La campagne pour l'élection du nouveau président de l'UMP, le 18 novembre, démarre officiellement vendredi même si, dans les faits, les deux prétendants au poste, François Fillon et Jean-François Copé, ont déjà largement engagé cette bataille à l'issue encore incertaine.
Meetings à travers la France, "coups de com" -comme sur les parrainages de militants où l'on ne saura jamais qui l'a emporté- échanges et piques à distance mais aussi un débat télévisé, le 25 octobre sur France 2: pendant encore six semaines, les duellistes vont poursuivre leur match à couteaux tirés.
L'enjeu est de taille: succéder à Nicolas Sarkozy à la tête de la droite, devenir le chef de l'opposition à François Hollande et prendre une sérieuse option pour la candidature à la présidentielle de 2017.
Sur le papier, l'ex-Premier ministre part favori. Il devance très largement son rival dans les sondages auprès des sympathisants UMP -seuls les militants à jour de cotisation (264.000 au 30 juin) peuvent voter- et l'emporte en termes de soutiens des ténors, soigneusement égrenés pour saper le moral de l'adversaire.
M. Copé a d'ailleurs accusé le coup après le ralliement dimanche de son ami chiraquien François Baroin à M. Fillon. Une défection qui sonne définitivement le glas de la bande des "Mousquetaires" formée avec Valérie Pécresse, elle aussi désormais filloniste, Christian Jacob et Luc Chatel, copéistes, et Bruno Le Maire, qui veut rester neutre après avoir tenté d'incarner une candidature de "renouveau".
Mais ce revers renforce M. Copé -qui mise toujours sur le soutien de Brice Hortefeux, sarkozyste historique- dans l'idée que la bataille "ressemble de plus en plus à 1995" et au duel fratricide entre Edouard Balladur et Jacques Chirac, qui l'avait finalement emporté après avoir connu moult trahisons. "Le pilier absolu de Fillon, c'est les sondages, moi, c'est le terrain", dit-il.
Le terrain, les deux hommes le labourent quotidiennement avec un avantage, cette fois, à Jean-François Copé, qui arpente les fédérations UMP depuis qu'il a pris les rênes du parti en novembre 2010. Handicapé pendant l'été par une vilaine fracture à la cheville, François Fillon vient d'accélérer la cadence.
Entre un Copé "plus combattant" et un Fillon "plus consensuel", Bruno Le Maire juge "très difficile de dire qui va l'emporter". "Ca se finira à 55/45 grand maximum", a lancé Nicolas Sarkozy à l'un de ses récents visiteurs.
Sur le fond -à part peut-être sur la ligne à adopter en cas de duel FN-gauche, M. Fillon étant très réservé sur le "ni-ni" acté par l'UMP- difficile de trouver de réelles divergences entre les deux hommes. Ils sont d'accord en matière économique (lutte contre les déficits, fin des 35 heures, libéralisation du marché du travail) comme sur les sujets de société (non au mariage gay, refus du droit de vote des étrangers).
Ils ont en revanche adopté des tactiques opposées: François Fillon, qui voit dans ce scrutin "une primaire avant l'heure", défend un "projet pour la France", véritable programme présidentiel avant l'heure. "Quand vous avez été Premier ministre, il n'y a rien d'autre qui vous stimule que d'être candidat à la présidentielle. Or perdre (le 18 novembre), c'est pas la meilleure façon de rester dans la course de 2017", confie-t-il.
Les yeux tout autant rivés sur l'Elysée, Jean-François Copé préfère se fixer comme horizon 2014 et "la vague bleue" aux municipales qu'il promet aux militants. Il colle au maximum à Nicolas Sarkozy, l'absent omniprésent, toujours révéré par la base. Jusqu'à se dire prêt à lui céder la place s'il revient. Il a aussi fait le pari de mettre la barre à droite toute, comme en dénonçant le "racisme anti-Blancs" dans son "Manifeste pour une droite décomplexée", paru mercredi.
http://www.20minutes.fr/politique/1016269-fillon-cope-six-semaines-campagne-officielle-duel-suspense
Le journal des élections...présidentielles...législatives...cantonales etc... Tout ce que vous voulez savoir sur une revue de la presse politique!
vendredi 5 octobre 2012
Montebourg reconnaît avoir commis un excès de vitesse pour défendre la cause électrique
«Je voulais que la France sache qu'avec une voiture électrique, on est exactement comme dans une voiture thermique», a-t-il assuré...
«Je vais tenter une accélération forte!» Arnaud Montebourg était tellement enthousiaste mercredi en s’asseyant derrière le volant de la nouvelle voiture électrique de Renault, la Zoé, qu’il n’a pas hésité à appuyer sur le champignon…et à rouler à 66 km/h, au lieu des 50 km/h autorisés à Paris
Un excès de vitesse filmé par BFMTV que le ministre du Redressement productif a revendiqué ce jeudi, assurant avoir cherché par là à défendre la cause électrique. «Oui, je me suis permis un léger excès de vitesse car je voulais que la France sache qu'avec une voiture électrique, on est exactement comme dans une voiture thermique. C'est la même puissance, la même nervosité», a ainsi déclaré Arnaud Montebourg lors d'un déplacement à Figeac, dans le Lot.
Et de plaisanter: «Je me suis permis d'aller à 66 km/heure. C'est vraiment un excès que, j'espère, on me pardonnera!»
BFMTV avec Montebourg au volant de la Renault Zoe par BFMTV
http://www.20minutes.fr/article/1016205/montebourg-reconnait-avoir-commis-exces-vitesse-defendre-cause-electrique
«Je vais tenter une accélération forte!» Arnaud Montebourg était tellement enthousiaste mercredi en s’asseyant derrière le volant de la nouvelle voiture électrique de Renault, la Zoé, qu’il n’a pas hésité à appuyer sur le champignon…et à rouler à 66 km/h, au lieu des 50 km/h autorisés à Paris
Un excès de vitesse filmé par BFMTV que le ministre du Redressement productif a revendiqué ce jeudi, assurant avoir cherché par là à défendre la cause électrique. «Oui, je me suis permis un léger excès de vitesse car je voulais que la France sache qu'avec une voiture électrique, on est exactement comme dans une voiture thermique. C'est la même puissance, la même nervosité», a ainsi déclaré Arnaud Montebourg lors d'un déplacement à Figeac, dans le Lot.
Et de plaisanter: «Je me suis permis d'aller à 66 km/heure. C'est vraiment un excès que, j'espère, on me pardonnera!»
BFMTV avec Montebourg au volant de la Renault Zoe par BFMTV
http://www.20minutes.fr/article/1016205/montebourg-reconnait-avoir-commis-exces-vitesse-defendre-cause-electrique
Boutin : le trésorier de l'UMP "surpris"
Le trésorier de l'UMP, Dominique Dord, s'est dit "surpris" jeudi que Christine Boutin (PCD) réclame à son parti un versement de 180.000 euros au titre d'un accord passé avec Nicolas Sarkozy sur une compensation à hauteur de 800.000 euros de son retrait de la course à l'Elysée. "Ma première réaction a été la surprise", a expliqué le député de Savoie en disant ne pas voir "quelle pièce justificative permettrait de verser 180.000 euros à Mme Boutin".
"Je tombe des nues et j'ai d'ailleurs demandé à Christine Boutin de me transmettre la copie d'une lettre, une convention ou un engagement pouvant justifier une telle somme", a-t-il ajouté. "Moi, je n'ai pas de trace de cela", a-t-il affirmé ajoutant qu'il trouvait quelque peu "inconvenant et choquant" que la présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD) mette ainsi "Nicolas Sarkozy dans cette boucle".
"Je sais que de l'argent lui a déjà été versé mais cela a été fait dans le cadre d'une convention comme l'UMP en a avec d'autres personnes morales, clubs ou partis associés", justifie Dominique Dord en affirmant ne pas connaître la nature exacte de cette convention. "Je suis assez loin des pièces justificatives de l'UMP", dit-il.
jeudi 4 octobre 2012
L'UDI, "tentative de la dernière chance"
Hervé Morin (Nouveau centre) estime que l'UDI de Jean-Louis Borloo "est un peu la tentative de la dernière chance" pour que le centre-droit existe en France, et critique "l'isolement" de François Bayrou, dans un entretien à paraître demain dans La Croix.
Alors que le centre a connu une guerre de leadership ces dernières années, notamment entre Hervé Morin et Jean-Louis Borloo, "aujourd'hui, nous sommes prêts psychologiquement à effacer les rancoeurs", a dit le président du Nouveau centre à l'émission "Face aux chrétiens" (Radio Notre-Dame/RCF/La Croix).
Pour donner une expression politique au centre-droit, "l'UDI (Union des démocrates et indépendants), c'est un peu la tentative de la dernière chance", dit-il. "Je pense que Jean-Louis Borloo est très bien placé pour être le bon candidat à Paris (aux municipales de 2014, ndlr) pour battre les socialistes, et qu'aux européennes nous sommes capables d'incarner ce courant", qu'Hervé Morin décrit comme "humaniste, économiquement libéral et profondément européen".
Le rassemblement des centres peut-il s'opérer sans François Bayrou (MoDem) ? L'ex ministre de la Défense répond que "la seule différence que nous ayons avec François Bayrou, c'est qu'il dit que l'indépendance c'est l'isolement : ni droite ni gauche, ce qui fait qu'on n'est nulle part. "François Bayrou a plongé la famille centriste dans une espèce de triangle des Bermudes", fait-il valoir, en prônant l'alliance du centre avec la droite. "Les forces qui poussent au bipartisme n'ont jamais été aussi puissantes", selon lui.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00777-l-udi-tentative-de-la-derniere-chance.php
Alors que le centre a connu une guerre de leadership ces dernières années, notamment entre Hervé Morin et Jean-Louis Borloo, "aujourd'hui, nous sommes prêts psychologiquement à effacer les rancoeurs", a dit le président du Nouveau centre à l'émission "Face aux chrétiens" (Radio Notre-Dame/RCF/La Croix).
