BUDGET - Valérie Pécresse.La ministre du Budget et porte-parole du gouvernement s'est "étonnée" mardi des propos du porte-parole du PS, Benoît Hamon, qui a réclamé une meilleure prise en compte des dépenses d'investissement pour le calcul des déficits. Dans un communiqué, Valérie Pécresse "s'étonne que le Parti socialiste invente de nouvelles règles budgétaires à sa propre convenance, en dehors de tout cadre européen et au mépris des engagements pris par la France depuis des années". Selon elle, le PS "sème à nouveau la confusion".
AFFAIRE BANON - Pierre Moscovici, sur France Inter.Le député PS du Doubs, dans l'équipe de campagne de François Hollande pour la primaire PS, a réagi à l'annonce d'une audition en septembre de l'ancien premier secrétaire dans le dossier Banon. Pierre Moscovici réfute tout danger pour une éventuelle investiture. "Son image ne sera pas liée à cette affaire. Il sera entendu comme témoin", affirme cet ancien proche de Strauss-Kahn, précisant qu'il "devra répondre à des questions totalement connexes dans cette affaire pour laquelle il n'est incriminé en rien".
LIRE AUSSI : Affaire Banon: Hollande va être entendu par la justice
BUDGET CULTURE - Frédéric Mitterrand, sur Europe 1.Le ministre de la Culture a jugé "tout à fait déraisonnable" la proposition de Martine Aubry d'augmenter le budget de la Culture de 30 à 50%. "C'est la fée Martine qui arrive à Avignon, dans une atmosphère festive", a ironisé Frédéric Mitterrand. Il a insisté sur le fait que le budget de son ministère était "sanctuarisé" : "pour la deuxième année consécutive j'ai un budget en augmentation", "de plus encore que l'inflation" (2,5% en 2011), s'est-il félicité. "J'ai accès au grand emprunt pour 750 millions d'euros", a-t-il ajouté."On met de l’argent dans la culture dans une période qui n’est pas simple". Pour lui, "la droite n'a aucun mal à s'approprier la Culture", même s'il a concédé que "le monde de la culture est plutôt orienté à gauche".
AFGHANISTAN - Gérard Longuet, sur France 2.
Le ministre de la Défense a dénoncé mardi un "manque de responsabilité" du PS qui souhaite un retrait rapide des troupes françaises d'Afghanistan, sans attendre la fin de 2014, date fixée par la coalition. "Lorsqu'on fait partie d'une coalition, on ne peut pas s'en désolidariser ou alors c'est la parole de la France qui est sujette à caution", a déclaré Gérard Longuet, rappelant que "Lionel Jospin était Premier ministre lorsque les Français sont entrés en Afghanistan" fin 2001.
LIRE AUSSI : Afghanistan : Paris sur le pied de guerre
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-mardi-19-juillet-360053?from=bloc2012
Le journal des élections...présidentielles...législatives...cantonales etc... Tout ce que vous voulez savoir sur une revue de la presse politique!
mardi 19 juillet 2011
Election annulée : Bernadette Chirac ne fait pas appel
Bernadette Chirac, dont l'élection au premier tour comme conseiller général du canton de Corrèze (Corrèze) a été annulée le 23 juin par le tribunal administratif de Limoges, a annoncé à La Montagne à paraître mardi qu'elle ne fera pas appel de cette décision.
«Le tribunal administratif de Limoges a invalidé l'élection cantonale qui s'est déroulée en mars dernier dans le canton de Corrèze. J'ai décidé de ne pas faire appel de cette décision devant le Conseil d'Etat, comme la loi m'y autorise jusqu'au 23 juillet prochain», a annoncé Mme Chirac dans une brève déclaration écrite au journal.
L'épouse de l'ancien président de la République, 78 ans, élue le 20 mars au premier tour pour la sixième fois consécutive, avait obtenu 1114 voix sur 2226 suffrages exprimés, soit exactement la majorité absolue.
Mais une erreur portant sur un bulletin avait été relevée dans deux bureaux. Les juges administratifs avaient supprimé ces bulletins des calculs, en les jugeant par hypothèse favorables à Mme Chirac : or avec 1112 voix sur 2224 suffrages, elle n'avait plus la majorité absolue.
En l'absence d'appel, une élection partielle sera organisée dans les trois mois suivant la fin du délai d'appel, fixé au 23 juillet.
Mme Chirac n’a pas fait savoir pour l'heure si elle s'engagerait pour une septième campagne électorale. En cas de participation à un nouveau scrutin, elle n'aura pas le même adversaire socialiste. François Barbazange, le maire de Corrèze, a annoncé qu'il ne se représenterait pas pour une nouvelle élection.http://www.leparisien.fr/politique/election-annulee-bernadette-chirac-ne-fait-pas-appel-18-07-2011-1537071.php
«Le tribunal administratif de Limoges a invalidé l'élection cantonale qui s'est déroulée en mars dernier dans le canton de Corrèze. J'ai décidé de ne pas faire appel de cette décision devant le Conseil d'Etat, comme la loi m'y autorise jusqu'au 23 juillet prochain», a annoncé Mme Chirac dans une brève déclaration écrite au journal.
L'épouse de l'ancien président de la République, 78 ans, élue le 20 mars au premier tour pour la sixième fois consécutive, avait obtenu 1114 voix sur 2226 suffrages exprimés, soit exactement la majorité absolue.
Mais une erreur portant sur un bulletin avait été relevée dans deux bureaux. Les juges administratifs avaient supprimé ces bulletins des calculs, en les jugeant par hypothèse favorables à Mme Chirac : or avec 1112 voix sur 2224 suffrages, elle n'avait plus la majorité absolue.
En l'absence d'appel, une élection partielle sera organisée dans les trois mois suivant la fin du délai d'appel, fixé au 23 juillet.
Mme Chirac n’a pas fait savoir pour l'heure si elle s'engagerait pour une septième campagne électorale. En cas de participation à un nouveau scrutin, elle n'aura pas le même adversaire socialiste. François Barbazange, le maire de Corrèze, a annoncé qu'il ne se représenterait pas pour une nouvelle élection.http://www.leparisien.fr/politique/election-annulee-bernadette-chirac-ne-fait-pas-appel-18-07-2011-1537071.php
La popularité de Sarkozy repart à la hausse
Est-ce l'effet de sa stratégie de communication plus discrète ? La popularité de Nicolas Sarkozy a en tout cas progressé de 5 points en juillet par rapport à juin, à 35%, son meilleur résultat depuis décembre, et celle de François Fillon a grimpé de 6 points, à 49%, selon le baromètre Ipsos-Le Point de l'action politique publié lundi. Inversement, 61% des personnes interrogées ont une image défavorable du président de la République, en baisse de 5 points sur un mois, tandis que 4% ne se prononcent pas (inchangé). "La dynamique est redevenue positive" pour Nicolas Sarkozy, écrit Ipsos, puisque "nous enregistrons en fait le meilleur résultat pour le président de la République depuis décembre dernier", même s'il est "toujours en deçà du niveau de popularité dont il bénéficiait avant le décrochage qui a suivi les régionales de mars 2010" (de 39% à 32%).
En ce qui concerne le Premier ministre, 34% des personnes interrogées ont une image défavorable de lui, en baisse de 6 points, et 8% ne se prononcent pas (inchangé). Son solde d'image est ainsi redevenu positif, avec 49% d'avis favorables contre 43% d'avis contraires. Mais, si la progression est sensible auprès des sympathisants de droite (+3 points) et chez les 60 ans et plus (+9), relève Ipsos, c'est chez les sympathisants du Front national que le chef du gouvernement enregistre la hausse la plus marquée (50%, +22 points en un mois). "On ne peut s'empêcher de penser aux déclarations concernant Eva Joly et la suppression du défilé militaire du 14 juillet", écrit Ipsos.
