dimanche 12 mai 2013

Manifestation de harkis à Paris

Entre 100 et 150 personnes représentant les harkis ont manifesté aujourd'hui, à Paris, pour réclamer le respect des promesses de François Hollande sur la reconnaissance de l'abandon par la France, à la fin de la Guerre d'Algérie, de ces supplétifs de l'armée française, a constaté un journaliste de l'AFP.
Vieux harkis couverts de médailles, hommes plus jeunes, femmes accompagnées d'enfants s'étaient réunis devant le Palais de Justice, sur l'île de la Cité, à l'appel d'une quarantaine d'organisations. Après avoir crié des slogans comme "Abandon, trahison, les harkis sont dans la rue" ou "La reconnaissance, c'est maintenant", ils se sont mis en marche vers le secrétariat d'Etat aux Anciens combattants, dans le VIIe arrondissement.

Selon l'un de leurs représentants, un délégué des manifestants devait être reçu par un membre du cabinet du président Hollande, auquel ils devaient remettre une lettre. Ils étaient moins de 150 selon les organisateurs et la police. Certains étaient venus du sud de la France - avec, par exemple, une grande banderole d'Aix-en-Provence et du Pays d'Aix -, d'autres d'Ile-de-France.

Les manifestants veulent que le chef de l'Etat "honore ses engagements" et "reconnaisse la responsabilité de l'Etat dans le mauvais accueil dans les camps, et le massacre de plus de 100.000 harkis", abandonnés au moment du retrait français d'Algérie.

Selon les organisations de cette communauté, il y a quelque 700.000 harkis et descendants de harkis. Parmi leurs revendications: faire du 12 mai une Journée de l'abandon. C'est à cette date qu'en 1962, un échange de télégrammes entre les ministres Pierre Messmer et Louis Joxe avait scellé le refus de l'accueil des harkis en France après les Accords d'Evian, signés en mars de la même année et mettant fin à la guerre.

Selon les historiens, 55.000 à 75.000 supplétifs de l'armée française ont été abandonnés et furent les victimes de sanglantes représailles. Pour le Comité national de liaison des harkis, le nombre de sacrifiés dépasse les 100.000. Quelque 60.000 harkis avaient été admis en France et logés dans des camps de fortune.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/12/97001-20130512FILWWW00062-manifestation-de-harkis-a-paris.php

Guaino : "Je n'ai pas l'intention de répondre à la police"

Henri Guaino savoure. Il n'est plus seul dans la croisade qu'il a engagée contre le juge Gentil. Dans un appel publié samedi dans Le Figaro, le député des Yvelines vient de recevoir le soutien de 102 députés UMP, "Comme lui, nous affirmons que le juge […] a déshonoré un homme, a déshonoré les institutions et a déshonoré la justice", écrivent-ils. Les sénateurs pourraient venir en renfort mardi prochain.
La phrase prononcée par Henri Guaino au lendemain de la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bettencourt lui vaut d'être poursuivi par le procureur de Paris. Ce dernier a ouvert une enquête préliminaire pour outrage à magistrat. L'enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance sur la personne. Contacté par le JDD, Henri Guaino confirme qu'il a reçu un courrier de la police pour une prise de contact. "A priori, je n'ai pas l'intention de répondre aux questions de cette brigade de répression de la délinquance à moins qu'on n'y aille à cent députés", confie l'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy. "J'en fais une affaire de principes. C'est la souveraineté du peuple qui est cause dans cette affaire. La justice a autre chose à faire et la police, encore plus."
 

samedi 11 mai 2013

Inondations : Manuel Valls face aux habitants de Buchères


Inondations : Manuel Valls face aux habitants... par lest-eclair

ZAPPING ACTU DU 10/05/2013


ZAPPING ACTU DU 10/05/2013 par lezapping

"Guéant contrôle mal la récupération d'argent sale"


"Guéant contrôle mal la récupération d'argent... par LeHuffPost

Eva Joly: "C'est un combat très emblématique" - 11/05

Virus proche du Sras: deux cas encore inquiétants

Villeneuve-sur-Lot: Cahuzac au marché

L'ancien ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, a été vu ce matin sur le marché de Villeneuve-sur-Lot, son ancienne circonscription, allant à la rencontre de ses ex-administrés, rapporte Sud Ouest. La rumeur de sa candidature pour la prochaine législative partielle - provoquée par sa démission de son poste de député après son aveu sur son compte bancaire en Suisse - enfle depuis plusieurs jours. Interrogé sur sa venue, Jérôme Cahuzac a répondu : "Je vis ma vie, c'est tout".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/11/97001-20130511FILWWW00294-villeneuve-sur-lot-cahuzac-au-marche.php

Mariage homo: une marche LGBT chez Hervé Mariton - 11/05

Marisol Touraine: "Un cinquième cas identifié de coronavirus" - 11/05

Présidentielle 2017 : Morano n'imagine pas Sarkozy "passer par une primaire"

L'ancienne ministre et proche de Nicolas Sarkozy, Nadine Morano, a déclaré vendredi au Jdd.fr "ne pas voir" son champion "passer par une primaire" si celui-ci décidait de revenir en 2017 pour l'élection présidentielle.
Si Nicolas Sarkozy décide de revenir pour la présidentielle de 2017, l'ancienne ministre Nadine Morano n'a aucun doute. Elle ne voit pas son champion "passer par une primaire" au sein de son camp.
"Quand vous avez été président de la République, vous disposez quoiqu'on en dise d'un statut privilégié. Je ne le vois pas passer par une primaire. Je pense que si les circonstances l'appelaient à revenir, c'est qu'il disposerait d'un soutien populaire au-delà de notre propre famille politique", a-t-elle déclaré au Jdd.fr vendredi.
Alors que l'ancien Premier ministre François Fillon a estimé être au "même niveau" que l'ex-chef de l'Etat pour l'échéance de 2017, Nadine Morano a réagi: "D'après les sondages, non. Nicolas Sarkozy le devance, et de loin".
Commentant également les propos tenus la veille par François Fillon à Tokyo, l'ex-ministre a conclu: "Nous verrons bien en temps voulu si Nicolas Sarkozy choisi de revenir". "Vous savez, 2017 est encore loin. Il peut se passer beaucoup de choses et la route sera longue pour ceux qui veulent se jeter dans la course maintenant", a-t-elle encore dit.
 

