour le pays. Rester maître de moi, en étant sûr de ce que je pense", insiste le président confronté récemment à une opposition multiforme sur ses grandes orientations ou projets politiques: mariage homosexuel, loi sur la transparence de la vie publique. Les critiques sur son action mais aussi son image ne le désarçonnent pas, assure-t-il car "j'ai compris depuis longtemps que si je me laissais atteindre par les commentaires, je ne pourrai pas avancer". "Comme candidat et comme dirigeant politique, j'avais déjà déjà eu l'occasion de le vérifier. A les lire je n'avais aucune chance de devenir président", se souvient l'ex-candidat à la présidentielle.
 

Les invités politiques du dimanche

Laurent Wauquiez (UMP) : Le Grand Entretien, sur RCJ, à 11 heures.
Marine Le Pen (FN) : Dimanche+, sur Canal+, à 11 h 55.
Benoist Apparu (UMP) et Laurence Rossignol (PS) : Le Brunch politique, sur Sud Radio, à 12 heures.
Valérie Fourneyron (PS) : Le Monde vu par…, France Ô, à 12 h 30 et LCP, à 21 h 05.
Jean-Luc Mélenchon (PS) : 2/13 Dimanche, sur France 3, à 12 h 10.
Alain Krivine (NPA) : Le Rendez-Vous des grands témoins, sur France Culture, à 12 h 30.
François Bayrou (MoDem) : C politique, sur France 5, à 17 h 50.
Cécile Duflot (EELV) : BFM Politique, BFMTV/Le Point/RMC, à 18 heures.
Pascal Canfin (PS) : Internationales, sur TV5MONDE et RFI, à 18 h 10.
Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) : Tous politiques, sur France Inter/Le Monde/AFP, à 18 h 10.
Vincent Peillon (PS) : Le Grand Jury, sur RTL/Le Figaro/LCI, à 18 h 30.
François de Rugy (EELV) : Soir 3, à 22 h 20.
 

Les Français plébiscitent l’union nationale… et Bayrou

Alors que l'Italie est pilotée depuis samedi soir par un gouvernement d'union nationale, les Français imaginent à leur tour une telle hypothèse. Selon le sondage Ifop réalisé pour le JDD à paraître dimanche, 78% des sondés sont favorables à la mise en place par François Hollande d'un tel exécutif. "Alors que, paradoxalement, le clivage droite-gauche n'a jamais été aussi électrique", remarque Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop.
Les Français réclament donc l'union et certaines personnalités pour la réaliser. Interrogés sur les responsables politiques qu'ils souhaiteraient voir entrer au gouvernement, au cas où François Hollande déciderait d'un remaniement, les sondés plébiscitent un nom en particulier : François Bayrou, réclamé par 47% d'entre eux.
 
 
 

samedi 27 avril 2013

"Mur des cons": enquête chez France 3

France 3 a annoncé samedi l'ouverture d'une enquête interne à la suite d'informations de Libération sur l'auteur de la vidéo révélant le "mur des cons", dans les locaux du Syndicat de la magistrature, qui serait un journaliste de cette chaîne. "Une enquête interne est ouverte à la rédaction nationale de France 3 concernant cette affaire", a indiqué à l'AFP sans plus de commentaire Pascal Golomer, directeur de la rédaction nationale de France 3, confirmant une information de France info.

Selon Libération, l'auteur de la vidéo révélant ce panneau d'affichage qui a suscité une vague d'indignation, principalement à droite, et l'annonce de plusieurs plaintes, serait l'oeuvre d'un journaliste de la chaîne publique qui l'aurait tournée avec son téléphone portable.

La vidéo diffusée sur le site Atlantico, classé à droite, montre un mur de photos où figurent notamment Mme Morano, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie, le magistrat Philippe Courroye, le criminologue Alain Bauer, l'ancien ministre et ex-entraîneur du XV de France, Bernard Laporte, Alain Minc, Jacques Attali, Jack Lang, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, des pères de victimes... Les photos sont assorties de commentaires désobligeants et de quolibets.


 Selon Atlantico, l'auteur de la vidéo serait un "juge apolitique et non syndiqué" en visite au syndicat.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/27/97001-20130427FILWWW00400-mur-des-cons-enquete-chez-france-3.php

ZAPPING ACTU HEBDO DU 27/04/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 27/04/2013 par lezapping

Le portrait hebdo : Impossible n'est pas Mélenchon


Le portrait hebdo : Impossible n'est pas Mélenchon par LeNouvelObservateur

Ségolène Royal critique Claude Bartolone

Ségolène Royal se montre très sévère en privé sur l'attitude du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, farouche opposant à la publication des patrimoines des parlementaires.
 
"Son rôle n'est pas d'affaiblir l'exécutif", grogne l'ex-candidate à l'Elysée et ex-aspirante... au perchoir.

http://www.lexpress.fr/actualite/indiscrets/segolene-royal-critique-claude-bartolone_1244185.html

La revue de presse décalée du 26 avril 2013

Jean-Marc Ayrault entend rester à Matignon

Le Premier ministre ne sera pas candidat l'an prochain à la mairie de Nantes. Jean-Marc Ayrault veut continuer à se "vouer totalement" à sa mission "au service de la France". Il le dit à Ouest France.
Jean-Marc Ayrault a déclaré au journal Ouest-France qu'il entendait poursuivre sa mission à la tête du gouvernement et ne serait pas candidat aux élections municipales à Nantes en 2014, rapporte samedi le quotidien régional sur son site internet.

L'ancien maire de Nantes précise qu'il ne se présentera "ni comme tête de liste, ni comme simple conseiller municipal", ajoute Ouest-France. "Depuis près d'un an, sous l'autorité du président de la République François Hollande, je me donne entièrement à ma mission de Premier ministre au service de la France", a dit le chef du gouvernement à Ouest-France. "Cette responsabilité m'anime jour après jour et je veux la poursuivre en continuant à m'y vouer totalement", a-t-il ajouté.