Sondage réalisé les 15 et 16 juillet par téléphone auprès d'un échantillon national représentatif de 956 personnes âgées de 18 ans et plus, sélectionné selon la méthode des quotas.
http://lci.tf1.fr/politique/la-popularite-de-sarkozy-repart-a-la-hausse-6581924.html
En ce qui concerne le Premier ministre, 34% des personnes interrogées ont une image défavorable de lui, en baisse de 6 points, et 8% ne se prononcent pas (inchangé). Son solde d'image est ainsi redevenu positif, avec 49% d'avis favorables contre 43% d'avis contraires. Mais, si la progression est sensible auprès des sympathisants de droite (+3 points) et chez les 60 ans et plus (+9), relève Ipsos, c'est chez les sympathisants du Front national que le chef du gouvernement enregistre la hausse la plus marquée (50%, +22 points en un mois). "On ne peut s'empêcher de penser aux déclarations concernant Eva Joly et la suppression du défilé militaire du 14 juillet", écrit Ipsos.
Sondage réalisé les 15 et 16 juillet par téléphone auprès d'un échantillon national représentatif de 956 personnes âgées de 18 ans et plus, sélectionné selon la méthode des quotas.
http://lci.tf1.fr/politique/la-popularite-de-sarkozy-repart-a-la-hausse-6581924.html
lundi 18 juillet 2011
les petites phrases du 18/07/2011
MEDIATOR - Xavier Bertrand, sur France Inter.Interrogé sur le montant des indemnités des victimes du Mediator, le ministre de la Santé a affirmé : "une chose est certaine, c'est qu'il n'y a pas de limite qui aura été fixée avec un plafond global". Xavier Bertrand a expliqué que le montant serait fonction du nombre des victimes et du degré de prise en charge.
Dati "très choquée" par Joly
par Europe1fr
DROITE POPULAIRE - Thierry Mariani, dans Le Figaro. Le ministre des Transports estime que "la Droite populaire (dont il est lui-même membre) ne doit pas être la droite de la surenchère et de la caricature". "En politique, il n'est pas interdit d'être intelligent", tacle par ailleurs Thierry Mariani, à propos de l'apéritif "saucisson vin rouge" organisé la semaine dernière par certains députés de la Droite populaire, qui vient de fêter sa première année.
LIRE AUSSI: Luca raille "le vert pastèque"
SARKOZY FILS - Pierre Sarkozy, dans le journal allemand Bild am Sonntag. Le fils aîné du chef de l'Etat a expliqué n'avoir jamais été tenté par la politique. "Je n'étais pas fait pour les études. Mon père m'a appris que le plus grand risque dans la vie est de ne jamais prendre de risques", a confié Pierre Sarkozy, connu sous le nom de "DJ Mosey".
JOLY ET LE DEFILE MILITAIRE - Rachida Dati, sur Europe 1. L'eurodéputée s'est dite "très choquée" par la proposition d'Eva Joly, faite jeudi, de supprimer le défilé militaire du 14 juillet pour le remplacer par un défilé citoyen. Ce défilé est "l'hommage de la nation à son armée, à ses soldats qui incarnent la devise républicaine". Concernant les propos de François Fillon, qui avait provoqué un tollé en mettant en cause la "culture des valeurs françaises" de la Franco-norvégienne, Rachida Dati a assuré : " le sujet ce n'est pas les origines, ce n'est pas la nationalité". Pour l'eurodéputée, "les socialistes s’engouffrent dans les polémiques, sur l’écume des choses", "pour ne pas être sur le fond". "Je pense que les Français sont choqués par cette proposition", a-t-elle conclu.
LIRE AUSSI:Joly: "Je ne regrette rien"
CRISE DE LA DETTE – Valérie Pécresse sur LCI. La France "espère" que le nouveau plan d'aide à la Grèce, toujours en discussions, sera adopté lors du sommet extraordinaire de la zone euro jeudi à Bruxelles, a déclaré la ministre du Budget. "Nous espérons qu'un plan soit adopté et de ce point de vue, les déclarations d' Angela Merkel disant qu'elle souhaite qu'il y ait du concret jeudi (...) vont dans le très bon sens", a ajouté la ministre Interrogée pour savoir si le plan serait adopté "cette semaine".
Dati "très choquée" par Joly
par Europe1fr
Primaire PS: les partisans de DSK demandent une exception
Le communiqué est intitulé : "L'exception DSK doit être confirmée par le PS !". Et a été envoyé au lendemain d'une interview au Parisien de Me Jean-Pierre Mignard, membre de la haute autorité chargée de la contrôler, qui a affirmé que le dépôt des candidatures était terminé pour tout le monde, y compris pour DSK. Le club DSK a demandé dimanche au Parti socialiste de "confirmer l'exception" Dominique Strauss-Kahn pour la primaire PS. "Il convient d'apporter une clarification sur l'exception DSK", dont la prochaine convocation devant la justice américaine a été repoussée du 18 juillet au 1er août, écrit ce club de soutien pour la candidature de DSK créé l'été dernier.
Pour ses membres, "il ne serait pas acceptable, aux yeux des citoyens comme à l'égard de Dominique Strauss-Kahn, d'empêcher sa candidature si elle venait à se manifester avant le vote citoyen d'octobre prochain alors même que l'accusation à son encontre paraît infondée !". "Le Parti socialiste ne peut écarter son meilleur recours pour la présidentielle de 2012", poursuivent-ils, estimant que "le retour de Dominique Strauss-Kahn sur la scène politique paraît de plus en plus souhaitable pour apporter de véritables réponses à la crise économique et politique que nous traversons". "Une entrée en campagne tardive, alors que le président sortant n'est pas encore déclaré, ne semble pas être un handicap pour DSK qui apparaîtra comme le sauveur de la gauche", écrit le président du club, Antonio Duarte, un ancien du Modem, adhérent du PS depuis juillet 2010.
Réagissant aussi aux propos de Me Mignard, le candidat à la primaire socialiste François Hollande a estimé dimanche que Me Mignard avait "fait ce qu'il avait à faire" et que ce serait aux autres candidats d'"accepter une dérogation" si l'hypothèse d'une candidature DSK se présentait. "Me Mignard est le président de l'autorité qui est chargé de faire respecter les règles. Les règles, c'est la fin du dépôt des candidatures au 13 juillet. Il en a pris acte". "Si l'hypothèse d'un retour de Dominique Strauss-Kahn, d'une candidature de sa part se présentait, ce ne serait pas à Jean-Pierre Mignard d'en décider, ce serait aux autres candidats d'accepter une dérogation", a fait valoir le député de Corrèze.
http://lci.tf1.fr/politique/primaire-ps-les-partisans-de-dsk-demandent-une-exception-6581229.html
Pour ses membres, "il ne serait pas acceptable, aux yeux des citoyens comme à l'égard de Dominique Strauss-Kahn, d'empêcher sa candidature si elle venait à se manifester avant le vote citoyen d'octobre prochain alors même que l'accusation à son encontre paraît infondée !". "Le Parti socialiste ne peut écarter son meilleur recours pour la présidentielle de 2012", poursuivent-ils, estimant que "le retour de Dominique Strauss-Kahn sur la scène politique paraît de plus en plus souhaitable pour apporter de véritables réponses à la crise économique et politique que nous traversons". "Une entrée en campagne tardive, alors que le président sortant n'est pas encore déclaré, ne semble pas être un handicap pour DSK qui apparaîtra comme le sauveur de la gauche", écrit le président du club, Antonio Duarte, un ancien du Modem, adhérent du PS depuis juillet 2010.
