dimanche 13 octobre 2013

ZAPPING ACTU HEBDO DU 12/10/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 12/10/2013 par lezapping

Primaire PS à Marseille: Menucci n'a "aucune volonté de ne pas suivre

vendredi 11 octobre 2013

Salles de shoot, Ali Zeidan, et le Nobel de la Paix - L'édito de Christophe Barbier

Fillon, le triomphe de l'effacé


Fillon, le triomphe de l'effacé par rtl-fr

Bourdin Direct : Rachida Dati - 11/10

François Bayrou à l'assaut de la mairie de Pau

La buvette de l'Assemblée, une institution

Anne Hidalgo dans une dynamique de reconquête à Paris

L'expresso du 11/10

"Jean-François Copé était ultra-réactionnaire sur l'économie, ultra-politicien sur les rythmes scolaires et ultra-pas clair sur la lutte contre le Front national", a lancé sur i-Télé Harlem Désir, patron du PS, au sujet du passage télévisé de son homologue de l'UMP.

Le soutien

Invitée sur RTL, Anne Hidalgo a annoncé "soutenir Jean-Paul Huchon" qui a demandé au gouvernement de ne pas augmenter la TVA pour les transports au nom du pouvoir d'achat des Franciliens. "J'espère que nous serons entendus par le Premier ministre", a ajouté la candidate socialiste à la mairie de Paris qui se dit "très libre" vis-à-vis du gouvernement : "J'ai envie que le gouvernement réussisse, mais lorsque les Parisiens sont en souffrance, nous sommes à leurs côtés."

L'analyse

Edouard Balladur, qui publie un ouvrage sur le mandat de Georges Pompidou, a fait le portrait sur i-Télé de Jacques Chirac, qui, à l'époque, était son collègue en tant que ministre de l'Agriculture : "Ce n'est pas une girouette. Mais c'est un homme pour lequel le but politique à atteindre est la possession du pouvoir et pour qui cela prime sur tout le reste."

La proposition

"Rétablir le contrôle aux frontières au sein de l'espace Schengen." Telle est la demande de Rachida Dati qui, en tant qu'eurodéputée, s'exprimait sur la question des Roms et, plus généralement, des flux migratoires. Plutôt que de critiquer les Etats, l'ancienne ministre de la Justice a attaqué le président la Commission européenne : "José Manuel Barroso n'a rien fait sur ce sujet pendant son mandat (…) On en a soupé (de lui)."
Lire sur le sujet : Lampedusa épuisée et en colère

L'explication

Sur France Info, Anne Lauvergeon a expliqué en quoi consistait sa commission Innovation 2030 dont elle rend le rapport vendredi : "Le gouvernement travaille avec tout ce qui existe aujourd'hui pour construire l'avenir immédiat. Nous, nous avons cherché à savoir où on sera dans dix-quinze ans et ce qu'il ne faudra pas rater alors
 
 

jeudi 10 octobre 2013

Une mesure phare du projet de loi sur les retraites supprimée


Une mesure phare du projet de loi sur les... par LCP

Réforme pénale Taubira : la fin du tout carcéral ?


Réforme pénale Taubira : la fin du tout... par francetvinfo

Education: Peillon installe le Conseil supérieur des programmes

Sarkozy, l'inventaire fait pschitt!


Jeudy Politique : Sarkozy, l'inventaire fait... par lejdd

Le bazar du code pénalJean-Marc Ayrault a affirmé hier au micro d'Europe

Pierre Gattaz : Nous sommes en surfiscalité notoire

La magistrature ne fait plus rêver

10/10/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Bourdin Direct : Stéphane Le Foll - 10/10

l'expresso du 10/10

"Le sexisme au Parlement, c'est récurrent, résistant, assez terrifiant. J'ai connu des moments comme ça où, par manque de vigilance ou abaissement des inhibitions, les parlementaires se laissent aller", a constaté sur France Inter Christiane Taubira, la ministre de la Justice.

L'objectif

Vincent Peillon veut des programmes "plus efficaces". "On n'arrive pas à régler cette lente détérioration du système éducatif", constate-t-il dans Le Parisien. "Pour y parvenir, cela suppose d'utiliser tous les leviers ", ajoute-t-il encore, citant la formation des enseignants, la réforme des rythmes scolaires ou encore "des programmes plus efficaces pour la réussite des élèves".

Le chiffre : un million d'emplois

Invité sur RTL, Pierre Gattaz est revenu sur le meeting d'exaspération organisé par les patrons lyonnais mardi soir. Le président du Medef a dit refuser "d'être le patron des patrons en colère". "Il faut repositiver cette énergie de colère", a-t-il encore déclaré, annonçant : "Je vais écrire aux 750.000 adhérents du Medef pour leur proposer des mesures afin de créer un million d'emplois." "La principale motivation des patrons doit être la création d'emplois", a-t-il encore martelé.

La confidence

Après cinq ans de silence, Cécilia Attias est de retour en France pour présenter son premier livre, Une envie de vérité. "Je suis toujours restée dans l'ombre. Mais à un moment donné, six ans plus tard, j'avais envie d'avoir une image qui corresponde au personnage", a-t-elle expliqué sur Europe 1.

L'explication

Alors qu'un sondage place le FN en tête des intentions de vote aux européennes de juin prochain, Nicolas Dupont-Aignan a assuré sur Radio classique qu'"on peut se débarrasser du système qui nous gouverne depuis vingt ans, sans pour autant confier la France au Front national". "Toute personnalité, comme moi, qui veut changer le système est assimilé à l'extrême droite", a regretté le président de Debout la République, rejetant ainsi l'idée d'une "alliance" avec Marine Le Pen.