Bettencourt: 105 députés UMP derrière Guaino

Poursuivi par l'Union syndicale des magistrats (USM) après ses propos contre le juge bordelais Jean-Michel Gentil, qui a mis en examen Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Bettencourt, Henri Guaino (UMP) a reçu le soutien d'une centaine de parlementaires UMP, indique Le Figaro samedi. "Dans une lettre ouverte au procureur de Paris, ils s'étonnent de la décision du parquet d'ouvrir une enquête préliminaire sur les propos de Guaino", écrit le quotidien qui souligne qu'ils reprennent à leur compte les attaques de leur collègue député: "Comme lui, nous affirmons que le juge (...) a déshonoré un homme, a déshonoré les institutions et a déshonoré la justice+ en plaçant Nicolas Sarkozy en examen".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Bettencourt-105-deputes-UMP-derriere-Guaino-606717

vendredi 10 mai 2013

François Fillon candidat ? "Rien de nouveau sous le soleil levant


François Fillon candidat ? "Rien de nouveau... par Europe1fr

Dupont-Aignan : "Et pourquoi pas" le FN ?


Dupont-Aignan : "Et pourquoi pas" le FN ? par FranceInfo

Quand Hollande montre son "autorité"


Quand Hollande montre son "autorité" par LeHuffPost

Esclavage: Hollande prône "la paix des mémoires réconciliées"

Mineur tué à Marseille: Valls demande du "temps"

La Rochelle : le maire PS décroche en 2014

Le maire PS de La Rochelle depuis 14 ans, Maxime Bono, a annoncé vendredi qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat aux élections municipales de 2014, où un premier candidat s'est déclaré à gauche en la personne de Jean-François Fountaine, principal soutien du "tombeur" de Ségolène Royal aux législatives de 2012. Dans un courriel aux militants socialistes jeudi, puis dans des interviews à plusieurs médias vendredi, Maxime Bono indique qu"'au bout de 32 ans (comme conseiller, chargé de mission, directeur de cabinet ou maire) il est bon de savoir se retirer".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-Rochelle-le-maire-PS-decroche-en-2014-606602

Sarkozy "n'a pas peur de la concurrence"

C'est la première réaction attribuée à Nicolas Sarkozy. En réponse aux affirmations de François Fillon depuis le Japon, qui s'est déclaré jeudi "quoiqu'il arrive" candidat à la présidentielle de 2017, l'ex-président aurait tenu ce propos, rapporté vendredi par Le Figaro : "Etre sarkozyste, c’est accepter la concurrence, on ne peut pas lui reprocher son ambition."
En déplacement à Las Vegas, où il a tenu cette semaine une nouvelle conférence, l'ancien chef de l'Etat n'a pas l'intention de presser le pas face à son ancien chef de gouvernement, qu'il qualifiait autrefois de "collaborateur". A en croire son fidèle lieutenant, Brice Hortefeux, Nicolas Sarkozy "n'a pas peur de grand-chose, et certainement pas de la concurrence". Pour autant, a assuré l'ex-ministre de l'Intérieur vendredi sur Europe 1, la confirmation de candidature de François Fillon "n'était pas sa préoccupation". "2017, ce n'est pas le sujet aujourd'hui."

"Je l'ai entendu souvent évoquer cela"

Officiellement donc, le duel entre les deux anciennes têtes de l'exécutif n'a pas commencé. Et ce, même si Nicolas Sarkozy aurait répété à ses proches qu'il pourrait "être obligé de revenir", selon Le Parisien de mardi. François Fillon, lui, ne prend plus de précaution pour montrer sa différence par rapport à l'ancien hôte de l'Elysée. "Moi, je suis engagé dans la vie politique, ce n'est pas son cas", a-t-il déclaré jeudi à Tokyo, ajoutant que Nicolas Sarkozy avait annoncé son retrait après sa défaite à la présidentielle de 2012 - ce qui n'est pas vraiment le cas. L'ex-chef de l'Etat "n'entend pas, c'est vrai, aujourd'hui se mêler à la vie politique intérieure", a indiqué Brice Hortefeux. Qui a ajouté : "C'est un engagement qu'il avait annoncé, et j'observe que c'est un engagement qu'il tient précisément à la lettre."
Jean-François Copé, de son côté, n'a pas joué la surenchère. "Je n'ai pas été surpris, je l'ai entendu souvent évoquer cela", a déclaré le président de l'UMP, invité de RTL. Le dirigeant s'est félicité que François Fillon ait "rectifié le tir en expliquant (dans un second temps sur Twitter, Ndlr) que c'était bien à la primaire qu'il était candidat". Le député-maire de Meaux a par ailleurs jugé qu'il était "très respectable de songer à l'élection présidentielle". "Mais si on veut avoir une chance de remporter l'élection présidentielle de 2017, il faut d'abord être certain d'avoir remporté les municipales de 2014", a-t-il ajouté pour prendre ses distances avec son ancien rival.
D'autres à l'UMP ont été moins prudents que le président du parti. "M. Fillon est plus préoccupé par sa carrière que par ce qu'il se passe en France", a déclaré jeudi Patrick Balkany, proche de Nicolas Sarkozy, jugeant que ce n'était pas "le bon timing". "Parler maintenant de 2017, c'est probablement un peu accélérer le calendrier", a abondé  Roger Karoutchi, directeur de campagne de Jean-François Copé lors de la campagne interne de novembre dernier. A l'inverse, dans l'autre camp, on met en avant "la détermination" de l'ancien Premier ministre. Pour Jérôme Chartier, l'un de ses lieutenants, "celles et ceux qui laissent entendre depuis plusieurs semaines que François Fillon était homme à ne pas savoir ce qu'il voulait en seront pour leurs frais." Le député de Paris a quatre ans pour parvenir à ses fins.
 

Bourdin direct: Patrick Rotman - 10/05

Hollande "prépare la voie" à Sarkozy (PG)

François Delapierre, numéro 3 du Parti de gauche, a minimisé vendredi la portée de la candidature de François Fillon à l'horizon 2017, estimant qu'elle n'avait pour but que de contrer un retour de Nicolas Sarkozy, celui-ci étant, à ses yeux, favorisé par la politique de François Hollande.
Qualifiant de "consternant" sur I-Télé le propos tenu depuis Tokyo par l'ancien Premier ministre, le secrétaire national du parti de Jean-Luc Mélenchon a rappelé que, d'ici 2017, "il va quand même y avoir des élections municipales, européennes, régionales, cantonales, sénatoriales". "Tout ceci est fait pour contrer le retour de Nicolas Sarkozy", a-t-il déploré. Or, l'ex-chef de l'Etat "remonte dans l'opinion tout simplement parce que François Hollande lui prépare la voie, lui donne raison", selon François Delapierre
 

Jean-François Copé : La priorité aujourd'hui, c'est 2014

L'expresso du 10 mai

La réaction

Du Japon, François Fillon a dit jeudi être candidat "quoi qu'il arrive" à la présidentielle de 2017. "Je n'ai pas été surpris", a affirmé sur RTL Jean-François Copé, le président de l'UMP, qui s'est réjoui que l'ex-Premier ministre ait "rectifié le tir" en précisant qu'il se présenterait bien à la primaire ouverte prévue en 2016. Pour le reste, le député-maire de Meaux a fait connaître sa différence : "2017, c'est loin (...) si on veut avoir une chance de remporter de 2017, il faut être certain de remporter les élections municipales de 2014."