Pour donner une expression politique au centre-droit, "l'UDI (Union des démocrates et indépendants), c'est un peu la tentative de la dernière chance", dit-il. "Je pense que Jean-Louis Borloo est très bien placé pour être le bon candidat à Paris (aux municipales de 2014, ndlr) pour battre les socialistes, et qu'aux européennes nous sommes capables d'incarner ce courant", qu'Hervé Morin décrit comme "humaniste, économiquement libéral et profondément européen".
Le rassemblement des centres peut-il s'opérer sans François Bayrou (MoDem) ? L'ex ministre de la Défense répond que "la seule différence que nous ayons avec François Bayrou, c'est qu'il dit que l'indépendance c'est l'isolement : ni droite ni gauche, ce qui fait qu'on n'est nulle part. "François Bayrou a plongé la famille centriste dans une espèce de triangle des Bermudes", fait-il valoir, en prônant l'alliance du centre avec la droite. "Les forces qui poussent au bipartisme n'ont jamais été aussi puissantes", selon lui.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00777-l-udi-tentative-de-la-derniere-chance.php
Fillon atteint de colique néphrétique
Le candidat à la présidence de l'UMP François Fillon a annulé jeudi une rencontre avec des militants du parti à La Tour-du-Pin, en Isère, en raison d'une colique néphrétique, a-t-on appris dans son entourage.
C'est Valérie Pécresse qui doit remplacer l'ex-Premier ministre à cette rencontre prévue à 15H30, mais François Fillon devrait être présent à la réunion publique programmée dans la soirée à Domène (Isère), a-t-on précisé de même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Le député de Paris, favori des sondages devant Jean-François Copé pour le vote militant du 18 novembre, a tenu mercredi soir une réunion publique de près de deux heures à Corbeil-Essonnes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00550-fillon-atteint-de-colique-nephretique.php
C'est Valérie Pécresse qui doit remplacer l'ex-Premier ministre à cette rencontre prévue à 15H30, mais François Fillon devrait être présent à la réunion publique programmée dans la soirée à Domène (Isère), a-t-on précisé de même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Le député de Paris, favori des sondages devant Jean-François Copé pour le vote militant du 18 novembre, a tenu mercredi soir une réunion publique de près de deux heures à Corbeil-Essonnes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00550-fillon-atteint-de-colique-nephretique.php
Martine Aubry se débride sur Inter
Invitée de France Inter jeudi matin, Martine Aubry a adopté un ton très détendu pour répondre aux questions posées. Elle a notamment raconté avoir joué à placer des mots dans ses interventions quand elle était députée.
"On passait des nuits jusqu’à 5h du matin à l’Assemblée nationale. Entre minuit et 5h du matin, c’est vrai qu’il y a peu de députés. Et donc, avec nos camarades, notamment Claude Bartolone, qui présidait la commission des Affaires sociales, on se disait qu’on allait placer des mots", raconte l'ancienne première secrétaire du PS.
"Mais c’était des mots hallucinants, du genre tonsure, hippopotame… Quand on parle des 35 heures, des emplois jeunes ou de la loi de financement de la sécurité sociale, ce n’est pas facile. En général, on y arrivait."
"Allo Martine ? C'est Ségolène"
Martine Aubry s'est aussi prêtée à une imitation de son ancienne rivale, Ségolène Royal.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00524-martine-aubry-se-debride-sur-inter.php
"On passait des nuits jusqu’à 5h du matin à l’Assemblée nationale. Entre minuit et 5h du matin, c’est vrai qu’il y a peu de députés. Et donc, avec nos camarades, notamment Claude Bartolone, qui présidait la commission des Affaires sociales, on se disait qu’on allait placer des mots", raconte l'ancienne première secrétaire du PS.
"Mais c’était des mots hallucinants, du genre tonsure, hippopotame… Quand on parle des 35 heures, des emplois jeunes ou de la loi de financement de la sécurité sociale, ce n’est pas facile. En général, on y arrivait."
"Allo Martine ? C'est Ségolène"
Martine Aubry s'est aussi prêtée à une imitation de son ancienne rivale, Ségolène Royal.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00524-martine-aubry-se-debride-sur-inter.php
11 propositions pour la vie politique
Le député Yves Jégo et le sénateur Vincent Delahaye (PR) ont formulé 11 propositions pour moderniser la vie politique et économiser 430 millions d'euros. Ils les ont transmises mardi à Lionel Jospin, président de la Commission sur la rénovation et la déontologie de la vie publique. "Nos suggestions présentent l'avantage d'être concrètes, raisonnables et économiques, elles ne sont ni de droite, ni de gauche et sont, à ce titre susceptibles de faire l'objet d'un consensus", écrivent les deux élus radicaux.
Ainsi, par exemple, pour lutter contre l'abstention, les parlementaires proposent de regrouper en une seule date élections présidentielle et législatives (avec 15 jours d'intervalle entre les deux tours) et élections municipales et territoriales (avec 8 jours d'intervalle). Ils suggèrent également de réduire le nombre des députés à 400 (contre 577) et des sénateurs à 200 (contre 348) et de supprimer les Conseillers régionaux, les élus départementaux siégeant alors, tous ou en partie, au sein du conseil régional. Les deux élus proposent encore de limiter à 20 le nombre de ministres et d'instiller une dose de proportionnelle aux législatives.
Rencontre Hollande-Monti-Rajoy vendredi
Une rencontre trilatérale est prévue vendredi à Malte entre François Hollande et les chefs de gouvernements italien et espagnol Mario Monti et Mariano Rajoy, en marge du sommet de Malte du dialogue 5+5, a confirmé jeudi l'Elysée.La rencontre aura lieu à 16h GMT (18h Paris) et durera une demi-heure, précise l'Elysée dans le programme diffusé à la presse. Le dialogue 5+5 regroupe cinq pays d'Europe du Sud et 5 pays d'Afrique du nord.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Rencontre-Hollande-Monti-Rajoy-vendredi-564318
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Rencontre-Hollande-Monti-Rajoy-vendredi-564318
Jean-Marc Ayrault a reporté un déplacement initialement prévu jeudi à Grenoble sur la politique de la Ville, après le double meurtre survenu à la Villeneuve, a indiqué mercredi Matignon. Cette visite, dont la date avait été décidée avant le drame, devrait avoir lieu probablement à la fin du mois d'octobre, a-t-on ajouté de même source.
Plus de 1.000 personnes ont assisté mercredi après-midi à la mosquée d'Echirolles aux obsèques de Kevin et Sofiane, deux jeunes de 21 ans tués vendredi soir lors d'une rixe.
Le Roux rappelle les députés PS à l’ordre
Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l’Assemblée, a envoyé hier à tous les députés PS un courrier pour leur demander d’observer la discipline de vote en faveur du traité budgétaire européen. «Je tiens à te rappeler que l'article 17 de notre Règlement prévoit que l'unité de vote est la règle. Les députés qui adhérent au Groupe s'engagent à adopter et respecter un mode de fonctionnement collectif», écrit le député de Seine-Saint-Denis dans cette lettre, publiée par LeLab.fr. «Les questions qui engagent le groupe sont librement débattues mais une fois la position du Groupe arrêtée, la discipline de vote et d'expression est une règle impérative», ajoute-t-il. Et de conclure : «Je sais qu'en ce début de mandature tu auras à cœur de permettre à notre groupe une démonstration de force et de volonté sur ces textes. Je t'en remercie».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00416-le-roux-rappelle-les-deputes-ps-a-lordre.php
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/04/97001-20121004FILWWW00416-le-roux-rappelle-les-deputes-ps-a-lordre.php
Raffarin hostile à un retour de Sarkozy
"Je préfèrerais que la jeune génération assume notre avenir", a déclaré jeudi Jean-Pierre Raffarin. L'ancien Premier ministre UMP s'est ainsi opposé implicitement à l'éventuel retour de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2017. "On ne se baigne pas deux fois dans le même fleuve, disait-on", a commenté le sénateur de la Vienne sur RMC Info et BFM TV.
L'ancien ministre UMP Bruno Le Maire, qui a rencontré récemment Nicolas Sarkozy, a estimé mardi sur Public Sénat que si l'ancien président décidait de revenir à l'avant-scène, les responsables de l'UMP, dont François Fillon et Jean-François Copé, adversaires pour la présidence de l'UMP, n'auraient d'autre choix que de s'effacer. Selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy aurait expliqué qu'il avait l'impératif "moral" de se présenter en 2017 face à un François Hollande qui "abaisse la fonction (présidentielle) et le rôle de la France".
Les cotes de confiance d’Hollande et Ayrault chutent dans le Baromètre Figaro Magazine
La cote de confiance du président de la République François Hollande et celle de son premier ministre Jean-Marc Ayrault chutent lourdement dans la dernière version du Baromètre Figaro Magazine réalisé par TNS Sopra Group.
Le président de la République perd 9 points à 41%, le même taux que son premier ministre qui perd de son côté 10 points.
Retrouvez l’intégralité de cette étude.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/03/97001-20121003FILWWW00508-les-cotes-de-confiance-dhollande-et-ayrault-chutent-dans-le-barometre-figaro-magazine.php
Le président de la République perd 9 points à 41%, le même taux que son premier ministre qui perd de son côté 10 points.
Retrouvez l’intégralité de cette étude.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/03/97001-20121003FILWWW00508-les-cotes-de-confiance-dhollande-et-ayrault-chutent-dans-le-barometre-figaro-magazine.php
Florange: CGT et NPA pour un contrôle public
Le secrétaire national de la CGT, Bernard Thibault, et le candidat du NPA à la dernière présidentielle, Philippe Poutou, ont sous deux demandé un contrôle public de l'usine ArcelorMittal de Florange (Moselle), où ils sont rendus séparément mercredi.
