L'accord trouvé mardi entre le PS et les écologistes constitue "une folie", a estimé mercredi le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé. "Je suis très très inquiet (...). On nous dit qu'on va fermer 24 réacteurs nucléaires pour faire un accord avec les Verts sur 15 circonscriptions. C'est une folie, il n'y a pas d'autre mot", a-t-il déclaré. "Où est l'exploit de la part de M. Hollande, qui se prétend présidentiable? Il va garder l'EPR. Formidable! Encore heureux (car) ce sont des milliers d'emplois qui sont en jeu, c'est l'indépendance énergétique de la France", a ajouté le député de Seine-et-Marne.
JOUR DE CARENCE - Laurence Parisot, sur RTL. La présidente du Medef a reproché au gouvernement un manque de "concertation" sur la question de l'instauration d'un quatrième jour de carence appliqué aux salariés du privé en arrêt maladie. "Cela va coûter de l'argent aux entreprises parce que dans la plupart des cas, ce sont les entreprises qui paient ces journées de carence", a-t-elle déploré. Elle chiffre ce coût à "200 millions d'euros" ajoutant que "ce n'est vraiment pas le moment d'augmenter les charges des entreprises".
APICULTURE - Bruno Le Maire, sur France Inter.
Le ministre de l'agriculture a déclaré que les apiculteurs n'étaient pas abandonnés face au problème de surmortalité des abeilles. "Les apiculteurs ne sont certainement pas abandonnés. La préservation des populations d'abeilles en France fait partie des sujets importants", a affirmé Bruno Le Maire. La veille les apiculteurs adhérents à l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf) s'étaient déclarés "désemparés", voire "abandonnés", face au frelon asiatique Vespas velutina, un tueur d'abeilles qui sévit dans plus de la moitié des départements français et pourrait "envahir toute la France si les pouvoirs publics ne font rien".
Le ministre de l'agriculture a déclaré que les apiculteurs n'étaient pas abandonnés face au problème de surmortalité des abeilles. "Les apiculteurs ne sont certainement pas abandonnés. La préservation des populations d'abeilles en France fait partie des sujets importants", a affirmé Bruno Le Maire. La veille les apiculteurs adhérents à l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf) s'étaient déclarés "désemparés", voire "abandonnés", face au frelon asiatique Vespas velutina, un tueur d'abeilles qui sévit dans plus de la moitié des départements français et pourrait "envahir toute la France si les pouvoirs publics ne font rien".
AFFAIRE DSK - Me Henri Leclerc, son avocat, sur France Inter.
Commentant des articles parus dans la presse sur le couple Strauss-Kahn, Me Henri Leclerc a réitéré son intention de porter plainte contre Le Figaro pour atteinte à la vie privé et "plusieurs autres journaux". Il a dénoncé "une campagne nauséabonde, racoleuse, grotesque au nom de la vertu" menée par "un certain nombre de journalistes qui préfèrent faire une campagne graveleuse" en provoquant "la mise à mort d'un homme déjà à terre". Il n'y a eu "aucune nouvelle d'une convocation", a-t-il dit en répétant que M. Strauss-Kahn "demande à être entendu et (veut) savoir de quoi on l'accuse". "Il est aujourd'hui dans une situation effroyable. Si les juges ne le convoquent pas c'est peut-être qu'ils n'ont rien à lui reprocher et n'ont peut-être même pas besoin de lui comme témoin", a-t-il noté.
Commentant des articles parus dans la presse sur le couple Strauss-Kahn, Me Henri Leclerc a réitéré son intention de porter plainte contre Le Figaro pour atteinte à la vie privé et "plusieurs autres journaux". Il a dénoncé "une campagne nauséabonde, racoleuse, grotesque au nom de la vertu" menée par "un certain nombre de journalistes qui préfèrent faire une campagne graveleuse" en provoquant "la mise à mort d'un homme déjà à terre". Il n'y a eu "aucune nouvelle d'une convocation", a-t-il dit en répétant que M. Strauss-Kahn "demande à être entendu et (veut) savoir de quoi on l'accuse". "Il est aujourd'hui dans une situation effroyable. Si les juges ne le convoquent pas c'est peut-être qu'ils n'ont rien à lui reprocher et n'ont peut-être même pas besoin de lui comme témoin", a-t-il noté.
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PS - EELV – Julien Dray, sur Europe 1.
