jeudi 28 février 2013

ZAPPING ACTU DU 27/02/2013


ZAPPING ACTU DU 27/02/2013 par lezapping

Henri Guaino critique "le clientélisme" du gouvernement, Jean-Marc


Henri Guaino critique "le clientélisme" du... par LCP

Mgr André Vingt-Trois répond aux auditeurs de RTL

Bourdin Direct : Jean-Luc Mélenchon - 28/02

Hollande et Poutine à la recherche d'un réchauffement diplomatique

Popularité : Hollande et Ayrault chutent

Le président de la République et son Premier ministre enregistrent une baisse de cinq points dans le baromètre TNS Sofres de mars pour le Figaro magazine à paraître vendredi. François Hollande ne recueille plus la confiance que de 30% des sondés (contre 35% en février) et Jean-Marc Ayrault 28% (contre 33%). C'est pour chacun la cote la plus basse enregistrée depuis l'élection présidentielle.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Popularite-Hollande-et-Ayrault-chutent-593972

L'expresso du 28 février

La phrase

"On a un problème français en matière d'emploi (...) Je demande au gouvernement de se réveiller face au chômage et de ne pas attendre la fin d'année pour voir si oui ou non il y aura une hypothétique hausse du chômage", a déclaré l'ex-ministre du Travail Xavier Bertrand sur Canal +.

Le choix

Ancien prétendant à la tête du PS, Jean-Christophe Cambadélis demande "un inventaire" sur la trajectoire prise par le gouvernement dans sa lutte contre le chômage. Le député parisien veut savoir "où nous en sommes". "Je demande que la gauche soit capable de faire des choix", a précisé le socialiste, assurant que si la majorité "s'attaque" au coût de la formation professionnelle et les niches fiscales, elle pourra respecter son objectif de réduction des déficits publics. "Le PS doit exister dans ce débat", précise-t-il, en demandant à sa formation de mener cet inventaire.

Le soutien

Dans une pétition, plusieurs personnalités politiques souhaitent que Stéphane Hessel, mort mardi, entre au Panthéon. "Si c'est proposé, je ne dirais rien contre", a affirmé Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV et RMC. "C'est vrai que le Panthéon peut nous permettre de mettre en scène cet homme et à travers lui, le Conseil national de la résistance", a-t-il ajouté, assurant qu'il souhaiterait surtout "qu'on ne refroidisse pas trop vite les cendres de Hessel".

Le désaccord

François Fillon est-il au même niveau que Nicolas Sarkozy, comme l'a affirmé l'ex-Premier ministre cette semaine au Monde? "Personne n'est au même niveau que Nicolas Sarkozy", a répondu Xavier Bertrand sur Canal +. "Personne, il a été président de la République...", a insisté le député UMP. Sur Europe 1, François Fillon assume : "On a perdu les élections. Quand on perd les élections, on redevient tous des militants", a-t-il expliqué. Avant de conclure : "S'agissant du projet pour 2017, oui, on est tous sur la même ligne de départ."

L'échange

Sur Europe 1, Jean-Pierre Elkabbach questionne François Fillon sur sa motivation pour se présenter à la présidentielle de 2017.
"- Vous dites : "Je vais tout faire pour être candidat". Vous n'êtes pas convaincu?
- Bien sûr que si je suis convaincu!
- Pourquoi vous ne dites pas : "je serai candidat"?
- On ne s’improvise pas, on ne se décrète pas l'homme de la Nation. On construit un projet (...) On y arrive ou on n'y arrive pas. Je vais tout faire pour y arriver. (...)
- Mais vous vous lancez quand même?
- Bien sûr que je me lance.

L'explication

Comment expliquer l'omniprésence de Xavier Bertrand dans les médias depuis le début de la semaine? C'est la question posée par Canal+ au candidat déclaré à la primaire de l'UMP pour la présidentielle de 2017, qui enchaîne les interviews (RTL, France Info, France Inter). "Ce n'est pas du marketing, si je n'ai rien à dire, je me tais", s'est défendu le député de l'Aisne. "Je ne suis pas un commentateur", a-t-il ajouté, faisant savoir qu'il avait des propositions à faire.
 

2017: Fillon pose ses conditions

Les cartons de la semaine pour Bowie, Fillon, Beckham, et Benoît XVI

Larcher : "François Fillon assume le bilan du quinquennat"


Larcher : "François Fillon assume le bilan du... par Europe1fr

Jean-Pierre Raffarin : "François Hollande est le président du chômage


Jean-Pierre Raffarin : "François Hollande est... par publicsenat

UMP: Copé rappelle à "ses aînés" le défi des municipales de 2014

John Kerry à Paris pour parler du Mali

Reforme des retraites: le gouvernement installe une commission

mercredi 27 février 2013

L'expresso du 27 février

La phrase

Jean-Louis Borloo sur i-Télé, au sujet du lancement du nouveau club politique de François Fillon : "C'est sa démarche, elle est estimable, mais je n'ai pas compris si c'était en dehors de l'UMP ou pas, pour être franc..."

La mauvaise foi

Un brin agacé par les questions au sujet de l'efficacité de la politique gouvernementale pour lutter contre le chômage - après l'annonce d'une nouvelle hausse au mois de janvier -, Michel Sapin a répliqué sur Canal + : "Au mois de décembre, il y a eu peu de chômeurs en plus, et c'était le silence total (dans les médias)", a regretté le ministre du Travail. Pourtant, c'était le gouvernement lui-même qui appelait à la prudence après la publication de ces chiffres, qui montraient une stabilisation surprise du nombre de demandeurs d'emploi. "Cette stabilité est appréciable. Pour autant, elle ne marque pas une inversion de la tendance à la hausse observée depuis 2008", réagissait ainsi le ministère du Travail.

Le conseil

Pour son retour médiatique, Ségolène Royal est revenue sur BFMTV et RMC sur la situation "grave" du chômage. "L'objectif (d'inverser la courbe du chômage d'ici à la fin de l'année) peut être atteint si on libère la capacité créatrice des PME", a expliqué la nouvelle vice-présidente de la Banque publique d'investissement. "Il est temps maintenant de leur donner les moyens de se développer", a-t-elle ajouté, assurant par ailleurs qu'elle n'était pas là pour faire une "quelconque critique du gouvernement".

L'attaque

Les mots de Bruno Le Maire sont de plus en plus durs à l'égard de François Hollande. L'ex-ministre de l'Agriculture a qualifié le président d'"homme qui subit". "Il reste là, inerte, passif", a-t-il dénoncé sur LCI. "Le pays est découragé et François Hollande en porte la responsabilité", a encore dit le député de l'Eure, en accusant le chef de l'Etat de "mentir". Quant au gouvernement, il est "totalement à la ramasse", a-t-il ajouté.

L'échange

Moment de gêne pour Ségolène Royal face à Jean-Jacques Bourdin, sur BFMTV et RMC :
"- Est-ce que vous êtes fermement opposée à toute hausse générale des impôts?
- (Silence) Je répète ce que je viens de dire...
- (Il coupe) Est-ce que vous dites : "ça suffit"?
- Je ne veux pas empiéter sur des compétences qui ne sont pas les miennes, ni gêner le gouvernement en quoi que ce soit...
(...)
- Mais je vous repose la question : est-ce que vous êtes fermement opposée à
toute nouvelle hausse des impôts?
- Je ne veux pas répondre de façon schématique. Je suis responsable par rapport à la parole politique."