Réagissant aussi aux propos de Me Mignard, le candidat à la primaire socialiste François Hollande a estimé dimanche que Me Mignard avait "fait ce qu'il avait à faire" et que ce serait aux autres candidats d'"accepter une dérogation" si l'hypothèse d'une candidature DSK se présentait. "Me Mignard est le président de l'autorité qui est chargé de faire respecter les règles. Les règles, c'est la fin du dépôt des candidatures au 13 juillet. Il en a pris acte". "Si l'hypothèse d'un retour de Dominique Strauss-Kahn, d'une candidature de sa part se présentait, ce ne serait pas à Jean-Pierre Mignard d'en décider, ce serait aux autres candidats d'accepter une dérogation", a fait valoir le député de Corrèze.
http://lci.tf1.fr/politique/primaire-ps-les-partisans-de-dsk-demandent-une-exception-6581229.html
dimanche 17 juillet 2011
les petites phrases du 17/07/2011
JOLY/FILLON - Manuel Valls dans Le Parisien : Le candidat à la primaire socialiste affirme qu'il ne "laissera pas la Nation à la droite et l'extrême droite", à propos des attaques de François Fillon contre Eva Joly qui n'aurait "pas une culture très ancienne des valeurs françaises". Dans une interview au Parisien, le député-maire d'Evry dit avoir "ressenti comme une blessure" ces déclarations du Premier ministre contre la candidate franco-norvégienne à la présidentielle d'Europe Ecologie-Les Verts. "Je suis né à Barcelone de parents espagnols. Je suis l'un des rares députés naturalisés. J'ai fait le choix de la France. J'ai appris à devenir français en épousant ses valeurs (...) Mais parce que j'ai cette double identité je ne pourrai plus m'exprimer ? Je serai forcément suspect ?", poursuit Manuel Valls.
JOLY/FILLON - Xavier Bertrand, sur Europe 1 : Le ministre du Travail a réagi samedi soir aux propos d'Eva Joly : "Je crois que quand on voit les propos, elle a un problème pour connaître le lien très fort qu'il y a entre les Français et leur armée, entre la nation et l'armée. Et ça je pense que, soit c'est de la provocation de sa part, mais en tout cas c'est un pur scandale". Interrogé sur les réactions au PS sur cette polémique, Xavier Bertrand a estimé que "Madame Royal a fermement critiqué Madame Eva joly" mais "qu'après c'est un tonnerre d'hypocrisie de la part de nombreux dirigeants du Parti socialiste de venir à son secours".
A lire aussi : Eva Joly déclare au JDD "ne rien regretter"
Luca raille "le vert pastèque"
La droite continue de se déchaîner contre Eva Joly. Le député UMP des Alpes-Maritimes épingle aussi François Fillon.
Eva Joly ?" Le député des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca qui prépare pour la rentrée une convention UMP sur la nationalité, a d'abord jugé son "commentaire" sur le défilé du 14 juillet "très étonnant" et puis finalement pas tant que ça. Pour le chef de file de la Droite populaire, la candidate EELV est dans son créneau, ce qu'il appelle le "vert pastèque : vert à l'extérieur et bien rouge à l'intérieur." Il voit sa réaction d'abord comme celle d'une candidate qui véhicule "une idéologie anti-militariste post-soixante-huitarde". "Si elle avait voulu être innovante, raille-t-il, il fallait non pas remplacer le défilé militaire par un défilé citoyen mais ajouter l'un à l'autre, même si c'est plus l'apanage des régimes totalitaires, la mobilisation obligatoire !"
Il poursuit : "Eva Joly est dans l'ignorance du pays ou elle vit. La grande tradition française, c'est d'abord le défilé militaire de l'armée de la nation et ensuite le bal populaire. Mais nous, à la Droite populaire, on ne lui fait pas de procès d'appartenance à la nation. Sa réflexion, ce n'est pas un problème d'origine, c'est un problème de culture". Luca se paye même le luxe d'être "consterné" des réactions qu'il a pu lire à ce sujet. Y compris celle de François Fillon? "C'est ballot d'être là où on nous attend", grince le député.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Luca-raille-le-vert-pasteque-d-Eva-Joly-359019?from=headlines
Eva Joly ?" Le député des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca qui prépare pour la rentrée une convention UMP sur la nationalité, a d'abord jugé son "commentaire" sur le défilé du 14 juillet "très étonnant" et puis finalement pas tant que ça. Pour le chef de file de la Droite populaire, la candidate EELV est dans son créneau, ce qu'il appelle le "vert pastèque : vert à l'extérieur et bien rouge à l'intérieur." Il voit sa réaction d'abord comme celle d'une candidate qui véhicule "une idéologie anti-militariste post-soixante-huitarde". "Si elle avait voulu être innovante, raille-t-il, il fallait non pas remplacer le défilé militaire par un défilé citoyen mais ajouter l'un à l'autre, même si c'est plus l'apanage des régimes totalitaires, la mobilisation obligatoire !"
Il poursuit : "Eva Joly est dans l'ignorance du pays ou elle vit. La grande tradition française, c'est d'abord le défilé militaire de l'armée de la nation et ensuite le bal populaire. Mais nous, à la Droite populaire, on ne lui fait pas de procès d'appartenance à la nation. Sa réflexion, ce n'est pas un problème d'origine, c'est un problème de culture". Luca se paye même le luxe d'être "consterné" des réactions qu'il a pu lire à ce sujet. Y compris celle de François Fillon? "C'est ballot d'être là où on nous attend", grince le député.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Luca-raille-le-vert-pasteque-d-Eva-Joly-359019?from=headlines
samedi 16 juillet 2011
les petites phrases du 16/07/2011
14-JUILLET - Jean-Pierre Chevènement, dans Le Parisien : "Je suis formellement opposé [à la suppression du défilé militaire du 14-Juillet]. [...] Un pays est fait de traditions, de rites, de cérémonies, qui lui donnent le sentiment d'exister collectivement." Le sénateur du territoire de Belfort a ajouté : "Je ne veux pas lui faire un mauvais procès. La nature de la France lui échappe sans doute. Peut-être lui faut-il encore un peu d'accoutumance."
14-JUILLET - Daniel Cohn-Bendit, dans Le Parisien : "La proposition d'Eva Joly est de bon sens. Le défilé du 14-Juillet ne peut pas se résumer à une parade martiale avec seulement des blindés et des militaires. Cela me paraît hors du temps. La République ne se réduit pas simplement à l'armée. Et puis les seuls pays où on ne voit parader que des militaires et des missiles, c'est qui? La Chine, la Russie, la Corée du Nord! Ce n'est quand même pas très glorieux".
Lire aussi : Le défilé du 14-Juillet doit-il passer l'arme à gauche?
JOLY/FILLON - Pierre Moscovici, à l'AFP : Le député PS Pierre Moscovici a demandé à François Fillon de "retirer" ses propos sur Eva Joly, qui ne sont "pas dignes" d'un premier ministre, "tout au plus ceux d'un des nombreux pitt-bulls de la droite". "M. Fillon a dérapé. Ses propos sont inadmissibles. Il faut respecter les candidats des formations démocratiques et une fois de plus, je le répète, en 2012, on a besoin d'un grand débat démocratique", a-t-il déclaré à l'AFP. "Ses propos ne sont pas dignes d'un premier ministre de la France. Ils sont tout au plus ceux d'un des nombreux pitt-bulls de la droite et je demande à M. Fillon de les retirer", a affirmé le responsable socialiste, soutien de François Hollande.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-samedi-16-juillet-358741?from=bloc2012
14-JUILLET - Daniel Cohn-Bendit, dans Le Parisien : "La proposition d'Eva Joly est de bon sens. Le défilé du 14-Juillet ne peut pas se résumer à une parade martiale avec seulement des blindés et des militaires. Cela me paraît hors du temps. La République ne se réduit pas simplement à l'armée. Et puis les seuls pays où on ne voit parader que des militaires et des missiles, c'est qui? La Chine, la Russie, la Corée du Nord! Ce n'est quand même pas très glorieux".