La mise au point

Malgré les déclarations de son ancien Premier-ministre, Nicolas Sarkozy ne souhaite pas pour l'heure presser le pas. C'est le message martelé sur Europe 1 par son fidèle, Brice Hortefeux. "Il n'entend pas aujourd'hui se mêler à la vie politique intérieure. C'est un engagement annoncé, c'est un engagement respecté à la lettre", a affirmé l'ex-ministre, qui a refusé de parler d'un futur duel entre les deux hommes. "Nicolas Sarkozy n'a pas peur de grand-chose, certainement pas de la concurrence", a toutefois prévenu le député européen.

La phrase

"J'ai pour habitude d'honorer mes engagements. Pour le reste, nous en parlerons avec François Fillon." Sur RTL, Jean-François Copé n'a pas fait de croix sur une nouvelle élection à la présidence de l'UMP, prévue en septembre par l'accord signé avec l'ex-Premier ministre en décembre, mais toujours pas actée. 

L'attaque

"Sarkozy remonte dans l'opinion tout simplement parce que François Hollande lui donne raison", a assuré le secrétaire national du Parti de gauche, François Delapierre, sur i-Télé. Et le lieutenant de Jean-Luc Mélenchon de citer la réforme des retraites, la renégociation du traité européen ou les accords compétitivité-emploi. "Même l'interview de Hollande dans Paris Match, c'est du Sarkozy", a lancé le conseiller régional d’Île-de-France.

Les coulisses

Invité sur BFMTV pour présenter son film sur la première année de la présidence de François Hollande, Le Pouvoir, Patrick Rotman a évoqué la personnalité du chef de l'Etat. "Il y a un grand décalage entre l'image que peuvent véhiculer les médias et la réalité", explique le réalisateur. "Il y a une autorité", a-t-il assuré, qui contraste selon lui avec le personnage naïf qui est parfois renvoyé. "Il n'a jamais de mot blessant (...) mais il peut être très tranchant."
 

L'échappée belle de François Fillon

Chômage des jeunes : l'Europe du sud atteint des taux effarants

jeudi 9 mai 2013

Ségolène Royal dimanche au 20h de TF1

Ségolène Royal a fait savoir sur Twitter qu'elle sera l'invitée du 20h de TF1 dimanche pour évoquer son dernier ouvrage : "Cette belle idée du courage".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/09/97001-20130509FILWWW00364-segolene-royal-dimanche-au-20h-de-tf1.php

Fabius juge "déplacé" d'attaquer Merkel

Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a jugé aujourd'hui "déplacé" d'attaquer la chancelière allemande conservatrice Angela Merkel alors qu'il était interrogé sur un récent texte des socialistes français dénonçant "la chancelière de l'austérité".

"Autant il est légitime de mener des discussions utiles avec notre partenaire allemand, autant il est déplacé d'attaquer le chef d'un gouvernement voisin et de faire comme si l'Allemagne était responsable de notre perte de compétitivité et de toutes nos difficultés. Oui au débat, non au pugilat. Renforçons notre partenariat", a déclaré M. Fabius dans une interview au Monde daté de demain. Il répondait à une question sur une ébauche de texte du Parti socialiste, qui évoquait fin avril la "chancelière de l'austérité" et son "l'intransigeance égoïste".

Ces mots offensifs ont disparu d'une nouvelle version du texte, après l'émoi qu'ils ont suscité au sein du gouvernement socialiste. L'opposition de droite avait estimé que François Hollande était responsable de "la dégradation continue et consternante de la relation franco-allemande".


 "Il faut expliquer à ceux de nos compatriotes de tous bords qui ne l'auraient pas compris que les Allemands ne sont pas des Français qui parlent... allemand, et aux Allemands que les Français ne sont pas tous des "cigales irresponsables", a poursuivi M. Fabius, ajoutant: "La France seule, ce n'est pas une option. Mais si l'Europe est en récession ou tout simplement en stagnation, cela emporte aussi des conséquences négatives sur l'Allemagne

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/09/97001-20130509FILWWW00255-fabius-juge-deplace-d-attaquer-merkel.php

Légion d'honneur pour Dylan: Filippetti revient sur la controverse


Légion d'honneur pour Dylan: Filippetti revient... par BFMTV

Ségolène Royal en mère courage

Eric Ciotti: "La vérité n'est jamais une maladresse" - 09/05

Jérôme Chartier: "C'est bien de la primaire dont il s'agit" - 09/05

l'expresso du 9 mai

La phrase

"Je serai candidat quoi qu'il arrive" à la présidentielle de 2017, a déclaré François Fillon lors d'un déplacement au Japon.

L'annonce

La vice-présidente du Modem, Marielle de Sarnez, a assuré sur i-Télé qu'il y aura des listes de son mouvement aux européennes de 2014. Et qu'elles seront "peut-être élargies". A la question de savoir s'il pourrait y avoir un accord avec l'UDI de Jean-Louis Borloo, la députée européenne a répondu : "On verra, mais pourquoi pas? Je suis ouverte et nous sommes ouverts." "Il faudra profiter des élections européennes pour dire qu'il faudra changer l'Union européenne pour la rendre efficace" et lui "redonner la capacité à agir", a ajouté la responsable centriste.

La critique

"Le gouvernement manque d'ambition dans les domaines de la fiscalité ou de l'énergie", a déclaré Pascal Durand sur BFMTV. Mais le secrétaire national d'EELV estime que "les choses ont bien avancé sur de nombreux sujets" et "souhaite que écologistes continuent à participer au gouvernement".

La confidence

Invité d'Europe 1, le président du Parlement européen, Martin Schulz, s'est dit séduit par le "style équilibré" de François Hollande. "Beaucoup de gens critiquent qu'il est trop calme. A mes yeux, c'est aussi un avantage. Dans l’œil de l'ouragan, il faut rester calme", a précisé celui qui est membre du Parti social-démocrate (SPD) allemand.

La réaction

Interrogée sur les nombreux ponts du mois de mai, Nathalie Arthaud a estimé qu'ils étaient "important pour souffler". "Dans beaucoup d'entreprises, dans les usines, c'est des cadences insoutenables", a ajouté la porte-parole de Lutte ouvrière sur LCI. Quant à l'éventuel impact sur la compétitivité, elle a expliqué que "c'est le langage des patrons". "Ça veut dire plus d'exploitation, des salaires comprimés. Il ne faut pas rentrer dans ce jeu-là, les travailleurs n'ont rien à y gagner", a-t-elle conclu.

