jeudi 30 janvier 2014

L'expresso du 30/01

Je plaide pour la dissolution de l'Assemblée nationale. Je ne souhaite pas la démission de Hollande." C'est ce qu'a déclaré sur France Inter la présidente du FN Marine Le Pen, interrogée au sujet des difficultés de l'exécutif.  

La mise au point  

"Laisser croire que l'on enseignerait la théorie du genre est une façon de critiquer la République", a dénoncé Dominique Bertinotti, questionnée sur RTL à propos de cette polémique naissante. "Je suis catastrophée que certains puissent utiliser la notion de rumeur", a-t-elle déclaré encore. Selon la ministre de la Famille , cette rumeur "profite à une extrême droite qui n'aime pas la République et donc l’École".

L'attaque 

"J'ai trouvé qu'Anne Hidalgo passait mieux à la radio". C'est ainsi qu'a commenté sur LCI Charles Beigbederle débat diffusé entre les candidats à la mairie de Paris mercredi. Et le candidat dissident de l'UMP, adversaire de Nathalie Kosciusko-Morizet de préciser au sujet de la candidate socialiste : "C'est aussi la voix. Elle a une voix qui porte plus. Je ne sais pas, c'était peut-être un problème technique de micro".

La proposition 

Dans une interview au Parisien, Valérie Pécresse a dénoncé l'aide aux transports accordée par la Région Ile-de-France aux étrangers en situation irrégulière, qu'elle propose de supprimer. D'après son calcul le coût de cette mesure est "autour de 80, 100 millions d'euros". Soit "dix rames de trains neufs" ou "deux fois le plan de bus prévu pour la grande couronne", a assuré la chef de file de l'opposition à la région.  

Le chiffre 

Selon un sondage CSA pour BFMTV, l’UMP Jean-Claude Gaudin arriverait en tête au premier tour des municipales à Marseille. Mais au second tour, le PS et le Front de gauche unis pourraient l’emporter. Les listes Gaudin bénéficient toutefois cette fois-ci d’un léger avantage, créditées de 42% des intentions de vote exprimées à l’échelle de la ville contre 41% pour celles de Patrick Mennucci.

La mise en garde 

Laurent Fabius a estimé sur Europe 1 que l'humanitaire était la priorité en Syrie. "Il y a d'un côté, il y a les hommes de Bachar et leur objectif c'est de protéger son camp. Et de l'autre il y a l'opposition modérée qui veut protéger le peuple syrien", a observé le ministre des Affaires étrangères. "Si rien ne bouge, il faut ré-envisager d'aller devant l'ONU pour mettre en place un plan humanitaire", a prévenu Laurent Fabius.
 

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