L'anecdote

Comme sur Europe 1 lundi, Jérôme Cahuzac avait toujours la voix éraillée sur RTL. La raison? Amateur de rugby, le ministre délégué au Budget a assisté au match du XV de France en Angleterre, dimanche. Il en a profité pour refaire le match, en évoquant l'arbitrage litigieux de l'arbitre Sud-Africain Craig Joubert. "S’il avait arbitré en finale de la Coupe du monde la zone plaqueur-plaqué comme il a arbitré le Angleterre-France, je pense qu’on aurait gagné la Coupe du monde.", a-t-il estimé, faisant allusion au laxisme supposé du même homme lors de Nouvelle Zélande-France, en septembre 2011.
 

Jérôme Cahuzac : On n'en est pas à demander des hausses d'impôts en 2014

Le chômage sous Hollande et Sarkozy

Bourdin direct : Ségolène Royal - 27/02

A la Mutualité, Fillon lance sa campagne pour 2017

Pour le Maire, "ce gouvernement est à la ramasse"

Le député UMP Bruno Le Maire a vu mercredi sur LCI en François Hollande un "homme qui subit", avec "un gouvernement à la ramasse", en commentant l'aggravation du chômage, marqué par 43.900 chômeurs de plus en janvier.
Bruno Le Maire s'essaie régulièrement au langage familier. "Ce gouvernement est à la ramasse" a-t-il affirmé pour commenter l'aggravation du chômage, marqué par 43.900 chômeurs de plus en janvier. "François Hollande, c'est l'homme qui subit, il reste là, inerte, passif", a déclaré également l'ex-ministre sur LCI. "Il continue à s'enferrer dans le traitement social du chômage que, droite et gauche confondues, nous avons essayé pendant vingt ans et qui fait de nous la lanterne rouge en matière d'emploi". "Il est temps que l'on passe à un traitement économique du chômage", a martelé l'ancien ministre de l'Agriculture.

"Le pays est découragé et François Hollande en porte la responsabilité", a encore dit l'élu de l'Eure, en accusant le chef de l'Etat de "mentir", en promettant inflexion du chômage, diminution des déficits et stabilité de l'impôt. "Ce gouvernement est totalement à la ramasse", "totalement incompétent", aux yeux de M. Le Maire qui a pointé le ministre Arnaud Montebourg "qui continue à faire son show" au lieu de "se remettre à son travail
 

Luc Ferry et Jacques Séguéla:le Face à face Ruth Elkrief - 25/02

Discours d'Ayrault aux obsèques des policiers de la BAC tués sur


Discours d'Ayrault aux obsèques des policiers... par BFMTV

NKM:"Je suis très heureuse se recevoir le soutien de François Fillon" - 26/02

Fabius: « La cruauté épouvantable » des ravisseurs des otages du Cameroun -

Non-cumul en 2017, "pas un problème"

Les députés socialistes veulent "voter le plus vite possible" la loi sur le cumul des mandats mais estiment que "ce n'est pas un problème" si elle ne s'applique qu'en 2017, à la fin du quinquennat, a déclaré mardi leur porte-parole, Thierry Mandon. Après l'avis du Conseil d'Etat qui a préconisé de rendre applicable l'interdiction du cumul des mandats aux parlementaires seulement à la fin de leur mandat en cours, soit en 2017 pour les députés, "la réforme est possible, son calendrier reste à préciser", a dit le porte-parole.
"Le groupe socialiste souhaite que la réforme soit engagée le plus vite possible et qu'elle s'applique le plus tôt possible", a-t-il indiqué. Pressé de questions sur ce que cela signifiait, il a répondu "ce qui est important dans le plus tôt possible, c'est le 'possible'". "On veut voter cette réforme maintenant. Ce qui compte, c'est d'avoir une majorité, c'est de la faire voter le plus vite possible et qu'elle s'applique le plus tôt possible. Et si le plus tôt possible, c'est dans le quinquennat, à la fin du quinquennat, ce n'est pas un problème", a-t-il enfin dit.
 

Réforme de l'école: le FG pas contre

Les députés du Front de Gauche ne voteront pas contre le projet de loi pour la refondation de l'école et décideront s'ils optent pour un vote favorable ou une abstention au vu des débats et d'éventuelles avancées, a déclaré mardi leur chef de file, André Chassaigne. "On ne s'y opposera pas. Notre vote favorable ou d'abstention sera fonction des débats, des amendements, des avancées qu'on pourra avoir sur ce texte" a déclaré André Chassaigne, évoquant dans ce texte "un volontarisme" et "une volonté nouvelle pour développer l'Education nationale dans notre pays".
"Sur ce texte, comme sur les autres, on n'est pas dans une posture a priori d'opposition systématique ou de godillot", a ajouté le président du groupe de la Gauche démocrate et républicaine (GDR) à l'Assemblée nationale. Le député du Puy-de-Dôme a notamment salué "l'attachement à la formation des enseignants" ou encore "la scolarisation avant 3 ans".
Il a toutefois émis quelques réserves sur la territorialisation du choix des formations. "On a une forme de crainte sur un utilitarisme de la formation, qui ferait qu'elle serait strictement liée à des bassins d'emploi, à des offres d'emploi régionales alors qu'on considère qu'il faut conserver la dimension nationale de l'éducation. On interviendra par rapport à ça", a précisé André Chassaigne.
 

Wauquiez : "se désintoxiquer de" 2017

L'ex-ministre UMP Laurent Wauquiez a estimé mardi qu'il fallait "se désintoxiquer de cette obsession de 2017", ajoutant dans le même temps faire "totalement confiance" à François Fillon, qu'il avait soutenu lors de la bataille interne à l'UMP, "pour nous aider à trouver de nouvelles idées". "François, il a initié une démarche qui est simple, et qui part d'un constat simple : la France est dans une crise profonde face à laquelle les vieux schémas politiciens ne marchent pas. Ce qu'il propose, c'est un chemin d'écoute, en allant sur le terrain, pas en proposant une énième solution miracle qui ne marche pas", a dit Laurent Wauquiez dans les couloirs de l'Assemblée.
Interrogé sur la compétition interne à l'UMP pour la présidentielle de 2017, il a répondu : "ce que je n'aime pas, c'est cette idée d'une espèce de compétition pour 2017. Ce que François essaye de poser ce soir, c'est la recherche de solutions. Il a besoin d'un regard neuf. Il a la modestie de dire: je n'ai pas a priori la solution et je viens avec vous réfléchir", a-t-il poursuivi. "Il faut se désintoxiquer de cette obsession de 2017. Notre premier travail, c'est de savoir ce qu'on propose, et là je fais totalement confiance à François pour nous aider à trouver de nouvelles idées", a-t-il encore dit
 

mardi 26 février 2013

Les adieux déchirants de NKM à Longjumeau


Les adieux déchirants de NKM à Longjumeau par leparisien

Peillon, l'homme qui ne tient pas sa langue

FRANCE 24 Revue de Presse: 26/02/2013 REVUE DE PRESSE

Bourdin direct : Jean-Marie Delarue - 26/02

Jean-Yves Le Drian répond aux auditeurs de RTL

NKM à Hollande: "il faut arrêter les bobards"

L'ex-ministre Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) a demandé mardi au président François Hollande d'"arrêter les bobards" après une semaine de "renoncements" sur la lutte contre le chômage. "Il faut arrêter les bobards", a lancé sur France 2 la candidate à la mairie de Paris. "On ne peut pas, le 31 décembre, expliquer qu'on a un engagement pour l'année 2013, inverser la courbe du chômage, ne prendre aucune mesure allant dans cette direction et après, prendre un air navré en disant: c'est la crise, on ne va pas réussir à le tenir".
Il l'a fait "avec une immense légèreté, comme au détour d'autre chose", a insisté l'élue de l'Essonne. "Ca a été la semaine des aveux d'échec, du renoncement". Or, "il faut mettre le paquet" pour l'emploi et la compétitivité des entreprises, a dit NKM, au lieu de faire "du mécano administratif ou du mécano électoral" pour "amuser la galerie". "Les vraies priorités des Français sont ailleurs". Le président ne renonce pas à inverser la courbe du chômage en 2013, contrairement aux affirmations de la droite, a assuré lundi le ministre du Travail Michel Sapin, alors que M. Hollande a dit deux jours avant que l'année en cours sera "marquée par une progression du chômage".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/NKM-a-Hollande-il-faut-arreter-les-bobards-593587

L'expresso du 26 février

La phrase

"Je ne suis pas certain que le moment choisi par Vincent Peillon pour remettre ce sujet (le raccourcissement des vacances d'été) sur la table soit le bon. La situation est déjà suffisamment instable avec le retour à la semaine de quatre jours et demi de classe en primaire", a expliqué Claude Bartolone, dans une interview aux Echos.