La confirmation

Daniel Cohn-Bendit le répète depuis plusieurs mois : il ne briguera plus aucun mandat après 2014. Dans une interview au quotidien Midi Libre, le député européen affirme toutefois qu'il "continuera à s'exprimer". Quant à savoir si son dernier livre Pour supprimer les partis politiques est son testament politique, l'écologiste rétorque : "Ça viendra, mais je ne suis pas mort!"
 

Balkany : "Fillon n'est pas dans le timing"

Patrick Balkany, député-maire UMP de Levallois Perret a réagi à l'annonce de François Fillon, qui s'est déclaré jeudi "candidat quoiqu'il arrive" à la primaire UMP de 2016. "Il ne fait que réitérer ce qu'il a toujours dit. Je préfèrerai néanmoins qu'il s'occupe de s'opposer au gouvernement et au président de la République actuellement. Je préfèrerai l'entendre parler des problèmes économiques que de parler de 2017. J'ai l'impression que François Fillon est plus préoccupé par sa carrière que par ce qu'il se passe en France", déclare Patrick Balakny au micro d'Europe 1 jeudi.
Ce dernier estime également que l'ancien Premier ministre n'aurait pas dû faire une telle déclaration alors qu'il était en déplacement au Japon, où il a été décoré par l'empereur Akihito du "grand cordon de l'ordre du Soleil levant". "Quand on va dans un pays étranger pour se faire décorer, on ne fait pas de déclarations sur la politique nationale, c'est une règle que François Fillon transgresse, et il a tort", estime Patrick Balkany, proche de Nicolas Sarkozy, qui a reçu récemment plusieurs pics de la part de son ancien Premier ministre.
 

Bayrou fait du pied à EELV

Le patron du MoDem, François Bayrou, a proposé le soutien de son parti à l’écologiste François de Rugy, en vue des municipales de Nantes en 2014, révèle Le Lab jeudi. "Il m’a encouragé à me présenter aux municipales de Nantes. Il pense que je peux fédérer jusqu’à des personnes de son mouvement", raconte le député François de Rugy au Lab, précisant ne pas avoir acté une éventuelle candidature. La rencontre, qui a duré une vingtaine de minutes, a été confirmée au Lab tant du côté du Modem que chez EELV.
Les appels du pied du parti centriste vers les écolos se multiplient d’ailleurs : ce 9 mai sur i>Télé, lorsqu’elle se voit demander si le Modem pourrait tendre la main aux "héritiers de Daniel Cohn-Bendit", la vice-présidente du parti, Marielle De Sarnez, répond ainsi : "Tous ceux qui veulent faire quelque chose d'utile pour l'Europe, au centre de la vie politique française, bien évidemment, je regarde ça avec intérêt."
 

Plus de président normal, un président tout-court

Bourdin direct : Pascal Durand - 09/05

Thierry Repentin : Ça se passe toujours avec un compromis entre la France et l'Allemagne

Fillon sera candidat "quoi qu'il arrive" en 2017

En déplacement à Tokyo, au Japon, l'ancien premier ministre, François Fillon, a assuré qu'il serait candidat à la présidentielle de 2017 "quoi qu'il arrive".

"Je serai candidat quoi qu'il arrive", a déclaré François Fillon à quelques journalistes, dont un de l'AFP, dans un hôtel de la capitale japonaise, peu après avoir été décoré par l'empereur Akihito du "grand cordon de l'ordre du Soleil levant", la plus haute distinction du Japon.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/09/97001-20130509FILWWW00197-fillon-sera-candidat-quoi-qu-il-arrive-en-2017.php

mercredi 8 mai 2013

ZAPPING ACTU BEST-OF DU 08/05/2013


ZAPPING ACTU BEST-OF DU 08/05/2013 par lezapping

ZAPPING ACTU DU 07/05/2013


ZAPPING ACTU DU 07/05/2013 par lezapping

Dans l'intimité de François Hollande à l'Elysée, le film de Patrick


Dans l'intimité de François Hollande à l... par francetvinfo

Hollande préside les cérémonies du 8 mai à Paris

Commémorations du 8 mai: la journée de François Hollande - 08/05

Premier cas du virus de la chauve-souris en France

Collomb :"je ne ferai pas partie du prochain gouvernement"


Collomb : "Il faut maintenant des équipes... par Europe1fr

Hollande aux 150 ans du SDP allemand

Le président français François Hollande participera aux célébrations du 150e anniversaire du Parti social-démocrate allemand (SPD) à Leipzig (est) fin mai, à quatre mois des législatives en Allemagne, a-t-on appris mercredi de source officielle française.
Lors de cet évènement auquel participera également le président allemand Joachim Gauck, M. Hollande doit prononcer un discours. Il y a 150 ans, le 23 mai 1863, Ferdinand Lassalle, pionnier du socialisme allemand, proche puis rival de Marx et d'Engels, créait à Leipzig, aux côtés de délégués venus de différentes villes d'Allemagne, l'Association des travailleurs allemands (ADAV) qui allait devenir par la suite le SPD.
 

Nathalie Kosciusko-Morizet : Je ne crois pas que l'UMP renonce à la primaire

Bourdin direct: Jean-Yves Le Drian

Hollande: "Nous devons nous retrouver pour une Europe de la croissance" - 08

Ségolène Royal de retour avec un livre - 8/05

Montebourg et Valls "tranquilles" sur les Champs-Elysées - 8/05

Valérie Trierweiler attendue à Bamako -- 08/05

mardi 7 mai 2013

Royal s'en prend encore au directeur de la BPI

Sans jamais le citer cible une nouvelle fois le directeur général de la Banque Publique d' (BPI), dont elle est elle-même vice-présidente. Dans une interview à «Libération», la présidente de la région Poitou-Charentes donne sa vision de ce que doit être la BPI tout en marquant son territoire
Il n’y a que des bons investissements pour la BPI, pas du business ! Faire du business sous-entendrait qu’on ferait le tri entre ce qui est juteux et ce qui ne l’est pas. Ce n’est pas notre philosophie», entame-t-elle. Manière d'insister d'emblée sur un point qui l'avait déjà opposée au directeur général Nicolas Dufourcq. «La BPI est une banque patiente qui n’attend pas de retour sur investissement immédiat, ou alors seulement pour le réinvestir dans l’outil productif», martèle sa vice-présidente.