"Pour ce secteur essentiel au tissu industriel du pays (ndlr: la sidérurgie), nous préconisons une maîtrise publique de ce type d'activité et, particulièrement, de cette usine", a déclaré M. Thibault à des journalistes devant la "porte de la vallée", une nouvelle fois bloquée depuis le début de la semaine par une intersyndicale CGT-CFDT-FO.
Presque simultanément à la "porte Ste Agathe", située à moins de trois kilomètres et également barrée depuis trois jours, Philippe Poutou a "exigé" de son côté une "réquisition des moyens de production". "Il faut faire passer cette usine sous le contrôle des salariés de manière à établir un rapport de force avec les capitalistes", a-t-il dit devant la presse.
Moscovici : "aucun indice d'exode fiscal"
Le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, affirme ne percevoir "aucun indice d'exil fiscal massif aujourd'hui", après l'instauration d'une taxe à 75% frappant les très hauts revenus. Dans un entretien au quotidien Le Parisien de mercredi, Pierre Moscovici estime que "le débat autour de cette taxe est clos", les intéressés ayant "fini par comprendre qu'ils devaient et pouvaient la payer".
Cette taxe est "temporaire" et elle "prendra fin en 2014", a-t-il réitéré. Le ministre a souligné que ceux qui pouvaient être tentés par l'exil fiscal à l'étranger "feraient bien d'y réfléchir à deux fois", au regard de l'expérience de Bernard Arnault (LVMH) qui n'a pas échappé "à un effet d'image désastreux" en sollicitant la double nationalité belge.
L'UMP envisage 5 à 10 mds d'économies
L'UMP proposera de 5 à 10 milliards d'euros d'économies supplémentaires en 2013 et de limiter les hausses d'impôts prévues par le gouvernement, a déclaré aujourd'hui le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Gilles Carrez.
Les projets de budget de l'Etat et de la sécurité sociale prévoient 20 milliards d'euros d'impôts nouveaux l'an prochain (10 sur les entreprises et 10 sur les ménages), 10 milliards d'économies sur l'Etat et 2,4 milliards sur les comptes sociaux.
"On va se donner comme objectif d'arriver à moitié impôts-moitié économies, et la priorité sur les hausses d'impôts à éviter, pour nous, c'est les entreprises", a dit Gilles Carrez lors d'une rencontre avec des journalistes.
Prié de dire s'il s'agissait bien de 5 milliards d'euros d'économies en plus, il a répondu : "C'est l'ordre de grandeur, certains collègues disent 10. Dix, peut-être, mais encore faut-il les trouver de façon raisonnable."
Pour la sécurité sociale, l'UMP souhaite contraindre davantage la hausse des dépenses de santé. "Nous récusons le fait que l'on prenne un Ondam (Objectif national des dépenses d'assurance maladie NDLR) à 2,7% alors qu'on aura réalisé 2,5% en 2011 et très certainement en 2012", a dit Gilles Carrez.
Pour l'Etat, "nous poursuivons le remplacement d'un départ en retraite sur deux", a-t-il ajouté, une proposition qui n'a aucune chance d'avoir l'aval du gouvernement, et 500 millions d'euros seront cherchés sur les mesures salariales catégorielles.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/03/97002-20121003FILWWW00562-l-ump-envisage-5-a-10-mds-d-economies.php
Les projets de budget de l'Etat et de la sécurité sociale prévoient 20 milliards d'euros d'impôts nouveaux l'an prochain (10 sur les entreprises et 10 sur les ménages), 10 milliards d'économies sur l'Etat et 2,4 milliards sur les comptes sociaux.
"On va se donner comme objectif d'arriver à moitié impôts-moitié économies, et la priorité sur les hausses d'impôts à éviter, pour nous, c'est les entreprises", a dit Gilles Carrez lors d'une rencontre avec des journalistes.
Prié de dire s'il s'agissait bien de 5 milliards d'euros d'économies en plus, il a répondu : "C'est l'ordre de grandeur, certains collègues disent 10. Dix, peut-être, mais encore faut-il les trouver de façon raisonnable."
Pour la sécurité sociale, l'UMP souhaite contraindre davantage la hausse des dépenses de santé. "Nous récusons le fait que l'on prenne un Ondam (Objectif national des dépenses d'assurance maladie NDLR) à 2,7% alors qu'on aura réalisé 2,5% en 2011 et très certainement en 2012", a dit Gilles Carrez.
Pour l'Etat, "nous poursuivons le remplacement d'un départ en retraite sur deux", a-t-il ajouté, une proposition qui n'a aucune chance d'avoir l'aval du gouvernement, et 500 millions d'euros seront cherchés sur les mesures salariales catégorielles.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/03/97002-20121003FILWWW00562-l-ump-envisage-5-a-10-mds-d-economies.php
mercredi 3 octobre 2012
Christine Boutin va toucher 800.000 euros de l'UMP
La présidente du Parti Chrétien démocrate (PCD) Christine
Boutin va toucher 180.000 euros de l'UMP d'ici
au mois de novembre, compensation financière, dit-elle, pour le retrait de sa
candidature face à Nicolas Sarkozy à la dernière présidentielle. "J'ai passé une
alliance avec Nicolas Sarkozy en février, quand j'ai retiré ma candidature à la
présidentielle", explique l'ancienne ministre du Logement à l'hebdomadaire
Valeurs actuelles à paraître Jeudi.
"En le soutenant, je renonçais aux 800.000 euros de financement
public de ma campagne, somme que j'avais déjà dépensée. Nicolas Sarkozy s'était
engagé à ce que cette somme me soit remboursée par l'UMP", affirme-t-elle.
Interrogée par l'AFP, Christine Boutin a précisé avoir déjà perçu à ce titre
500.000 euros de l'UMP en juin dernier. La loi sur le remboursement des frais de
campagne prévoit un remboursement de 800.000 euros pour les candidats du premier
tour ayant obtenu moins de 5% des suffrages exprimés.
"L'UMP a une dette vis-à-vis de moi"
Valeurs Actuelles fait état, sans le nommer, des
confidences d'un député UMP laissant entendre que le versement de cette somme
serait une contrepartie de l'engagement de la présidente du PCD en faveur de
Jean-François Copé dans la course à la présidence de l'UMP. Une version
formellement démentie par l'intéressée qui se dit "blessée que l'on ait pu
imaginer une seconde" qu'elle était "achetable". "Je suis allée voir François
Fillon et Jean-François Copé à plusieurs reprises. Seul Copé m'a écrit une
lettre très claire sur l'alliance de l'UMP et du PCD, garantissant l'autonomie
et l'indépendance de mon parti", fait-elle valoir pour justifier son choix en
faveur du secrétaire général de l'UMP.
"L'UMP a une dette vis-à-vis de moi, j'ai des preuves de
l'engagement de Sarkozy de me rembourser ces 800.000 euros", insiste Christine
Boutin. "J'ai malheureusement dû me battre pour commencer à en voir la couleur.
J'ai même dû vendre ma permanence pour solder une partie de ma dette.
D'ailleurs, après avoir touché ces trois chèques (de 60.000 euros chacun, ndlr),
l'UMP me devra encore 120.000 euros dette que Fillon devra honorer s'il est élu
président du mouvement", souligne-t-elle.
Nicolas Sarkozy reviendrait pour la présidentielle de 2017
L'ancien président de la République se serait confié à Bruno Le Maire, selon «Le Canard Enchaîné»...
Nicolas Sarkozy préparerait son retour pour l’échéance de l’élection présidentielle de 2017. C’est ce qu’aurait dit l’ancien président de la République à Bruno Le Maire, dans des propos rapportés par Le Canard Enchaîné, cité par le site Le Lab ce mercredi matin.
A l’ancien ministre de l’Agriculture et promoteur de son programme présidentiel en 2012, Nicolas Sarkozy aurait dit: «Vu l'état désastreux dans lequel la France risque de se trouver dans cinq ans, je n'aurai pas le choix en 2017 (…) La question n'est pas de savoir si je vais revenir mais si j'ai le choix, moralement, vis-à-vis de la France, de ne pas revenir», ajoutant: «Je ne peux pas me défausser moralement vis-à-vis des Français.»
La question du retour de Nicolas Sarkozy reste toujours en suspens, perturbant de facto la campagne pour la présidence de l’UMP, une majorité de sympathisants de droite souhaitant le retour à la vie publique de l’ancien chef de l’Etat.
http://www.20minutes.fr/article/1015259/nicolas-sarkozy-reviendrait-presidentielle-2017
Nicolas Sarkozy préparerait son retour pour l’échéance de l’élection présidentielle de 2017. C’est ce qu’aurait dit l’ancien président de la République à Bruno Le Maire, dans des propos rapportés par Le Canard Enchaîné, cité par le site Le Lab ce mercredi matin.
A l’ancien ministre de l’Agriculture et promoteur de son programme présidentiel en 2012, Nicolas Sarkozy aurait dit: «Vu l'état désastreux dans lequel la France risque de se trouver dans cinq ans, je n'aurai pas le choix en 2017 (…) La question n'est pas de savoir si je vais revenir mais si j'ai le choix, moralement, vis-à-vis de la France, de ne pas revenir», ajoutant: «Je ne peux pas me défausser moralement vis-à-vis des Français.»
La question du retour de Nicolas Sarkozy reste toujours en suspens, perturbant de facto la campagne pour la présidence de l’UMP, une majorité de sympathisants de droite souhaitant le retour à la vie publique de l’ancien chef de l’Etat.
http://www.20minutes.fr/article/1015259/nicolas-sarkozy-reviendrait-presidentielle-2017
Mélenchon dénonce une Europe "austéritaire"
Une nouvelle fois, il s'attaque au gouvernement et au traité budgétaire européen. Jean-Luc Mélenchon déclare mercredi que l'Union européenne est devenue "une dictature financière sur les Etats" dans une interview à Direct matin.