L'attaque

Après avoir qualifié, lundi sur le plateau du Grand Journal de Canal+, François Hollande de "comique", Luc Chatel a de nouveau critiqué le chef de l'Etat sur LCI. L'ex-ministre de l'Education nationale lui reproche son trait d'humour sur Nicolas Sarkozy, fait samedi au Salon de l'Agriculture. "Si François Hollande mettait autant d'énergie à réduire le chômage qu'à faire ses petites blagues, la France se porterait mieux", a moqué le député UMP.
 

La réplique

Sur France 2, Nathalie Kosciusko-Morizet fustige la politique du gouvernement, qui a fait, selon elle, "le contraire de ce qu'il faut faire" pour réduire le chômage. "C'était la semaine des renoncements", a-t-elle dit, en allusion aux propos de François Hollande, qui a expliqué samedi que la courbe du chômage ne s'inverserait pas d'ici à la fin de l'année. Soupir de Benoît Hamon sur i-Télé : "Elle s'en réjouirait presque... C'est ça, le plus dramatique." Le ministre chargé de la Consommation a critiqué ceux qui "flairent le bon coup à l'idée qu'on n'atteigne pas cet objectif".

La mise au point

Interrogé sur la diffusion de la vidéo de la famille française enlevée au Cameroun par le groupe islamiste Boko Haram, Jean-Yves Le Drian a exclu sur RTL de discuter avec les ravisseurs. "On ne négocie pas sur ces bases-là, avec ces groupes-là", a déclaré le ministre de la Défense au sujet de la revendication du mouvement, qui exige la libération de djihadistes détenus au Nigeria et au Cameroun contre celle des otages. "On ne joue pas à ce jeu de surenchères, parce que ça, c'est le terrorisme", a-t-il ajouté.

Le chiffre : 100

C'est le coût, en millions d'euros, de l'intervention militaire de la France au Mali, plus de six semaines après l'engagement des premiers soldats. Le chiffre a été annoncé par Jean-Yves Le Drian sur RTL, qui a précisé que les comptes "seront publiés devant la Commission des finances de l'Assemblée nationale". Lundi, les pays d'Afrique de l'Ouest ont réclame 715 millions d'euros, deux fois plus que promis, pour financer sa force militaire au Mali.
 

Berlusconi, Sapin et Rama Yade: les personnalités à suivre cette semaine

P. Moscovici pessimiste sur l'économie


P. Moscovici pessimiste sur l'économie par ITELE

Xavier Bertrand accuse Peillon de semer le "désordre"

Vacances scolaires réduites : Peillon réfute tout effet d'annonce - 25/02

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

lundi 25 février 2013

Chatel: "on a un comique qui a fait 51%"

Luc Chatel, vice-président délégué de l'UMP, a ironisé ce soir sur Canal + sur le président François Hollande, sans le nommer, affirmant qu'en France, on avait "un comique qui a fait 51%".

Alors qu'on lui expliquait qu'en Italie, Beppe Grillo, comique populiste reconverti en politique, venait de remporter près de 20% des voix aux élections législatives, Chatel a répliqué: "En France, on a un comique qui a fait 51% des voix".

La droite s'est élevée contre
une plaisanterie lancée par Hollande, samedi au Salon de l'Agriculture. A une fillette qui lui avait lancé "Je n'ai jamais vu Nicolas Sarkozy", François Hollande a répondu dans un sourire "Bah, tu ne le verras plus!", suscitant des éclats de rire dans le cortège présidentiel. François Hollande a été élu en mai 2012 avec 51,63% des voix contre 48,37% à Nicolas Sarkozy.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/25/97001-20130225FILWWW00647-chatel-on-a-un-comique-qui-a-fait-51.php

Fillon "a sa place dans la vie politique"

L'ex-premier ministre Alain Juppé a affirmé aujourd'hui à Bordeaux que François Fillon, qui a déclaré hier vouloir "construire un projet de redressement national" dans la perspective de la présidentielle de 2017, est "un homme d'expérience" qui "a toute sa place dans la vie politique française".

"Il a beaucoup de choses à dire, c'est un homme d'expérience, il a été premier ministre pendant cinq ans, donc je pense qu'il a toute sa place dans la vie politique française", a indiqué le maire de Bordeaux en marge d'un point presse précédent un conseil municipal. "Quant à savoir ce qui se passera en 2016 ou 2017, vous connaissez ma position, on en reparlera le moment venu", a lancé l'ancien président de l'UMP.

Interrogé sur le rôle de porte-parole de l'opposition que pourrait jouer M. Fillon au cours de l'actuel quinquennat, M. Juppé a affirmé ne pas être pour le monopole. "Il y a beaucoup de personnes qui peuvent porter la parole" avant de citer pêle-mêle Nathalie Kosciusko-Morizet, Bruno Le Maire, Xavier Bertrand, François Fillon et Jean-François Coppé.

"J'en oublie naturellement, j'espère qu'ils ne m'en voudront pas", a ajouté M. Juppé avant d'ajouter "peut-être moi aussi, d'ailleurs !"


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/25/97001-20130225FILWWW00525-fillon-a-sa-place-dans-la-vie-politique.php

Sarkozy critique la blague de Hollande

Cahuzac : "Un effort d'ajustement budgétaire à faire sur deux ans"

Harlem Désir : Vincent Peillon n'a fait qu'ouvrir une piste de réflexion

François Fillon veut être utile à son pays

Aurélie Filippetti et "le sens civique" d'Arthur

FRANCE 24 Revue de Presse: 25/02/2013 REVUE DE PRESSE

Peillon, "récidiviste de la gaffe" (Le Maire)

L'ex-ministre UMP Bruno Le Maire a vu lundi un "récidiviste de la gaffe" qui "parle trop vite" en Vincent Peillon qui a lancé la veille l'idée de vacances scolaires d'été raccourcies. "C'est un récidiviste de la gaffe", a tranché le député de l'Eure sur Canal +. "Il avait déjà fait une gaffe absolument surréaliste sur la dépénalisation du cannabis, il en refait une sur les jours de vacances".
"Il parle trop vite et sème la confusion", a déploré M. Le Maire. "J'ai quatre enfants, je suis comme n'importe quelle famille, quand j'apprends que tout d'un coup, on va modifier les vacances d'été, ce ne sont pas de sujets légers, ce sont des sujets qui concernent toutes les familles françaises, tous les enfants". "On n'a même pas encore réglé la semaine de quatre jours et demi qui pose des difficultés majeures à toutes les familles et à toutes les communes. Il ne va pas effacer ses difficultés sur les quatre jours et demi en mettant en chantier la question des semaines de vacances d'été, je crois que c'est une erreur profonde", selon l'ex-ministre de l'Agriculture.
 