Ségolène Royal avait qualifié mi-avril de «grave dérapage» les déclarations du DG sur le sauvetage de Petroplus ou des hauts-fourneaux de Florange qui n'aurait pas représenté «un bon business». «Il est détestable de parler avec morgue de canards boiteux pour désigner des entreprises et des salariés qui souffrent», redit-elle ce mardi. Voilà pour Jean-Pierre Jouyet.
Le président de la BPI avait provoqué un tollé en employant cette expression en octobre.

http://www.leparisien.fr/politique/royal-s-en-prend-encore-au-directeur-de-la-bpi-07-05-2013-2786143.php

«Dans une banque, le directeur général obéit au conseil d'administration»

La BPI défendue par Royal est un établissement «offensif» et «sobre». «Le problème c'est qu'à travers certaines prises de parole, on a voulu décrédibiliser la présence des élus locaux au sein de la BPI», poursuit-elle sybilline. Quelques lignes après, la voilà plus claire : «Dans une banque, le directeur général obéit au conseil d'administration et cela ne doit pas être un numéro d'opérette.»

Ultime pique implicite à Nicolas Dufourcq ? Ségolène Royal conclut cet entretien en relevant que la Banque publique d'investissement «ne doit pas être un jouet aux mains de quelques inspecteurs des finances». Le DG de la BPI vient justement de l'inspection des finances.

Ce n'est pas la première fois que leurs divergences transparaissent. Outre l'affaire du «grave dérapage»,
un couac s'était produit lors dès le deuxième conseil d'administration de l'établissement. Ségolène Royal avait alors convié les médias deux heures avant le point presse programmé par Nicolas Dufourcq...

http://www.leparisien.fr/politique/royal-s-en-prend-encore-au-directeur-de-la-bpi-07-05-2013-2786143.php

Kouchner : "Je n'entends pas l'Europe sur la Syrie"


Kouchner : "Je n'entends pas l'Europe sur la... par Europe1fr

Deneuve contre le "mariage pour tous"


Deneuve contre le "mariage pour tous" par LeHuffPost

François Baroin, maire de Troyes: "nous anticipons un phénomène hors norme

Vallaud-Belkacem sur le remaniement: "Je vous dis peut-être à la semaine prochaine

Vers une "relance" du Triangle de Weimar

Les présidents français et polonais François Hollande et Bronislaw Komorowski ont appelé mardi à l'Elysée à une relance du Triangle de Weimar, qui associe Paris, Berlin à Varsovie au sein d'un forum politique et diplomatique, à l'issue d'une rencontre à l'Elysée. "Nous souhaitons relancer ce processus" lancé en 1991, a déclaré François Hollande lors d'une conférence de presse commune à l'issue de cette rencontre, soulignant que la chancelière Angela Merkel y était également favorable.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault s'était prononcé dans le même sens lundi soir lors d'une réception à l'ambassade de Pologne, où il avait appelé à "relancer la démarche". En écho à François Hollande, Bronislaw Komorowski, au premier jour d'une visite d'Etat de deux jours à Paris, a déclaré compter "beaucoup sur le renforcement du Triangle de Weimar, une formule importante aussi bien pour la coopération dans le cadre de l'Union européenne que pour les relations polono-françaises".
Pour François Hollande cependant, si le "triangle de Weimar est un processus politique qui doit s'élargir aux questions de défense", il "ne peut pas être une organisation de défense" et ne peut "en aucune façon" jouer un rôle opérationnel.
 

Marine Le Pen veut détruire les cités

La présidente du FN Marine Le Pen a proposé aujourd'hui à Rozay-en-Brie (Seine-et-Marne) "d'organiser la destruction des cités" pour les remplacer par "un habitat de taille et d'esthétique traditionnelles".

"Il est impératif d'organiser (...) la destruction des cités construites dans les années 55 à 70 et leur remplacement par un habitat de taille et d'esthétique traditionnelles", a-t-elle expliqué lors d'une conférence de presse sur le thème du logement. Selon elle, le caractère traditionnel de ces nouveaux logements dépend de "la culture de la région". "Vous n'allez pas mettre une maison alsacienne en Bretagne, une maison bretonne en Provence et une maison provençale en Alsace", a-t-elle détaillé.

"Il y a des municipalités qui sont exigeantes, (...) qui déterminent en conseil municipal un cahier des charges qui permet de respecter (...) une unité esthétique dans les villes en fonction de l'architecture traditionnelle des régions françaises", a-t-elle poursuivi. "En Seine-Saint-Denis, il y a moins de culture architecturale que dans d'autres régions", a cependant ajouté Marine Le Pen en réponse à une question sur l'architecture traditionnelle de ce département, le plus pauvre de France et qui concentre de nombreuses cités. "Mais on peut déjà éviter (...) de donner à la Seine-Saint-Denis une architecture traditionnelle de bétonnage, parce qu'en fait, c'est ça le problème", a-t-elle dit.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/07/97001-20130507FILWWW00491-marine-le-pen-veut-detruire-les-cites.php

Harlem Désir: "les Français attendent une année sans couac" - 07/05

Borloo, Filippetti et Leonardo : les cartons de la semaine

Najat Vallaud-Belkacem sur un remaniement: "l'annonce appartient au président

Michel Sapin : "Je veux une inversion de la courbe du chômage avant la fin de l'année

L'expresso du 7 mai

La phrase

"Est-ce ce que l'argent d'aujourd'hui est bien utilisé? (...) C'est ça la question qui est posée. Ce n'est pas dépenser plus, c'est dépenser mieux", a déclaré sur Europe 1 Michel Sapin, le ministre du Travail, au sujet du plan d'investissements "pour les 10 ans qui viennent" qui doit être présenté prochainement par le gouvernement.

Le soutien

Sur i-Télé, Jean-Louis Borloo juge favorablement le plan d'investissements voulu par le gouvernement. "Oui, ça va dans le bon sens", a expliqué le président de l'UDI, en précisant aussitôt que son financement était "une autre question". "Je ne suis pas violemment hostile contre tout ça", a affirmé le centriste, qui a en revanche vu de la "cavalerie" financière dans le projet gouvernemental de "brader" des participations de l'Etat dans des entreprises publiques.

L'attaque

François Fillon? "C'est un loser." La phrase, attribuée à Nicolas Sarkozy, est rapportée par Le Parisien, dans son édition de mardi. Selon le quotidien, l'ancien président n'épargne dans ses confidences ni François Hollande - "Vraiment nul", juge-t-il - ni son propre camp. Nicolas Sarkozy aurait notamment été "atterré" de voir son ancien Premier ministre et Laurent Wauquiez dévoiler leur patrimoine.

L'échange

En prédisant "un printemps des cons", Jean-François Copé a surpris son propre camp. Interrogé par Apolline de Malherbe sur Canal+, Luc Chatel n'est pas au courant de ces propos tenus lundi soir lors d'un meeting à Nîmes.
"- C'est quoi, un printemps des cons?
- Un printemps des cons? Ben, vous allez m'apprendre quelque chose…
- (...) Vous ne l'avez pas écouté?
- Non, je n'écoute pas tous les jours Jean-François Copé."