Le socialiste est revenu sur l'accord survenu entre les socialistes et les écologistes mardi. "Il y a la volonté commune de créer les conditions du rassemblement de la gauche", a estimé député socialiste de l'Essonne. "Cela veut dire qu'il faut prendre aussi en considération nos partenaires et qu'on ne peut pas les traiter comme des valets", a-t-il ajouté. "Si on était d'accord sur tout, on serait dans le même parti", a argumenté Julien Dray pour justifier les divergences. "C'est un accord qui reste en cohérence pour les uns et pour les autres", a conclu le député socialiste
Le socialiste est revenu sur l'accord survenu entre les socialistes et les écologistes mardi. "Il y a la volonté commune de créer les conditions du rassemblement de la gauche", a estimé député socialiste de l'Essonne. "Cela veut dire qu'il faut prendre aussi en considération nos partenaires et qu'on ne peut pas les traiter comme des valets", a-t-il ajouté. "Si on était d'accord sur tout, on serait dans le même parti", a argumenté Julien Dray pour justifier les divergences. "C'est un accord qui reste en cohérence pour les uns et pour les autres", a conclu le député socialiste
LEGISLATIVES 2012 - Cécile Duflot, dans Le Parisien.La secrétaire nationale d'EELV confirme dans un entretien au Parisien sa candidature aux législatives de 2012 à Paris. "J'ai décidé, après une longue réflexion, d'être candidate sur la 6e circonscription à Paris (XI e et XXe arrondissement). Les militants m'ont donné envie de cette aventure parisienne. J'aime Paris et je sais que la parole des écologistes y est fortement attendue", déclare la patronne du parti écologiste.
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DEBAT TELE – Marine Le Pen, dans Le Parisien.
La présidente du Front national vient de refuser de débattre avec le patron de l'UMP Jean-François Copé, dans l'émission Des paroles et des actes diffusée jeudi sur France 2, révèle Le Parisien. "Elle se défile car elle a peur de se retrouver face à lui", a commenté l'entourage de Jean-François Copé. "Copé, c'est un peu light (...). On veut bien débattre à la télé, mais avec des ministres ou bien d'autres candidats à la présidentielle", a répliqué le camp adverse.
La présidente du Front national vient de refuser de débattre avec le patron de l'UMP Jean-François Copé, dans l'émission Des paroles et des actes diffusée jeudi sur France 2, révèle Le Parisien. "Elle se défile car elle a peur de se retrouver face à lui", a commenté l'entourage de Jean-François Copé. "Copé, c'est un peu light (...). On veut bien débattre à la télé, mais avec des ministres ou bien d'autres candidats à la présidentielle", a répliqué le camp adverse.
ACCORD PS-EELV – Cécile Duflot, sur Canal +.
La secrétaire nationale d'EELV est revenu sur l'accord de mandature qu'elle a signé avec son homologue du PS Martine Aubry et qui laisse de côté notamment l'épineuse question du réacteur nucléaire EPR de Flamanville. "Personne n'a cédé. On aurait cédé si on avait reconnu qu'on allait poursuivre la construction de l'EPR", a-t-elle commenté. "On a toujours dit que ce ne serait pas possible". "On a acté qu'on avait un désaccord sur cette question", a poursuivi Cécile Duflot. Mais sur "l'engagement de la transition énergétique, et pour nous, de la sortie du nucléaire avec la fermeture de 24 réacteurs, l'engagement de non construction de réacteurs" on "a vraiment une rupture ", selon la numéro un du parti écologiste.
La secrétaire nationale d'EELV est revenu sur l'accord de mandature qu'elle a signé avec son homologue du PS Martine Aubry et qui laisse de côté notamment l'épineuse question du réacteur nucléaire EPR de Flamanville. "Personne n'a cédé. On aurait cédé si on avait reconnu qu'on allait poursuivre la construction de l'EPR", a-t-elle commenté. "On a toujours dit que ce ne serait pas possible". "On a acté qu'on avait un désaccord sur cette question", a poursuivi Cécile Duflot. Mais sur "l'engagement de la transition énergétique, et pour nous, de la sortie du nucléaire avec la fermeture de 24 réacteurs, l'engagement de non construction de réacteurs" on "a vraiment une rupture ", selon la numéro un du parti écologiste.
BUDGET 2012 – Valérie Pécresse, sur Europe 1.
La ministre du Budget a expliqué que le budget 2012 est "historique du point de vue de la baisse des dépenses. On va demander au français des efforts que nous ne leur avons jamais demandé. C’est un budget d’effort. Nous voulons nous désendetter. C’est un budget de croissance qui ne casse pas la dynamique de croissance dans les entreprises. Nous l’avons établi sur une hypothèse de croissance de 1% mais nous avons aussi une réserve de 6 milliard d’euro de crédit". Concernant la réduction des dépenses, Valérie Pécresse a expliqué que les dépenses qui seront réduites seront des "dépenses de fonctionnement de l’état" et non pas des "dépenses sociales" précisant que l’état envisageait de "redresser les comptes, dépenser moins et dépenser mieux" pour "sortir renforcé de la crise".
La ministre du Budget a expliqué que le budget 2012 est "historique du point de vue de la baisse des dépenses. On va demander au français des efforts que nous ne leur avons jamais demandé. C’est un budget d’effort. Nous voulons nous désendetter. C’est un budget de croissance qui ne casse pas la dynamique de croissance dans les entreprises. Nous l’avons établi sur une hypothèse de croissance de 1% mais nous avons aussi une réserve de 6 milliard d’euro de crédit". Concernant la réduction des dépenses, Valérie Pécresse a expliqué que les dépenses qui seront réduites seront des "dépenses de fonctionnement de l’état" et non pas des "dépenses sociales" précisant que l’état envisageait de "redresser les comptes, dépenser moins et dépenser mieux" pour "sortir renforcé de la crise".
Les partenaires ne sont "pas des valets" par Europe1fr
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