L'annonce

Vincent Peillon, eurodéputé avant d'être ministre de l'Education, a confirmé sur i-Télé qu'il se représenterait aux prochaines élections européennes, en mai 2014. "Je crois qu'un responsable politique ne doit pas être issu de la société civile", a-t-il expliqué avant de rappeler son "combat" contre Jean-Marie et Marine Le Pen, également eurodéputés. Le ministre a refuse toutefois de dire s'il choisirait son mandat parlementaire au détriment de son poste au gouvernement.
 

mercredi 9 octobre 2013

Le Ray, Taubira et Airbus, les cartons de la semaine - L'édito de Christophe Barbier

Réforme pénale : objectif réinsertion


Réforme pénale : objectif réinsertion par ITELE

Bourdin Direct : Florian Philippot - 09/10

Vincent Peillon pense-t-il déjà à la suite ? (Confidentiel)

Le ministre de l’éducation Vincent Peillon confiait récemment à l’un de ses collègues du gouvernement qu’il aimerait bien être à nouveau candidat aux européennes dans le Sud-est l’année prochaine. Pourquoi ? Parce que, sans cela, il n’aurait plus de parachute en cas de remaniement, contrairement à ses collègues ministres-députés qui, eux, sont tranquilles jusqu’en 2017... Selon les informations recueillies par Europe 1, les remous que cause sa réforme des rythmes scolaires semblent quelque peu inquiéter le ministre. Seul problème : le chef du gouvernement, Jean-Marc Ayrault, n’est pas favorable à une telle candidature. Pour le Premier ministre, si on est candidat et qu’on est élu, on doit quitter le gouvernement.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Vincent-Peillon-pense-t-il-deja-a-la-suite-Confidentiel-633168

Réforme pénale: Taubira, cible préférée de la droite - 09/10

Valls à Forbach: "une tournée anti- FN payée par le contribuable français

François Rebsamen : La réforme Taubira, c'est la fin de l'hypocrisie

Juppé, l'homme en embuscade à droite

EXTRAIT - Ayrault : "Pas un pied dedans, un pied dehors"

Centenaire imposable: la droite et la gauche jouent au ping-pong -

L'expresso du 9/10

"J'ai perdu beaucoup de clients après mon adhésion au Front national. Les bobos surtout", a noté sur France 2 le député frontiste Gilbert Collard, évoquant son métier d'avocat qu'il pratique toujours.

L'analyse

Réagissant sur i-Télé à l'attitude des députés de l'UMP dans le cadre du débat sur le projet de réforme des retraites, Jean-Christophe Cambadélis a regretté "le durcissement de la droite". "Elle pense qu'elle pourra couper l'herbe sous le pied du Front national", a-t-il analysé.

L'annonce

Jean-Marc Ayrault a annoncé sur Europe 1 la création de 1.000 postes supplémentaires au total dans le cadre de la réforme pénale présentée le même jour au conseil des ministres. Les moyens "je les donne", a déclaré le Premier ministre, réaffirmant l'objectif d'atteindre 40 dossiers par conseiller de probation et d'insertion, alors qu'une des mesures phares du projet de Christiane Taubira est la création d'une "contrainte pénale", peine de probation hors prison.

L'attaque

Commentant les déclarations de François Fillon, dans le JDD puis dans Valeurs actuelles, Gilbert Collard a estimé que le responsable UMP "devrait montrer un peu plus de respect pour les fonctions qu'il a exercées, pour les gens qu'il a servi en tant que Premier ministre". Avant d'ironiser : "Aujourd'hui, il veut être le remplaçant de service."
 

mardi 8 octobre 2013

Record d'impopularité pour l'exécutif

François Hollande enregistre son plus mauvais score depuis son entrée à l'Elysée avec 29% de bonnes opinions dans un sondage LH2 pour Le Nouvel Observateur diffusé mardi. Le chef de l'Etat ne baisse que d'un point mais passe en dessous de la barre symbolique des 30%. A l'inverse, 66% des Français ont une opinion négative de François Hollande.
Pour LH2, la polémique entre le ministre de l'Intérieur Manuel Valls et sa collègue du Logement Cécile Duflot sur les Roms semble avoir laissé des marques. Le président perd en effet trois points auprès des sympathisants de gauche et 12 points auprès de ceux d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).
A l'image de celle de François Hollande, la popularité de Jean-Marc Ayrault tombe à 29%, soit un recul de deux points auprès des Français en général et de sept points auprès des sympathisants de gauche. Le Premier ministre enregistre 61% d'opinions négatives.
 

F. Bayrou : "La vague bleu Marine ? Tout peut arriver, même le pire


F. Bayrou : "La vague bleu Marine ? Tout peut... par lesechos

Extrait du webdocumentaire "Confidences des ambassadeurs


Extrait du webdocumentaire "Confidences des... par francediplotv

Après Brignoles, le bal des faux culs


Après Brignoles, le bal des faux culs par rtl-fr

Ce non-lieu rend à Sarkozy sa liberté d'action

Valérie Pécresse : Manuel Valls parle du FN au lieu de s'attaquer aux voyous

Que la droite remette de l'ordre dans ses affaires"

L'expresso du 8/10

"Dans l'affaire Bettencourt, il y a encore des innocences à démontrer. Je pense à Eric (Woerth). On aurait pu avoir un deuxième non-lieu (après celui de Nicolas Sarkozy, Ndlr)", a estimé Christian Jacob, chef de file des députés UMP sur i-Télé.