"L'Europe est devenue 'austéritaire'. C'est une dictature financière sur les Etats", déclare le coprésident du Parti de gauche. Au lendemain du discours de Jean-Marc Ayrault en faveur de la ratification du traité budgétaire devant l'Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon qualifie le Premier ministre de "fusible".
Trierweiler est peu appréciée des Français
Le sondage sort alors qu'elle vient de faire son mea culpa. Moins d'un Français sur trois, 29%, a une bonne opinion de la compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, et quatre Français sur dix estiment que la vie privée du président a un impact négatif sur son image, selon un sondage Harris Interactive pour VSD rendu public jeudi.
Parmi les 29% qui déclarent aujourd'hui avoir une bonne image de Valérie Trierweiler, contre 67% déclarant le contraire, seuls 1% des sondés déclarent avoir une "très bonne opinion" sur elle, contre 28% "une plutôt bonne opinion".
En revanche, 43% en ont une "assez mauvaise opinion" et 24% une "très mauvaise opinion".
Peillon ne compte pas toucher aux vacances d'été
Il se dit "déterminé", mais aussi "pragmatique". Le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon envisage de ne pas modifier le calendrier des vacances d'été si la question devait bloquer les autres aspects de la délicate réforme des rythmes scolaires, dans un entretien au journal Les Echos publié sur son site mardi soir.
"Si la question des vacances d'été doit bloquer toutes les autres avancées, je proposerai au Premier ministre de ne pas y toucher", assure Vincent Peillon. "Concentrer l'enseignement sur 144 jours et 36 semaines est un attentat contre notre jeunesse et contre notre avenir", souligne-t-il dans le journal économique.
Les écoliers français ont des journées particulièrement chargées peu propices aux apprentissages concentrés sur 144 jours contre une moyenne européenne de 180 jours.
Trierweiler: Filippetti déplore sa situation
Aurélie Filippetti, la ministre de la Culture et de la Communication, a déploré aujourd'hui qu'il soit "si difficile" pour Valérie Trierweiler, la compagne du président de la République, d'exercer son métier de journaliste.
Valérie Trierweiler a annoncé dans un entretien à Ouest-France qu'elle renonçait à un projet d'émission de télévision sur la chaîne gratuite D8 (groupe Canal +). "Je suis féministe, j'encourage le travail des femmes. Je déplore que pour cette femme en particulier ce soit si difficile de pouvoir exercer son métier aujourd'hui", a déclaré la ministre sur Europe 1. "Le traitement qui est fait aux femmes en général dans le monde professionnel, et à Valérie Trierweiler depuis que François Hollande a pris ses fonctions, me choque", a ajouté Filippetti. "Je crois plus que tout en l'indépendance des journalistes", a-t-elle poursuivi. "Une femme journaliste a sa déontologie comme n'importe quel journaliste".
"A chaque fois que la question se pose entre une femme journaliste et un homme politique, c'est toujours la femme qui fait des sacrifices. Je pense que si la question était inversée, ce ne serait pas la même chose", a-t-elle relevé, se disant "choquée" par cette situation.
Valérie Trierweiler, qui a travaillé pendant sept ans au sein de la chaîne Direct 8 et continue d'exercer sa profession à Paris-Match, a annoncé mercredi qu'"après une période de réflexion" elle a choisi de renoncer à son projet pour D8, ex-Direct 8. Selon elle, "c'était un beau projet à vocation humanitaire, mais je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c'est pour cette raison que je ne donne pas suite".
Valérie Trierweiler a annoncé dans un entretien à Ouest-France qu'elle renonçait à un projet d'émission de télévision sur la chaîne gratuite D8 (groupe Canal +). "Je suis féministe, j'encourage le travail des femmes. Je déplore que pour cette femme en particulier ce soit si difficile de pouvoir exercer son métier aujourd'hui", a déclaré la ministre sur Europe 1. "Le traitement qui est fait aux femmes en général dans le monde professionnel, et à Valérie Trierweiler depuis que François Hollande a pris ses fonctions, me choque", a ajouté Filippetti. "Je crois plus que tout en l'indépendance des journalistes", a-t-elle poursuivi. "Une femme journaliste a sa déontologie comme n'importe quel journaliste".
"A chaque fois que la question se pose entre une femme journaliste et un homme politique, c'est toujours la femme qui fait des sacrifices. Je pense que si la question était inversée, ce ne serait pas la même chose", a-t-elle relevé, se disant "choquée" par cette situation.
Valérie Trierweiler, qui a travaillé pendant sept ans au sein de la chaîne Direct 8 et continue d'exercer sa profession à Paris-Match, a annoncé mercredi qu'"après une période de réflexion" elle a choisi de renoncer à son projet pour D8, ex-Direct 8. Selon elle, "c'était un beau projet à vocation humanitaire, mais je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c'est pour cette raison que je ne donne pas suite".
La compagne du président de la République avait animé sur Direct 8, appartenant à l'époque au groupe Bolloré, plusieurs émissions politiques et un magazine culturel qu'elle a dû arrêter après l'élection de François Hollande.
Jean-Louis Borloo se moque de François Hollande à l'Assemblée
Le président du nouveau parti centriste UDI (Union des Démocrates et Indépendants) et du groupe parlementaire de centre-droit s'est fait remarquer, hier, à la tribune de l'Assemblée Nationale. Peu de temps après le plaidoyer du Premier ministre Jean-Marc Ayrault en faveur du traité européen, Jean-Louis Borloo s'est lancé dans une longue tirade ironisant sur la renégociation du texte par François Hollande, comparé au projet de Nicolas Sarkozy.
"Ah ce conseil européen des 28 et 29 juin ! Bonjour, je me présente, je suis le président nouvellement élu. Avec mon ministre des Affaires européennes, on vient pour renégocier le traité" s'est écrié Jean-Louis Borloo, assurant que le nouveau Président avait réclamé au minimum la renégociation d'une "petite virgule, juste quelque chose, un point-virgule". Concernant les fonds structurels de développement, Borloo assure que Hollande a quémandé "60 milliards qui traînent", que son gouvernement pourrait "repeindre".
La prestation de Jean-Louis Borloo a de toute évidence provoqué des réactions très tranchées à droite et à gauche, et obligé le Président de l'Assemblée à réclamer le silence. Si certains parlementaires UMP, tels Bernard Acoyer, ont ri de bon cœur, les élus de gauche, et en particulier Jean-Marc Ayrault, n'ont pas du tout goûté à la plaisanterie. Après avoir affiché une mine très dure pendant l'intervention, le Premier ministre a reproché au parlementaire de "confondre la tribune de l'Assemblée nationale avec une scène de théâtre".
http://www.midilibre.fr/2012/10/03/jean-louis-borloo-se-moque-de-francois-hollande-a-l-assemblee,572142.php
"Ah ce conseil européen des 28 et 29 juin ! Bonjour, je me présente, je suis le président nouvellement élu. Avec mon ministre des Affaires européennes, on vient pour renégocier le traité" s'est écrié Jean-Louis Borloo, assurant que le nouveau Président avait réclamé au minimum la renégociation d'une "petite virgule, juste quelque chose, un point-virgule". Concernant les fonds structurels de développement, Borloo assure que Hollande a quémandé "60 milliards qui traînent", que son gouvernement pourrait "repeindre".
La prestation de Jean-Louis Borloo a de toute évidence provoqué des réactions très tranchées à droite et à gauche, et obligé le Président de l'Assemblée à réclamer le silence. Si certains parlementaires UMP, tels Bernard Acoyer, ont ri de bon cœur, les élus de gauche, et en particulier Jean-Marc Ayrault, n'ont pas du tout goûté à la plaisanterie. Après avoir affiché une mine très dure pendant l'intervention, le Premier ministre a reproché au parlementaire de "confondre la tribune de l'Assemblée nationale avec une scène de théâtre".
http://www.midilibre.fr/2012/10/03/jean-louis-borloo-se-moque-de-francois-hollande-a-l-assemblee,572142.php
Moscovici exalte "le sérieux de gauche"
Pierre Moscovici, ministre de l'Economie et des Finances, a exalté mardi le "sérieux de gauche", avant de s'adresser aux députés socialistes sur le traité budgétaire européen.
Devant quelques journalistes, le ministre a lancé, avant de rejoindre ces élus : "le traité ne fait que codifier un certain nombre de règles que nous avons acceptées, des règles de sérieux budgétaire". "Je n'ai pas envie d'une France qui serait petit à petit condamnée à des taux d'intérêt de plus en plus élevés pour elle-même et ses entreprises". "La crédibilité, ce n'est pas une soumission à des traités, c'est un impératif pour la France", a insisté le ministre.
Des députés UMP voteront contre le traité
Une petite dizaine de députés UMP ont annoncé mardi lors d'une conférence de presse qu'ils voteront contre le traité budgétaire européen (TSCG), qu'ils qualifient de "machine infernale" à l'inverse de leur groupe qui approuve très majoritairement le texte.
Il s'agit de cinq députés de la Droite populaire, Jacques Myard, Lionnel Luca, Patrick Labaune, Jean-Pierre Decool et Philippe Meunier, ainsi que de Jean-Frédéric Poisson, proche de Christine Boutin, et de Julien Aubert, élu pour la première fois à l'Assemblée en juin dernier.
D'autres encore devraient faire de même à l'instar de Damien Meslot, qui a annoncé son vote contre le traité budgétaire européen dans un communiqué."Ce traité est une double faute, politique puisqu'il aboutit à un abandon de souveraineté budgétaire sans appel, et économique car il ne résoudra pas la crise, mais accélerera la récession", a fait valoir lors de la conférence de presse Jacques Myard, opposant de longue date à la monnaie unique.
Peltier veut des "journalistes de droite"
La Droite forte, l'un des mouvements de l'UMP qui soumettront une motion au congrès du 18 novembre, a proposé mardi de "démocratiser les chaînes du service public" et "libérer l'information en garantissant l'embauche de journalistes de droite".