Ces déclarations suggèrent que Jean-Marc Ayrault, qui fut le maire de Nantes de 1989 à 2012, pourrait rester Premier ministre dans l'hypothèse, jugée probable par certains observateurs, d'un remaniement. Selon Ouest-France, les adhérents du Parti socialiste se prononceront d'ici l'été pour désigner la tête de liste. L'élection de Nantes devrait être considérée comme un test national lors des prochaines municipales
 

Urgences: Touraine lance un programme pour mieux gérer les lits

Mariage pour tous, voyage en Chine et meurtre en Corse les 3 photos de la semaine

vendredi 26 avril 2013

Un an de Hollande: les promesses non tenues

Montebourg se réjouit de la construction de la Micra à Flins -- 26/04

NKM, Le syndicat de la magistrature et le CE d'Air France, les 3 cartons de la

L'expresso du 26 avril

Invité de BFMTV/RMC vendredi matin, Michel Sapin, ministre du Travail, a indiqué que le "premier temps du quinquennat" est terminé. "Nous sommes à la fin du premier moment du quinquennat. C'était le temps, toujours trop long, où on s'installe, on met en place de nouveaux outils", a-t-il souligné. Maintenant, "il faut rendre ces outils performants. Ce deuxième moment du quinquennat, c'est le temps de la cohérence, de la cohésion. Il faut plus parler à la majorité gouvernementale", a-t-il ajouté, précisant que ce deuxième temps débutera quand François Hollande le choisira. Faut-il changer de Premier ministre pour illustrer cette nouvelle étape? "Non je ne pense pas. Je crois que Jean-Marc Ayrault a le caractère nécessaire pour cet effort." Un remaniement? "Un remaniement c'est autre chose."

L'attaque

Michel Sapin, toujours sur BFMTV/RMC : "Je n'ai pas écouté Mélenchon, hier, j'essaie de ne pas me faire trop de mal."

Les coulisses

Remanier? Pourquoi pas, mais en conservant l'actuel Premier ministre à son poste. Le Parisien se fait l'écho d'une phrase tenue en "petit comité" par François Hollande, actuellement en Chine, au sujet de son chef de gouvernement : "Si je remanie, je garde Jean-Marc, mais je resserre l'équipe." Dans le Figaro, un "hollandais" ajoute ainsi : "Hollande usera Ayrault jusqu'à la ­corde."

L'annonce

"Il faut donner du temps et des signes d’apaisement". Dans un entretien à 20 Minutes, Jean-Marc Ayrault assure que les sujets sociétaux, après le vote du mariage pour tous, vont un peu être mis de côté. Interrogé sur la l'extension de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de même sexe, il temporise : "On ne va pas ouvrir tous les jours un nouveau débat. Il y a un rythme pour chaque réforme. Je ne veux pas réformer en passant en force. Plus que jamais, je veux rassembler les Français autour de la bataille de l’emploi."

Le désaccord

Le sénateur EELV Jean-Vincent Placé appelle les députés socialistes à la "désobéissance". Interrogé sur France Info sur le choix du gouvernement de ne pas soutenir le texte des sénateurs Front de gauche sur l'amnistie sociale, l'écologiste a critiqué cette décision, assure que les députés EELV voteront pour le texte et invite les députés PS à faire de même : "Je dis aux députés PS: on ne peut pas obéir aux ordres les plus idiots."

Le soutien

Pierre Arditi, à l'affiche de La fleur de l'âge, en salle mercredi prochain, est revenu vendredi matin sur Europe 1 sur son engagement auprès de François Hollande pendant la campagne présidentielle. "On ne peut pas être populaire quand on est en face d'une crise d'une telle ampleur. Comment voulez-vous être populaire quand vous annoncez des mesures aussi dures, même si elles sont indispensables?", a-t-il estimé, ajoutant qu'il faisait "encore confiance" au chef de l'Etat.
 

Le choix :

Le Conseil constitutionnel devrait rendre son avis sur la loi sur le mariage pour tous le 16 mai, assure vendredi Le Figaro.
 

Le remaniement semble desormais dans tous les esprits

Remaniement. Dans la presse, le mot est sous toutes les plumes. Hier comme une incantation, aujourd'hui comme une issue de moins en moins hypothétique, à en croire les "sources" aussi loquaces qu'anonymes dans de nombreux médias.
Quels sont les signes qu'un remaniement se prépare ?
Impossible à l'issue de l'affaire Cahuzac - remercier un ministre aurait jeté la suscpiscion sur lui -, inopportun au milieu de la tempête du mariage gay, l'hypothèse d'un remaniement prend corps. La période semble propice pour tourner la page et entamer une nouvelle séquence du quinquennat qu'appellent de leurs voeux plusieurs fortes têtes du PS.
Dans Les Echos, Stéphane Le Foll, le ministre de l'Agriculture, souhaite que l'Exécutif passe à "une phase offensive". Dans Le Monde, Jean-Marie Le Guen réclame un "choc de vérité' quand le président de l'Assemblée Claude Bartolone estime qu'il faut passer à "un second temps" du quinquennat. Cela passe-t-il par un remaniement? Par un changement de Premier ministre ? L'idée est entre les lignes même si Bartolone assure qu'il les juge "secondaires".
François Hollande lui-même n'a-t-il pas dit à quelques parlementaires, le 16 avril, qu'il fallait "revoir le dispositif" ? Selon Le Parisien de vendredi, un ministre du premier cercle a indiqué que "la fenêtre de tir c'est entre fin mai et fin septembre". Pour Les Echos, "deux dates circulent : avant l'été et, plus fréquemment, la rentrée de septembre.