Lire aussi : Le défilé du 14-Juillet doit-il passer l'arme à gauche?
JOLY/FILLON - Pierre Moscovici, à l'AFP : Le député PS Pierre Moscovici a demandé à François Fillon de "retirer" ses propos sur Eva Joly, qui ne sont "pas dignes" d'un premier ministre, "tout au plus ceux d'un des nombreux pitt-bulls de la droite". "M. Fillon a dérapé. Ses propos sont inadmissibles. Il faut respecter les candidats des formations démocratiques et une fois de plus, je le répète, en 2012, on a besoin d'un grand débat démocratique", a-t-il déclaré à l'AFP. "Ses propos ne sont pas dignes d'un premier ministre de la France. Ils sont tout au plus ceux d'un des nombreux pitt-bulls de la droite et je demande à M. Fillon de les retirer", a affirmé le responsable socialiste, soutien de François Hollande.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-samedi-16-juillet-358741?from=bloc2012
Primaire PS : où en sont les candidats dans les sondages ?
Voici le premier sondage post-clôture des candidatures au PS. François Hollande reste favori pour la primaire socialiste à l'élection présidentielle, même si l'écart avec Martine Aubry se réduit, selon le baromètre mensuel OpinionWay-Fiducial (*) pour LCI et Le Figaro rendu public vendredi. M. Hollande recueille 42% des voix des sympathisants de gauche au premier tour des primaires, soit une baisse d'1 point des intentions de vote en un mois, et 45% de celles des sympathisants PS (inchangé). En revanche, les intentions de vote des "électeurs potentiels", soit ceux certains d'aller voter lors de ces primaires, chutent de 5 points à 45%. A l'inverse, Mme Aubry gagne 1 point parmi les sympathisants de gauche, avec 34% des intentions de vote, 2 points chez les sympathisants socialistes, 35%, et perd deux points chez les électeurs potentiels (30%).
Ségolène Royal aurait 13% des voix des sympathisants de gauche (inchangé) et 14% de celles des sympathisants PS (inchangé) comme celles des électeurs potentiels (+4). Avec 7% des intentions de vote, Arnaud Montebourg est inchangé chez les sympathisants de gauche, mais il perd un point (3%) chez les sympathisants socialistes, et en gagne un (7%) parmi les électeurs potentiels. Manuel Valls perd un point à la fois chez les sympathisants socialistes et chez les sympathisants de gauche (3%), mais en gagne un chez les électeurs potentiels (2%). Nouvel arrivé dans cette enquête, le PRG Jean-Michel Baylet recueille 1% d'intention de vote chez les sympathisants de gauche, 0 chez les sympathisants socialistes, et 1% chez les électeurs potentiels.
Au second tour, François Hollande domine largement Mme Aubry : il recueille 56% d'intentions de vote parmi l'ensemble des sympathisants de gauche contre 44% pour Mme Aubry, 57% parmi les sympathisants du PS contre 43%, et 62% chez les électeurs potentiels, contre 38%. En ce qui concerne la probabilité d'aller voter au premier tour de la primaire, elle est de 19% pour l'ensemble des sympathisants de gauche (stable), dont 24% pour les sympathisants PS (+1 point), 9% pour les sympathisants EELV (-2) et 16% pour les sympathisants PRG (+1). 37% des sympathisants de gauche se prononceront d'abord pour les propositions du candidat (-4 points), 42% pour sa capacité à battre Nicolas Sarkozy (+1) et 20% pour sa personnalité (+2).
(*) Sondage réalisé en ligne du 13 au 15 juillet auprès d'un échantillon de 1.133 personnes représentatif des sympathisants de gauche âgés de 18 ans et plus et inscrits sur les listes électorales. L'échantillon a été extrait d'un ensemble représentatif de la population française de 2.715.012 personnes, selon la méthode des quotas.
http://lci.tf1.fr/politique/primaire-ps-ou-en-sont-les-candidats-dans-les-sondages-6580767.html
Ségolène Royal aurait 13% des voix des sympathisants de gauche (inchangé) et 14% de celles des sympathisants PS (inchangé) comme celles des électeurs potentiels (+4). Avec 7% des intentions de vote, Arnaud Montebourg est inchangé chez les sympathisants de gauche, mais il perd un point (3%) chez les sympathisants socialistes, et en gagne un (7%) parmi les électeurs potentiels. Manuel Valls perd un point à la fois chez les sympathisants socialistes et chez les sympathisants de gauche (3%), mais en gagne un chez les électeurs potentiels (2%). Nouvel arrivé dans cette enquête, le PRG Jean-Michel Baylet recueille 1% d'intention de vote chez les sympathisants de gauche, 0 chez les sympathisants socialistes, et 1% chez les électeurs potentiels.
Au second tour, François Hollande domine largement Mme Aubry : il recueille 56% d'intentions de vote parmi l'ensemble des sympathisants de gauche contre 44% pour Mme Aubry, 57% parmi les sympathisants du PS contre 43%, et 62% chez les électeurs potentiels, contre 38%. En ce qui concerne la probabilité d'aller voter au premier tour de la primaire, elle est de 19% pour l'ensemble des sympathisants de gauche (stable), dont 24% pour les sympathisants PS (+1 point), 9% pour les sympathisants EELV (-2) et 16% pour les sympathisants PRG (+1). 37% des sympathisants de gauche se prononceront d'abord pour les propositions du candidat (-4 points), 42% pour sa capacité à battre Nicolas Sarkozy (+1) et 20% pour sa personnalité (+2).
(*) Sondage réalisé en ligne du 13 au 15 juillet auprès d'un échantillon de 1.133 personnes représentatif des sympathisants de gauche âgés de 18 ans et plus et inscrits sur les listes électorales. L'échantillon a été extrait d'un ensemble représentatif de la population française de 2.715.012 personnes, selon la méthode des quotas.
http://lci.tf1.fr/politique/primaire-ps-ou-en-sont-les-candidats-dans-les-sondages-6580767.html
vendredi 15 juillet 2011
les petites phrases du 15/07/2011
DEFILE MILITAIRE - Ségolène Royal, sur France Info. La candidate à la primaire socialiste a estimé que la proposition d'Eva Joly de supprimer les défilés militaires du 14 juillet était "une très mauvaise idée", faisant appel aux "traditions" de la France. La présidente de la région Poitou-Charentes considère que "toutes les formes de polémique sur les rites de la République ne sont pas souhaitables". Elle a précisé que, pour sa part, elle "maintiendrait" les défilés militaires, jugeant "normal qu'au moins une journée par an on puisse rendre hommage à nos forces armées".
RETRAIT AFGHANISTAN - Henri Guaino, sur Europe 1. "Nous ne pouvons pas partir n’importe comment" et "comme des voleurs", a affirmé le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, au sujet du retrait des troupes françaises en Afghanistan. "La France n’a pas vocation à rester indéfiniment" a rappelé Henri Guaino. Il a rappelé que la France s'est impliquée dans le pays suite au "double accord de Chirac et de Jospin. Donc c’était l’affaire de tout le monde", a-t-il souligné.