"Les penseurs et journalistes de droite comme Eric Brunet, Eric Zemmour et Elisabeth Lévy sont très peu représentés dans l'audiovisuel français. Il s'agirait de rééquilibrer l'information et le commentaire politique, à l'instar de ce que fit François Mitterrand en 1981, au lendemain de son arrivée au pouvoir lorsqu'il obtint l'embauche d'une cinquantaine de journalistes de gauche, tout particulièrement communistes, à la télévision, tels Roland Passevant ou Michel Cardoze", affirment dans un communiqué les responsables de la Droite forte, parmi lesquels figurent les jeunes sarkozystes Camille Bedin, Geoffroy Didier et Guillaume Peltier.
"Sur le modèle des chaînes info (Direct de droite/direct de gauche sur BFMTV, duel Macé-Scaron/Thréard sur i-Télé), les chaînes d'information du service public, radios comme télévisions, mettraient en avant, aux heures de grande écoute, le matin, à midi comme le soir, des journalistes se réclamant de la droite - en plus de ceux de la gauche - afin d'assurer une meilleure représentativité des opinions des Français. Ces nouveaux formats d'équité de traitement médiatique seraient obligatoires lors des matinales comme des journaux de 13h et de 20h des chaînes du service public", demandent-ils.
mardi 2 octobre 2012
Retour de Sarkozy: Personne à l'UMP ne pourra s'y opposer, selon Le Maire
Cela commence à devenir un marronier. L'ex-ministre Bruno Le Maire a prévenu ce mardi que si l'ancien président Nicolas Sarkozy revenait dans le jeu politique, les ténors de l'UMP, «quels qu'ils soient», devraient lui «laisser la place».
«Il suit attentivement ce qui se passe aujourd'hui en France (...) Il est inquiet de la situation économique et de l'effondrement du pays, donc il suit cela attentivement. Ce que j'ai constaté aussi, c'est que c'est un homme en pleine forme, très déterminé. Ensuite, la décision de revenir ou de ne pas revenir lui appartient totalement», a déclaré le député de l'Eure, invité de l'émission Preuve par 3 AFP-Public Sénat.
Nicolas Sarkozy a-t-il fait des commentaires sur l'actuelle compétition Fillon-Copé pour la présidence de l'UMP à Bruno Le Maire, qui l'a vu récemment? «Non, ce qui l'inquiète, c'est plus la situation de la France que ce qui se passe à l'UMP». «Je pense que si Nicolas Sarkozy revient, eh bien les autres, quels qu'ils soient, quels que soient leur talent et leur capacité, laisseront la place à Nicolas Sarkozy», a lâché Bruno Le Maire. Personne ne pourra s'opposer à son retour? «Je pense que ça sera difficile», a-t-il dit en souriant. Jean-François Copé répète à l'envi que «quelle que soit la décision de Nicolas Sarkozy, (il) sera à ses côtés».
http://www.20minutes.fr/ledirect/1014911/retour-sarkozy-personne-ump-pourra-opposer-selon-maire
«Il suit attentivement ce qui se passe aujourd'hui en France (...) Il est inquiet de la situation économique et de l'effondrement du pays, donc il suit cela attentivement. Ce que j'ai constaté aussi, c'est que c'est un homme en pleine forme, très déterminé. Ensuite, la décision de revenir ou de ne pas revenir lui appartient totalement», a déclaré le député de l'Eure, invité de l'émission Preuve par 3 AFP-Public Sénat.
Nicolas Sarkozy a-t-il fait des commentaires sur l'actuelle compétition Fillon-Copé pour la présidence de l'UMP à Bruno Le Maire, qui l'a vu récemment? «Non, ce qui l'inquiète, c'est plus la situation de la France que ce qui se passe à l'UMP». «Je pense que si Nicolas Sarkozy revient, eh bien les autres, quels qu'ils soient, quels que soient leur talent et leur capacité, laisseront la place à Nicolas Sarkozy», a lâché Bruno Le Maire. Personne ne pourra s'opposer à son retour? «Je pense que ça sera difficile», a-t-il dit en souriant. Jean-François Copé répète à l'envi que «quelle que soit la décision de Nicolas Sarkozy, (il) sera à ses côtés».
http://www.20minutes.fr/ledirect/1014911/retour-sarkozy-personne-ump-pourra-opposer-selon-maire
Royal ne suivra pas Hollande à Kinshasa
Contrairement à une information parue mardi dans Les Echos, mardi, Ségolène Royal a confié au Lab d’Europe 1 qu’elle ne fera pas partie de la délégation officielle qui accompagnera François Hollande lors de son déplacement à Kinshasa et à Dakar, à l’occasion du sommet de la Francophonie, du 12 au 14 octobre. "C’est une réunion de chefs d’Etat, et je n’ai pas à y prendre part", a confié la présidente de la région Poitou-Charentes. En revanche, Valérie Trierweiler sera bien du voyage.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Royal-ne-suivra-pas-Hollande-a-Kinshasa-Le-Lab-563664
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Royal-ne-suivra-pas-Hollande-a-Kinshasa-Le-Lab-563664
Dati designe le père de sa fille
Le mystère se lève sur le nom du père de Zohra Dati, la fille de Rachida, née le 2 janvier 2009. Selon Lepoint.fr, le père serait Dominique Desseigne, le P-DG du groupe Lucien Barrière. Il aurait lui-même confirmé l'information au site de l'hebdomadaire lundi soir. "Je n'ai aucun commentaire à faire, sinon la justice me le reprocherait", aurait-il répondu. La maire du VIIe arrondissement de Paris, toujours selon Lepoint.fr, aurait assigné Dominique Desseigne devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité". Une information démentie par Rachida Dati.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Dati-designe-le-pere-de-sa-fille-563402
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Dati-designe-le-pere-de-sa-fille-563402
Fillon : Montebourg a "ouvert la boîte à gifles"
François
Fillon n'est pas tendre, ce mardi dans les colonnes de Nice Matin,
qui l'a interviewé, au sujet des difficultés d'Arnaud
Montebourg. "Il s'est exprimé avec tellement d'arrogance, donnant
des leçons à la terre entière, dans l'opposition, puis ensuite quand il est
arrivé au pouvoir en disant qu'il allait pouvoir sauver des entreprises et
aujourd'hui, l'élastique lui revient dans la figure", déclare le député UMP de
Paris, ancien Premier ministre.
Aux yeux de François Fillon, Arnaud Montebourg "prend claque
sur claque mais c'est lui qui a ouvert la boîte à gifles ! (...) Les salariés
ont bien compris que cela ne sert à rien d'avoir un ministre qui se transforme
en syndicaliste. Ils ont besoin de quelqu'un qui apporte des solutions et dise
la vérité. Il n'y a rien de pire que de laisser les gens dans l'illusion. Parce
que la désillusion est génératrice de conflit et peut-être demain de violence".
Fillon se voit "le mieux placé" pour rassembler à
droite
Le candidat à la présidence de l'UMP, qui était en meeting
lundi soir à Nice, réaffirme par ailleurs qu'il est "compte tenu de (son)
expérience, le mieux placé pour opérer (le) rassemblement" de la droite" et
qu'il a "vocation", s'il est élu par les adhérents du parti le 18 novembre, à
être candidat aux primaires de 2016 pour la présidentielle de 2017. Des
primaires qu'il souhaite "ouvertes à tous ceux qui se réclament de notre
rassemblement de la droite et du centre". "L'intérêt de ces primaires, c'est
d'avoir un seul candidat pour représenter le plus grand nombre possible de
Français", souligne François Fillon.
A la question "Vous effaceriez-vous devant Nicolas
Sarkozy pour 2017 s'il souhaitait revenir ?", l'ex-Premier ministre
se garde bien de répondre. "Arrêtons d'instrumentaliser Nicolas Sarkozy et de
parler à sa place", élude-t-il. S'il est élu président de l'UMP, sa première
décision "sera de proposer à tous les candidats à l'élection à la présidence de
l'UMP d'exercer des responsabilités dans notre équipe".
Trierweiler/TV: "pas convenable"
L'épouse de l'ex-chef de l'Etat Jacques Chirac, Bernadette Chirac, a estimé aujourd'hui sur RTL que présenter une émission de télévision pour une Première dame "ne serait pas convenable".
Invitée à se prononcer sur les choix professionnels de Valérie Trierweiler, la compagne du président François Hollande, Mme Chirac a indiqué qu'elle "ne prononce aucun jugement sur aucune autre femme de chef d'Etat". "Chacune doit se comporter suivant son propre caractère, son propre tempérament".
A la question "Présenter une émission de télé sur Canal +, est-ce que c'est compatible avec la fonction" de première dame ? "Non, non, non, en tout cas, je n'ai pas du tout les moyens intellectuels de faire ça", a-t-elle d'abord répondu. Relancée ensuite avec un "d'une certaine manière, ce n'est pas jouable ?", Bernardette Chirac a lancé: "Non, je pense aussi que ça ne serait pas convenable".
Interrogée sur les éventuels points communs entre M. Hollande et son époux, elle a reconnu que l'actuel président avait, en Corrèze, "travaillé, oui c'est vrai, un peu comme (son) mari, c'est-à-dire les poignées de main, le porte-à-porte, la gentillesse vis-à-vis des personnes âgées". François Hollande "est servi par une très bonne mémoire, il finissait par connaître toutes les familles, il a travaillé le département, je peux le dire, de la même manière que mon mari", a-t-elle ajouté.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00698-trierweilertv-pas-convenable.php
Invitée à se prononcer sur les choix professionnels de Valérie Trierweiler, la compagne du président François Hollande, Mme Chirac a indiqué qu'elle "ne prononce aucun jugement sur aucune autre femme de chef d'Etat". "Chacune doit se comporter suivant son propre caractère, son propre tempérament".