Le regret

Invité sur i-Télé, Henri Guaino s'est déclaré "assez choqué par l'attitude de François Fillon". Evoquant les propos de l'ancien Premier ministre au sujet de sa "compétition" avec Nicolas Sarkozy dans le JDD, le député UMP des Yvelines a regretté que François Fillon "choisisse son ennemi dans son propre camp" : "Ce n'est pas un comportement moral. A quoi rime cette histoire de guerre (avec Nicolas Sarkozy, Ndlr)?"

L'analyse

"Quand la gauche ne se rassemble pas, elle arrive à disparaître." Telle est la leçon que tire Bruno Le Roux, patron des députés socialistes, des résultats de l'élection partielle cantonale à Brignoles qui a vu, dimanche, la gauche éliminée au premier tour. Sur France 2, l'élu socialiste a donc appelé au "rassemblement" : "A gauche, personne ne peut réussir à tirer son épingle du jeu en critiquant la politique (du gouvernement)."
Lire notre décryptage : La série noire continue pour le PS

L'attaque

Valérie Pécresse a évoqué sur RTL "l'instrumentalisation par la gauche" de la montée du Front national. "Manuel Valls court le pays pour parler du FN au lieu de s'attaquer aux voyous", a estimé l'ancienne ministre UMP du Budget pour qui "tout cela est très mitterrandien". "Ça ne mène pas le pays à une sortie de crise", a-t-elle ajouté.

Le soutien

Dans l'édition de mardi du Parisien, Florence Berthout, qui veut obtenir l'investiture de l'UMP dans le 5e arrondissement de la capitale, défie Jean Tibéri. Elle souhaite en effet mettre fin au mandat local de l'ancien maire de Paris. Interrogée sur France Info, Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate de l'UMP pour succéder à Bertrand Delanoë, a affiché son franc soutien à "une femme à la fois d'autorité et de talent". "Je veux le renouvellement, je l'ai toujours dit, y compris pour le 5e arrondissement", a lancé l'ancienne ministre qui a ajouté : "Il y a un moment où il faut savoir passer la main."
Réponse de Jean Tibéri, contacté mardi matin par Le Lab d'Europe 1 : "Je ne céderai pas à ces menaces (..) Je ferai encore preuve de patience. J'espère que la décision définitive ne sera pas celle-ci et que le bon sens l'emportera."
 

lundi 7 octobre 2013

Mélenchon : "Ce serait une escroquerie de dire que je suis d'extrême-gauche."


Mélenchon : "Ce serait une escroquerie de dire... par franceinter

OpinionS : Cantonale de Brignoles, un avertissement sans frais ?


OpinionS : Cantonale de Brignoles, un... par Lopinionfr

Se dirige-t- on vers le NFN? - L'édito de Christophe Barbier

David Assouline : "A Brignoles, nous appelons à voter pour la candidate de droite

Bourdin direct: Bruno Le Maire - 07/10

Mélenchon: le principal pourvoyeur des voix FN "est à l'Elysée"

L'expresso du 7/10

Les rythmes scolaires, "une grande réforme qui est en train de réussir", a déclaré Vincent Peillon. "On ne fera pas demi-tour", a assuré le ministre de l'Éducation nationale au micro de RTL. Il a également contesté les critiques selon lesquelles cette nouvelle organisation entraînerait davantage de fatigue pour les enfants. "C'est tout à fait inexact", assure Vincent Peillon, citant des chronobiologistes : pour eux, a-t-il expliqué, "la pause du mercredi est mauvaise (...) car elle provoque une rupture du rythme".

L’annonce

"Un stage ce n'est pas un travail. Je souhaite une réforme profonde, trop d'entreprises abusent des stages", a assuré le ministre du travail Michel Sapin sur i-Télé. Il a également annoncé son intention de "réformer l'inspection du Travail pour protéger son indépendance".

L’attaque

"Le FN prospère sur la résignation. Le principal pourvoyeur de ces voix est à l'Elysée", a lâché Jean-Luc Mélenchon sur France Inter au sujet de l’élimination du PS à Brignoles. Le co-président du Parti de Gauche a expliqué que "le FN a une capacité de mobilisation indemne d'un élection à l'autre. Le reste s'effondre."

La mise au point

"Je dis à Jean-Luc Mélenchon de se rendre compte de sa responsabilité à continuer à faire du PS son ennemi principal", a expliqué sur Europe 1 le porte-parole du PS David Assouline au sujet de la cantonale partielle de Brignoles (Var). Il a évoqué un "coup de semonce très clair pour la gauche à Brignoles. Quand le FN est haut, il faut l’unité de la gauche au premier tour", a-t-il expliqué. Le sénateur a accusé la droite de "banaliser" le Front national et "de créer des passerelles en considérant qu'on pourrait voter pour le Front national contre le Parti socialiste".

La critique 

"L'UMP qui passe son temps à courir derrière le FN n'en tire aucun parti. Les gens préfèrent l'original", lui a reproché le secrétaire général du PS Harlem Désir sur France Info. "Il faut que les forces politiques de gauche soient capables de se rassembler", a-t-il également ajouté.

Le chiffre 

Pour 75% des Français, le projet de loi pénale présenté par la ministre de la Justice Christiane Taubira ne permettra pas de lutter efficacement contre la délinquance, selon un sondage Ifop pour le Figaro publié lundi 7 octobre. 
 