La polémique

Les propos de Jean-François Copé sur "le printemps des cons" indignent la gauche. "Moi, je lui prédis un avenir noir", a déclaré Michel Sapin sur Europe 1. "A vouloir donner dans la grossièreté et la vulgarité, il n'ira pas loin ce monsieur", a encore affirmé le ministre du Travail. "Je lui demande de cesser la vulgarité", a déclaré de son côté le patron du PS, Harlem Désir, sur BFMTV.

Le bug

Le Canard enchaîné révèle que les téléphones portables de Jean-François Copé, Brice Hortefeux et de plusieurs membres de la famille de Serge Dassault ont été piratés et écoutés pendant plusieurs semaines. Selon l'hebdomadaire, les pirates ont réussi à s'introduire dans les messageries et à récupérer les codes secrets qui permettent d'écouter les messages à distance. Le président de l'UMP a annoncé à l'AFP qu'il avait porté plainte, tandis que Brice Hortefeux le fera prochainement.
 

Nicolas Sarkozy pense qu'il sera "peut-être être obligé de revenir"

Un an après sa défaite, Nicolas Sarkozy, qui dit s'inquiéter pour la France, penserait à revenir à la politique, rapporte Le Parisien.
Nicolas Sarkozy s'envole mercredi pour Las Vegas où il donnera une conférence. Un an presque jour pour jour après sa défaite, il penserait pourtant de plus en plus à son retour en politique, rapporte Le Parisien aujourd'hui. "Le pouvoir socialiste est en train de s'effondrer sur lui-même. Je suis extrêmement inquiet", a confié l'ancien président à ses proches, cité par le quotidien.
Il se soucie des "1500 chômeurs de plus par jour". Nicolas Sarkozy juge surtout François Hollande "vraiment nul", critiquant notamment son "manque d'autorité". Jean-Marc Ayrault n'est pas épargner. "Quand le chef ne donne pas le cap, il ne faut pas s'étonner...", aurait-il dit au sujet de l'opposition entre Arnaud Montebourg et le premier ministre, qui se serait fait insulté au téléphone par le ministre du redressement productif.
Affaire Bettencourt : "Je n'ai rien à me reprocher"
Et son étonnement est valable vis-à-vis de son propre camp. Il aurait été "atterré" que François Fillon et Laurent Wauquiez "tombent dans le piège" et dévoilent leur patrimoine.
La situation actuelle de la France l'inquiète : "La société est très fragile, il suffit d'une allumette", estimant que "ça peut exploser". L'ancien Président pense donc à son retour en politique : "Je vais peut-être être obligé de revenir". Concernant les affaires dont pourrait dépendre son avenir, notamment l'affaire Bettencourt, il est catégorique : "Je n'ai rien à me reprocher".
 

Hollande évoque un remaniement ministériel

Dans un entretien accordé à Paris Match, François Hollande affirme qu'un remaniement ministériel aura lieu au moment opportun, soulignant qu'aucun ministre "n'est protégé".
"Un jour, des choix et aménagements auront à être faits. Mais j'ai besoin de tous", précise le chef de l'Etat dans l'hebdomadaire à paraître mercredi. Selon lui, "personne n'est protégé dans le gouvernement. Personne n'a d'immunité", y compris Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif. Néanmoins, le président de la République tient à lui apporter son soutien dans le dossier Dailymotion, comme l'avaient fait avant lui Jean-Marc Ayrault et Najat Vallaud-Belkacem. "Il y avait un risque de perdre cette entreprise française. L'idée était de nouer un partenariat avec Yahoo! qui l'a, pour le moment, refusé", explique François Hollande.
Sans préciser de date, le président de la République indique que "le remaniement viendra en son temps". "Aujourd'hui, ce sont des résultats que les Français attendent. Cette équipe doit en produire sur le chômage, le logement, la consommation, l'éducation, la place de la France dans le monde", fait-il valoir. Selon le magazine, le seul ministre que François Hollande félicite nommément est le ministre de l'Intérieur. "Manuel Valls fait du bon travail. Reconnu comme tel par l'opinion publique", relève-t-il.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/07/1621374-hollande-evoque-un-remaniement-ministeriel.html

lundi 6 mai 2013

Municipales 2014: Nathalie Kosciusko-Morizet lance une opération porte-à-porte à Paris

La candidate à la primaire UMP pour la mairie de Paris veut mobiliser ses troupes sur le terrain...
Du porte-à-porte pour passer un palier dans la campagne municipale. Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la primaire UMP pour la mairie de Paris, a lancé ce lundi soir une grande opération de porte-à-porte qui doit débuter mardi dans la capitale.
«C’est la base pour gagner une élection»
Au programme de la soixantaine de militants mobilisés jusqu’au 28 mai: arpenter les 5e, 6e, 7e, 15e, 16e, 17e arrondissements. «Des secteurs où l’on a de gros réservoirs de voix, car pour le moment, nous ne sommes pas là pour convaincre mais pour mobiliser nos électeurs sur cette primaire, explique Hugues Anselin, chargé de former les militants à cet exercice. On est surtout dans la pédagogie pour expliquer en trois phrases comment fonctionne ce scrutin ou pourquoi il faut payer 3 euros par exemple.» D’autant qu’actuellement, seules 3.000 personnes se sont inscrites pour participer à ce scrutin, révèle Le Monde dâté mardi.
Mais pour l’équipe de NKM, l’autre objectif de cette opération porte-à-porte est surtout de revenir aux fondamentaux d’une campagne municipale, à savoir faire du terrain. «C’est vrai que ce n’était pas trop dans le quotidien des militants UMP à Paris ces dernières années, glisse Hugues Anselin. Faire du porte-à-porte, du tractage dans le marché… C’est la base pour gagner une élection. D’ailleurs, on a vu que cela a bien marché pour la campagne de François Hollande en 2012.»
Une stratégie à laquelle tient beaucoup NKM, et qu’elle avait appliquée lors des législatives de 2012 dans la 4e circonscription de l’Essonne, où elle avait remporté de justesse son duel face au PS Olivier Thomas

http://www.20minutes.fr/paris/1151095-20130506-municipales-2014-nathalie-kosciusko-morizet-lance-operation-porte-a-porte-a-paris