L'expresso du 25 février

La phrase

"Si nous avions trouvé toutes les solutions à la crise, nous aurions gagné (les élections). C'est la droite qui, collectivement, a perdu et c'est la droite qui collectivement veut regagner", a déclaré Bruno Le Maire sur Canal+, ébauchant un début d'inventaire du précédent quinquennat sans en prononcer le nom.

L'annonce

"Si nous ne faisons rien de plus en matière de fiscalité, l'année prochaine, il y aurait cinq à six milliards d'euros d'impôts de moins", a expliqué Jérôme Cahuzac sur Europe 1. Il faudra donc "trouver six milliards d'euros de recettes supplémentaires", pour le ministre délégué du Budget, qui n'a pas dit comment le gouvernement y parviendra. "Six milliards d'euros, nous les trouverons dans la poche des uns, des autres, de tout le monde!", a-t-il simplement répondu.

L'attaque

La droite réagit vivement aux propos de Vincent Peillon, qui a expliqué dimanche vouloir raccourcir les vacances d'été avant de préciser ensuite qu'une telle réforme ne verrait pas le jour avant 2015. "Vincent Peillon est un récidiviste de la gaffe", a assuré Bruno Le Maire, qui a précisé que le ministre de l'Education n'en était pas à sa première. "Matignon est obligé de le rappeler à l'ordre (....) Il s'en ira avant qu'il y ait une réforme portée par lui", a de son côté déclaré sur i-Télé Christian Jacob, le président du groupe UMP à l'Assemblée.

Le soutien

Premier secrétaire du PS, Harlem Désir a défendu Vincent Peillon, assurant que le ministre n'avait qu'"une piste" de réflexion, au sujet du raccourcissement des vacances d'été. "Il s'agit d'une piste de réflexion pour l'avenir, il n'y a aucune décision dans ce domaine", a-t-il dit sur RTL. Avant de conclure : "On a toujours le droit d'ouvrir des réflexions, on ne doit pas être fermé."

L'échange

Sur Europe 1, Jean-Pierre Elkabbach interroge Jérôme Cahuzac sur les déclarations de François Hollande, qui a assuré samedi que "l'année 2013 sera marquée par une progression du chômage", contrairement à ce que promettait le président.
"- La droite dit que vous avez menti. Est-ce que vous vous êtes trompés?
- Cette présentation ne me parait pas rigoureusement exacte. Je n'ai pas le sentiment que l'inversion de la courbe du chômage soit un objectif abandonné.
- Oui mais en 2013?
- Mais 2013, ça va jusqu'au 31 décembre... Et ne me demandez pas la date précise à laquelle cette inversion se fera"
 

PolitiqueS : Les révolutions arabes, le Mali et le rôle de la France


PolitiqueS : Les révolutions arabes, le Mali et... par LCP

Monseigneur di Falco . « Parole, Parole, Parole… »


Monseigneur di Falco . « Parole, Parole, Parole… » par LePoint

Le debrief de l'actualité de Tanguy Pastureau : Hollande a caressé 4000 vaches

Un élu PS veut taxer les Français en Suisse

Yann Galut, député socialiste du Cher et président de la nouvelle Commission sur l'exil fiscal veut taxer les Français qui s'installent en Suisse pour des raisons fiscales. L’élu a déclaré dans le journal Le Matin Dimanche penser "à un principe déjà en vigueur en Allemagne: un contribuable qui s'expatrie doit continuer à déclarer ses revenus à l'Allemagne, et à y payer ses impôts pendant quelques années". Le député socialiste a ajouté que la Commission sur l'exil fiscal allait "bientôt rencontrer un conseiller économique allemand à ce sujet".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Un-elu-PS-veut-taxer-les-Francais-en-Suisse-593257

Hortefeux rajeunit

Penser aux macarons pour les invités, à l'accès aux toilettes, envoyer des fleurs à Ingrid Betancourt… En organisant le colloque des Amis de Nicolas Sarkozy, mercredi dernier à la Mutualité, l'ancien ministre Brice Hortefeux dit s'être senti "rajeunir de vingt ans", ce qu'il n'a pas manqué de confier à l'ancien chef de l'État. Prêt à tout recommencer?

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Hortefeux-rajeunit-593303

Barnier s'y voit

L'actuel commissaire européen veut être candidat aux européennes l'an prochain. Il compte ensuite se présenter à la présidence du Parlement européen ou bien viser la succession de José Manuel Barroso, président de la Commission.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Barnier-s-y-voit-593304

dimanche 24 février 2013

La popularité de Hollande remonte

La cote de popularité de François Hollande et Jean-Marc Ayrault s'est légèrement redressée en février, par rapport à janvier, selon un sondage réalisé par l'institut OpinionWay pour Metro et LCI.

Sur 1008 personnes interrogées du 15 au 20 février, 39% se disent satisfaites de l'action du président de la République (+1 point) et 57% mécontentes (-3 points).

Le premier ministre gagne également un point de bonnes opinions, à 36%, tandis que le nombre de mécontents baisse de trois points, à 54%.

A titre de comparaison, la côte de popularité de l'ex-président Nicolas Sarkozy, au même moment de son mandat (en février 2008) s'établissait à 41% de bonnes opinions et celle de François Fillon, à 53%.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/24/97001-20130224FILWWW00155-la-popularite-de-hollande-remonte.php
Seulement 32% des sondés disent faire confiance à Hollande pour réduire le déficit public de la France, alors que le chef de l'État et son premier ministre ont admis que la cible de 3% du PIB en 2013 ne pourrait pas être atteinte.

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, caracole toujours en tête des membres du gouvernement, avec 60% de satisfaits (+3%), suivi par ses collègues des Affaires étrangères, Laurent Fabius (53%, +10%), et de la Défense, Jean-Yves Le Drian (48%, +5%).

La ministre de la Justice, en cinquième position avec 44% d'avis favorables, enregistre la plus forte progression (+9 points) après celle de Laurent Fabius.

Les ministres dont le portefeuille est lié à la situation sociale figurent en revanche parmi les perdants - Michel Sapin (Affaires sociales, 30%, -3 points) et Arnaud Montebourg (Redressement productif, 31%, -3 points). C'est également le cas du ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, qui semble payer l'impopularité de la réforme des rythmes scolaires (34%, -2 points).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/24/97001-20130224FILWWW00155-la-popularite-de-hollande-remonte.php

Réforme des rythmes scolaires : un choix politique ? - 24/02

Marseille va-t-elle basculer à gauche ? - 24/02

NKM veut "des primaires ouvertes à Paris"

Candidate à la mairie de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet, député de l’Essonne, était l’invité du Grand Jury d’Europe 1/Le Parisien-Aujourd’hui en France/iTélé, dimanche matin. L’occasion pour l’ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy lors de l’élection présidentielle a justifié son choix mais éludé la question de l’arrondissement dans lequel elle se présentera. "Je veux être soutenue par le plus grand nombre. Je ne veux pas être la candidate d’un clan. Je souhaite qu’il y ait des primaires ouvertes à Paris. Le choix de mon arrondissement ? Je ne veux pas le dire pour le moment. J’irai là où il y aura des enjeux mais je ne ferais pas un choix de confort. Il faut une discussion avec les militants parisiens."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/NKM-veut-des-primaires-ouvertes-a-Paris-593217

Le «Sarkozy? Tu ne le verras plus» de François Hollande fait réagir

Les réactions se multiplient après la réponse de François Hollande à un petit garçon, qui l'interrogeait sur Nicolas Sarkozy...
La plaisanterie n'est pas du goût de tout le monde. Fidèle à ses habitudes, François Hollande a multiplié, samedi lors de sa visite au Salon de l'agriculture, les traits d'humour. Mais alors qu'à un enfant, qui lui demandait «il est où Nicolas Sarkozy?», il a répondu en souriant : «Tu ne le verras plus», la réponse du président de la République fait grincer quelques dents.
Dès hier sur Twitter, beaucoup ironisaient ainsi sur ce «casse toi pauv' con» version enfantine, pointant le «manque de tact» de François Hollande.
  