Jean-Marc Ayrault sera-t-il remplacé ?
Le président aurait lâché en petit comité : "Si je remanie, je garde Jean-Marc, mais je resserre l'équipe", affirme encore Le Parisien. Après l'attaque en règle menée par Arnaud Montebourg contre la politique d'austérité du gouvernement, Jean-Marc Ayrault a eu un entretien avec le Président. Et les fuites orchestrées après cet échange indiquent que le Premier ministre en est ressorti conforté.
Jean-Marc Ayrault devrait rester le chef du gouvernement de la période amère du quinquennat. "Hollande usera Ayrault jusqu'à la corde", prédit un Hollandias dans les colonnes du Figaro. Dans l'agenda le plus optimiste, celle-ci ne se terminera pas avant les régionales de 2015 où la gauche risque de perdre l'un ou l'autre région.
Le temps sera peut-être venu alors de changer de politique, mais pas avant comme l'analyse un hollandais dans Le Figaro : "Un remaniement, avec changement de Premier mi­nistre, ne peut être que le résultat d'une nouvelle stratégie politique, (...) On n'y est pas", explique-t-on encore dans le clan hollandais, cité par le Figaro.
A quoi ressemblera le prochain gouvernement ?
"Un gouvernement resserré". Sur ce point, les échos dans la presse sont unanimes. Hollande lui-même l'aurait confié à son entourage. Parmi les 37 portefeuilles, les petits maroquins feraient les frais du remaniement. La chasse est ouverte, anonyme... du côté des snipers, beaucoup moins des victimes. Dans Le Parisien, Delphine Batho, ministre de l'Ecologie, est citée du côté des partants. Cécile Duflot du côté des promus.
Bercy serait dans le collimateur. Toujours selon le Parisien, Arnaud Montebourg pourrait passer à la Justice. Est-ce pour autant que Pierre Moscovici, débarrassé d'une voix pour le moins discordante, deviendrait le grand patron ? Rien n'est moins certain. Le Parisien évoque pour lui le Quai d'Orsay. Laurent Fabius appréciera. Et pour l'Economie et les Finances ? L'actuel ministre du travail, Michel Sapin ou un ex-grand patron comme Louis Gallois, toujours selon Le Parisien.
 

Amnistie sociale : EELV appelle les députés socialistes au "devoir


Amnistie sociale : EELV appelle les députés... par FranceInfo

Mélenchon : "Hollande a déplacé le curseur à droite"


Mélenchon : "Hollande a déplacé le curseur à... par francetvinfo

Laurence Parisot : "Il est à la portée de la France de redevenir


Laurence Parisot : "Il est à la portée de la... par rtl-fr

Bourdin direct: Michel Sapin - 26/04

jeudi 25 avril 2013

Pourquoi aller en Chine? L'édito de Christophe Barbier

Droits de l'Homme: Hollande critiqué

Le président François Hollande a "sacrifié les droits de l'Homme au profit des intérêts économiques" lors de sa visite en Chine, a jugé aujourd'hui un responsable du comité international de soutien au dissident Liu Xiaobo, prix Nobel de la paix, emprisonné depuis 2009.

Le chef de l'Etat est en visite en Chine, où il est venu plaider pour un rééquilibrage des échanges commerciaux. "Nous assistons à la répétition d'un scénario qui s'est déjà déroulé de nombreuses fois. Les droits de l'Homme sont sacrifiés au profit des intérêts économiques. Les chefs d'Etat européens se déplacent en Chine pour l'argent, pas pour promouvoir les droits de l'Homme du peuple chinois", a dénoncé Emmanouil Athanasiou, coordinateur du comité international de soutien à Liu Xiaobo.

François Hollande, qui n'a pas caché venir en Chine pour gagner des emplois en France et a assisté à la signature de contrats aéronautiques et nucléaires,
a assuré qu'il avait abordé la question du Tibet et des droits de l'homme en Chine "de manière franche et respectueuse" lors de ses entretiens avec les dirigeants chinois.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00658-droits-de-l-homme-hollande-critique.php

Interrogé sur le sort de Liu Xiaobo, prix Nobel de la paix 2010, le président français, sans le citer nommément, a évoqué une liste de dissidents chinois établie par l'Union européenne et sur laquelle il figure.

"Comment demander sa libération si on n'ose même pas prononcer son nom en public !", s'est indigné Emmanouil Athanasiou, pour qui "la Chine a autant besoin de l'Europe que l'Europe a besoin d'elle. L'Europe doit apporter à la Chine les valeurs universelles qui lui manquent aujourd'hui".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00658-droits-de-l-homme-hollande-critique.php

Istres: Hollande veut Valls sur place

Quand Claude Bartolone fait la leçon à l'exécutif - 25/04

Le chiffre du chômage de mars "ne devrait pas être bon", selon


Le chiffre du chômage de mars "ne devrait pas... par francetvinfo

Bertrand DELANOE: "L'ordre public c'est une garantie de vie


Bertrand DELANOE: "L'ordre public c'est une... par franceinter

"Mur des cons": Morano dans tous ses états


"Mur des cons": Morano dans tous ses états par LeHuffPost

Hollande: "un dialogue politique franc et respectueux" sur les droits de l'Homme

Quinquennat: Le Foll appelle à "l'offensive"

Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, affirme dans un entretien aux Echos paru jeudi que "nous entrons dans une deuxième phase du quinquennat qui doit être offensive" et centrée "sur la relance de l'investissement". "A notre arrivée, nous avons eu une phase défensive car nous étions obligés de faire face à de nombreux plans sociaux (...) Il a fallu réagir pour éviter la casse. Maintenant, nous entrons dans une deuxième phase du quinquennat qui doit être offensive", affirme ce ministre très proche du président François Hollande.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Quinquennat-Le-Foll-appelle-a-l-offensive-603977