Var. Le FN largement en tête au premier tour avec 40,4% des voix

Laurent Lopez, le candidat du Front national à l'élection cantonale partielle de Brignoles, dans le Var, arrive largement en tête du premier tour, qui s'est tenu dimanche. Il a obtenu 40,4% des voix dans un scrutin marqué par une très forte abstention. Le PS et le PCF, éliminés dès le premier tour, ont appelé "à faire barrage au FN". Au total, l'extrême droite a atteint 49,5% des suffrages : Laurent Lopez en obtenant 40,4% et Jean-Paul Dispard du "Parti de la France" 9,1%. Elle améliore nettement ses scores de 2011 et 2012 réalisés par le candidat frontiste (32,97% et 34,9% des voix). Le scrutin de dimanche a été marqué par une très forte abstention. 66,65% des électeurs ne se sont pas déplacés aux urnes. Il sonne comme un coup de semonce pour l'UMP et le PS à 150 jours des élections municipales. Catherine Delzers, la candidate UMP, est arrivée deuxième avec 20,8% des voix, dans ce canton gagné par la gauche en 2012. Laurent Carratala, le candidat communiste, soutenu par le Parti socialiste, n'a recueilli que 14,6% des suffrages quand la candidate d'Europe Ecologie-Les Verts, Magda Igyarto-Arnoult, en a obtenu 8,9%. Faire "barrage" au Front "Dès le premier tour, le Front national prouve sa capacité à rassembler nos compatriotes autour de son candidat, tandis que les partis du système sont littéralement boudés et défiés", s'est aussitôt réjoui le FN dans un communiqué. De son côté, Harlem Désir, le Premier secrétaire du PS, avait appelé à voter pour le candidat communiste, le PS n'ayant pas présenté de candidat. Sitôt le résultat connu dimanche soir, le Parti socialiste a appelé à faire "barrage au FN" au second tour, le 13 octobre. "La gauche est éliminée dès le premier tour de l'élection cantonale partielle de Brignoles. Ce résultat doit sonner comme un sévère avertissement pour tous les partis de gauche : lorsque le Front national est fort, la division produira souvent le même résultat. La conséquence est simple : au second tour les électeurs n'ont le choix qu'entre l'UMP et le FN", écrit le parti de majorité dans un communiqué. "La gauche est éliminée dès le premier tour de l'élection cantonale partielle de Brignoles. Ce résultat doit sonner comme un sévère avertissement pour tous les partis de gauche : lorsque le Front national est fort, la division produira souvent le même résultat. La conséquence est simple : au second tour les électeurs n'ont le choix qu'entre l'UMP et le FN", écrit le PS dans un communiqué. Une élection invalidée deux fois Le PCF a également lancé un appel à ses électeurs pour faire "barrage" au Front national et accusé EE-LV de "porter la responsablitié" de l'élimination de la gauche, alors que le parti écologiste n'avait en 2012 pas présenté de candidat. En août 2012, le Conseil d'Etat avait confirmé l'annulation de l'élection cantonale partielle de juin-juillet, qui avait vu le communiste Claude Gilardo, maire de Brignoles, l'emporter de seulement 13 voix face au candidat du FN, Jean-Paul Dispard. Cette élection des 24 juin et 1er juillet 2012 avait eu lieu déjà à la suite d'une annulation du scrutin de mars 2011. Cette fois-là, c'est Claude Gilardo qui, battu de 5 voix par le FN, avait introduit un recours devant la justice administrative, et obtenu gain de cause. Lors du scrutin cantonal de 2011, le canton de Brignoles faisait partie des deux seuls remportés nationalement par le FN, avec celui de Cavaillon, dans le Vaucluse. Le PS et le PCF avaient appelé la semaine dernière au "rassemblement" et demandé le retrait de la candidature écologiste, craignant une élimination du candidat communiste dès le 1er tour. La présidente du FN Marine Le Pen était pour sa part venue à Brignoles fin septembre pour soutenir le candidat FN. "Pas une voix ne doit manquer à Laurent Lopez", avait mis en garde Marine Le Pen, ajoutant qu'"il est intéressant de remarquer que les élections se suivent et se ressemblent. Il y a une véritable poussée". Dispard appelle à voter UMP Jean-Paul Dispard, le candidat dissident du FN, a appelé ce lundi matin à voter pour l'UMP, au contraire du "Parti de la France" sous l'étiquette duquel il était candidat. "J'ai été exclu du Front national, donc j'appelle à voter pour la candidate de droite, l'UMP", a-t-il déclaré sur BFMTV. Se reconnaît-il dans ce qu'elle dit ? "Mais bien sûr, c'est tous des amis, à droite !" Ce lundi, dans un communiqué, le "Parti de la France" a pris la position inverse : "Conformément à sa ligne politique visant à assurer la défaite des partis de gauche ou soutenus par la gauche, Carl Lang et le Parti de la France appellent les électeurs de Brignoles à faire barrage au deuxième tour au candidat UMP qui bénéficie du soutien public du Parti communiste, du Parti socialiste et des Verts". Les résultats Inscrits : 20 728 Abstentions : 13 815 Votants : 6913 Blancs et nuls : 185 Exprimés : 6 728.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/07/1725567-var-fn-largement-tete-premier-tour-40-4-voix.html

dimanche 6 octobre 2013

ZAPPING ACTU HEBDO DU 05/10/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 05/10/2013 par lezapping

Giscard ne chasse plus

L’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing, âgé de 87 ans, n’a pas repris son permis de chasse. Moins en forme, selon ses derniers visiteurs, VGE renonce à l’une de ses grandes passions. Grand amateur de safaris en Afrique, il fut surtout le dernier des chefs d’État de la Ve à participer aux chasses présidentielles à Chambord, Rambouillet ou Marly-le-Roi

http://www.lejdd.fr/Politique/Indiscret-Giscard-vieux-fusil-632533

Fabius : "un ministre, c'est fait pour gouverner, pas pour controverser


Fabius : "un ministre, c'est fait pour... par Europe1fr

La mauvaise journée de Fleur Pellerin

Des députés de tous bords ont étrillé mardi la ministre chargée de l’Économie numérique sur les insuffisances du haut débit, alors qu’elle venait évoquer le déploiement du… très haut débit. Constamment interpellés en circonscription, les élus dénoncent "l’opacité et l’irrespect des opérateurs".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-mauvaise-journee-de-Fleur-Pellerin-632569

François Hollande ? "Un homme d'embrouilles", selon Mélenchon

Dans une interview au Parisien, Jean-Luc Mélenchon qualifie François Hollande d'"homme d'embrouilles" et tire à boulets roulets rouges sur le gouvernement. Il promet "de grosses surprises" lors des élections municipales de 2014.