LIRE AUSSI: Afghanistan : Paris sur le pied de guerreDÉFILÉ MILITAIRE – Marine Le Pen, sur RTL. La patronne du FN est revenue sur la proposition d'Eva Joly ( Europe Ecologie - Les Verts) de remplacer le défilé militaire du 14 Juillet par un défilé citoyen." "Ses propos sont consternants. Madame Joly ne comprend rien aux liens étroits qui lient le peuple français et son armée", a déclaré Marine Le Pen. Au final, "je ne crois pas qu'il soit légitime de se présenter à la présidence de la République quand on est devenu Français tardivement", a-t-elle asséné laconiquement, faisant référence aux racines norvégiennes d'Eva Joly.
DETTE – Laurent Fabius, sur Europe 1. L'ancien Premier ministre a déploré l'absence de "pilote dans l'avion" à propos de la crise de la dette qui touche actuellement l'Union européenne. "Tous les pays d'Europe sont en risque, et pas seulement la Grèce, l'Irlande ou le Portugal", a-t-il expliqué. "Il y a deux solutions pour s'en sortir. La meilleure : que tous les pays se mettent d'accord pour communautariser, cela signifie qu'il y ait plus de solidarité, des ponts pour l'endettement général européen, mais aussi baisser les exigences financières que l'on impose à la Grèce", a-t-il expliqué."
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Guaino : l’idée d’Eva Joly est... par Europe1fr
Le PS lance sa "caravane des primaires"
Profitant du "concert pour l'égalité" de SOS Racisme, Harlem Désir, premier secrétaire du PS par intérim, a donné jeudi au Champ-de-Mars à Paris le coup d'envoi de "la caravane des primaires PS", qui doit populariser ce scrutin inédit tout l'été, la qualifiant de "caravane de combat" contre l'UMP.
Le parti a choisi de lancer sa caravane à l'occasion du grand concert pour l'égalité organisé à Paris par SOS Racisme. "Notre carburant, notre énergie, ce sera le soutien des Français et ce sera en même temps une caravane de combat contre cette droite qui a peur de la démocratie, qui est une droite anti-primaire, qui essaie de dissuader les Français d'aller voter", "une droite pro-riche qui passe son temps à prendre au RSA pour donner à l'ISF, une droite anti-école", a-t-il lancé. "Tandis que la caravane de l'UMP est en panne, visiblement enlisée, la caravane des primaires s'élance vers la victoire" pour aller "à la rencontre des Français et à la rencontre de la démocratie", a déclaré M. Désir devant le gros camping-car du parti qui commencera son tour de France vendredi.
Le parti a choisi de lancer sa caravane à l'occasion du grand concert pour l'égalité organisé à Paris par SOS Racisme. "Notre carburant, notre énergie, ce sera le soutien des Français et ce sera en même temps une caravane de combat contre cette droite qui a peur de la démocratie, qui est une droite anti-primaire, qui essaie de dissuader les Français d'aller voter", "une droite pro-riche qui passe son temps à prendre au RSA pour donner à l'ISF, une droite anti-école", a-t-il lancé. "Tandis que la caravane de l'UMP est en panne, visiblement enlisée, la caravane des primaires s'élance vers la victoire" pour aller "à la rencontre des Français et à la rencontre de la démocratie", a déclaré M. Désir devant le gros camping-car du parti qui commencera son tour de France vendredi.
jeudi 14 juillet 2011
les petites phrases du 14/07/2011
DEFILE DU 14 JUILLET - Eva JolyLa candidate d'Europe écologie-Les Verts (EELV) à la présidentielle, Eva Joly, s'est déclarée favorable à la suppression du défilé militaire du 14 juillet sur les Champs-Elysées, qu'elle a proposé de remplacer par un "défilé citoyen"."J'ai rêvé que nous puissions remplacer ce défilé (militaire) par un défilé citoyen où nous verrions les enfants des écoles, où nous verrions les étudiants, où nous verrions aussi les seniors défiler dans le bonheur d'être ensemble, de fêter les valeurs qui nous réunissent", a déclaré Mme Joly à l'AFP, en marge d'un rassemblement pour les valeurs de la République.
AFGHANISTAN - Jean-Pierre Chevènement sur RTL : Commentant, la stratégie française en Afghanistan, Jean-Pierre Chevènement a estimé que "nous sommes à la remorque des impulsions successives de l'administration américaine." "Nous sommes les alliés des Etats-Unis, donc nous marchons du même pas. On peut le regretter, on peut faire tout ce qu'on voudra, mais on le constate", ajoute-t-il. Concernant le calendrier de retrait des troupes françaises, Chevènement ne dit ne pas joindre sa "voix à ceux qui réclament une accélération d'un an du retrait." Allant même plus loin, celui qui annoncera (ou non) sa candidature à l'automne affirme que "même après 2014, il faudra pouvoir apporter des soutiens à un tel gouvernement, y compris soit sous la forme de fourniture d'armes, mais pourquoi pas en maintenant quelques bases avec un appui aérien."
PRIMAIRES - Jean-Michel BayletLe président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet, a promis de "défendre le principe de justice, au cœur de la pensée radicale", dans sa déclaration de candidature à la primaire du PS. Parmi ses exigences, le sénateur du Tarn-et-Garonne cite "la laïcité républicaine", "l'égalité sociale et fiscale", l'Europe fédérale, "la moralisation, spécialement monétaire, de l'économie globalisée", "la sauvegarde des équilibres naturels" et le "combat incessant pour l'égalité hommes-femmes et contre le racisme, la xénophobie et l'antisémitisme". Jean-Michel Baylet publiera "fin août le programme d'action spécifique des radicaux de gauche".
14 JUILLET - Martine AubryMartine Aubry a adressé via son site Internet un "message aux Français" où elle leur souhaite, en ce 14 juillet, "d'être rassemblés autour des valeurs de la République", affirmant que "le changement est proche"."Le 14 juillet est une promesse d'égalité, de liberté, de fraternité, de laïcité. Une société où les privilèges de la naissance ne font pas le destin d'une vie. Une société où quelques-uns ne décident pas pour tous", déclare-t-elle, debout, dans une allée verdoyante du Musée du Montparnasse.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-mercredi-14-juillet-358161?from=bloc2012
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du... par rtl-fr
AFGHANISTAN - Jean-Pierre Chevènement sur RTL : Commentant, la stratégie française en Afghanistan, Jean-Pierre Chevènement a estimé que "nous sommes à la remorque des impulsions successives de l'administration américaine." "Nous sommes les alliés des Etats-Unis, donc nous marchons du même pas. On peut le regretter, on peut faire tout ce qu'on voudra, mais on le constate", ajoute-t-il. Concernant le calendrier de retrait des troupes françaises, Chevènement ne dit ne pas joindre sa "voix à ceux qui réclament une accélération d'un an du retrait." Allant même plus loin, celui qui annoncera (ou non) sa candidature à l'automne affirme que "même après 2014, il faudra pouvoir apporter des soutiens à un tel gouvernement, y compris soit sous la forme de fourniture d'armes, mais pourquoi pas en maintenant quelques bases avec un appui aérien."
PRIMAIRES - Jean-Michel BayletLe président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet, a promis de "défendre le principe de justice, au cœur de la pensée radicale", dans sa déclaration de candidature à la primaire du PS. Parmi ses exigences, le sénateur du Tarn-et-Garonne cite "la laïcité républicaine", "l'égalité sociale et fiscale", l'Europe fédérale, "la moralisation, spécialement monétaire, de l'économie globalisée", "la sauvegarde des équilibres naturels" et le "combat incessant pour l'égalité hommes-femmes et contre le racisme, la xénophobie et l'antisémitisme". Jean-Michel Baylet publiera "fin août le programme d'action spécifique des radicaux de gauche".
