PROJET SARKOZY - Jean-François Copé, sur Europe 1Le secrétaire général de l'UMP a défendu le programme de Nicolas Sarkozy qui doit être dévoilé cet après-midi, en l'opposant à celui de François Hollande qui "ne tient pas la route". "Le président propose un projet extrêmement cohérent qui s'adosse à son bilan. François Hollande a lui un projet qui ne tient pas la route une seconde. Il a d'ailleurs égrené les grandes mesures qu'il allait prendre tout de suite. Il augmente l'allocation de rentrées scolaires, il augmente le nombre de professeurs dans l'Education nationale, il fait 150.00 emplois jeunes, il revient à la retraite à 60 ans. Le projet de Nicolas Sarkozy parlera de sécurité, parce qu'il faut protéger les Français, d'économie, de compétitivité. On ne peut pas dépenser plus que ce qu'on gagne", a-t-il expliqué.
CAC 40 - François Hollande, dans Paris Match
Le candidat socialiste change de ton à l'encontre des dirigeants du Cac 40. Il affirme que s'il est élu le 6 mai, il "réunira les entreprises du Cac 40" au lendemain de l'élection présidentielle "même si beaucoup de leurs dirigeants n'auront pas voté pour moi...", souligne-t-il. Le candidat affirme que "nous aurons besoin de toutes les forces pour le redressement du pays" avant de leur lancer "vous êtes les fers de lance de l'économie française. Nous avons besoin de vous et vous avez besoin de l'Etat. Nous devons relever ensemble le défi du redressement de la France".
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NEUTRALITÉ SYNDICALE – Laurence Parisot, sur France 2La présidente du Medef, critiquée par le PS pour son engagement supposé en faveur de Nicolas Sarkozy dans la campagne présidentielle, a affirmé que la vocation de son organisation était "de travailler avec tout gouvernement, quel qu'il soit". "Si François Hollande est élu, il devra travailler avec les entreprises et c'est bien la vocation du Medef de travailler avec tout gouvernement, quel qu'il soit", a déclaré Mme Parisot sur France 2. Elle a estimé que Nicolas Sarkozy avait accompli "un boulot extraordinaire en intensité, en quantité et sur un certain nombre de choses extrêmement bénéfiques pour les entreprises", mais elle a souligné qu'elle ne s'engageait "pas sur l'avenir" et qu'il ne revenait pas "à des organisations professionnelles (comme le Medef) d'être partisans." "Le Medef est une structure indépendante, je suis élue, je parle au nom des entreprises", a-t-elle insisté.
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