Le Parlement réuni en Congrès le 22 juillet

Le Parlement se réunira en Congrès à Versailles le 22 juillet pour adopter un des quatre projets de loi de révision constitutionnelle, celui concernant la réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Pour qu'un texte constitutionnel soit adopté, il faut qu'il réunisse une majorité des 3/5e des parlementaires, réunis en Congrès, après son adoption dans chacune des deux assemblées.
Le projet de réforme du CSM, qui doit être débattu le 28 mai à l'Assemblée nationale, fait partie de la révision de la Constitution souhaitée par François Hollande, qui comprend trois autres textes: l'un sur la démocratie sociale, l'autre sur la responsabilité civile du président et des ministres et le dernier sur la suppression du statut de membre de droit du Conseil constitutionnel des anciens chefs de l'Etat. Ces trois derniers textes ne sont pas encore inscrits à l'ordre du jour du Parlement. La réforme du CSM prévoit notamment que les magistrats redeviendront majoritaires au sein de cette instance, et que l'avis de celle-ci devra obligatoirement être respecté pour les nominations de magistrats du parquet, et pas seulement, comme actuellement, pour ceux du siège.
 

Gouvernement: les Français mécontents

Une forte majorité de Français sont mécontents de la politique économique et sociale du gouvernement, selon un sondage Tilder/LCI/Opinionway publié aujourd'hui.

79% des personnes interrogées se déclarent assez ou très mécontentes de la politique économique et sociale du
gouvernement de Jean-Marc Ayrault, selon cette étude. Ce chiffre est en augmentation de 3 points par rapport à la précédente édition du sondage, en mars dernier.

Seuls 20% des sondés sont en revanche assez ou très satisfaits de cette politique, un chiffre en recul de 3 points par rapport au mois dernier.

La même étude montre qu'une majorité de Français (65%) est opposée à un
allongement de la durée hebdomadaire du travail de 35 à 39h, sans augmentation de salaire, afin d'améliorer la compétitivité des entreprises. 35% y sont en revanche favorables.

Ce sondage a été réalisé en ligne les 24 et 25 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1.003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00622-gouvernement-les-francais-mecontents.php

Bourdin direct: Thierry Le Paon - 25/04

Claude Bartolone : Le 'mur des cons', une faute

L'UMP a ses statuts, mais toujours pas de boussole

"Le mur des cons": réaction de Christiane Taubira

François Hollande entame une visite de 37 heures en Chine

Montebourg moqué par un commissaire

Dans un documentaire diffusé mardi prochain sur France 5, un commissaire européen au Commerce se moque du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, rapporte Le Lab d'Europe 1.

Le fonctionnaire européen estime que "le Made in France n'a plus de sens", et ajoute que "la marinière ne lui allait pas trop bien", selon lui. Une référence ironique à la une du Parisien Magazine pour laquelle Arnaud Montebourg avait
posé en marinière avec des produits "made in France".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00437-montebourg-moque-par-un-commissaire.php

L'xpresso du 25 avril

L'attaque

"Dans le court terme, l'image de la France est abîmée", a jugé l'ancien président Valéry Giscard-d'Estaing, sur Canal +. "Nous avons l'image d'un pays qui n'est pas sérieux, qui perd son temps dans des projets futiles", a-t-il encore jugé, sans jamais citer le nom des actuels dirigeants, ni les "projets" auxquels il pensait. Une attaque rare de la part d'un ex-chef de l'Etat, alors que la tradition veut que les anciens présidents n'évoquent plus les affaires intérieures de la France.
 

Le chiffre : 3.195.000

Jeudi, à 18h, les chiffres du chômage pour mars seront publiés et le record de 1997 pourrait bien être battu. Cette année-là, 3,195 millions de demandeurs d'emplois avaient été dénombrés. Fin février, après une série noire de 22 mois, Pôle emploi recensait 3,187 millions de demandeurs d'emploi n'ayant pas travaillé au cours du mois (catégorie A) en métropole, soit seulement 8.000 de moins que le record absolu.

Le suspense

Henri Guaino a des ambitions. Le Point explique, dans son édition daté de jeudi, que l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy et aujourd'hui député se verrait bien revenir à l'Elysée, mais par la grande porte. A ses soutiens qui lui voient un destin présidentiel, il répond : "On verra." Selon l'hebdomadaire, il est "ivre de ce souhait exprimé" et assure avoir l'"authenticité" nécessaire pour plaire aux Français.

L'annonce

"C'est la première fois que des entreprises sont sanctionnées financièrement en France" pour non-respect de l'égalité salariale entre hommes et femmes. C'est ce qu'a annoncé Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, qui est revenue sur France 2 sur ces sanctions financières. "C'est un moment important", a-t-elle assuré, ajoutant que cela "montre que l'égalité n'est pas un sujet périphérique que l'on traite par-dessus la jambe".

L'anecdote

On ne le répètera jamais assez : il faut bien vérifier que les micros sont coupés en fin d'interview. Toujours sur France 2, Najat Vallaud-Belkacem, après un entretien d'une dizaine de minutes avec la voix éraillée et une gêne importante dans sa trachée, a voulu, dès la fin de l'interview, s'excuser auprès de son journaliste-interlocuteur. "Excusez-moi, j'ai eu un chat dans la gorge", a-t-elle indiqué, alors que les micros fonctionnaient toujours. William Leymergie, qui récupérait au même moment l'antenne, a sauté sur l'occasion : "On peut s'occuper de ça aussi. On peut vous donner un verre d'eau…" "Ah vous m'entendez?", s'est exclamé la ministre. Oui, oui, tout le monde a entendu.
 