Jamais avare de "bons" mots, Jean-Luc Mélenchon en a réservé un bien précis pour François Hollande . Dans un entretien au Parisien dimanche, le patron du Parti de gauche (PG) qualifie le chef de l'Etat d'"homme d'embrouilles" et promet "de grosses surprises" lors des élections municipales de 2014.

Car, pour le leader d'extrême-gauche, François Hollande "a trompé beaucoup de monde et il continue".  Le chef de l'Etat "n'est pas un homme de synthèse, c'est un homme d'embrouilles". "Le désespoir qu'il répand sert la soupe aux Le Pen", poursuit-il. L'ancien sénateur socialiste tire à boulets rouges sur le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, qui présente, selon lui, "un budget de récession pire encore
que les précédents". "Ce gouvernement a deux bêtes de somme : les ouvriers et les classes moyennes ! Comme la droite, pour lui le grand ennemi, c'est le coût du travail. Pas celui du capital". Quant au ministre de l'Intérieur,
Manuel Valls , il n'est pas épargné. Selon Mélenchon, il fait,  avec ses propos sur les roms "de 17.000 malheureux les boucs émissaires de toutes les souffrances du pays".
"Une nouvelle gauche va se construire aux municipales" 
Compte-tenu de la ligne et des difficultés du gouvernement, Jean-Luc Mélenchon pronostique "de grosses surprises électorales" en 2014. "Une nouvelle gauche va se construire dans les municipales", affirme-t-il : "Nous tiendrons l'objectif : des listes autonomes dans toutes les villes de plus de 20.000 habitants. Presque partout heureusement avec les communistes. Mais de façon significative aussi avec Europe Ecologie Les Verts ( EELV )".

Samedi,
Pierre Laurent , secrétaire national du PCF, partenaire du PG au sein du Front de gauche , a affirmé pour sa part que pour les municipales le "maître-mot n'est pas autonomie", mais "rassemblement", prenant le contre-pied du Parti de gauche qui prône l'autonomie au premier tour.
 

Couacs entre ministres : Sapin tance ceux qui "se font mousser"

"On n'est pas ministre pour soi, on est ministre pour la France." Interrogé dimanche sur la polémique partie de Manuel Valls et Cécile Duflot sur les Roms, qui ont forcé l'Elysée et Matignon à recadrer, le ministre du Travail a condamné... sans nommer quiconque.

Michel sapin , ministre du Travail, a estimé dimanche sur Canal+ que les ministres devaient éviter de "se faire mousser un instant" et qu'on n'était "pas ministre pour soi", en réaction aux récentes maladresses de communication de certains d'entre eux, qui ont obligé l'Elysée et Matignon à procéder à un recadrage. "Il faut que chaque ministre comprenne qu'on n'est pas ministre pour soi, on est ministre pour la France", a expliqué M. Sapin, sans toutefois viser un ministre en particulier. "Il faut faire attention. Se faire mousser un instant, ça n'a pas beaucoup d'intérêt (...) Ce qui compte pour un ministre, c'est la trace qu'il va laisser dans l'histoire, dans l'action", a-t-il encore souligné.

Lors du conseil des ministres mercredi,
François Hollande a demandé aux membres du gouvernement de mettre fin aux maladresses de communication ou aux débats entre ministres étalés sur la place publique. Le dernier couac en date concernant un différend qui opposait depuis la semaine dernière Manuel Valls (Intérieur) et Cécile Duflot (Logement) au sujet des Roms . Jean-Marc Ayrault , qui a regretté en Conseil que les 37 ministres s'expriment "dans tous les sens", a lui-même été prié par M. Hollande de "veiller encore davantage" à la coordination de la communication et du travail du gouvernement.
 

RTL Opinions - Serge July : Marine Le Pen cherche à organiser des micro-alliances

Les invités politiques du dimanche

Laurent Fabius (PS) : Le Grand Rendez-vous, sur Europe 1/Le Monde/ i>Télé, à 10 heures.
Corinne Lepage (Cap21) : 30 Minutes pour convaincre, sur Judaïques FM, à 10 h 30.
François Rebsamen (PS) : Le Grand Entretien, sur RCJ, à 11 heures.
Michel Sapin (PS) : Le Supplément politique, sur Canal+, à 11 h 55.
Gilbert Collard (FN) et Dominique Bertinotti (PS) : Le Brunch politique, sur Sud Radio, à 12 heures.
Jean-Claude Mailly (FO) : 12/13 dimanche, sur France 3, à 12 h 10.
Claude Bartolone (PS) : Forum, sur RadioJ, à 14 h 20.
Jean-Pierre Raffarin (UMP) : C politique, sur France 5, à 18 heures.
Arnaud Montebourg (PS) : BFM Politique, sur BFMTV/ Le Point/RMC, à 18 heures.
François Bayrou (MoDem) : Tous politiques, sur France Inter/Le Parisien/France 24, à 18 h 10.
Pierre Moscovici (PS) : Le Grand Jury, sur RTL/ Le Figaro/LCI, à 18 h 30.
Stéphane Gatignon (EELV) : Soir 3, sur France 3, à 23 h 45.
 