Les réaction se sont d'ailleurs multipliées à droite, avec notamment celle d'Yves Jégo, député de Seine-et-Marne (UDI), qui invitait même le Président de la République à ne pas être «si présomptueux».
 
Roger Karoutchi, Sénateur des Hauts-de-Seine (UMP) ironisait sur la «hauteur de vue» du président.
 
Pendant que Christine Boutin, présidente du Parti Chrétien-Démocrate, prophétisait un possible retour de l'ancien champion de l'UMP.
 
Guillaume Peltier, vice président de l'UMP, revenait de son côté sur l'inélégance de «Monsieur petites blagues»

http://www.20minutes.fr/politique/1106847-sarkozy-verras-plus-francois-hollande-fait-reagir

 

Hollande à un enfant : "Sarkozy ? Tu ne le... par francetvinfo

Guérini menace de faire des révélations

Interviewé dans le Journal du Dimanche, le président socialiste du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini, qui bien qu'affaibli par sa mise en examen, pourrait cependant peser sur les municipales à Marseille, s'estime lâché par ses anciens amis socialistes et menace de lâcher des informations compromettantes.

"Que tous se rassurent, je n'ai pas de haine. J'ai beaucoup réfléchi avec un ancien prieur des dominicains. Il m'a appris que la haine est inutile. En revanche, je n'oublie rien. Mais je comprends l'inquiétude de ceux qui m'accablent, notamment au Parti socialiste. Car ils n'ont pas de leçon d'éthique à me donner. Si je parlais, certains ne seraient plus ministres…", dit Guérini estimant n'être "pas audible pour l'instant" mais affirmant "le moment venu" vouloir donner sa "part de vérité, sans doute dans un livre".

Celui qui avait affronté Jean-Claude Gaudin lors de la municipale de 2008 affirme ne pas vouloir se mêler des primaires socialistes, mais dit envisager de ne pas "rester inactif" durant la campagne et qu'en "homme libre" il n'y a qu'avec "le Front national avec lequel (il) ne (pourrait) jamais travailler".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/24/97001-20130224FILWWW00030-guerini-menace-de-faire-des-revelations.php

Municipales 2014 : un sondage place Gaudin en position difficile

Les quatre principaux candidats à la primaire socialiste à Marseille seraient en mesure chacun d'emporter la mairie face à son actuel locataire Jean-Claude Gaudin (UMP), selon un sondage Ipsos paru dans Le JDD.
Quel que soit le rival en face de lui, Jean-Claude Gaudin pourrait être sur la sellette lors des prochaines municipales. Selon un sondage Ipsos* paru dimanche dans le JDD, les socialistes Patrick Mennucci (42%), Eugène Caselli (42%), Marie-Arlette Carlotti (43%) et Samia Ghali (43%) remporteraient chacun leur duel face au maire UMP sortant lors du scrutin municipal de 2014 dans l'hypothèse d'une triangulaire au second tour avec le candidat déclaré du Front national Stéphane Ravier.

Ce sondage révèle également qu'au premier tour de ce scrutin, les listes conduites par chacun des quatre socialistes se tiendraient dans un mouchoir de poche, avec un léger avantage pour une liste qui serait menée par la ministre aux Personnes handicapées Marie-Arlette Carlotti (27%), devant Samia Ghali (25%) puis Patrick Mennucci et Eugène Caselli (25 %) face à un Gaudin à 35/36%.

Même l'hypothèse d'une liste sans étiquette conduite par Bernard Tapie (13%), ne mettrait pas en péril celles soutenue par les quatres ténors PS marseillais (23%) au premier tour. Ce cas de figure ne semble provoquer en fait qu'une érosion significative à droite, a la fois sur les intentions de votes pour la liste Gaudin (32%) et pour la liste FN de Stéphane Ravier (chutant de 18/20% à 14%).
Ce sondage a été réalisé par Ipsos pour le JDD, entre le 21 et le 23 février, par questionnaire auto-administré en ligne (CAWI - Computer Assisted Web Interviewing) auprès d'un échantillon représentatif de 704 personnes de la population marseillaise âgée de 18 ans et plus (selon la méthode des quotas).

Exclu TF1. Fillon marque son retour au 20h ce soir

L'ex-Premier ministre de Nicolas Sarkozy entame cette semaine un retour médiatique avec en point d'orgue un meeting à La Mutualité mardi à Paris. Quelles sont ses ambitions ? Quelle est sa stratégie ? A-t-il définitivement renoncé à la Capitale ?
L'homme s'est fait relativement discret depuis le conflit pour la présidence de l'UMP. Il orchestre son retour cette semaine, avec dès ce soir un passage au journal de 20h de TF1. Est prévue aussi une interview au Monde, peut-être lundi, avant, bien entendu, le meeting programmé mardi à la salle parisienne de La Mutualité. Une visite au Salon de l'agriculture est planifiée pour jeudi, au lendemain de celle de son rival Jean-François Copé, ainsi qu'un déplacement en Alsace vendredi. François Fillon revient.

La guerre des 30 jours a écorné l'image de l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy. Et ce ne sont pas quelques tweets ou de rares billets sur son blog ni même une prise de parole à l'Assemblée lors du débat sur le mariage gay qui auront rassuré ses soutiens sur ses ambitions en politique et la stratégie pour les servir.
"D'autres horizons"
Les municipales de 2014 à Paris auraient pu le mettre en orbite pour la présidentielle de 2017. L'hypothèse paraît désormais écartée. Cela doit encore être officialisé. Selon un de ses proches cité par l'AFP, "François Fillon ne va pas mentir aux Parisiens. Pourquoi s'engagerait-il dans la capitale alors qu'il aspire à d'autres horizons ? C'est ce qu'il va faire comprendre", ajoute-t-on. « D'autres horizons » ? A tout le moins, la primaire de 2016 en vue de l'élection présidentielle l'année suivante. Pour autant, François Fillon ne devrait pas dire tout de go qu'il vise 2017 mais "comment il entame le chemin qui pourrait le conduire à la primaire de 2016", affirme une autre source filloniste.
Briguera-t-il dès lors la présidence de l'UMP lors de la nouvelle élection, en septembre, à la direction du parti de droite ? S'il rentre à nouveau dans la mêlée, si les candidats retombent dans les mêmes ornières, pourra-t-il encore enfiler un costume de présidentiable au-dessus des divisions et des mesquineries ? A l'inverse, difficile de partir en campagne pour l'Elysée en laissant les rênes du parti à un autre. Selon un proche, "Fillon pèse le pour et le contre. Pour l'instant, c'est 50-50". Il devrait préciser ses intentions au plus tard en juin.
"C'est un peu maladroit"
Dans le baromètre CSA de février, le président de l'UMP, Jean-François Copé, est à 27% (+2). FrançoisFillon caracole à 51% d'opinions positives (+2). Les dividendes sans doute de sa longue présence au sommet de l'Etat, ceux aussi de sa discrétion depuis plusieurs semaines : mais ce capital peut s'user si François Fillon ne se découvre pas davantage sur ses ambitions personnelles, et s'il ne fait pas mentir ses adversaires - et pas seulement - qui critiquent son manque de combativité.
La situation économique de la France, à l'heure où Bruxelles s'inquiète du déficit public français, lui donne l'occasion d'incarner l'opposition à François Hollande : plus que tout autre dans son camp, le dernier quinquennat l'a positionné en gardien de l'orthodoxie budgétaire. Et quand il donne des leçons d'économie au gouvernement actuel qu'il ne "cesse de mettre en garde contre les déséquilibres de sa politique économique et le risque de déclin", il se positionne en homme d'Etat.
Mais comment conserver cette stature, dans les mois à venir, s'il doit ferrailler avec Jean-François Copé et ses soutiens tout en persuadant les Français qu'il ne joue pas dans la même catégorie que ces bouillonnants politiques ?
Mardi soir quand François Fillon présentera sa feuille de route pour les quatre années à venir à la Mutualité, Jean-François Copé sera en audio-conférence avec les cadres de l'UMP. Un événement "prévu de longue date, non médiatisé", selon l'entourage de Copé. "C'est un peu maladroit", commente-t-on chez les fillonistes...