La mise au point

Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, appelle jeudi dans un entretien au Monde, à "un nouveau temps" dans le quinquennat de François Hollande. Le symbole de ce tournant, selon, lui : la loi sur l'amnistie sociale, recalée par le gouvernement et le président de la République. "Nous ne pouvons pas continuer avec un groupe socialiste qui ne se sent parfois pas écouté, un groupe écologiste qui ne sait pas exactement s'il veut rester ou partir et un groupe communiste qui a l'impression de ne pas être entendu. Nous ne pouvons pas laisser s'installer l'idée que la gauche n'essaierait pas de chercher son unité pour tout le quinquennat. Cette loi sur l'amnistie doit signer la fin d'une première année et la prise en compte des relations à gauche pour la suite."

Les coulisses

Claude Bartolone, toujours lui, accueille de nouveaux venus à l'Assemblée jeudi. Elles sont 60.000, jaunes et noires, et vont butiner toute la journée. Le Palais Bourbon reçoit en effet, jeudi à 16 heures, trois essaims d'abeilles dans les ruches bleue, blanche et rouge installées le 3 avril dernier sur le toit de l'Assemblée.
 

mercredi 24 avril 2013

Moralisation de la vie politique: trois projets de loi en préparation - 24/04

"Mur des cons": Jacob juge "consternante" la réponse de Taubira - 24/04

François BAYROU: "Il y a trop de parlementaires en France


François BAYROU: "Il y a trop de parlementaires... par franceinter

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

ZAPPING ACTU DU 24/04/2013


ZAPPING ACTU DU 24/04/2013 par lezapping

Alain Juppé : "Nous avons un exécutif faible"


Alain Juppé : "Nous avons un exécutif faible" par lefigaro

Cahuzac : une commission d’enquête

L'Assemblée a créé mercredi une commission d'enquête parlementaire, demandée par l'Union des démocrates et indépendants (UDI) de Jean-Louis Borloo, sur l'action du gouvernement et des services de l'Etat pendant l'affaire Cahuzac. Aucun des six groupes parlementaires n'a fait obstacle à la création de cette commission qui porte sur la période du 4 décembre, date des premières révélations de Mediapart sur le compte en Suisse du ministre du Budget, au 2 avril 2013 date de sa mise en examen (il avait été contraint à la démission du gouvernement le 19 mars). Cette commission visant à déterminer "d'éventuels dysfonctionnements" ne pouvait être rejetée qu'à une majorité des 3/5èmes des membres de l'Assemblée.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Cahuzac-une-commission-d-enquete-603825

Hollande contre l'amnistie des délits lors de mouvements sociaux

Les parlementaires rechignent à la publication de leur patrimoine - 24/04

Bourdin direct: Bruno Le Roux - 24/04

Hollande appelle à "l'apaisement" après l'adoption du mariage homo - 24/04

Rachida Dati: NKM déjà "choisie"

L'expresso du 24 avril

La phrase

" L'UMP est extrêmement fragile, l'UMP c'est du cristal", a déclaré sur i-Télé l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, interrogé sur le futur vote pour la présidence du parti.

La mise au point

Alors que la proposition de loi communiste concernant l'amnistie de délits commis lors de mouvements sociaux - déjà adoptée au Sénat - doit être examinée à l'Assemblée, Alain Vidalies a déclaré sur France Info : "La position du gouvernement dans ce débat sera non, nous ne sommes pas favorables à cette amnistie, ni à aucune autre."
 

L'appel

L'ancien Premier ministre Michel Rocard a été interrogé sur Europe 1 sur un éventuel remaniement. "Un changement d'homme sans changement d'idée et de vision est un gadget (…) Il faut un changement de vision d'abord, éventuellement appliqué par de nouveaux hommes", a indiqué le socialiste. Avant de préciser : "Mais si le changement de vision est ferme et précis, les mêmes peuvent l'appliquer, ils ne sont pas mauvais."

Le soutien

"Je ferai campagne pour Nathalie Kosciusko-Morizet", a déclaré Rachida Dati sur RTL. Celle qui a renoncé mardi à se présenter à la primaire UMP a ajouté : "Je l'ai dit à Nathalie. Si on est ensemble, on gagnera Paris. Si on reste divisée, nous perdrons." "Paris est gagnable, mais il faut se mettre au boulot maintenant", estime toutefois l'ancienne garde des Sceaux.

Le jugement

Une stèle va être posée à Florange - dont les hauts fourneaux sont mis définitivement à l'arrêt mercredi - en mémoire des "promesses non tenues" de François Hollande. Comme pour son prédécesseur à Gandrange. "Il est injuste qu'il puisse y avoir ces deux stèles l'une à côté de l'autre. L'attitude de François Hollande a été radicalement différente de celle de Nicolas Sarkozy", a déclaré Bruno Le Roux sur BFMTV. "La question centrale concerne l'avenir des salariés", a ajouté le chef de file des députés socialistes.

L'annonce

Ministre déléguée aux Personnes handicapés et à la Lutte contre l'exclusion, et candidate pour les municipales à Marseille, Marie-Arlette Carlotti a déclaré sur Canal + vouloir "associer cette ville à un grand festival de musique" si elle est élue en 2014. Elle s'exprimait face au groupe IAM. "Sur Marseille, je veux porter quelque chose, je veux construire", a ajouté la ministre.

Le chiffre : 2013

Le directeur financier de PSA Peugeot Citroën, Jean-Baptiste de Chatillon, a laissé entendre que le site d'Aulnay-sous-Bois, en région parisienne, pourrait fermer dès cette année, et non en 2014. Selon lui, ce n'est pas ce que souhaite le groupe mais "le fait qu'un petit nombre de personnes continue à perturber notre usine pourrait nous y obliger".