14 JUILLET - Martine AubryMartine Aubry a adressé via son site Internet un "message aux Français" où elle leur souhaite, en ce 14 juillet, "d'être rassemblés autour des valeurs de la République", affirmant que "le changement est proche"."Le 14 juillet est une promesse d'égalité, de liberté, de fraternité, de laïcité. Une société où les privilèges de la naissance ne font pas le destin d'une vie. Une société où quelques-uns ne décident pas pour tous", déclare-t-elle, debout, dans une allée verdoyante du Musée du Montparnasse.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-mercredi-14-juillet-358161?from=bloc2012
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du... par rtl-fr
L'UMP ajuste le tir contre le PS
Le patron du parti majoritaire, Jean-François Copé, souhaite organiser une convention à l'automne pour décrypter «les faiblesses du projet socialiste».
En attendant que son candidat se déclare, l'UMP aura un rôle à la fois délicat et ingrat: occuper le terrain. Délicat, parce que si Jean-François Copé, son secrétaire général, a saturé l'agenda du parti de meetings et conventions en tous genres, il ne peut ignorer que le spectacle de la primaire socialiste va, jusqu'à son dénouement, fournir à la majorité ses meilleurs arguments. Le parti présidentiel a donc calé son calendrier sur celui du camp adverse.
Fin août, les candidats à l'investiture du PS s'affronteront en direct à La Rochelle. Début septembre, les dirigeants de l'UMP donneront en chœur le coup d'envoi de leur campagne à Marseille. Effet de contraste garanti. «Mais je veux faire plus, annonce Jean-François Copé. Nous dédierons une grande convention au décryptage des faiblesses du projet socialiste en octobre.» Plus précisément dans la foulée du deuxième tour de la primaire du PS, prévue le 16 octobre, ce qui permettra à l'UMP d'ajuster son tir.
D'ici à fin juillet, Bruno Le Maire aura vu ou revu des représentants de l'ensemble des sensibilités du parti majoritaire, ministres en exercice, comme Xavier Bertrand ou remerciés, comme Michèle Alliot-Marie et Éric Woerth, ainsi que les anciens premiers ministres Édouard Balladur, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin. Alors que Jean-Louis Borloo semble déterminé à défendre les couleurs du centre en 2012, le mot d'ordre à l'UMP est, plus que jamais, de ne laisser personne au bord du chemin.
Ce qui n'empêche pas des voix discordantes de s'élever. Le député maire de Nice, Christian Estrosi, a encore regretté mardi, dans Le Parisien, «la domination des idées libérales au détriment des autres courants de pensée, et la tentation clanique dans le fonctionnement du parti». «Pourtant, quand il a vu Bruno Le Maire le 29 juin, ça s'est très bien passé», feint-on de s'étonner dans l'entourage du ministre.
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/07/12/01002-20110712ARTFIG00636-l-ump-ajuste-le-tir-contre-le-ps.php
Fin août, les candidats à l'investiture du PS s'affronteront en direct à La Rochelle. Début septembre, les dirigeants de l'UMP donneront en chœur le coup d'envoi de leur campagne à Marseille. Effet de contraste garanti. «Mais je veux faire plus, annonce Jean-François Copé. Nous dédierons une grande convention au décryptage des faiblesses du projet socialiste en octobre.» Plus précisément dans la foulée du deuxième tour de la primaire du PS, prévue le 16 octobre, ce qui permettra à l'UMP d'ajuster son tir.
«Tentation clanique»
Le rendez-vous de Marseille ne sera pas uniquement une grand-messe unitaire. Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, chargé de coordonner la préparation du projet de l'UMP, dressera un premier bilan d'étape à l'occasion d'une table ronde. «Il ne s'agit pas de dérouler des propositions, précise l'un de ses collaborateurs, mais de définir nos principes d'action en prenant comme point de départ la crise de 2008.»D'ici à fin juillet, Bruno Le Maire aura vu ou revu des représentants de l'ensemble des sensibilités du parti majoritaire, ministres en exercice, comme Xavier Bertrand ou remerciés, comme Michèle Alliot-Marie et Éric Woerth, ainsi que les anciens premiers ministres Édouard Balladur, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin. Alors que Jean-Louis Borloo semble déterminé à défendre les couleurs du centre en 2012, le mot d'ordre à l'UMP est, plus que jamais, de ne laisser personne au bord du chemin.
Ce qui n'empêche pas des voix discordantes de s'élever. Le député maire de Nice, Christian Estrosi, a encore regretté mardi, dans Le Parisien, «la domination des idées libérales au détriment des autres courants de pensée, et la tentation clanique dans le fonctionnement du parti». «Pourtant, quand il a vu Bruno Le Maire le 29 juin, ça s'est très bien passé», feint-on de s'étonner dans l'entourage du ministre.
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/07/12/01002-20110712ARTFIG00636-l-ump-ajuste-le-tir-contre-le-ps.php
Primaire : 10.000 pièces d'un euro déversées devant le siège du PS
Il n'est pas content et il a tenu à le montrer. Rachid Nekkaz, un homme d'affaires qui voulait se présenter à la primaire socialiste en vue de l'élection présidentielle de 2012, a déversé mercredi 10.000 pièces d'un euro devant le siège du PS à Paris pour protester contre les modalités d'organisation de ce scrutin.
"C'est l'argent sale des primaires", a-t-il dit. "Je considère le Parti socialiste comme un maquereau qui obligerait les électeurs à payer un euro pour financer ses campagnes." Les Français désireux de participer à la primaire doivent payer un euro et signer une charte d'adhésion aux idées de gauche. Les candidats doivent quant à eux recueillir un certain nombre de parrainages d'élus.
Rachid Nekkaz avait déjà voulu se présenter à la présidentielle de 2007. Il avait annoncé avoir obtenu les 500 parrainages nécessaires avant de renoncer en dénonçant les pressions qui auraient incité ses soutiens à se désister.
mercredi 13 juillet 2011
les petites phrases du 13/07/2011
AFGHANISTAN - Marine Le Pen.La présidente du Front national estime que le déplacement éclair de Nicolas Sarkozy mardi en Afghanistan était destiné à "faire oublier le bourbier libyen". Marine Le Pen "appelle Nicolas Sarkozy à annoncer immédiatement le désengagement de la France de la guerre en Libye", est-il écrit dans un communiqué. Pour elle, le président "fait preuve dans sa diplomatie et sa politique de défense d'une désinvolture consternante: tout se résume à des opérations de communication, rien n'est entrepris à des fins réellement stratégiques".
Nicolas Hulot, candidat malheureux à la primaire... par rtl-fr
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COUR DES COMPTES - Valérie Pécresse, sur France Inter.La ministre du Budget a été bien moins virulente que certains de ses collègues à l'UMP vis-à-vis de la Cour des Comptes, dirigée par l'ancien socialiste Didier Migaud. "C'est une très grande institution", a affirmé Valérie Pécresse, en indiquant toutefois que le "bilan sur la sécurité de Nicolas Sarkozy est incontestable", contrairement à ce que laissait entendre un récent rapport de la Cour. "J'imagine que Didier Migaud [...] ne s'autoriserait jamais à faire [de cette institution] un outil partisan, surtout pas dans une campagne électorale", a-t-elle estimé.
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PRIMAIRE EELV - Nicolas Hulot, sur RTL.L'ancien animateur a assuré mercredi qu'il n'y avait "pas de regrets à avoir" après sa défaite face à Eva Joly dans la primaire Europe Ecologie-Les Verts. "Toute expérience est enrichissante", a-t-il dit sur RTL. "Les militants ont choisi très largement Eva Joly, à partir de là (...) on dit bravo, on dit respect mais moi je retrouve ma liberté absolue", a ajouté Nicolas Hulot. "Où est-ce que je suis le plus utile?", "est-ce que j'apporte quelque chose à Europe Ecologie-Les Verts? Est-ce qu'ils m'apportent quelque chose ? C'est la vraie question. Il faut y répondre tranquillement", "pas sous le coup de la tristesse", a-t-il souligné. Mais il a répété n'avoir "qu'une parole" et qu'il ne ferait "rien qui contrarie la dynamique de cette campagne".
