Catastrophe de Brétigny : "On ne doit rien écarter"
"J'ai demandé pas moins de trois enquêtes. Mais je n'ai pas attendu pour décider. Cette catastrophe nous obligera à tirer des conséquences (...) Nous devons faire beaucoup plus pour les lignes existantes". Interrogé sur l'hypothèse d'un acte malveillant, le président a répondu: "On ne doit rien écarter mais ce n'est pas l'hypothèse que, aujourd'hui, je privilégie. Je pense que nous sommes devant une défaillance matérielle".
"J'ai demandé pas moins de trois enquêtes. Mais je n'ai pas attendu pour décider. Cette catastrophe nous obligera à tirer des conséquences (...) Nous devons faire beaucoup plus pour les lignes existantes". Interrogé sur l'hypothèse d'un acte malveillant, le président a répondu: "On ne doit rien écarter mais ce n'est pas l'hypothèse que, aujourd'hui, je privilégie. Je pense que nous sommes devant une défaillance matérielle".
Croissance : "La reprise est là"François Hollande a affirmé dimanche que la reprise était engagée, lors de son interview télévisée du 14 juillet. "La reprise économique, elle est là", a-t-il déclaré, en indiquant pour étayer ses propos que la production industrielle repartait. « La production industrielle repart , la consommation connaît une petite reprise. Mais la question est : quel sens pour les 10 ans qui viennent ?
Impôts : "Le moins possible"
Impôts : "Le moins possible"
François Hollande a affirmé qu'il ne déciderait en 2014 des augmentations d'impôt que si "elles sont nécessaires", et "dans l'idéal, le moins possible". "Je ne ferai d'augmentations d'impôt que si elles sont nécessaires, dans l'idéal, le moins possible", a-t-il déclaré.
Gaz de schiste : Hollande recadre Montebourg
François Hollande a déclaré dimanche qu'il n'y aurait pas d'exploration de gaz de schiste en France tant qu'il serait président. La France a interdit par une loi de juillet 2011 la technique de fracturation hydraulique, utilisée notamment aux Etats-Unis, pour l'exploitation du gaz de schiste. Le ministre du Redressement reproductif, Arnaud Montebourg, a dit croire récemment en un gaz de schiste "écologique" et plaidé pour la création d'une compagnie publique d'exploitation. "Sur le gaz de schiste, il y a un débat qui dure depuis trop longtemps", a estimé le chef de l'Etat lors de son interview télévisée du 14-Juillet. "Tant que je serai président, il n'y aura pas d'exploration du gaz de schiste en France", a-t-il souligné.
Gaz de schiste : Hollande recadre Montebourg
François Hollande a déclaré dimanche qu'il n'y aurait pas d'exploration de gaz de schiste en France tant qu'il serait président. La France a interdit par une loi de juillet 2011 la technique de fracturation hydraulique, utilisée notamment aux Etats-Unis, pour l'exploitation du gaz de schiste. Le ministre du Redressement reproductif, Arnaud Montebourg, a dit croire récemment en un gaz de schiste "écologique" et plaidé pour la création d'une compagnie publique d'exploitation. "Sur le gaz de schiste, il y a un débat qui dure depuis trop longtemps", a estimé le chef de l'Etat lors de son interview télévisée du 14-Juillet. "Tant que je serai président, il n'y aura pas d'exploration du gaz de schiste en France", a-t-il souligné.
Sarkozy : "Tout à fait le droit de se présenter"
Nicolas Sarkozy a "tout à fait" le droit de se présenter à nouveau à une élection présidentielle s'il le souhaite, a déclaré François Hollande. L'actuel président de la République a commenté du bout des lèvres le retour sur le devant de la scène politique de son rival de 2012, dont les comptes de campagne ont été invalidés par le Conseil constitutionnel. "S'il veut revenir, c'est tout à fait son droit", a-t-il déclaré lors d'un entretien télévisée à l'Elysée à l'occasion du 14-Juillet. "Un ancien président peut parfaitement être de nouveau candidat". Face aux critiques de la droite, François Hollande a de nouveau demandé le respect des décisions du Conseil constitutionnel. "Je n'accepterai jamais une mise en cause du conseil constitutionnel", a-t-il dit.
La montée du FN : "Une extrême gravité"
La montée du FN : "Une extrême gravité"
François Hollande s'est dit "inquiet" et a jugé d'une "extrême gravité" la montée en puissance du Front national, un parti qui prône la sortie de l'euro et dont les propositions risqueraient d'"enfermer" la France. "Quand j'entendais sa reponsable, Marine Le Pen, dire qu'elle veut faire de son parti le centre de gravité, c'est d'une extrême gravité", a commenté le chef de l'Etat.
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