71 % des Français ont une bonne opinion de Valls

Une très large majorité de Français - 71 % - a une bonne opinion de Manuel Valls, approbation cependant en recul de deux points en un mois, selon un sondage BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France publié dimanche.

Si Manuel Valls , ministre de l'Intérieur, a perdu deux points d'approbation des Français en un mois, ils sont 71 % a avoir une bonne opinion de lui selon un sondage BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France publié dimanche. 71 % des personnes interrogées ont une "très bonne" (16 %) ou "plutôt bonne" (55 %) opinion du ministre de l'Intérieur. Elles étaient 73 % en septembre. Parmi les seuls sympathisants de gauche, le score de M. Valls monte jusqu'à 73 %. Mais à droite il est aussi très fort : 69 %.
Le jugement porté sur son action de ministre est encore plus positif : 75 % l'approuvent (22 % d'un avis inverse, 3% ne se prononcent pas). Les sympathisants de gauche sont 81% à saluer son action de ministre. Cette politique est cependant jugée sans impact par 46 %, alors que son impact est positif pour 40 % et négatif pour 10 %.
Il ferait "un bon Premier ministre" pour 61 % des Français
Les sondés sont 61 % à considérer que M. Valls ferait "un bon Premier ministre" (34 % jugent qu'il serait mauvais, 5 % ne se prononcent pas). Le ministre de l'Intérieur remporte deux duels contre deux de ses collègues : 78 % le préfèrent "personnellement" à Cécile Duflot (EELV, Logement, 14 %) et 70 % à Christiane Taubira (Justice, 24 %). 
Cependant, les sympathisants de gauche sont 49 % à préférer la garde des Sceaux au locataire de la Place Beauvau (45 % pour lui). De vives polémiques - sur la réforme pénale, sur le dossier des Roms - ont opposé M. Valls à ces deux ministres depuis l'été. Parmi les caractéristiques attribuées au "premier flic de France" : 76 % le créditent de "convictions profondes", et autant de "courage", 74 % le voient "autoritaire" et 73 % "compétent". Au revers de la médaille, 54 % jugent qu'il joue "trop perso" (38 % d'un avis contraire), 48 % (contre 43 %) le trouvent "arriviste".
Enquête réalisée auprès d'un échantillon de 1.016 personnes (recrutées par téléphone et interrogées par internet les 3 et 4 octobre).
 

vendredi 4 octobre 2013

L'immense impopularité de François Hollande - L'édito de Christophe Barbier

Morin : "Hollande, un mauvais arbitre de football"


Morin : "Hollande, un mauvais arbitre de football" par lejdd

Arnaud Montebourg : "Madame Fressoz, vous avez un problème avec votre cerveau


Arnaud Montebourg : "Madame Fressoz, vous avez... par LCP

N. Dupont-Aignan ne s'associera pas au FN "tant que J.M. Le Pen restera président d'honneur


N. Dupont-Aignan ne s'associera pas au FN "tant... par ITELE

Le Zapping vidéo d'Europe 1

Chirac en terrasse à St Trop', les badauds ravis - 04/10

Ayrault, recadreur en chef

Politique Première: Marine Le Pen refuse l'appellation "extrême-droite

Anne Hidalgo : "Une réforme indispensable"

CONFIDENTIEL. Quand Bartolone tente de prévenir Matignon après le tir de Duflot

Présent à Angers le jeudi 26 septembre lors des journées des élus EELV, le président de l'Assemblée voit la tempête venir après la charge de Cécile Duflot contre Manuel Valls. Il tente alors de prévenir Matignon.

Ce beau jeudi de septembre, lorsque Claude Bartolone arrive à Angers pour assister aux journées parlementaires des Verts, il ne sait pas que la journée va provoquer la plus grave polémique gouvernementale depuis seize mois. Après avoir prononcé un discours d'unité, le président de l'Assemblée nationale s'assoit tranquillement pour écouter les dirigeants EELV. Mais lorsque Cécile Duflot sort l'artillerie lourde contre Manuel Valls , son sang ne fait qu'un tour. Il sait alors que la journée va marquer.

Le président de l'Assemblée nationale se tourne alors immédiatement vers son entourage. Consigne leur est donnée de s'assurer que les deux collaborateurs du Premier ministre présents dans la salle ont bien entendu les propos de Cécile Duflot, et leur portée. Car
Jean-Marc Ayrault doit lui aussi arriver à Angers un peu plus tard... Il a été invité pour le verre de clôture de ces journées écolos. Comment le Premier ministre peut-il gérer cette crise ?  Est-il encore temps pour lui de faire demi-tour pour Paris ?

Jean-Marc Ayrault arrivera finalement dans l'après-midi et assistera, sur place, au début de la polémique. Il renverra le soir les uns et les autres à la "circulaire" d'août 2012 sur les
Roms . "J'ai une ligne : je veux être en permanence celui qui ramènera à l'essentiel", lâchera-t-il. 
 

L'expresso du 4/10

C'est avec cette photo postée sur Facebook que le célèbre établissement tropézien Sénéquier a annoncé la venue jeudi soir de Jacques Chirac et de son épouse Bernadette. L'ancien président, qui avait dérogé à ses habitudes cet été en ne se rendant pas dans la ville varoise, y a fait son retour. Attablé en compagnie du couple Pinault, Jacques Chirac n'a pas pris sa bière fétiche, la Corona, mais a opté pour une pina colada, croit savoir RTL.