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EELV 2012 - Eva Joly, sur France Info."Nicolas Hulot a toute sa place dans ma campagne", a affirmé Eva Joly. Après sa victoire mardi contre Nicolas Hulot, l'ancienne magistrate souhaite désormais oublié ses frictions avec l'ex animateur de TF1. "Il a beaucoup de talent et je serai heureuse de l’accueillir", déclare-t-elle à propos de son ex-concurrent. "C’est à lui de décider ce qu’il souhaite faire", précise-t-elle.
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BILAN PRÉSIDENTIEL - François Hollande, sur Europe 1."Nicolas Sarkozy va présenter le pire bilan d'un président de la République. Le pire", a fustigé François Hollande. Pour le candidat a la primaire socialiste, le chef de l'Etat cumule "un record de dettes, un record de déficit commercial, et les violences aux personnes n'ont jamais été aussi nombreuses".
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Nicolas Hulot, candidat malheureux à la primaire... par rtl-fr
2012 : Sarkozy repasse devant Aubry au 1er tour
Nicolas Sarkozy serait en tête du premier tour de la présidentielle dans l'hypothèse d'une candidature de Martine Aubry, mais à égalité avec François Hollande si ce dernier défendait les couleurs du PS, selon un sondage CSA (1) pour BFMTV/RMC/20 minutes publié mercredi.
A la question "si le premier tour de l'élection présidentielle avait lieu dimanche prochain, pour (quel candidat) y aurait-il le plus de chances que vous votiez?", 26% des personnes interrogées répondent Nicolas Sarkozy, à égalité avec François Hollande si ce dernier est le candidat socialiste. Ils devancent Marine Le Pen (17%), Jean-Louis Borloo (8%), Jean-Luc Mélenchon (7%), François Bayrou (6%), Eva Joly (5%), Nathalie Arthaud et Dominique de Villepin (2%), Nicolas Dupont-Aignan (1%), et Philippe Poutou et Christine Boutin (0,5%).
"Un 21 avril serait invraisemblable"
Si Martine Aubry est désignée candidate du PS, elle serait derrière Nicolas Sarkozy (27%) avec 25% des intentions de vote, devant Marine Le Pen (16%). Au cas où Ségolène Royal défendrait les couleurs socialistes, elle recueillerait 17% des voix, à égalité avec Marine Le Pen, derrière Nicolas Sarkozy (28%).
Pour le directeur du département opinion de CSA Jérôme Sainte-Marie, on assiste à une "polarisation autour des candidats principaux, dans un contexte d'affaiblissement de l'extrême gauche, et de stagnation de Marine Le Pen". "Un 21 avril serait invraisemblable", poursuit-il, "sauf dans l'hypothèse où Ségolène Royal serait investie par le Parti socialiste". "Les deux candidats les mieux placés rassembleraient ensemble plus de 50% des suffrages du premier tour", observe Jérôme Sainte-Marie. "Aux dépens de Dominique de Villepin et de Jean-Louis Borloo, cette polarisation profiterait surtout à Nicolas Sarkozy".
En ce qui concerne les primaires socialistes, François Hollande (34%) est préféré des sympathisants de gauche, devant Martine Aubry (32%) et Ségolène Royal (16%). Ils sont suivis de Manuel Valls (3%) et de Arnaud Montebourg et Jean-Michel Baylet (1%). Parmi les seuls sympathisants PS, Martine Aubry et François Hollande sont à égalité (41%), distançant largement Ségolène Royal (11%), Valls (2%), Montebourg (1%) et Baylet (0%).
(1) Sondage réalisé par téléphone, le 11 juillet, auprès d'un échantillon de 1.005 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, d'où ont été extraites 850 personnes inscrites sur les listes électorales. Notice disponible auprès de la commission des sondages.
Hollande "reste lucide"
"Ça suffit! Ça suffit comme ça des rumeurs et des manœuvres." Abandonnant quelques instants le flegme qui était le sien face à Laurent Delahousse, François Hollande a tapé du poing sur la table, dimanche, sur le plateau du 20 Heures de France 2. Alors que le climat politique s'envenime à cause des rumeurs qui entourent la vie privée de Martine Aubry - et face auxquelles la première secrétaire du PS a promis de se montrer impitoyable - son prédécesseur à la tête du parti a tenu à solennellement mettre les points sur les i. "Je ne veux pas que ce soit dans un marécage que l'élection se déroule", a-t-il exigé et faisant du "respect des personnes" l'un de ses impératifs de candidat lancé à l'assaut de l'Elysée.
La synthèse, c'est fini
Un candidat toujours choyé par les sondages. Même si une dernière étude Ifop pour le JDD indique que le député corrézien est loin d'avoir partie gagnée contre Martine Aubry dans le cadre de la primaire socialiste, d'autres études, rendues publiques dimanche, en font le rival le plus dangereux pour Nicolas Sarkozy en 2012. Ainsi, selon un sondage LH2 réalisé en partenariat avec Yahoo – qui montre un tassement de la candidature Le Pen -, François Hollande obtiendrait 29% des suffrages au premier tour de la présidentielle, contre 21% au chef de l'Etat sortant. Martine Aubry arriverait elle aussi en tête, mais émargerait à 26% des voix, contre 21,5% pour le résident de l'Elysée. Au second tour face à un Nicolas Sarkozy archi-battu, le président du conseil général de Corrèze réaliserait 60% des suffrages. La maire de Lille obtiendrait, elle, 58% des voix. A l'appui de ce sondage, une autre enquête, réalisée par Viavoice pour Libération à paraître lundi, montre, elle que 52% des personnes interrogées pensent que François Hollande aurait de "grandes chances" de battre Nicolas Sarkozy en 2012. Ils sont 46% à le penser en ce qui concerne Martine Aubry.
Quoi qu'il en soit, face à tous ces chiffres, François Hollande "reste lucide". "Je suis mon chemin et le terme de mon action, (qui n'est) pas même le second tour de la présidentielle", mais "de faire en sorte de réussir après", a-t-il expliqué dimanche soir sur France 2, considérant même la primaire comme un simple "tour préliminaire". "Je dois être fort", a encore dit François Hollande, sans pour autant se montrer insensible à la crédibilité prise par sa candidature dans l'opinion. "Ça me confère une responsabilité" car "je suis regardé comme un possible prochain président de la République", a-t-il fait valoir, tout en se démarquant des "surprises" promises par Ségolène Royal ou de certaines positions prises par Manuel Valls. Une manière de montrer qu'il ne boxe pas dans la même catégorie que ces deux rivaux à l'investiture socialiste. Une manière aussi de tracer son propre sillon pour celui qui admet en avoir fini avec "la synthèse" qui lui collait à la peau en tant que premier secrétaire du PS. "Ce que je veux, c'est que les Français aient confiance en la gauche", a martelé François Hollande. Et en lui surtout.
mardi 12 juillet 2011
Fillon: Guéant sera absent une semaine
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, opéré pour un pontage coronarien, devrait être "absent une semaine", a indiqué aujourd'hui sur Europe 1, François Fillon.
Interrogé en début de soirée, l'Intérieur a confirmé que l'opération avait eu lieu comme annoncé et s'est refusé à tout autre commentaire.
"Les ministres sont des hommes et femmes comme les autres, il est en ce moment à l'hôpital où il se fait opérer du coeur, j'espère que tout se passera bien et qu'il se rétablira le plus vite possible", avait auparavant déclaré le premier ministre.