Du "rêve" d'Hollande... à la "réalité" d'Ayrault


Du "rêve" d'Hollande... à la "réalité" d'Ayrault par LeHuffPost

François Fillon, ancien Premier ministre : "Depuis l'été dernier, je


François Fillon, ancien Premier ministre... par rtl-fr

Zapping politique : les origines de la guerre Montebourg - Moscovici


Zapping politique : les origines de la guerre... par LeNouvelObservateur

Sondage : baisse record pour Ayrault

François Hollande voit sa cote de confiance légèrement remonter en mai à 32% d'opinions positives (+1) contre 68% de désapprobation, tandis que la cote Jean-Marc Ayrault atteint son plus bas niveau depuis sa nomination à Matignon (34%, -2), selon le baromètre Ifop à paraître mardi dans Paris Match. Un an après l'élection du chef de l'Etat, l'institut note toutefois une augmentation record du "rejet ferme" de son action, 44% des Français déclarant ne "pas du tout" l'approuver. En termes d'image, la baisse est globale : 54% (-4) des personnes interrogées considèrent que François Hollande défend bien les intérêts de la France à l'étranger, 36% (-4) qu'il est proche de leurs préoccupations, "un résultat inquiétant sur un aspect qui constituait un de ses points forts durant la campagne présidentielle", relève Ifop.
Après avoir bénéficié d'une cote d'approbation de 68% en mai-juin 2012, le Premier ministre n'enregistre plus que 34% d'opinions favorables, contre 65% d'opinions négatives (+2). Un pour cent des personnes interrogées ne se prononcent pas. Seules 37% des Français, contre 45% il y a un mois, jugent que Jean-Marc Ayrault dirige bien l'action du gouvernement. Trente neuf pour cent (-1) estiment que l'opposition de droite ferait mieux si elle était au pouvoir. L'enquête a été réalisée par téléphone les 2 et 3 mai auprès d'un échantillon de 1.016 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sondage-baisse-record-pour-Ayrault-605973

Vallaud-Belkacem: "Les réformes engagées demandent du temps" - 06/05

Borloo prône l'union politique autour d'un programme

Lebranchu: "les gens m'ont souvent parlé de déceptions" - 06/05

Bourdin direct: Xavier Bertrand - 06/05

Qui sont les personnalités à suivre cette semaine ?

Bilan de Hollande: Borloo propose "dix mesures vitales" - 06/05

Henri Guaino : «Hollande est dangereux pour les institutions»

L'expresso du 6 mai

L’attaque

"François Hollande a fait depuis un an exactement le contraire de ce qu'il fallait faire", a estimé l'ancien Premier ministre François Fillon sur RTL.

Le conseil

"Je dis à Montebourg de ne pas s'intéresser qu'aux canards boiteux. 95% des dossiers difficiles ne sont pas solubles", a lâché sur Europe 1 Jean Louis Beffa, président d'honneur et administrateur de Saint-Gobain et président du comité des nominations et des rémunérations de GDF Suez.

Les coulisses

"De temps en temps, le président ne dit rien à personne et il va se balader, il rencontre des gens", a raconté sur Europe 1, Pierre-René Lemas, secrétaire général de L’Elysée.

La phrase

"Ce n’était pas le meilleur jour de ma vie. Mais ce qui est important, c’est ce qu’il en reste un an après. Il n’y a pas besoin d’argumenter beaucoup : c’est un échec", a répondu Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée d’Europe 1, au sujet du 6 mai 2012 et la défaite de Nicolas Sarkozy.
 
 

Sept millions de téléspectateurs pour Jean-Marc Ayrault au JT de TF1

L'interview du Premier ministre par Claire Chazal sur TF1, dimanche soir, a rassemblé 7 millions de téléspectateurs, soit une part d'audience de 29,1%, a indiqué la chaîne.
Jean-Marc Ayrault y a affirmé que le gouvernement envisageait de réduire la participation de l'Etat dans le capital «d'un certain nombre d'entreprises publiques» pour consacrer ces sommes à l'investissement.
Le 6 novembre dernier, lors de sa précédente intervention au 20H de TF1, Jean-Marc Ayrault avait été suivi par 6,7 millions de téléspectateurs (26,1% de part d'audience), a précisé la chaîne.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1150799/20130506-sept-millions-telespectateurs-jean-marc-ayrault-jt-tf1

Ayrault envoie un SMS à sa majorité

Alors que la première année du quinquennat s'achève aujourd'hui, le premier ministre Jean-Marc Ayrault a envoyé un sms de remerciements aux parlementaires de sa majorité. Une information révélée par Le lab d'Europe 1.

"Voici un an que nous sommes aux responsabilités pour conduire le changement voulu par les Français. Je tiens à remercier chaque membre de la majorité parlementaire pour son implication", a écrit le premier ministre.

Ce dernier était hier soir
l'invité du journal télévisé de TF1. Il y a défendu son bilan, assurant qu'il était le "premier ministre de la réalité".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/06/97001-20130506FILWWW00574-ayrault-envoie-un-sms-a-sa-majorite.php

dimanche 5 mai 2013

PS: "La division de la gauche, pas un objectif progressiste"

Delanoë "ne souhaite pas" devenir ministre

Pressenti pour entrer au gouvernement en cas de remaniement, Bertrand Delanoë a fermé la porte à cette possibilité, dimanche, sur Canal +. "Je ne le souhaite pas, je le dis franchement. Je pense qu'au bout de 13 ans d'un travail intense" comme maire de la capitale, "il faut savoir prendre du recul, prendre de la distance pour réfléchir. Mais je ne crois pas que mon utilité passera par une responsabilité politique", a-t-il estimé

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Delanoe-ne-souhaite-pas-devenir-ministre-605688

Un bateau pour le Président

François Hollande profitera de son déplacement à Marseille le 4 juin pour inaugurer le Jules-Verne, plus grand porte-conteneurs au monde, appartenant à la compagnie CMA-CGM. Aucune tête de l'exécutif n'a baptisé de bateau civil depuis le 11 janvier 1962 quand Michel Debré et Yvonne de Gaulle avaient inauguré le France.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Un-bateau-pour-le-President-605689

Bayrou pour faire avaler la pilule

Pourquoi François Hollande nommerait-il François Bayrou à Matignon? Parce que le leader du MoDem est "libéré des contingences partisanes, il peut à la fois tenir le rôle de technicien et celui de figure morale", assure un proche du Béarnais qui, dans ce gouvernement "capable de faire avaler la pilule des réformes", verrait des personnalités comme Anne Lauvergeon, Pascal Lamy mais aussi Louis Gallois.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Bayrou-pour-faire-avaler-la-pilule-605696

Hollande-Ayrault, c'est du sérieux!

Si l'on s'interrogeait sur la solidité des liens du couple Hollande-Ayrault, le film de Patrick Rotman sur les huit premiers mois à l'Élysée (Le Pouvoir, dans les salles le 15 mai) donne une indication précieuse. On y apprend que François Hollande avait choisi son Premier ministre dès la primaire socialiste d'octobre 2011 et qu'il le lui avait fait savoir.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Hollande-Ayrault-c-est-du-serieux-605690

Pierre Laurent: "il faut arrêter l'austérité" - 05/05

Désir: "J'appelle Mélenchon à s'inscrire dans l'action pour changer la société" -

Marie-George Buffet: "Il faut cesser cette politique d'austérité" - 05/05

Mélenchon et Le Pen "sectaires" (Ifop)

Une majorité de Français considère que le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, et la présidente du FN, Marine Le Pen sont "sectaires", mais elle leur reconnaît à tous deux de vouloir "vraiment changer les choses", selon une enquête Ifop pour le Journal du Dimanche.