Les invités politiques du dimanche

Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) : Le Grand Rendez-vous, sur Europe 1/Le Parisien/i-Télé, à 10 heures.
Valérie Pécresse (UMP) : Le Grand Entretien, sur RCJ, à 11 heures.
Stéphane Le Foll (PS) : 12/13 Dimanche, sur France 3, à 12 h 10.
Alain Krivine (NPA) : Le Rendez-Vous des grands témoins, sur France Culture, à 12 h 30.
Jean-Luc Mélenchon (PG) : Dimanche+, sur Canal+, à 14 h 25.
Luc Chatel (UMP) : Forum, sur Radio J, à 14 h 20.
Bruno Le Maire (UMP) : C politique, sur France 5, à 17 h 50.
Vincent Peillon (PS) : BFM Politique, BFMTV/ Le Point/RMC, à 18 heures.
Abdelilah Benkirane (chef du gouvernement marocain) : Internationales, sur TV5MONDE et RFI, à 18 h 10.
Brice Hortefeux (UMP) : Tous politiques, sur France Inter/Le Monde/AFP, à 18 h 10.
Xavier Bertrand (UMP) : Le Grand Jury, sur RTL/ Le Figaro/LCI, à 18 h 30.
Anne Hidalgo (PS) : Soir 3, à 22 h 20.


http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Les-invites-politiques-du-dimanche-593131

ZAPPING ACTU DU 22/02/2013


ZAPPING ACTU DU 22/02/2013 par lezapping

Lapsus : le retour de "Jean-Louis Bordeaux"


Lapsus : le retour de "Jean-Louis Bordeaux" par LeHuffPost

Au salon de l'Agriculture, François Hollande rassure les éleveurs - 23/02

RTL Opinion - Serge July : Faut-il être une femme pour décrocher la mairie de

Arrêt maladie : combien va coûter le geste de l'Etat pour les fonctionnaires ?

La suppression du jour de carence pour la fonction publique aggraverait le budget de l'Etat de 200 millions d'euros par an selon l'UMP. La ministre Marylise Lebranchu parle de 70 millions. Qui dit vrai ?

A l'heure où les prévisions de dérapage budgétaire sont très sombres et où chaque euro compte, la polémique de fin de semaine entre la droite et le gouvernement a concerné l'absentéisme des fonctionnaires. Le gouvernement a en effet décidé d'inscrire au prochain budget l'abrogation de la journée de carence pour la fonction publique. En clair, les fonctionnaires seront de nouveau indemnisés pour une journée d'arrêt maladie.

C'est le gouvernement de François Fillon qui avait décidé en 2011 de supprimer cette indemnisation, au nom d'un principe d'équité avec le secteur privé où existent trois jours de carence. A l'époque, la droite avait estimé pouvoir faire 200 millions d'euros d'économies par an, une somme importante pour le budget de l'Etat. C'est ce même chiffrage que reprend aujourd'hui l'UMP dans son attaque contre le supposé laxisme budgétaire de l'équipe Ayrault. "C'est une décision injuste, clientéliste et coûteuse", a ainsi réagi Valerie Pécrese. La mesure rapporte "200 millions d'euros : 60 pour l'Etat, 70 pour la fonction publique hospitalière, 60 pour la fonction publique locale, et surtout ça peut faire baisser aussi l'absentéisme". Bien évidemment, la gauche conteste ces chiffres. Mais alors qui dit vrai ?

60 millions pour l'Etat ? Cette économie du jour de carence sur les fonctionnaires d'Etat est bien de l'ordre de 60 millions d'euros. Le chiffre est donné par la ministre de la Fonction publique en personne. Marylise Lebranchu estime donc que la suppression de la mesure prise par le gouvernement Fillon aura un impact « très limité ».

70 millions pour la fonction publique hospitalière ? Cette estimation émane de la Fédération hospitalière de France et n'est pas un chiffre officiel. Elle se base sur des prévisions d'économies faites à partir de zones test d'hôpitaux. Le président de la Fédération hospitalière, Frédéric Valletoux (élu UMP des Yvelines), est pourtant sévère avec la mesure gouvernementale. Selon lui le dispositif Fillon avait produit « des effets immédiats » en matière d'absentéisme dans les hôpitaux.

60 millions pour la fonction publique locale ? Le chiffre est avancé par la Fédération hospitalière mais il n'y a pas encore de bilan officiel.


Impact sur l'absentéisme ? Pour justifier la suppression du délai de carence, la ministre Marylise Lebranchu affirme que les effets « ne sont pas démontrés ». Mise en place en 2012, la mesure est toute récente et les études ne sont pas encore suffisantes pour se rendre compte des conséquences. Mais selon les premiers éléments, le non-paiement d'un jour d'arrêt maladie serait sans effet majeur sur l'absentéisme (entre 2011 et 2012, la proportion d'agents ayant pris des arrêts courts a seulement été réduite de 1,2 % à 1 % dans la fonction publique d'État). La réponse vient peut-être dans la fin de ce cliché : les fonctionnaires ne sont pas beaucoup plus malades que les salariés du privé, selon les chiffres officiels de la Dares, (Direction de l'Animation de la recherche, des Etudes et des Statistiques du ministère de l'Emploi).

Retraite : le rythme de réforme maintenu

François Hollande a exclu aujourd'hui une accélération du calendrier de la réforme des retraites, indiquant que toute décision prise cette année ne s'appliquerait qu'en 2014.

Les rendez-vous convenus lors de la conférence sociale de l'été dernier "sont maintenus à leur date", a dit le chef de l'Etat lors d'une conférence de presse tenue en marge du salon de l'Agriculture qu'il venait d'inaugurer.

Pour les retraites, "il y aura un commission présidée par Mme Yannick Moreau qui livrera ses conclusions à l'été. Ensuite il y aura une discussion, une concertation avec les partenaires sociaux pour une application en 2014", a-t-il ajouté.

Le gouvernement a annoncé cette semaine l'installation le 27 février d'une commission présidée par Yannick Moreau, ancienne présidente du Comité d'orientation des retraites, sur l'avenir du régime par répartition, que la réforme de 2010 n'a pas suffi à sécuriser.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/02/23/97002-20130223FILWWW00416-retraite-le-rythme-de-reforme-maintenu.php

samedi 23 février 2013

Titan: le silence d'Ayrault "consternant"

Dans une interview à paraître demain dans Le Parisien, Jean-Luc Mélenchon s'en prend violemment au premier ministre Jean-Marc Ayrault dont il estime que le "silence est consternant" après les propos violents tenus par le PDG américain de Titan à l'encontre de la France.