Rejet du mode d'élections des sénateurs

Le gouvernement a essuyé un nouveau camouflet aujourd'hui au Sénat avec le rejet du texte sur le mode d'élection des sénateurs par la commission des lois de la haute assemblée.

Le RDSE (à majorité radicaux de gauche), pourtant membre de la majorité présidentielle, a voté contre, comme la droite UMP et UDI-UC, mettant en minorité le PS. Les communistes du CRC ont voté pour le projet de loi, qui prévoit notamment d'augmenter le nombre de sénateurs élus à la proportionnelle, selon une source parlementaire


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/24/97001-20130424FILWWW00441-rejet-du-mode-d-elections-des-senateurs.php

mardi 23 avril 2013

Mariage homo voté: Claude Bartolone annonce les résultats du scrutin

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

Primaire UMP à Paris: NKM déçue par le retrait de Dati

Attentat en Libye: enquête du parquet de Paris, envoi du GIGN

Moscovici : le mariage pour tous est "une conquête sociétale qui marquera l'histoire

Mariage gay: "Une loi difficilement réversible" - Le zapping des matinales

Manuel Valls s'emporte à l'Assemblée sur le mariage pour tous - 23/04

Borloo abandonne son métier d'avocat

Après Jean-François Copé, c'est au tour de Jean-Louis Borloo, le président de l'Union des démocrates et des indépendants (UDI) de renoncer à son métier d'avocat, selon les informations du Point. Il était inscrit depuis le début des années 80 au barreau de Paris et avait fondé son cabinet spécialisé dans les entreprises. Il compte désormais se consacrer pleinement à ses activités de parlementaire de président de parti politique, précise l'hebdomadaire.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Borloo-abandonne-son-metier-d-avocat-603634

Ayrault: "La bataille, c'est maintenant"

Jean-Marc Ayrault a fait la promotion aujourd'hui à l'Assemblée nationale de la première année du quinquennat de François Hollande qui a permis, selon lui, de "forger les armes" pour mener la "bataille" pour l'emploi.

"Ne nous racontons pas d'histoires: nous avons trouvé un pays plongé dans une crise d'une exceptionnelle gravité et je sais la situation du peuple français", a déclaré le premier ministre, en réponse à une question du député PS François Brottes. "Le chômage de masse est en hausse ininterrompue depuis plus de cinq ans, c'est ça la réalité économique de nos compatriotes", a-t-il déploré. "Mon devoir et celui de mon gouvernement depuis le premier jour a été de répondre à cette angoisse par l'action, c'est ce que nous faisons".

"Cette bataille, nous l'avons engagée avec un handicap d'une décennie de retard, d'abandon, de négligence coupable", a-t-il encore fustigé, admettant que "beaucoup de Français doutent encore qu'on remporte cette bataille". "Cette bataille, c'est la bataille pour une génération. J'y mets toutes mes forces. La bataille, c'est maintenant!", a conclu le premier ministre.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/23/97001-20130423FILWWW00482-ayrault-la-bataille-c-est-maintenant.php

Bernard Cazeneuve : Poursuivons la réduction de nos déficits !

Bourdin direct: François Rebsamen - 23/04

L'expresso du 23 avril

La phrase

"Les propositions de Peillon ou de Hollande sont à côté de la plaque", a estimé sur Europe 1 le député UMP Bruno Le Maire.

L'explication

Le député-maire de Nice n'était pas dans la rue dimanche pour la manifestation contre le mariage pour tous. "J'ai fait le choix de ne pas manifester (…) Je ne fais pas partie de ceux qui estiment que notre place est là", a déclaré sur Canal + Christian Estrosi, qui préfère débattre "dans l'hémicycle" de l'Assemblée nationale. "Je demande au gouvernement d'arrêter de mépriser ces milliers de Français qui expriment une inquiétude", a-t-il toutefois ajouté

La réplique

"La France se lève", a déclaré lundi Christine Boutin. Des propos auxquels a répondu Dominique Bertinotti sur iTélé. "Je connais le sens du peu de modération de Mme Boutin. Elle prend un peu ses désirs pour la réalité (…) Il faut que le bon sens - y compris chez Mme Boutin - et la raison l'emportent, il y a un processus démocratique", a poursuivi la ministre de la Famille, tout en appelant à l'apaisement.

Le conseil

Sur BFMTV, François Rebsamen est revenu sur la politique menée par le gouvernement. "Il ne faut pas rester attaché à des dogmes", a déclaré le président du groupe socialiste au Sénat. "Peu importe que nous fassions 2,9% ou 3% de déficit. Ce qui est important, c'est de ne pas casser la croissance par la poursuite inscrite dans le marbre des objectifs", a fait valoir l'édile de Dijon. "S'il faut assouplir, décaler d'un an, décalons d'un an, ce n'est pas grave", a-t-il complété.

La mise au point

La présence du député du FN Gilbert Collard aux côtés de représentants de l'UMP dimanche lors de la manifestation pour tous a été critiquée par certains élus de l'opposition. Pas par Henri Guaino (UMP) "Collard est un élu. Il n'a tué personne. Il n'a pas manifesté, à ma connaissance, avec des banderoles sur lesquelles on aurait inscrit des insanités", a-t-il justifié sur France Info. Et de préciser, rappelant qu'il était contre une "alliance avec le FN" : "Tout ceux qui veulent manifester contre le mariage ont le droit de le faire (…) Il peut y avoir des communistes, des gens du FN, des musulmans, des catholiques, des athées, des francs-maçons, tout ça ne me dérangent pas."
 