A la question "Présenter une émission de télé sur Canal +, est-ce que c'est compatible avec la fonction" de première dame ? "Non, non, non, en tout cas, je n'ai pas du tout les moyens intellectuels de faire ça", a-t-elle d'abord répondu. Relancée ensuite avec un "d'une certaine manière, ce n'est pas jouable ?", Bernardette Chirac a lancé: "Non, je pense aussi que ça ne serait pas convenable".
Interrogée sur les éventuels points communs entre M. Hollande et son époux, elle a reconnu que l'actuel président avait, en Corrèze, "travaillé, oui c'est vrai, un peu comme (son) mari, c'est-à-dire les poignées de main, le porte-à-porte, la gentillesse vis-à-vis des personnes âgées". François Hollande "est servi par une très bonne mémoire, il finissait par connaître toutes les familles, il a travaillé le département, je peux le dire, de la même manière que mon mari", a-t-elle ajouté.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00698-trierweilertv-pas-convenable.php
Reprise de Florange : l'exécutif "vigilant"
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré lundi que le gouvernement serait "vigilant à ce qu'ArcelorMittal donne accès à toutes les informations" pour que la recherche d'un repreneur à Florange "ait les meilleures chances de réussir". Le gouvernement a missionné Pascal Faure, déjà auteur d'un rapport sur le site, d'organiser la recherche d'un repreneur pour ces installations.
"Dès qu'un candidat repreneur se présentera, nous aurons évidemment les échanges avec eux et nous négocierons entre acheteur et vendeur quel sera la prix de la vente", a déclaré le vice-président d'ArcelorMittal Europe, Henri Blaffart, excluant implicitement toute intervention étatique dans la fixation du prix des hauts-fourneaux. Il a précisé qu'une éventuelle reprise temporaire du site par l'Etat français ne faisait "pas partie des hypothèses".
"Nous ferons tout ce qu'il faut pour faciliter le processus au cours de ces 60 jours", a ajouté Henri Blaffart. Il a estimé qu'un "repreneur éventuel ne peut évidemment être candidat que s'il a une utilisation (de la production de Florange) pour ses propres besoins".
Filippetti critique France Télévisions
Aurélie Filippetti, ministre de la Communication, estime que le groupe France Télévisions, très affecté par la baisse des dotations de l'Etat, doit se repositionner et arrêter "la course à l'audimat", dans un entretien à l'AFP accordé à l'occasion de la publication du Budget 2013.
"La course à l'audimat, sur le même terrain que des chaînes commerciales, n'est pas la bonne manière d'envisager une stratégie pour le service public audiovisuel. Il y a une réflexion qui est en cours avec eux (France Télévisions, ndlr) pour pouvoir réorienter les choses vers une vraie mission de service public", a déclaré la ministre.
"Surtout à l'heure de la multiplication des chaînes et de la TV connectée, la différence se fera vraiment sur la qualité. Je suis persuadée que nos concitoyens attendent cela du service public", a poursuivi Aurélie Filippetti en citant en exemple "La boîte à musique", présentée par Jean-François Zygel l'été sur France 2.
Un député porte plainte contre Valls
Gilles Bourdouleix, député-maire (CNIP) de Cholet (Maine-et-Loire) a porté plainte contre X pour tentative de meurtre et contre le ministre de l'Intérieur Manuel Valls après avoir été menacé et pris à partie par des gens du voyage hier, a-t-il indiqué aujourd'hui.
Selon un communiqué diffusé aujourd'hui par Bourdouleix, président du Centre national des indépendants et paysans (CNIP), des heurts ont eu lieu hier sur un terrain de la commune "envahi" par un groupe de gens du voyage et ce "de façon totalement illégale".
Le député-maire "a tenté de faire imposer la loi malgré la faiblesse des effectifs de police" et "plusieurs personnes, des agents municipaux, le maire et un de ses adjoints ont été bousculés et menacés", selon cette même source. Contacté par téléphone il a expliqué avoir eu affaire à "une arrivée massive de 140 caravanes".
Les services municipaux ont tenté de s'interposer avec l'aide des quatre policiers et deux officiers de police présents dans la ville de 56.000 habitants dimanche. Des renforts de police d'Angers ont été envoyés mais ils ont finalement été rappelés à 19h "sur ordre du préfet du Maine-et-Loire", selon lui. Bourdouleix affirme avoir été ensuite pris pour cible par des gens du voyage "hurlant qu'ils allaient me massacrer, me tuer" et avoir pris "quelques coups de poing à l'épaule". "Je ne sais pas où on est, l'Etat n'a aucune fermeté", s'est indigné l'élu.
Le député-maire et cinq autres élus ou employés de la mairie ont déposé plainte au commissariat de police. Bourdouleix a déposé plainte "contre X pour tentative de meurtre avec les photos des individus incriminés, contre monsieur Valls, ministre de l'Intérieur, pour mise en danger de la vie d'autrui en raison du peu d'effectif de police, contre monsieur Burdeyron, préfet de Maine-et-Loire, pour mise en danger de la vie d'autrui pour avoir fait partir les renforts de police".
Gilles Bourdouleix avait lancé en 2006 une pétition à destination des 36.500 maires de France, réclamant que ces élus aient autorité pour obliger la police nationale à intervenir en cas d'occupation illégale d'un terrain.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00559-un-depute-porte-plainte-contre-valls.php
Selon un communiqué diffusé aujourd'hui par Bourdouleix, président du Centre national des indépendants et paysans (CNIP), des heurts ont eu lieu hier sur un terrain de la commune "envahi" par un groupe de gens du voyage et ce "de façon totalement illégale".
Le député-maire "a tenté de faire imposer la loi malgré la faiblesse des effectifs de police" et "plusieurs personnes, des agents municipaux, le maire et un de ses adjoints ont été bousculés et menacés", selon cette même source. Contacté par téléphone il a expliqué avoir eu affaire à "une arrivée massive de 140 caravanes".
Les services municipaux ont tenté de s'interposer avec l'aide des quatre policiers et deux officiers de police présents dans la ville de 56.000 habitants dimanche. Des renforts de police d'Angers ont été envoyés mais ils ont finalement été rappelés à 19h "sur ordre du préfet du Maine-et-Loire", selon lui. Bourdouleix affirme avoir été ensuite pris pour cible par des gens du voyage "hurlant qu'ils allaient me massacrer, me tuer" et avoir pris "quelques coups de poing à l'épaule". "Je ne sais pas où on est, l'Etat n'a aucune fermeté", s'est indigné l'élu.
Le député-maire et cinq autres élus ou employés de la mairie ont déposé plainte au commissariat de police. Bourdouleix a déposé plainte "contre X pour tentative de meurtre avec les photos des individus incriminés, contre monsieur Valls, ministre de l'Intérieur, pour mise en danger de la vie d'autrui en raison du peu d'effectif de police, contre monsieur Burdeyron, préfet de Maine-et-Loire, pour mise en danger de la vie d'autrui pour avoir fait partir les renforts de police".
Gilles Bourdouleix avait lancé en 2006 une pétition à destination des 36.500 maires de France, réclamant que ces élus aient autorité pour obliger la police nationale à intervenir en cas d'occupation illégale d'un terrain.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00559-un-depute-porte-plainte-contre-valls.php
Les mousquetaires à l'UMP, c'est "chacun pour soi"
François
Baroin annonce qu'il votera pour François
Fillon, dont il loue la "solide expérience de l'Etat", plutôt que
Jean-François
Copé au poste de président de l'UMP, dans une interview au Journal
du dimanche. Réputé proche de Jean-François Copé, avec qui il formait la "bande
des mousquetaires" aux côtés de Bruno Le Maire, Valérie Pécresse, Christian
Jacob et Luc Chatel, M. Baroin a finalement choisi de soutenir M. Fillon, donné
favori par les sondages. "L'expérience de François Fillon, sa sensibilité de
gaulliste social me correspond et elle correspond mieux aux besoins du moment",
justifie M. Baroin.
"L'expérience de François Fillon, sa sensibilité de gaulliste social me correspond et elle correspond mieux aux besoins du moment", justifie M. Baroin. "Les deux candidats sont légitimes. L'un parce qu'il a animé la direction du parti depuis deux ans, l'autre parce qu'il a été chef de la majorité pendant cinq ans et un Premier ministre qui n'a jamais failli", explique l'ancien ministre de l'Economie, qui assure n'appartenir à "aucune écurie" depuis le retrait de Jacques Chirac. "Je m'efforce d'être utile à ma famille politique. La question est de savoir quel seront le rôle et la place de l'UMP dans cette période surtout au moment où on assiste à un affaiblissement très rapide du pouvoir en place", estime-t-il.
http://lci.tf1.fr/politique/les-mousquetaires-a-l-ump-c-est-chacun-pour-soi-7564328.html
"L'expérience de François Fillon, sa sensibilité de gaulliste social me correspond et elle correspond mieux aux besoins du moment", justifie M. Baroin. "Les deux candidats sont légitimes. L'un parce qu'il a animé la direction du parti depuis deux ans, l'autre parce qu'il a été chef de la majorité pendant cinq ans et un Premier ministre qui n'a jamais failli", explique l'ancien ministre de l'Economie, qui assure n'appartenir à "aucune écurie" depuis le retrait de Jacques Chirac. "Je m'efforce d'être utile à ma famille politique. La question est de savoir quel seront le rôle et la place de l'UMP dans cette période surtout au moment où on assiste à un affaiblissement très rapide du pouvoir en place", estime-t-il.
http://lci.tf1.fr/politique/les-mousquetaires-a-l-ump-c-est-chacun-pour-soi-7564328.html
lundi 1 octobre 2012
Commission Jospin : Bachelot porte plainte
L'ex-ministre UMP Roselyne Bachelot a annoncé lundi qu'elle avait déposé plainte contre X pour diffamation après la diffusion sur internet de rumeurs l'accusant à tort de participer contre rémunération à la commission Jospin sur la rénovation de la vie politique.