Il accuse également le président de la République, François Hollande, de vouloir "être le meilleur élève de la classe de Mme Merkel, qui a décidé de mettre tout le monde à la corvée". Selon lui, le chef de l'État "bat des records d’hypocrisie en faisant des discours sur la relance alors qu’il organise l’austérité", explique-t-il.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/23/97001-20130223FILWWW00522-titan-le-silence-d-ayrault-consternant.php

«Sarkozy ? Tu ne le verras plus»

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ZAPPING ACTU HEBDO DU 23/02/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 23/02/2013 par lezapping

Wauquiez: "le gouvernement nous ment"

Laurent Wauquiez, vice-président de l’UMP, a estimé samedi matin au micro d’Europe 1, que Bruxelles a infligé un camouflet à la France en annonçant que le déficit français atteindra 3,9 % en 2014. "C’est la fin des tartuffades. Bruxelles dit que le gouvernement français a cherché à faire baisser le déficit par des hausses d’impôts, et pas par des économies. Et la réalité, c’est que nos chiffres de réduction de déficit ne seront pas au rendez-vous, autrement dit cela fait des mois et des mois que le gouvernement nous ment", a lancé le député. "Deuxièmement, en ayant augmenté les impôts, le gouvernement a étouffé la croissance. C’est donc un carton rouge que Bruxelles nous a adressé. Il faut maintenant basculer dans la lucidité", a encore estimé ce proche de François Fillon.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Wauquiez-le-gouvernement-nous-ment-593056

Cumul des mandats : Le Roux souhaite que la réforme s'applique "pour 2014" -

Garot : "Il faut élargir les contrôles sur les carcasses de cheval" - 23/02

Salon de l'agriculture : Hollande promet un soutien "exceptionnel" aux

Manifestation devant la maison de Le Foll

Des agriculteurs ont manifesté dans la nuit d'hier à aujourd'hui dans plusieurs grandes surfaces du Finistère, déversant notamment des dizaines de chariots à proximité de la résidence du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll.

Peu avant 3 heures du matin, un cortège de 12 tracteurs s'est dirigé vers la maison de Le Foll, à Berrien, dans le centre du Finistère. A 150 mètres de la maison, protégée par les gendarmes, ils ont déversé de la terre et plusieurs dizaines de chariots de supermarché.

Dans la soirée et dans la nuit, les manifestants, "très virulents mais agissant hors des organisations syndicales", selon Jean-Jacques Brot, préfet du Finistère, ont manifesté dans plusieurs grandes surfaces du département, à Morlaix et Châteaulin notamment, déversant des détritus, de la terre, ou endommageant les abris où sont rangés les chariots. Les manifestants ont dénoncé l'attitude de la grande distribution à l'égard des producteurs de lait notamment.

"Même si je comprends le désarroi des producteurs, il s'agit d'actes imbéciles et contre-productifs qui ne vont pas servir leur cause", a déclaré le préfet. Ces actions, qui n'étaient pas annoncées, illustrent "la crise de la représentativité agricole", a également souligné Brot, estimant que la "profession portera longtemps les stigmates" de ces actes.

"La loi LME (modernisation de l'économie) a objectivement transformé les rapports de force, et pas forcément en faveur des producteurs", a estimé le préfet du Finistère. Cette manifestation intervient au lendemain d'actions de producteurs qui avaient ciblé la grande distribution dans le Morbihan. Vendredi matin, à l'appel de la FDSEA, plusieurs dizaines de producteurs avaient déversé de la paille ou du lisier devant les entrées de plusieurs magasins.

Lundi dernier, environ 200 agriculteurs, producteurs de lait notamment, avaient manifesté à Quimper, allumant des feux et endommageant du mobiliser urbain, causant plus de 230.000 euros de dégâts. Le conseil général et la ville de Quimper ont porté plainte.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/23/97001-20130223FILWWW00359-manifestation-devant-la-maison-de-le-foll.php

François Hollande : "la discrétion est la condition de l'efficacité


François Hollande : "la discrétion est la... par ITELE

Sapin fait payer 2€ à Ayrault à chaque fois qu'il se trompe


Sapin fait payer 2€ à Ayrault à chaque fois qu... par LeNouvelObservateur

Nicolas Doze : La BPI, Titan contre Montebourg - 22 février


Nicolas Doze : La BPI, Titan contre Montebourg... par BFMBUSINESS

Manuel Valls contre la dépénalisation des délits routiers

Moscovici : conditions "réunies" pour reporter l'objectif de déficit à 3% - 22/02

Non-cumul : le Conseil d'Etat plaide pour 2017

Le Conseil d'Etat a préconisé au gouvernement de rendre applicable l'interdiction du cumul des mandats aux parlementaires seulement à la fin de leur mandat en cours, soit en 2017 pour les députés, a indiqué une source gouvernementale à l'AFP confirmant une information du Monde.
Pour les sénateurs, le gouvernement dispose d'une marge de manoeuvre: la question pourrait se poser en 2017 ou dès 2014, lors du prochain renouvellement par moitié de la Haute assemblée, a-t-on expliqué de même source. Le projet de loi sera présenté le 13 mars en Conseil des ministres, a-t-on précisé.
 

Sports: pas d'économies, promet Hollande

Le budget du ministère des Sports sera épargné dans le train d'économies qui sera mis en oeuvre pour lutter contre les déficits publics, a promis vendredi François Hollande. Cette déclaration intervient au moment où la Commission européenne vient de publier ses prévisions économiques qui tablent sur un déficit de 3,7% en 2013, contre 3% prévus. "Il n'y aura pas d'économies pour le sport et notamment pour les préparations paralympiques", a promis le président français lors d'une cérémonie de remise de décorations aux médaillés des Jeux Paralympiques de Londres 2012.
François Hollande, qui a néanmoins évoqué une situation budgétaire "difficile", s'était déplacé à Londres en septembre 2012 pour soutenir les athlètes français participant aux Jeux Paralympiques, où la France s'était classée à la seixième place en remportant 45 médailles, dont huit d'or
 

"Urgence d'une politique de redressement"

François Fillon a mis en garde vendredi contre "la gravité de la situation en France" et souligné "l'urgence d'une politique de redressement" après la publication par Bruxelles de ses prévisions, tablant sur un déficit de 3,7% du PIB en 2013, contre 3% prévus initialement par Paris.
"Sans surprise, ces prévisions révèlent la gravité de la situation de la France, et l'urgence d'une politique de redressement. Depuis mai 2012, je n'ai eu de cesse de mettre en garde le gouvernement contre les déséquilibres de sa politique économique et le risque de déclin", a affirmé François Fillon dans un communiqué. "La croissance a été nulle en 2012 et sera de 0,1% en 2013. Le dérapage budgétaire est sévère: l'engagement de 3% de déficit ne pourra pas être tenu, et on serait à 3,7%. Ce n'est pas l'épaisseur du trait! On ne peut pas passer par pertes et profits la crédibilité des objectifs de finances publiques, qui était un des acquis de la France!", a souligné l'ancien Premier ministre.
 