Dans une comparaison des traits d'image des deux responsables politiques, 63% des personnes interrogées jugent que le qualificatif "sectaire" s'applique plutôt bien à Jean-Luc Mélenchon, et 60% à Marine Le Pen.

Pour 56% des sondés, Mélenchon "veut vraiment changer les choses". Il est devancé sur ce point par Marine Le Pen, avec 65% des personnes interrogées qui lui accordent ce qualificatif.

S'agissant du qualificatif "comprend les problèmes des gens comme vous", 44% des personnes interrogées trouvent qu'il s'applique plutôt bien à Mélenchon, et 47% à Le Pen.Mais 37% jugent que la présidente du FN "a des solutions pour sortir de la crise", et 27% considèrent que cette formule s'applique plutôt bien au coprésident du PG.

63% des sondés estiment que Mélenchon "s'oppose trop au gouvernement" (37% pensent que cette formule s'applique plutôt mal à lui). 79% des personnes interrogées jugent que Le Pen "s'oppose aussi bien à l'UMP qu'au gouvernement", contre 21% pour qui ce n'est pas le cas.

Etude réalisée du 30 avril au 3 mai par internet auprès d'un échantillon de 1.008 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/05/97001-20130505FILWWW00033-melenchon-et-le-pen-sectaires-ifop.php

Cahuzac candidat à sa succession ?

Selon un indiscret paru dans le Journal du Dimanche, l'ancien ministre du Budget Jérome Cahuzac envisagerait de se présenter comme candidat libre à l'élection législative partielle à Villeneuve-sur-Lot, dans le Lot-et-Garonne, qu'il a provoqué en démissionnant de son mandat.

Un proche de l'ancien ministre, cité par le JDD, affirme que "Jérôme a du mal à renoncer à ce mandat à Villeneuve où il n'a pas remis les pieds depuis la révélation de son compte à l'étranger. Il veut que ses anciens électeurs aient le dernier mot."


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/05/97001-20130505FILWWW00030-cahuzac-candidat-a-sa-succession.php

samedi 4 mai 2013

Le PS à Soustons pour vendre le bilan de Hollande - 04/05

Copé : "Hollande doit dire la vérité"

Jean-François Copé, président de l'UMP, a affirmé vendredi que François Hollande devait "dire la vérité aux Français, au lieu de les tromper avec des slogans et de fausses promesses", après la publication par Bruxelles des mauvaises prévisions pour la France en 2013 et 2014. "L'urgence est là. François Hollande doit dire la vérité aux Français, au lieu de les tromper avec des slogans et de fausses promesses", affirme Jean-François Copé.
"Il doit mettre de l'ordre dans son équipe gouvernementale, au lieu de laisser les ministres, pourtant comptables de ces piètres résultats, se déchirer en public. Et il doit prendre les mesures qui s'imposent, au lieu de se reposer sur des demi-mesures en attendant que la croissance mondiale tire mollement une France déclassée par sa faute", martèle-t-il.
 

Affiches et tracts chocs de l'UMP pour la 1ère année de Hollande à l'Elysée

L'UMP lance à partir de dimanche une campagne d'affichage et de tracts chocs, résumant en une formule, «l'échec», le bilan de la première année de François Hollande à l'Elysée.
La photo choisie par le premier parti d'opposition est celle du chef de l'Etat le jour de son investiture, debout, complètement trempé sous une pluie battante, avec un seul mot pour légende, «L'échec», et le logo de l'UMP accompagné d'un «rejoignez l'UMP». L'affiche, qui sera placardée par les militants, a été tirée à 150.000 exemplaires, a précisé le parti à l'AFP.

http://www.20minutes.fr/politique/1149849-20130504-affiches-tracts-chocs-ump-1ere-annee-hollande-a-elysee

Besancenot et des militants du NPA envahissent la cour de la Banque


Besancenot et des militants du NPA envahissent... par francetvinfo

Le timide anniversaire de François Hollande à l'Elysée - 04/05

Jean-Louis Borloo : 10 points de salut pour la France

Chantier de l'Atlantique: pour Hamon, "la priorité, c'est l'emploi" - 04/05

François Lamy salue "l'atmosphère studieuse" du week-end des Jeunes

Valérie Trierweiler coûte moins cher à l'Etat que Carla Bruni

Le coût mensuel pour l'Etat des collaborateurs de Valérie Trierweiler, la compagne de François Hollande, est 3 fois moins élevé que le dispositif qui entourait en janvier 2012 Carla Bruni-Sarkozy, affirment les services du Premier ministre, calculs à l'appui.
Valérie Trierweiler est-elle plus économe que l'ancienne Première dame ? Le coût mensuel pour l'Etat de ses collaborateurs est en tout cas moins élevé que le dispositif qui entourait en janvier 2012 Carla Bruni-Sarkozy, affirme Matignon, interrogé par un député UMP. Le député UMP de l'Yonne, Guillaume Larrivé, a adressé le 12 mars une question écrite aux services de Jean-Marc Ayrault "sur le coût, pour les finances de l'Etat, des collaborateurs affectés au service de Mme Valérie Trierweiler". Le député relevait notamment que la journaliste disposait d'un site internet à l'adresse http://www.elysee.fr/valerie-trierweiler.
Dans sa réponse, révélée vendredi par Europe 1 et accessible sur le site de l'Assemblée, Matignon affirme que "cinq collaborateurs sont affectés au service" de la compagne du chef de l'Etat. Ces cinq personnes sont "deux agents contractuels et trois fonctionnaires mis à disposition de la Présidence de la République". Selon Matignon, "le total des rémunérations mensuelles nettes de ces cinq personnes est de 19.742 euros". Les services du Premier ministre complètent cette réponse d'une comparaison avec le dispositif dont bénéficiait Carla Bruni-Sarkozy, qui n'est pas nommément citée.
"A titre de comparaison, huit collaborateurs étaient affectés au service de la Première dame en janvier 2012 pour une rémunération mensuelle nette globale de 36.448 euros", détaille ainsi Matignon. "A celle-ci s'ajoutaient tous les mois les facturations de deux prestataires externes assurant pour la Première dame la gestion d'un site internet pour un montant de 25.714 euros, soit une dépense mensuelle totale de plus de 60.000 euros", ajoute Matignon