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IMMIGRATION - Claude Guéant, sur LCI.
Le ministre de l'Intérieur a affirmé que "les immigrés que nous accueillons chez nous" devaient "adopter nos coutumes, respecter nos lois" et "être intégrés", avant un déplacement à Montfermeil en Seine-Saint-Denis sur le thème de l'intégration. Ce déplacement fait suite à une étude, conduite par le politologue Gilles Kepel, à Clichy-sous-Bois et Montfermeil, qui a mis l'accent sur une "intensification de l'identité musulmane" chez des habitants qui se sentent relégués socialement. "C'est précisément pour cela que je vais à Montfermeil", a expliqué le ministre. Et d'ajouter : "cette étude (...) montre que se constituent à Montfermeil, à Clichy-sous-Bois (...) des communautés qui sont d'origine immigrée, qui vivent selon des règles qui sont les leurs, qui s'éloignent du respect de la règle commune, et qui d'ailleurs ont peu connaissance des lois de la République, des modes de vie de la France." "Je trouve que c'est un mode d'implantation des immigrés en France qui n'est pas acceptable", a-t-il estimé.
Le ministre de l'Intérieur a affirmé que "les immigrés que nous accueillons chez nous" devaient "adopter nos coutumes, respecter nos lois" et "être intégrés", avant un déplacement à Montfermeil en Seine-Saint-Denis sur le thème de l'intégration. Ce déplacement fait suite à une étude, conduite par le politologue Gilles Kepel, à Clichy-sous-Bois et Montfermeil, qui a mis l'accent sur une "intensification de l'identité musulmane" chez des habitants qui se sentent relégués socialement. "C'est précisément pour cela que je vais à Montfermeil", a expliqué le ministre. Et d'ajouter : "cette étude (...) montre que se constituent à Montfermeil, à Clichy-sous-Bois (...) des communautés qui sont d'origine immigrée, qui vivent selon des règles qui sont les leurs, qui s'éloignent du respect de la règle commune, et qui d'ailleurs ont peu connaissance des lois de la République, des modes de vie de la France." "Je trouve que c'est un mode d'implantation des immigrés en France qui n'est pas acceptable", a-t-il estimé.
NUCLEAIRE – Jean-Vincent Placé, sur Europe 1.
Le sénateur Verts a pointé du doigt l'entourage de François Hollande. "Il y a un entourage très très productiviste, très très pro-nucléaire", qui "commence à devenir extrêmement arrogant", a-t-il estimé. "Je crois que s'il y a des petits amis à lui qui mettent du blanco sur des textes vus par la première secrétaire du PS et la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, ce n'est pas un bon début", a-t-il fustigé. "Ça peut même être le début de la fin. Et donc attention. Je le dis très fermement. Nous les écologistes, nous allons signer cette accord samedi si le Conseil national le vote et ensuite nous agirons pour le gouvernement de la France et parce que nous sommes extrêmement fiers de nos convictions", a-t-il prévenu, précisant tout de même "qu'au second tour de la présidentielle, il ne manquera pas une voix des écologistes pour faire battre Nicolas Sarkozy".
Le sénateur Verts a pointé du doigt l'entourage de François Hollande. "Il y a un entourage très très productiviste, très très pro-nucléaire", qui "commence à devenir extrêmement arrogant", a-t-il estimé. "Je crois que s'il y a des petits amis à lui qui mettent du blanco sur des textes vus par la première secrétaire du PS et la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, ce n'est pas un bon début", a-t-il fustigé. "Ça peut même être le début de la fin. Et donc attention. Je le dis très fermement. Nous les écologistes, nous allons signer cette accord samedi si le Conseil national le vote et ensuite nous agirons pour le gouvernement de la France et parce que nous sommes extrêmement fiers de nos convictions", a-t-il prévenu, précisant tout de même "qu'au second tour de la présidentielle, il ne manquera pas une voix des écologistes pour faire battre Nicolas Sarkozy".
DISSENSIONS PS/EELV - Jean-Marc Ayrault, sur Europe 1. "Nous avons constaté un désaccord avec les écologistes sur la construction de Flamanville, le fameux EPR. Nous sommes favorables à la poursuite de ce chantier et puis quand on lit dans le détail le texte, on voit qu'il y a une ambiguïté sur la fabrication de ce carburant, le Mox. Ça n'est pas possible. On ne peut pas être pour l'arrêt de ce carburant et pour la poursuite de Flamanville", a expliqué le président du groupe socialise à l'Assemblée nationale. "François Hollande est candidat à la présidence de la République, la question qui est derrière, c'est pas un simple accord électoral, c'est l'indépendance énergétique de la France, l'avenir industriel, la réussite de la transition énergétique, c'est pas l'abandon du nucléaire", a-t-il poursuivi. "Maintenant les écologistes sont faces à leurs responsabilités : veulent-ils oui ou non créer les conditions d'une alternance ou d'une alternative en 2012 avec l'élection du président de gauche?", a-t-il questionné.