Déficits : "le gouvernement capitule"

Valérie Pécresse a accusé vendredi le gouvernement de "capituler en rase campagne" sur le budget, après que le ministre de l'Economie Pierre Moscovici a affirmé que "conditions (étaient) réunies" pour retarder le retour du déficit public de la France à 3% du PIB, jusqu'ici fixé à 2013.
"Le gouvernement capitule en rase campagne sur la réduction des déficits, sur le retour à l'équilibre budgétaire et sur le désendettement", a affirmé la secrétaire générale déléguée de l'UMP. Selon elle, "c'est un mauvais signal donné pour la parole de la France. Il faut que le gouvernement assume ses responsabilités face à la situation" de son économie, a-t-elle dit.
 

vendredi 22 février 2013

INFO LE FIGARO - Sarkozy rend visite aux élus UMP des Hauts-de-Seine

Nicolas Sarkozy pourrait rejoindre demain samedi, le temps d’un apéritif, les élus de droite des Hauts-de-Seine, réunis à Saint-Cloud pour une journée de travail sur l’avenir du département. Une rencontre amicale qui sera aussi sa première sortie politique.

L’ancien chef de l’Etat, qui fut aussi président du Conseil général des Hauts-de-Seine, a été invité par le président du groupe de la majorité et maire de Saint-Cloud, Eric Berdoati. Charles Pasqua, lui aussi ancien président du Conseil général, sera là, tout comme l’actuel président, Patrick Devedjian.

Eric Berdoati avait été un fervent défenseur de l’ancien chef de l’Etat lors de la sortie du livre polémique de l’ex directrice de cabinet de Patrick Devedjian, Marie-Célie Guillaume : Le monarque, son fils, son fief (Editions du Moment).

Cette probable visite de Nicolas Sarkozy, qui est toujours resté attaché à son département de naissance en politique, était jugée vendredi « sympathique mais surprenante » par plusieurs conseillers généraux.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/22/97001-20130222FILWWW00631-info-le-figaro-premiere-sortie-politique-attendue-de-sarkozy.php

Politique Première : Ségolène Royal espère un portefeuille ministériel - 22/02

Tapie : "Je ne suis pas en situation d'être candidat"

Sisyphe à Matignon

Stéphane Le Foll n'exclut pas "d'autres substitutions de viande bovine" - 22/02

Ayrault demande à ses ministres un surgel de 2 milliards d'euros

Filippetti met en garde Arthur

La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a déclaré qu'il faudrait être «vigilant» avec les personnalités des médias, comme Arthur, qui partent à l'étranger, «quand ils viendront frapper aux portes des chaînes de télévision françaises».

L'animateur et producteur Arthur a transféré de Paris à Luxembourg sa holding AWCG afin de se développer à l'international, tout en continuant de payer ses impôts en France, selon la société.

Pas pour le climat

«J'ai lu ses déclarations où il explique que ce n'est pas pour des raisons fiscales (qu'il part au Luxembourg, ndlr), alors il faudra qu'il explique pourquoi, parce que je connais bien le Luxembourg, et c'est sans doute pas pour le climat qu'il y va», a réagi Aurélie Filippetti sur Canal+. «Si jamais il y a de l'argent public qui intervient, ou si les chaînes relèvent du service public, il faudra être vigilant», a répété la ministre.

«Je n'ai pas envie qu'on fasse de traitement de faveur pour des gens qui ne serrent pas les coudes avec l'immense majorité des Français qui ne sont pas dans les mêmes conditions qu'eux dans leur vie quotidienne», a poursuivi Aurélie Filippetti.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/02/22/97002-20130222FILWWW00370-filippetti-met-en-garde-arthur.php

L'expresso du 22 février

L'échange

Sur Europe 1, Berrnard Tapie affirme ne pas être candidat à la mairie de Marseille. "Il n'y a rien qui m'empêcherait de le dire, je ne suis pas le genre à me planquer", dit-il: "Si j'étais le cas je le dirai, ce n'est pas du tout le cas." Pour preuve, il évoque sa vie personnelle :
Bernard Tapie : "Cela fait 40 ans que je suis avec ma femme, je suis l'homme le plus heureux de la terre et je ne voudrais à aucun moment lui faire revivre tout ce qu'elle a vécu à cause de la politique"
Bruce Toussaint : "Passez nous votre femme…"
Dominique Tapie : "Il a dit non et moi, c’est non, non, non. C’est sans équivoque, il n’y pas à revenir dessus. C’est ça ou un cas de divorce. Et comme il a pas envie de divorcer, on en reste là"

La phrase

"Nous connaissons beaucoup de Merah potentiels. Nos services surveillent, neutralisent, démantèlent", a déclaré sur Europe 1 le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls.

La polémique

"C'est une gaffe", a concédé sur i-Télé Elisabeth Guigou au sujet de l'annonce erronée la veille du ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, sur la libération des sept otages, toujours retenus au Cameroun. "Il y a une règle simple : on ne s'exprime pas en dehors de son domaine de compétence", a-t-elle affirmé, avant de se montrer plus compréhensive : "Ça arrive de céder à l'émotion (...) Il ne faut pas en faire non plus toute une histoire."
 

Course-poursuite mortelle à Paris : Valls en appelle à une justice


Course-poursuite mortelle à Paris : Valls en... par BFMTV

Les députés UMP chantent la Marseillaise dans l'Hémicycle


Les députés UMP chantent la Marseillaise dans l... par LCP

Zapping politique : Balkany canarde Juppé et Fillon


Zapping politique : Balkany canarde Juppé et... par LeNouvelObservateur

Bruxelles prévoirait une croissance quasi-nulle en France en 2013 - 21/02

Ségolène Royal répond aux critiques sur sa nomination à la BFI - 21/02

Justice: l'ex-ministre UMP Raoult relaxé

jeudi 21 février 2013

Les Sages confortent le Concordat en Alsace-Moselle

Le Conseil constitutionnel a refusé aujourd'hui de remettre en cause le Concordat de 1801 toujours en vigueur en Alsace-Moselle. Les Sages ont débouté l’Association pour la promotion et l’expansion de la laïcité, qui réclamait l’application de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat dans ces trois départements où les prêtres catholiques, les pasteurs et les rabbins sont rémunérés par l’Etat.

Dans cette décision, les Sages consacrent la valeur constitutionnelle de la loi de 1905. Le Conseil constitutionnel affirme que la séparation des Eglises et de l’Etat, proclamée en 1905, est un principe qui s’impose au législateur, sauf en Alsace-Moselle.

François Hollande avait promis pendant sa campagne d’inscrire dans la Constitution le principe de laïcité, tout en respectant la dérogation pour l’Alsace-Moselle. Mais la décision du Conseil constitutionnel, qui précise le contenu de ce qu’est la laïcité, pourrait rendre sans objet une révision de la loi fondamentale.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/21/97001-20130221FILWWW00678-les-sages-confortent-le-concordat-en-alsace-moselle.php

Cameroun : Ayrault dément formellement la libération des otages français - 21/02

Mali : les nouvelles formes de la guerre

Baroin : "Ne pas mettre de pression à Nicolas Sarkozy"

Laurence Parisot : La France est addicte à la dépense publique

"Il n'y a pas de voix forte qui émerge à l'UMP"

Sarkozy pense-t-il à la prochaine élection présidentielle? C'est la question à laquelle ont tenté de répondre mercredi soir les invités de l'émission Ça Vous Regarde, diffusée sur LCP en partenariat avec leJDD.fr. "Je ne suis pas sûr que le Président Sarkozy sache lui-même ce qu'il fera dans 2ans, dans 3ans", a relativisé le député UMP Patrick Balkany. "Le problème aujourd'hui, c'est qu'il n'y a pas de voix forte qui émerge à l'UMP", a analysé le journaliste Anne Fulda. "Si Nicolas Sarkozy veut reparler directement aux Français, il le fera. Ce n'est pas à ses amis de le dire", a quant à lui expliqué le sénateur UMP Roger Karoutchi.

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