vendredi 7 octobre 2011

les petites phrases du 07/10/2011

2012 - Hervé Morin, dans Le Figaro. Après l'abandon de Jean-Louis Borloo, le patron du Nouveau centre s'interroge sur le choix laissé aux électeurs "qui se reconnaissent dans le centre et la droite modérée". "Ils vont à la pêche, ils s'abstiennent, ils votent blanc?", demande-t-il. A l'en croire, rien ne pourrait empêcher Hervé Morin de représenter cet électorat, puisqu'il remplit toutes les conditions. "Avoir une équipe : je l'ai. Avoir une envie : je l'ai. Avoir un projet : je l'ai déjà présenté en grande partie", martèle l'ancien ministre.
PRIMAIRE A DROITE - Christian Estrosi, sur Europe 1. Le député-maire de Nice veut une primaire "dans cinq ans", tout en jugeant que Nicolas Sarkozy est le candidat évident de la droite pour 2012. "J'étais totalement marginalisé dans mon parti quand j'ai proposé l'idée d'une primaire", indique-t-il également. "Nos statuts le prévoient, au cas où on n'ait pas une personnalité claire qui se dégage".
HADOPI - Martine Aubry, sur France Inter. La maire de Lille a envoyé une pique à François Hollande pour sa position sur la Hadopi, dont Martine Aubry défend la suppression. "François Hollande a changé d'avis trois fois en trois jours", affirme-t-elle. "On ne peut pas dire en privé autre chose que ce qu'on dit en public", attaque-t-elle encore.
GENOCIDE ARMENIEN - Nicolas Sarkozy, lors d'une conférence de presse. Le président de la République souhaite que la Turquie reconnaisse le génocide arménien dans un délai "assez bref", indique l'AFP. "Il ne revient pas à la France de poser un ultimatum à qui que ce soit, ce n'est pas une facon de faire (...) mais enfin à travers les lignes vous pouvez comprendre que le temps n'est pas infini, 1915-2011, il me semble que pour la réflexion c'est suffisant", a lancé Nicolas Sarkozy aux côtés du président arménien, Serge Sarkissian.
2012 - Martin Hirsch, sur i>Télé. L'ancien commissaire aux solidarités actives ne se voit pas dans un gouvernement de gauche. Interrogé sur le sujet, il a répondu : "Je ne crois pas, la question ne se pose pas". "On n'a pas besoin d'être au gouvernement" pour porter ses combats, affirme Martin Hirsch, qui estime n'avoir pas moins d'influence aujourd'hui que lorsqu'il était au gouvernement.

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