 

Fabius après l'attentat de Tripoli: "la France ne cèdera pas" - 23/04

Municipales 2014 : Rachida Dati se retire de la primaire UMP à Paris

L'ex-ministre Rachida Dati a annoncé mardi dans une interview au Point qu'elle retirait sa candidature à la primaire UMP à Paris en vue des municipales dans la capitale en 2014.
C'est un véritable renversement de situation. Au lendemain de l'ouverture aux électeurs parisiens des inscriptions pour participer à l'élection, l'ex-ministre Rachida Dati a annoncé mardi dans une interview au Point qu'elle retirait sa candidature à la primaire UMP à Paris en vue des municipales dans la capitale en 2014.
"Que l'UMP désigne NKM (Nathalie Kosciusko-Morizet) et commençons la campagne municipale maintenant ! Elle a déjà été choisie par les médias et le système, la réalité est celle-là, même si je le regrette pour les autres candidats", explique la maire UMP du VIIe arrondissement de Paris, en ajoutant: "Dans ce contexte, je retire ma candidature".
Le message est clair. L'ex-ministre abandonne sa candidature et déroule un tapis rouge à NKM. Une décision plutôt surprenante quand on sait que ce duel politique était très attendu. Les deux femmes devaient s'affronter à la primaire fin mai, aux côtés de quatre autres candidats : les conseillers de Paris Jean-François Legaret et Pierre-Yves Bournazel, le secrétaire national de l'UMP Chenva Tieu et le conseiller régional Franck Margain (Parti chrétien-démocrate, associé à l'UMP).
La majorité municipale PS "déconnectée des réalités"
Pour se justifier, l'ancienne garde des sceaux déclare être "contre l'idée de faire payer aux Parisiens le sacre de notre candidat". Elle compare d'ailleurs ce processus de désignation à un "vote censitaire". De plus, Dati est convaincue que l'UMP peut l'emporter face à la majorité municipale PS, qu'elle juge "déconnectée des réalités".
Elle relève que "le plus dur n'est pas de gagner la primaire, mais de rassembler son camp pour gagner Paris". L'ex-garde des Sceaux (2007-2009) estime que la députée de l'Essonne a levé, "à (ses) yeux" les doutes sur sa volonté de s'impliquer à Paris, mais elle ajoute qu'aux "yeux des Parisiens, tout reste à faire". "Chacun doit bien réfléchir à ce que vivent aujourd'hui les Français, je n'oublie pas que Jean-Marie Le Pen a été élu du XXe arrondissement au moment où la gauche précipitait le pays dans la crise au début des années 80".
"Ma crédibilité et ma notoriété seront au service de mon camp"
Rachida Dati conseille à NKM pour "compenser son défaut d'implantation" dans la capitale d'avoir "un acte de courage", en allant "dans un arrondissement où se joue en partie notre victoire, par exemple le XIIe arrondissement". Comme on lui fait remarquer que Mme Kosciusko-Morizet souhaitait sa présence à la primaire "afin de lui apporter de la crédibilité", Mme Dati répond: "Je suis flattée que NKM ait besoin de moi pour asseoir sa crédibilité à Paris, mais gagner la mairie est plus important que de petites histoires d'appareil".
Elle assure qu'elle participera "ardemment à la campagne" et que son "implication sera totale sur le terrain". "Ma crédibilité et ma notoriété seront au service de mon camp", assure Mme Dati. Questionnée sur sa propre candidature à sa réélection dans le VIIe arrondissement où elle pourrait devoir affronter des listes dissidentes, Rachida Dati réplique que "ceux qui mènent les dissidences ne servent que les intérêts des socialistes". "Ce ne sont que des aventures personnelles", selon elle.
 

lundi 22 avril 2013

Mariage pour tous, moralisation, chômage: la semaine politique par Christophe Barbier

INFO LE FIGARO - Copé et Fillon vont déjeuner ensemble mercredi

L'ancien premier ministre François Fillon et le président de l'UMP Jean-François Copé ont décidé de déjeuner ensemble mercredi, selon nos informations. Preuve de "l'apaisement" que Brice Hortefeux annonçait dimanche au grand Jury RTL-Le Figaro entre les duellistes de novembre 2012.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/22/97001-20130422FILWWW00456-cope-et-fillon-vont-dejeuner-ensemble-mercredi.php

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

Valls: les opposants à la loi ont "libéré la parole homophobe"

Lettre de menace à Claude Bartolone: les députés PS réagissent - 22/04

Municipales Paris: NKM lance sa campagne pour les primaires

Mariage pour tous: et après le vote de la loi ?

Ayrault venu donner "un message de confiance aux députés" PS - 22/04

dimanche 14 avril 2013

Bonjour aux lecteurs de ce blog
Un souci technique nous oblige à arrêter ce blos
Vous pouvez désormais nous retrouver et retrouver vos articles sur ce nouveau blog
 
 
A bientôt de vous y voir
merci

samedi 13 avril 2013

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

Monseigneur di Falco : « La résurrection dans les cœurs endurcis »

Mariage homo: le changement de calendrier, un "coup de force" pour Jacob - 12

Mariage homo: Taubira félicite les sénateurs - 12/04

Bourdin direct: Philippe Bilger - 12/04

Valls promet des CRS à Sevran après les représailles contre des habitants

Fermeture de Florange: "Que dire de plus, sinon notre tristesse..." - 12/04

vendredi 12 avril 2013

[Operation SERVAL] Retour des premiers éléments de la 11e BP du Mali

Belmondo : Sarkozy chez Drucker dimanche

A l'occasion des 80 ans de Jean-Paul Belmondo, Nicolas Sarkozy sort de son silence médiatique en France. L'ancien chef de l’État a en effet accordé une interview exclusive à Michel Drucker, révèle Le Parisien vendredi. Cet entretien sera diffusé dimanche sur France 2 (à partir de 14h10), au cours d'une émission spécialement consacrée à l'acteur.
Lors de cette interview déjà enregistrée, Nicolas Sarkozy confie qu'il s'agit bien là d'une exception. "Ce sera la seule d’ailleurs. Mais c’est un devoir pour tout Français. Jean-Paul Belmondo a donné trop de bonheur. C’est un homme qui nous a fait tellement de bien, un homme qui nous a fait rêver, un homme qui nous donne à chaque minute une leçon de vie", confie l'ex-président de la République. Jean-Paul Belmondo, selon lui, "n’a jamais donné de leçon. Et mon Dieu comme tant de gens aujourd’hui devrait s’inspirer de cet exemple", poursuit-il avant de conclure son hommage, visiblement ému, selon le quotidien : "Il a été crédible absolument dans tous les rôles. Jean-Paul bonne vie, et puis surtout longue vie. Il y a tant de gens qui vous aiment".
 