SYRIE - Juppé, sur BFM TV. "Il faut que le Conseil national syrien (CNS) s'organise. On a des contacts avec eux, j'ai vu à Paris M. (Burhan) Ghalioun, qui en est le président. Nous les aidons, nous avons des contacts avec eux et nous les encourageons à s'organiser", a déclaré le ministre des Affaires étrangères excluant dans l'immédiat une reconnaissance officielle par la France du CNS. Alain Juppé a de nouveau vivement critiqué le régime de Damas jugeant que "la répression brutale, sauvage, exercée depuis des mois ne peut continuer". Il a salué le "tournant" provoqué par la "prise de conscience des pays voisins qu'on ne peut plus faire confiance à Bachar al-Assad" et la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie. "Nous avons déposé un projet de résolution à l'Assemblée générale des Nations unies demandant l'arrêt de la répression et l'ouverture d'un processus de réforme", a-t-il expliqué.
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DISSENSIONS PS/EELV - Daniel Cohn-Bendit, sur RMC.
L'eurodéputé EELV a accusé le PS de s'être mis au "garde à vous" sur le combustible nucléaire MOX après un coup de fil d'Areva. "Il suffit d'un coup de téléphone d'Areva pour que le grand PS, avec sa tradition et son histoire, se mette au garde à vous!", s'est-il exclamé. Et d'ajouter : "il est fort avec les faibles et faible avec les forts, ce n'est pas très jojo". Selon Daniel Cohn-Bendit, la formulation du passage contesté avait pourtant été "proposée par le négociateur numéro un nommé par François Hollande, Michel Sapin". "C'est à devenir dingue, cette histoire", a-t-il résumé. Il a aussi dénoncé les oppositions à la venue de candidats écologistes dans certaines villes dirigées par des socialistes, notamment l'arrivée à Paris de Cécile Duflot."Qu'on arrête ces petites histoires!" a-t-il souhaité. "C'est une conception d'un partenariat d'un autre siècle", a déploré le coprésident du groupe des Verts au parlement européen. "Le Parti socialiste doit se réveiller!" Un partenariat implique "des partenaires qui se respectent, pas des oukases et des diktats", a-t-il conclu.
L'eurodéputé EELV a accusé le PS de s'être mis au "garde à vous" sur le combustible nucléaire MOX après un coup de fil d'Areva. "Il suffit d'un coup de téléphone d'Areva pour que le grand PS, avec sa tradition et son histoire, se mette au garde à vous!", s'est-il exclamé. Et d'ajouter : "il est fort avec les faibles et faible avec les forts, ce n'est pas très jojo". Selon Daniel Cohn-Bendit, la formulation du passage contesté avait pourtant été "proposée par le négociateur numéro un nommé par François Hollande, Michel Sapin". "C'est à devenir dingue, cette histoire", a-t-il résumé. Il a aussi dénoncé les oppositions à la venue de candidats écologistes dans certaines villes dirigées par des socialistes, notamment l'arrivée à Paris de Cécile Duflot."Qu'on arrête ces petites histoires!" a-t-il souhaité. "C'est une conception d'un partenariat d'un autre siècle", a déploré le coprésident du groupe des Verts au parlement européen. "Le Parti socialiste doit se réveiller!" Un partenariat implique "des partenaires qui se respectent, pas des oukases et des diktats", a-t-il conclu.
LICENCIEMENTS CHEZ PSA - Xavier Bertrand, sur France Info.
Le ministre du Travail et de l'Emploi veut rencontrer prochainement le président de PSA Peugeot Citroën pour lui demander des clarifications sur le plan de suppression de 5.000 emplois en France. "Je prends acte de ce qui a été dit ce matin par le président de PSA qui dit 'pas de plan social, pas de licenciement économique'. J'en prends acte, mais je veux le voir", a déclaré Xavier Bertrand sur France Info. "Je veux le voir dans les jours qui viennent, pour faire le point précis avec lui, pour savoir ce qu'il entend par 'pas de plan social, pas de licenciement", a-t-il ajouté.
Le ministre du Travail et de l'Emploi veut rencontrer prochainement le président de PSA Peugeot Citroën pour lui demander des clarifications sur le plan de suppression de 5.000 emplois en France. "Je prends acte de ce qui a été dit ce matin par le président de PSA qui dit 'pas de plan social, pas de licenciement économique'. J'en prends acte, mais je veux le voir", a déclaré Xavier Bertrand sur France Info. "Je veux le voir dans les jours qui viennent, pour faire le point précis avec lui, pour savoir ce qu'il entend par 'pas de plan social, pas de licenciement", a-t-il ajouté.
PSA - Nicolas Sarkozy, lors d'un discoursEn marge du 3e anniversaire du Fonds stratégique d'investissement (FSI), fonds souverain à la français, Nicolas Sarkozy a assuré qu'il n'y aurait "pas de plan social chez PSA", avant d'ajouter que les quelque "2.000 salariés du groupe les plus directement concernés par ce projet seront tous reclassés".
X.Bertrand: "400.000 emplois directs supprimés"... par FranceInfo
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