Claude Guéant "a indiqué, ainsi que ses médecins, qu'il serait absent une semaine avant de reprendre ses fonctions", avait ajouté François Fillon.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/12/97001-20110712FILWWW00541-fillon-gueant-sera-absent-une-semaine.php
Interrogé en début de soirée, l'Intérieur a confirmé que l'opération avait eu lieu comme annoncé et s'est refusé à tout autre commentaire.
"Les ministres sont des hommes et femmes comme les autres, il est en ce moment à l'hôpital où il se fait opérer du coeur, j'espère que tout se passera bien et qu'il se rétablira le plus vite possible", avait auparavant déclaré le premier ministre.
Claude Guéant "a indiqué, ainsi que ses médecins, qu'il serait absent une semaine avant de reprendre ses fonctions", avait ajouté François Fillon.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/12/97001-20110712FILWWW00541-fillon-gueant-sera-absent-une-semaine.php
Fillon "blessé" que certains députés UMP l'aient trouvé "désinvolte"
Le Premier ministre François Fillon s'est dit "blessé", mardi, que "certains" députés UMP aient parlé de "désinvolture" de sa part en raison de son absence, plusieurs semaines d'affilée, à la réunion hebdomadaire du groupe UMP à l'Assemblée nationale. "J'ai conscience de ne pas être venu en réunion de groupe depuis plusieurs semaines. J'ai vu que certains s'en étaient émus. Ça m'a touché parce que ça prouve que je vous ai manqué", a-t-il lancé lors de la réunion à huis clos du groupe UMP, selon des participants. Des propos confirmés par Matignon.,
"J'ai vu que certains avaient parlé de désinvolture. Ça m'a blessé. Peu de Premiers ministres ont assisté à autant de réunions de groupe (que moi)... Mais j'ai aussi des devoirs !" a fait valoir François Fillon. Le Premier ministre a été absent de la réunion du groupe UMP au cours des quatre dernières semaines, en raison d'impératifs liés à son agenda national et international.
Le 28 juin, le patron des députés UMP, Christian Jacob, avait regretté cette absence. "Objectivement, ça fait trois fois (qu'il n'assiste pas à ces réunions). Je pense qu'il ne faudrait pas que ce soit davantage !" avait-il lancé. Un autre député UMP avait renchéri : "C'est désinvolte de sa part. On a besoin du Premier ministre pour arbitrer les dossiers importants."
http://www.lepoint.fr/politique/fillon-blesse-que-certains-deputes-ump-l-aient-trouve-desinvolte-12-07-2011-1352038_20.php
"J'ai vu que certains avaient parlé de désinvolture. Ça m'a blessé. Peu de Premiers ministres ont assisté à autant de réunions de groupe (que moi)... Mais j'ai aussi des devoirs !" a fait valoir François Fillon. Le Premier ministre a été absent de la réunion du groupe UMP au cours des quatre dernières semaines, en raison d'impératifs liés à son agenda national et international.
Le 28 juin, le patron des députés UMP, Christian Jacob, avait regretté cette absence. "Objectivement, ça fait trois fois (qu'il n'assiste pas à ces réunions). Je pense qu'il ne faudrait pas que ce soit davantage !" avait-il lancé. Un autre député UMP avait renchéri : "C'est désinvolte de sa part. On a besoin du Premier ministre pour arbitrer les dossiers importants."
http://www.lepoint.fr/politique/fillon-blesse-que-certains-deputes-ump-l-aient-trouve-desinvolte-12-07-2011-1352038_20.php
les petites phrases du 12/07/2011
LIBYE – Alain Juppé, sur France Info. Le ministre français des Affaires étrangères a déclaré que des "contacts" avaient été noués avec le régime libyen en vue du départ de Mouammar Kadhafi, mais qu'il n'y avait pas à ce jour de véritable négociation. "Il y a effectivement des contacts, ce n'est pas au jour d'aujourd'hui une véritable négociation", a-t-il assuré. "Nous recevons des émissaires qui nous disent: voilà, Kadhafi est prêt à partir, discutons-en", a-t-il ajouté.
DETTE – François Fillon, sur Europe 1. Le Premier ministre s'est exprimé sur la situation économique européenne. Pour lui, "la dette n'est plus supportable". Et, a-t-il dit, "tous les Etats européens doivent engager un effort de réduction de la dépense publique". Avant d'ajouter : "il ne faut pas céder à la panique qui s'empare parfois des marchés".François Fillon a estimé que "la Grèce est dans une situation financière catastrophique. Il faut qu’elle fasse effort nécessaire pour réduire sa dépense publique. Elle les fait, il faut le reconnaitre". Mais, a-t-il estimé, "il faut que la communauté internationale - en particulier les pays de la zone euro - soit solidaire". Quant à la situation française, le Premier ministre a estimé que "la France fait tout ce qui est en son pouvoir pour réduire sa dépense publique". Et il a indiqué que "la France concerve la meilleure notation aujourd'hui parmi les grands pays développés".
Alain Juppé, invité de France Info par FranceInfo
DETTE – François Fillon, sur Europe 1. Le Premier ministre s'est exprimé sur la situation économique européenne. Pour lui, "la dette n'est plus supportable". Et, a-t-il dit, "tous les Etats européens doivent engager un effort de réduction de la dépense publique". Avant d'ajouter : "il ne faut pas céder à la panique qui s'empare parfois des marchés".François Fillon a estimé que "la Grèce est dans une situation financière catastrophique. Il faut qu’elle fasse effort nécessaire pour réduire sa dépense publique. Elle les fait, il faut le reconnaitre". Mais, a-t-il estimé, "il faut que la communauté internationale - en particulier les pays de la zone euro - soit solidaire". Quant à la situation française, le Premier ministre a estimé que "la France fait tout ce qui est en son pouvoir pour réduire sa dépense publique". Et il a indiqué que "la France concerve la meilleure notation aujourd'hui parmi les grands pays développés".
AFFAIRE DSK - Dominique de Villepin, sur LCI. "L'affaire Strauss-Kahn, ras le bol", a lancé l'ancien premier ministre, en appuyant sur chacune des syllabes. Pour lui, "on a glissé d'une affaire politique qui a directement concerné et touché la politique française à ce qui est maintenant une affaire de droit commun, un fait divers". "Laissons ce fait divers évoluer et nous en reparlerons quand on y verra plus clair", a-t-il ajouté.
RUMEURS – Martine Aubry, sur RTL. La candidate à la primaire socialiste a déclaré que le problème des rumeurs sur sa vie privée circulant sur internet était une affaire entre la justice et elle-même. La maire de Lille a expliqué avoir pris le risque de réagir pour faire "arrêter ce genre de pratiques", qui n'ont selon elle pas leur place en démocratie. "Si ces fausses informations continuent à circuler, je fais confiance à la justice et je porterai plainte. C'est une affaire entre la justice et moi-même", a-t-elle déclaré. La maire de Lille, que la droite accuse de se poser en victime, a dit avoir "des informations précises sur tout cela". "Je n'ai jamais cité de noms même si je vois bien d'où ça vient", a-t-elle ajouté.
PRIMAIRE EELV – Jean-Luc Mélenchon, sur France 2. Le candidat du Front de gauche (FG) à l'élection présidentielle, a qualifié de "bonne nouvelle" le choix probable d'Eva Joly comme candidate des écologistes. "A cette heure et par leur vote, les électeurs écologistes ont montré qu'ils sont plus proches du Front de gauche que du Parti socialiste", a-t-il affirmé. Pour lui, l'investiture probable d'Eva Joly par Europe Ecologie-Les Verts (EELV) "renforce le camp de la rupture avec le système et du changement", et montre un désir de "tourner la page une bonne fois qui est en fait l'idée essentielle du Front de gauche".
Alain Juppé, invité de France Info par FranceInfo
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