Marini : "Ceux qui ont menti seront très mal"

Le Hollande Bashing

Jean-Marc Ayrault répond aux auditeurs de RTL

L'expresso du 12 avril

La phrase

"Non, je n'ai pas aimé qu'on critique la politique du gouvernement." Jean-Marc Ayrault a recadré vendredi sur RTL ses ministres Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et Benoît Hamon, après leurs remarques sur la politique d'austérité.

Les coulisses

Les membres du gouvernement avaient jusqu'à jeudi midi pour envoyer leurs déclarations de patrimoine au secrétariat général du gouvernement, avant la publication, lundi, des documents. Mais cela n'a pas été une partie de plaisir, raconte vendredi le Figaro. "Il y en a un ou deux qui doivent suer à grosses gouttes", confie un conseiller au quotidien. "C'est du chirurgical", commente un autre ministre. "C'est compliqué de ne pas déclarer ce qu'on possède en commun avec son conjoint. C'est un étalement de sa vie privée…!" ajoute un ministre.

L'attaque

Le président UMP de la commission des finances du Sénat, Philippe Marini, a jugé, après une visite au ministère de l'Economie, qu'il était "peu probable qu'une mission ait été diligentée en Suisse" par Pierre Moscovici dans le cadre de l'affaire Cahuzac. Il n'en démord pas pour autant : "Je veux que Moscovici démissionne... Mais parce qu'il manque d'autorité pour conduire la politique économique!"

Le chiffre : 54%

C'est le score qu'obtiendrait, au premier tour, Alain Juppé si l'élection municipale de Bordeaux avait lieu aujourd'hui, selon un sondage Ifop pour France Bleu Gironde, Sud Ouest et TV7. Et si la gauche s'unissait dès le premier tour, l'ancien Premier ministre ferait même un peu mieux : 55% des Bordelais voteraient pour lui dans ce cas, contre 28% pour le socialiste Vincent Feltesse. En 2008, Alain Juppé l'avait emporté dès le 1er tour, avec 56,6% des voix.
Sondage réalisé par téléphone du 5 au 8 avril 2013 sur un échantillon représentatif de la ville de Bordeaux, de 505 personnes âgées de plus de 18 ans et inscrites sur les listes électorales.

La mise au point

C'était prémédité. Dans un reportage de l'émission de France 2 Complément d'enquête, diffusé jeudi soir et dédié à Valérie Trierweiler, le député Olivier Falorni, "tombeur" de Ségolène Royal, a assuré que la première dame l'avait prévenu de la future publication de son fameux tweet. "Elle avait eu la gentillesse de m'envoyer un SMS auparavant pour me prévenir qu'elle m'avait soutenu. C'était très simple, elle m'annonçait qu'elle avait envoyé un tweet, de façon très naturelle, entre amis", raconte l'élu de La Rochelle.

L'anecdote

C'était le 16 février dernier. Un gagnant du Loto a empoché huit millions d'euros, avec un ticket retiré dans un tabac-presse situé au 20, rue de Cauchy, dans le 20e arrondissement de Paris. Soit à quelques mètres de l'appartement que François Hollande occupe avec Valérie Trierweiler. Le gérant du commerce a été prévenu mercredi soir par La Française des Jeux et s'amuse de la coïncidence : "Que va-t-il faire de tout cet argent? Le placer en Suisse ou à Singapour?"
 

Transparence: le grand déballage ne sert à rien

Premières confidences de Cahuzac


Premières confidences de Cahuzac par ITELE

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

François Bayrou : "Je crois qu’il y aura un remaniement à l’intérieur


François Bayrou : "Je crois qu’il y aura un... par publicsenat

Transparence : Royal loue Hollande

Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes, a estimé aujourd'hui à Poitiers que François Hollande avait pris "courageusement" des décisions visant à accroître la transparence de la vie publique, et espéré que ces mesures viseraient les dirigeants d'entreprises publiques.

"La transparence est un bon principe démocratique et le président de la République a pris courageusement des décisions qui sont attendues et vont remettre des règles dans le fonctionnement de l'usage des fonds publics", a estimé Mme Royal lors d'une rencontre avec la presse.

"Le principe n'est pas de mettre en cause les élus ni les fonctionnaires, mais de se dire que dès lors qu'il y a des financements publics, des salaires qui sont payés sur des fonds publics, il faut la transparence : donc, elle s'adresse aux administrations, aux élus, mais aussi à tous les dirigeants d'entreprises publiques qui sont payés sur fonds publics", a insisté l'ancienne candidate à l'élection présidentielle.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/11/97001-20130411FILWWW00559-transparence-royal-loue-hollande.php

"Le Parlement aura à en débattre et à arrêter le cadre de cette transparence", a-t-elle rappelé, un peu moins de deux semaines avant la présentation annoncée, en conseil des ministres, d'un projet de loi sur ce thème. François Hollande a promis hier "une lutte implacable contre les dérives de l'argent".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/11/97001-20130411FILWWW00559-transparence-royal-loue-hollande.php