A une semaine de la clôture des candidatures, un nouveau postulant à l'investiture PS à la présidentielle s'est déclaré mercredi. Il s'agit du président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet. "Mon parti vient de prendre la décision de participer à cette primaire et de présenter Jean-Michel Baylet", a déclaré le sénateur PRG Yvon Collin, qui préside le groupe RDSE du Sénat (à majorité PRG).
Le PS ne souhaitait pas que ce soit une primaire socialo-socialiste, Martine Aubry a beaucoup insisté pour que les radicaux soient partie prenante de cette primaire", a-t-il ajouté. Le comité directeur du PRG, qui s'est réuni mercredi après-midi, a décidé d'accepter cette proposition avancée par Jean-Michel Baylet. Plusieurs parlementaires PRG s'étaient opposés fin juin à ce que les radicaux de gauche aient un candidat à la primaire PS, les partisans de François Hollande craignant qu'une telle candidature lui ôte des voix.
Yvon Collin a pris position en faveur du député de Corrèze. Il participe, tout comme le sénateur PRG Jacques Mézard et la députée PRG Annick Girardin, aux déjeuners réunissant des élus autour de François Hollande tous les mardis à la questure du Sénat. "Dès lors qu'on veut gagner cette élection présidentielle, il fallait dès à présent s'engager derrière celui ou celle qui a le plus de chance, pour moi c'était François Hollande", a souligné le sénateur. Il appliquera la décision de son parti mais soutiendra François Hollande si ce dernier atteint le second tour de la primaire. "Dès lors que mon parti vient de prendre cette décision, elle s'applique à moi, c'est un premier tour, mais mon engagement au second tour pour François Hollande est acquis", a-t-il dit.
Yvon Collin a pris position en faveur du député de Corrèze. Il participe, tout comme le sénateur PRG Jacques Mézard et la députée PRG Annick Girardin, aux déjeuners réunissant des élus autour de François Hollande tous les mardis à la questure du Sénat. "Dès lors qu'on veut gagner cette élection présidentielle, il fallait dès à présent s'engager derrière celui ou celle qui a le plus de chance, pour moi c'était François Hollande", a souligné le sénateur. Il appliquera la décision de son parti mais soutiendra François Hollande si ce dernier atteint le second tour de la primaire. "Dès lors que mon parti vient de prendre cette décision, elle s'applique à moi, c'est un premier tour, mais mon engagement au second tour pour François Hollande est acquis", a-t-il dit.
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