"J'ai d'abord pensé que ces rumeurs sur internet et les réseaux sociaux", lui imputant une rémunération de 92.000 euros (120.000 à Lionel Jospin) et affirmant que son propre fils était lui aussi rémunéré par la commission "allaient s'éteindre. Ce n'est pas le cas, bien au contraire ! En toute impunité se développe une stratégie de la lettre anonyme qui est absolument odieuse", a expliqué Roselyne Bachelot. "Par ma plainte, j'invite les victimes de ce type de rumeurs à se rebeller. C'est un appel à la rébellion. Mon cri, c'est 'ça suffit !'", ajoute-t-elle.
"Il y a des gens qui cherchent à instrumentaliser cette affaire. Il pourrait y avoir des surprises" à propos des personnes impliquées, a-t-elle ajouté dans une allusion au fait que d'autres proches de François Fillon auraient déjà eu maille à partir avec ces personnes.
Pécresse, Nicolas Sarkozy et "la résurrection"
L'ombre de Nicolas
Sarkozy continue de planer sur la bataille pour la présidence de
l'UMP.
Est-il vraiment en retrait de la vie politique ? Que feraient les uns et les
autres s'il décidait de revenir en 2017 ? Les militants UMP souhaiteront-ils
son retour ? Autant de questions qui sont régulièrement posées aux dirigeants
de la droite.
Dimanche soir sur BFM, Valérie Pécresse, soutien de François Fillon, a eu des phrases sur Nicolas Sarkozy qui ont suscité l'ironie des internautes sur les réseaux sociaux. Ainsi, interrogée sur l'adjectif « posthume » employé la semaine derrière à propos du bilan de l'ancien chef de l'Etat, la députée UMP des Yvelines a rectifié le tir. Elle a en effet regretté que le gouvernement de François Fillon soit « mort et enterré » et déclaré qu'elle « portait le deuil ».
Puis en souriant, elle a ajouté cette phrase, toujours à propos de Nicolas Sarkozy : "il y a un livre qui est le plus vendu au monde et qui s'appelle la Bible, et dans la Bible, il y a la possibilité de la résurrection". Parler de « résurrection » à propos de Nicolas Sarkozy, comparé donc à Dieu, voilà qui a fait réagir, notamment sur Twitter. http://lci.tf1.fr/politique/pecresse-nicolas-sarkozy-et-la-resurrection-7564432.html
Dimanche soir sur BFM, Valérie Pécresse, soutien de François Fillon, a eu des phrases sur Nicolas Sarkozy qui ont suscité l'ironie des internautes sur les réseaux sociaux. Ainsi, interrogée sur l'adjectif « posthume » employé la semaine derrière à propos du bilan de l'ancien chef de l'Etat, la députée UMP des Yvelines a rectifié le tir. Elle a en effet regretté que le gouvernement de François Fillon soit « mort et enterré » et déclaré qu'elle « portait le deuil ».
Puis en souriant, elle a ajouté cette phrase, toujours à propos de Nicolas Sarkozy : "il y a un livre qui est le plus vendu au monde et qui s'appelle la Bible, et dans la Bible, il y a la possibilité de la résurrection". Parler de « résurrection » à propos de Nicolas Sarkozy, comparé donc à Dieu, voilà qui a fait réagir, notamment sur Twitter. http://lci.tf1.fr/politique/pecresse-nicolas-sarkozy-et-la-resurrection-7564432.html
Pour Mélenchon, Ayrault "est un problème"
Jean-Luc Mélenchon s'est était déjà pris à Jean-Marc Ayrault sur son blog, il y a quelques jours. Le coprésident du Parti de gauche a récidivé lundi, accusant le Premier ministre Jean-Marc Ayrault d'être "un problème". Sur France Inter, l'eurodéputé a déclaré, à propos du chef du gouvernement : "Depuis le début, c'est le mépris, il ne parle à personne".
Jean-Luc Mélenchon a rappelé avoir "posé des questions" à Jean-Marc Ayrault dont le "gouvernement ne marque aucun rapport de force avec le capital". "Et, qu'est-ce qu'il a répondu, avec toute sa brillance intellectuelle ? Que je n'avais pas été élu président de la République, ni même député".
"Jean-Marc Ayrault est un problème dans la mesure où il ne parle à personne" n'ayant pas "simplement la courtoisie de pouvoir échanger", a insisté Jean-Luc Mélenchon.
Beancenot réclame la réquisition de Florange
Il a aussitôt réagi après l'annonce attendue. Olivier Besancenot (NPA) a demandé lundi, peu avant l'annonce officielle de la fermeture des hauts fourneaux de Florange, la "réquisition" du site lorrain pour continuer à y fabriquer de l'acier. "La balle est dans le camp des pouvoirs publics", "les travailleurs doivent pouvoir continuer la production, donc ce doit être mis sous contrôle public, il faut réquisitionner ce site-là", a demandé le responsable trotskiste sur i-Télé.
La solution proposée par le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg - trouver un repreneur - ne satisfait pas l'ancien candidat à l'Elysée : "il quémande, comme d'habitude, comme le gouvernement. On est dans un aveu d'impuissance".
INFO LE FIGARO : Marisol Touraine annonce un déficit Sécu de 11,4 milliards en 2013
Le projet de loi (PLFSS 2013) fixe un objectif de 11,4 milliards d’euros de déficit pour le régime général, auquel s’ajoutera 2,6 milliards pour le Fonds de solidarité vieillesse (FSV), annonce la ministre des Affaires sociales et de la Santé dans un entretien au Figaro. C’est 3,5 milliards de moins qu’en 2012.
L’ensemble des branches contribuera à cette amélioration. Le déficit de la branche maladie sera de 5,1 milliards. La branche vieillesse sera à -4 milliards; la branche famille à -2,6 milliards. Quant à la branche accidents du travail, elle affichera 300 millions d’excédent. Toutes bénéficieront de recettes supplémentaires et l’assurance maladie réalisera 2,4 milliards d’économies par rapport à la hausse tendancielle des dépenses.
L’objectif de dépenses maladie (Ondam) sera en hausse de 2,7% : 2,6% pour l’hôpital et pour la médecine de ville, et 4% pour le secteur médico-social
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/01/97002-20121001FILWWW00455-info-le-figaro-marisol-touraine-annonce-un-deficit-secu-de-114-milliards-en-2013.php
L’ensemble des branches contribuera à cette amélioration. Le déficit de la branche maladie sera de 5,1 milliards. La branche vieillesse sera à -4 milliards; la branche famille à -2,6 milliards. Quant à la branche accidents du travail, elle affichera 300 millions d’excédent. Toutes bénéficieront de recettes supplémentaires et l’assurance maladie réalisera 2,4 milliards d’économies par rapport à la hausse tendancielle des dépenses.
L’objectif de dépenses maladie (Ondam) sera en hausse de 2,7% : 2,6% pour l’hôpital et pour la médecine de ville, et 4% pour le secteur médico-social
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/01/97002-20121001FILWWW00455-info-le-figaro-marisol-touraine-annonce-un-deficit-secu-de-114-milliards-en-2013.php
UMP: ni affiche, ni slogan pour Copé
Jean-François Copé, prié aujourd'hui de commenter une affiche de campagne de François Fillon, son rival pour la présidence de l'UMP, a assuré que lui-même ne recourait pas à l'affiche ou au slogan "parce que ce n'est pas une primaire avant l'heure". "C'est très joli", a déclaré le député-maire de Meaux sur BFMTV et RMC à propos de cette affiche. On y voit un gros plan de l'ancien premier ministre souriant se détachant sur le bleu d'un drapeau tricolore.
"Moi je n'ai pas fait d'affiche ou de slogan parce que j'ai pensé que ce n'est pas une campagne présidentielle. Ce n'est pas une primaire avant l'heure", a expliqué l'ex-ministre. "J'ai toujours dit: il s'agit d'élire le président de l'UMP pour 3 ans". "Ce qui compte aujourd'hui, c'est qui peut porter, par son dynamisme, les conditions d'une vague bleue en 2014. C'est-à-dire reconquérir le coeur des Français".
Interrogé sur les soutiens qui se portent sur son adversaire, comme celui de l'ex-ministre François Baroin - "des liens d'amitié très anciens me liaient à lui", a relevé M. Copé - le secrétaire général de l'UMP a déclaré : "je ne peux pas consacrer plus de temps à ceux qui, calculette en mains, ne sont pas avec moi, qu'à tous ceux qui courageusement", le soutiennent. "Quand on voit les sondages, c'est courageux de venir avec moi", a noté M. Copé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00465-ump-ni-affiche-ni-slogan-pour-cope.php
"Moi je n'ai pas fait d'affiche ou de slogan parce que j'ai pensé que ce n'est pas une campagne présidentielle. Ce n'est pas une primaire avant l'heure", a expliqué l'ex-ministre. "J'ai toujours dit: il s'agit d'élire le président de l'UMP pour 3 ans". "Ce qui compte aujourd'hui, c'est qui peut porter, par son dynamisme, les conditions d'une vague bleue en 2014. C'est-à-dire reconquérir le coeur des Français".