L'échange

Via Twitter, Florian Philippot, le vice-président du Front National, a interpellé Nicolas Dupont-Aignan, invité de l'interview politique d'i-Télé. "L'union des patriotes avec nous au RBM, c'est pour quand?", lui a-t-il demandé. "Quand le Front national ne sera plus d'extrême droite", a répondu le président de Debout la République. "Il n'y a jamais de non ferme et définitif. Ce n'est pas à moi de changer, c'est à Marine Le Pen", a-t-il fait valoir.

L
"Une armée, ce n'est pas uniquement des effectifs", a estimé sur RTL Jean-Yves Le Drian au lendemain de l'annonce de la suppression de 23.500 postes dans l'armée française. "Les menaces ont changé, il faut s'adapter", a encore fait valoir le ministre de la Défense se réjouissant de la "sanctuarisation" du budget de son ministère sur la période allant de 2014 à 2019. Selon lui, en renforçant le dispositif, la France sera "demain à même de mener une ou deux opérations comme celle au Mali en même temps".

La phrase

"Les conjoints de celles et ceux qui mènent une vie politique sont de fait un peu engagés par leur parole", a estimé Anne Hidalgo, sur Europe 1, en réaction aux tweets polémiques de Xavier Cantat, compagnon de la ministre Cécile Duflot.

http://www.lejdd.fr/Politique/Les-conjoints-des-politiques-sont-un-peu-engages-par-leur-parole-632262

jeudi 3 octobre 2013

ZAPPING ACTU


ZAPPING ACTU DU 02/10/2013 - Orty gym, le club... par lezapping

NKM : "Peillon a fait une affaire personnelle de la réforme des rythmes scolaires"


NKM : "Peillon a fait une affaire personnelle... par lesechos

Hollande face à la grogne paysanne


Hollande face à la grogne paysanne par lesechos

L'expresso du 3/10

Marine Le Pen en a marre que le FN soit considéré comme un parti d'"extrême-droite". Un terme selon elle "volontairement péjoratif" qui relève d'un "acte militantisme" et d'"une bavure intellectuelle" de la part des journalistes. Aussi, "je vais envisager de demander à la justice de considérer qu’il s’agit d’un terme péjoratif volontairement utilisé pour nuire au Front national et donc rompre l’impartialité à laquelle vous devriez être tenu", a-t-elle dit à Jean-Michel Apathie sur RTL.

Le soutien

Neveu de l'acteur Jean-Paul Belmondo, Jean-François Belmondo sera candidat aux municipales en deuxième position sur une liste Front national, dans le 3e arrondissement de Paris. Dans un entretien à MetroNews, ce pharmacien quinquagénaire affirme avoir "été totalement séduit" par Jean-Marie Le Pen dès son adolescence. "Si mon nom peut aider le Front national, je l'offre au Front national", dit-il également.

Le tweet

Les tweets du compagnon de Cécile Duflot, Xavier Cantat, ont déjà fait polémique. Ce dernier s'est exprimé cette fois-ci sur le "recadrage" du gouvernement par François Hollande, après les tensions autour de la question des Roms entre la ministre écologiste et Manuel Valls. Mais il a ensuite effacé son message.
 
 

Le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, a décidé de célébrer le 55e anniversaire de la Constitution de 1958, en conviant jeudi le chef de l'Etat, tout le gouvernement et tous les anciens ministres de la Ve. Sur Europe 1, le fils de Michel Debré, l'un des rédacteurs de la Constitution, a fait les comptes. Sur les 579 anciens ministres et secrétaires d'Etat, 384 sont encore en vie et plus de 205 ont répondu positivement à son opposition. "Certains noms étaient sortis de ma mémoire…", a raconté Jean-Louis Debré.

Le doute

Dans une interview accordée vendredi à Elle, Cécilia Attias revient pour la première fois sur l'élection de Nicolas Sarkozy et se défend d'avoir dressé une liste restrictive des invités au Fouquet's, le soir du second tour. Sur i-Télé, l'ex-président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer est sceptique. "Ça me parait bizarre… Mais enfin, je n'en dirai pas plus car ce n'est pas mon affaire", a dit le député UMP.

L'autosatisfaction

Le Point relate une anecdote sur Henri Guaino, racontée par Nicolas Sarkozy lors d'un récent déjeuner avec des élus UMP et UDI. "Quand j'ai choisi Henri, on m'a dit : 'pourquoi lui? Il est fou!' Mais pour moi, c'était le meilleur", affirme l'ex-président dans ces propos rapportés, au sujet de son ex-conseiller. "Un soir, je passe une tête dans son bureau, il pleurait. Et il m'explique : 'C'est votre discours de demain, monsieur le président, je viens de le finir, il est trop émouvant.' Vous voyez, un type capable de pleurer sur son propre discours, c'est le meilleur."

L'attaque

Sur BFMTV, Harlem Désir a fustigé la tentative de Jean-François Copé "d'instrumentaliser" le débat sur les rythmes scolaires. "C'est honteux de la part d'un responsable politique", a lancé le patron du PS, qui a évoqué le "mensonge", "l'amnésie", "l’hypocrisie" et "l'irresponsabilité" du président de l'UMP. "Il y a une prise en otage de l'intérêt de l'enfant pour des raisons de pure stratégie politicienne", a-t-il également déclaré.

La phrase

"Si je suis élue, je proposerai des états généraux des temps de la ville. Il faut beaucoup de régulation pour pouvoir faire fonctionner dans une ville comme la nôtre", a affirmé sur France 2 Anne Hidalgo, candidate PS à la mairie de Paris, "sur la question du travail le dimanche comme du travail de nuit".
 