Interrogé sur les soutiens qui se portent sur son adversaire, comme celui de l'ex-ministre François Baroin - "des liens d'amitié très anciens me liaient à lui", a relevé M. Copé - le secrétaire général de l'UMP a déclaré : "je ne peux pas consacrer plus de temps à ceux qui, calculette en mains, ne sont pas avec moi, qu'à tous ceux qui courageusement", le soutiennent. "Quand on voit les sondages, c'est courageux de venir avec moi", a noté M. Copé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/01/97001-20121001FILWWW00465-ump-ni-affiche-ni-slogan-pour-cope.php
Brochette lilloise
Samedi prochain, pour le lancement de l’événement culturel lillois Fantastic 2012, Martine Aubry s’affichera aux côtés de Jean-Marc Ayrault, de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, et de ses amis ministres François Lamy et Marylise Lebranchu.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Brochette-lilloise-562398
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Brochette-lilloise-562398
Ministre de l’Intérieur... et de l’extérieur
Manuel Valls fait feu de tous bois. Place Beauvau, il a reçu nombre de ses prédécesseurs (Chevènement, Vaillant, Joxe, Hortefeux et bientôt Pasqua). Il a aussi rencontré plusieurs fois son ancien mentor, Lionel Jospin, et déjeuné vendredi avec un Michel Rocard "en pleine forme". Sur le front étranger, le ministre de l’Intérieur ira à Rome début novembre à l’AG d’Interpol pour soutenir la candidature française de Mireille Ballestrazzi. Valls se rendra ensuite en Algérie, au Sénégal, aux États-Unis et même en Chine.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Ministre-de-l-Interieur-et-de-l-exterieur-562404
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Ministre-de-l-Interieur-et-de-l-exterieur-562404
Dupont-Aignan critique Montebourg
Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République) a accusé dimanche Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, de "tromper" les ouvriers d'ArcelorMittal en suivant une "politique de pure folie". "Qui est en train de tromper les ouvriers de Mittal ? Arnaud Montebourg, lui qui avait dit comme moi, pendant les primaires socialistes, que si on ne mettait pas en Europe un protectionnisme intelligent en place on verrait partir toutes nos usines", a-t-il déclaré sur France 3.
Le député non inscrit de l'Essonne a jugé que les socialistes menaient la même politique que l'UMP et Nicolas Sarkozy en la matière. "Aujourd'hui, il est impuissant parce qu'il suit la politique de Hollande, de Nicolas Sarkozy, de l'Union européenne, qui est une politique de pure folie", a-t-il lancé. Pour Nicolas Dupont-Aignan, "M. Hollande comme M. Sarkozy, le PS comme l'UMP ne voulant pas remettre en cause ce libre-échange déloyal, on va voir fermer les unes après les autres les usines".
Renault n'exclut pas des fermetures d'usines
Renault n'exclut pas la fermeture d'usines en raison de la morosité du marché automobile en Europe, déclare Carlos Tavares, son directeur général délégué aux opérations, dans un entretien au journal allemand Automobilwoche. "Nous verrons. Nous discutons actuellement avec les syndicats et nous leur expliquons nos difficultés de compétitivité", affirme-t-il. "Nous avons un problème de compétitivité en Europe de l'Ouest et en France".
L'alliance de Renault avec Nissan permet au constructeur français de disposer de données précises sur les niveaux de productivité des usines Nissan de Sunderland, au Royaume-Uni, et de Barcelone en Espagne, remarque-t-il. "Ces usines sont vraiment top", ajoute-t-il, en notant que des discussions sont en cours pour que Nissan libère éventuellement des capacités de production pour Renault. "C'est une possibilité", dit-il.
Le directeur général de Renault, Carlos Ghosn, a averti vendredi que le constructeur risquait de disparaître "sous sa forme actuelle" s'il n'améliorait pas sa compétitivité en Europe, mais il a ajouté qu'il ne prévoyait pas à ce stade de suppressions d'emplois en France.
Baylet réélu président du PRG
Jean-Michel Baylet, 65 ans, a été reconduit à la présidence du Parti radical de gauche (PRG), aujourd'hui, au dernier jour du congrès du parti qui se tenait au Parc floral à Paris, selon l'AFP sur place.
Baylet, à la tête de ce parti depuis 1995, a été réélu par acclamation des quelque centaines de militants participant aux débats. Aucune autre candidature n'avait été déposée. Il s'agira de son dernier mandat (trois ans), Jean-Michel Baylet souhaitant lors de ces trois années à venir, "préparer (...) l'accès d'une nouvelle génération à la direction du PRG".
A 65 ans, Baylet, sénateur et président du conseil général du Tarn-et-Garonne, est aussi PDG du groupe La Dépêche du Midi.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/30/97001-20120930FILWWW00073-baylet-reelu-president-du-prg.php
Baylet, à la tête de ce parti depuis 1995, a été réélu par acclamation des quelque centaines de militants participant aux débats. Aucune autre candidature n'avait été déposée. Il s'agira de son dernier mandat (trois ans), Jean-Michel Baylet souhaitant lors de ces trois années à venir, "préparer (...) l'accès d'une nouvelle génération à la direction du PRG".
A 65 ans, Baylet, sénateur et président du conseil général du Tarn-et-Garonne, est aussi PDG du groupe La Dépêche du Midi.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/30/97001-20120930FILWWW00073-baylet-reelu-president-du-prg.php
Bayrou défie Borloo d'une primaire au centre
«Il n'y a que les faibles qui craignent la compétition», a lancé le président du MoDem à celui qui vient de fédérer plusieurs mouvements centristes dans un nouveau parti, l'UDI.
Devant quelque 600 délégués, François Bayrou a ajouté: «S'il y a ces primaires du centre, cette fois-ci tous les leaders du centre soutiendront le candidat du centre. Et, peut-être cette fois, ce candidat, non pas combattu par les siens mais soutenu, gagnera!» Laissant passer les applaudissements nourris de la salle, le président du MoDem lance alors, cette fois en forme de défi: «Il n'y a que les faibles qui craignent la compétition.»
«Le centre est un»
D'ici là, Bayrou n'interdit pas à ses militants, par exemple à l'occasion des prochaines échéances, de prendre langue avec l'UDI. À la tribune, il l'a répété: «Le centre ne sera fort que lorsqu'il acceptera d'être totalement uni.» Le chef centriste précise même sa main tendue: «Le MoDem affirme son offre de dialogue et de coopération, son offre de démarche unitaire, à tous ceux qui s'inscriront dans les vertus du centre.»Un peu plus tôt, il avait ainsi défini le centre: «Nous, nous disons que le centre existe. Le centre est un. Il n'y a pas de centre droit ou de centre gauche. Le centre n'a pas besoin d'adjectif. Le centre doit se définir par rapport à lui-même et non par rapport aux autres.» Surtout, a-t-il ajouté à l'adresse de l'UDI: «Il ne doit pas y avoir d'alliance obligatoire, par exemple avec l'UMP, sinon c'est la dissolution…»
http://www.lefigaro.fr/politique/2012/09/30/01002-20120930ARTFIG00076-bayrou-defie-borloo-d-une-primaire-au-centre.php
dimanche 30 septembre 2012
Fillon "comprend" les manifestants
L'ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy, François Fillon a déclaré dimanche à TF1 qu'il "comprend" la manifestation contre le traité budgétaire européen organisée notamment par le Front de gauche "car François Hollande avait promis de renégocier ce traité".
"S'agissant de cette manifestation, je ne l'approuve pas parce que ses revendications sont diamétralement opposées aux valeurs que je défends, mais en même temps, je la comprends, car François Hollande avait promis de renégocier ce traité", a déclaré le député et candidat à la présidence de l'UMP.
Pour lui, le volet croissance ajouté au traité "c'est juste de l'habillage pour essayer d'enfumer ses électeurs qui croyaient vraiment qu'il allait pouvoir le renégocier".
Il a confirmé qu'il voterait le traité car "c'est mot à mot le traité que nous avons négocié avec Nicolas Sarkozy" et parce qu'il "est nécessaire au sauvetage de l'euro".
Copé "durcit" la ligne de l'UMP
François Fillon a également adressé dimanche une nouvelle pique à Jean-François Copé en accusant son rival pour la présidence de l'UMP de durcir la ligne politique du principal parti de droite français.
"Je comprends que Jean-François Copé essaye plutôt de durcir la ligne politique de l'UMP, c'est un choix, je ne veux pas le juger. Simplement, les adhérents de l'UMP, eux, le jugeront le moment venu", a dit l'ancien premier ministre sur TF1.
François Fillon avait déjà critiqué jeudi la prise de position de Jean-François Copé contre le "racisme anti-Blanc" en accusant, sans le citer, l'actuel secrétaire général de l'UMP, qui s'est fait le champion d'une "droite décomplexée", de copier les extrémistes.
Les adhérents de l'UMP départageront les deux adversaires par un vote en novembre. François Fillon, donné favori par les sondages, vient d'enregistrer un ralliement de poids en la personne de François Baroin, pourtant considéré comme un proche de Jean-François Copé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/30/97001-20120930FILWWW00187-fillon-comprend-les-manifestants.php
"S'agissant de cette manifestation, je ne l'approuve pas parce que ses revendications sont diamétralement opposées aux valeurs que je défends, mais en même temps, je la comprends, car François Hollande avait promis de renégocier ce traité", a déclaré le député et candidat à la présidence de l'UMP.
Pour lui, le volet croissance ajouté au traité "c'est juste de l'habillage pour essayer d'enfumer ses électeurs qui croyaient vraiment qu'il allait pouvoir le renégocier".
Il a confirmé qu'il voterait le traité car "c'est mot à mot le traité que nous avons négocié avec Nicolas Sarkozy" et parce qu'il "est nécessaire au sauvetage de l'euro".
Copé "durcit" la ligne de l'UMP
François Fillon a également adressé dimanche une nouvelle pique à Jean-François Copé en accusant son rival pour la présidence de l'UMP de durcir la ligne politique du principal parti de droite français.
"Je comprends que Jean-François Copé essaye plutôt de durcir la ligne politique de l'UMP, c'est un choix, je ne veux pas le juger. Simplement, les adhérents de l'UMP, eux, le jugeront le moment venu", a dit l'ancien premier ministre sur TF1.
François Fillon avait déjà critiqué jeudi la prise de position de Jean-François Copé contre le "racisme anti-Blanc" en accusant, sans le citer, l'actuel secrétaire général de l'UMP, qui s'est fait le champion d'une "droite décomplexée", de copier les extrémistes.
Les adhérents de l'UMP départageront les deux adversaires par un vote en novembre. François Fillon, donné favori par les sondages, vient d'enregistrer un ralliement de poids en la personne de François Baroin, pourtant considéré comme un proche de Jean-François Copé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/30/97001-20120930FILWWW00187-fillon-comprend-les-manifestants.php
Inscription à :
Articles (Atom)