Le tweet
Les tweets du compagnon de Cécile Duflot, Xavier Cantat, ont déjà fait polémique. Ce dernier s'est exprimé cette fois-ci sur le "recadrage" du gouvernement par François Hollande, après les tensions autour de la question des Roms entre la ministre écologiste et Manuel Valls. Mais il a ensuite effacé son message.
 
hebergeur image

http://www.lejdd.fr/Politique/Quand-Guaino-pleurait-devant-son-discours-632130

Coquin de sort !

Bourdin direct: Harlem Désir - 03/10

"Chirac, Giscard et Sarkozy ne viendront pas"

Marine Le Pen répond aux auditeurs de RTL

Joyeux anniversaire, Ve République !

Le couac dans le couac

La laisse médiatique du gouvernement

mercredi 2 octobre 2013

Alain Vidalies : "le coût de la réforme des rythmes scolaires


Alain Vidalies : "le coût de la réforme des... par ITELE

Les politiques sèchent sur le prix des produits du quotidien


Les politiques sèchent sur le prix des produits... par 20Minutes

Recadrage de François Hollande en Conseil des ministres sur la question

Rythmes scolaires: pas question de reporter la réforme, dit Peillon

Nicolas Hulot, son engagement pour l'écologie et la politique

Jean-Christophe Cambadélis : Mettons de côté les querelles subalternes

Bourdin direct: Christian Jacob - 02/10

L'expresso du 2/10

Alors que le chef de l'Etat était critiqué par l'opposition pour son "manque d'autorité" sur les ministres, il doit évoquer la question des Roms en Conseil des ministres. "De l'humiliation, on passe au ridicule", a commenté sur BFMTV le patrons des députés UMP, Christian Jacob. Pour l'élu de Seine-et-Marne, ce "recadrage" n'a pas sa place dans cette réunion, qui doit permettre de "gérer les affaires de la France". "On le fait avant ou après, mais pas dans ce cadre-là", a-t-il dit.

Le démenti

François Hollande est-il devenu colérique, comme l'affirme L'Express dans un article paru mardi? "Non", a répondu sur i-Télé le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, précisant ne pas "savoir d'où (venait) cette information". Affirmant que le président est avant tout "déterminé", le ministre a tout de même mentionné "des colères froides". L'Express parle également d'"irritations froides", qui tranchent avec les "propos grossiers (et les) emportements éruptifs à la Nicolas Sarkozy".
Comparant les bisbilles du gouvernement français aux crises dans les autres pays d'Europe, le député PS Jean-Christophe Cambadélis a regretté sur RTL "l'attitude d'enfants gâtés" de certains ministres. L'élu parisien vient de lancer, avec 20 autres parlementaires, un "appel à la raison". "Ces divisions à répétition minent l’autorité de l’exécutif", prévient-il dans ce texte.

L'anecdote

Le Parisien révèle que Cécile Duflot a trouvé un surnom à Manuel Valls : "Pepe", un enfant espagnol qui apparaît dans une aventure d'Astérix et Obélix (Astérix en Hispani). "Ce petit garçon fier retient sa respiration jusqu'à ce que son entourage cède à ses caprices", décrit le quotidien. 
La phrase
Nous sommes un allié fidèle et loyal à la majorité. Après, le soutien fidèle et loyal, ce n'est pas être godillot", a affirmé Jean-Vincent Placé, chef de file des sénateurs écologistes, sur Europe 1.

Le rendez-vous

Envoyé spécial du président François Hollande pour la protection de la planète, Nicolas Hulot travaille sur la conférence sur le climat, qui doit se tenir en France en 2015. Pour l'écologiste, ce sommet est plus que capital. "C'est l'ultime moment, de mon point de vue, où l'humanité peut renouer avec une forme de sagesse", a-t-il déclaré sur France 2.
 

mardi 1 octobre 2013

Christian Estrosi : "je demande à M. Valls d'abroger sa circulaire


Christian Estrosi : "je demande à M... par ITELE

NKM sur la réforme Peillon: "On a des remontées de terrain inquiétantes

Violent échange entre Christian Jacob et Jean-Marc Ayrault


Jean-François Copé : Il faut moderniser le travail dominical

Cécile Duflot, la catastrophe

Bourdin direct: Bernard Cazeneuve - 01/10

Le Centre, une menace pour l'UMP ?

L'expresso du 1/10

Sur Europe 1, Aurélie Filippetti était invitée à réagir aux divisions des membres du gouvernement sur la question des Roms, qui n'ont toujours pas fait réagir François Hollande. "Le président de la République n'est pas un patron, le président de la République est le chef de l'Etat. Ce ne sont pas des agitations politiciennes qui remettent en cause son autorité", a expliqué la ministre de la Culture. Sans les citer, elle préfère "incomber" la responsabilité de cette situation aux médias, qui relaient les "petits propos de congrès politique".
"J'aimerais tellement que les politiques prennent des décisions eux-mêmes plutôt que de renvoyer à des commissions", a déclaré Jean-François Copé sur RTL. Le président de l'UMP critique la mission de concertation sur le travail dominical confiée par le gouvernement à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly.

La proposition

Les boissons énergisantes sont à nouveau dans le collimateur, l’agence sanitaire Anses évoquant dans un rapport les risques sanitaires autour de leur consommation. En réponse, le député PS Gérard Bapt propose une mesure "dissuasive" via "une taxe comportementale, sans doute entre 0,5 et 1 euro par cannette". "Ce n’est pas une nouvelle taxe, puisque cette taxe avait été votée par le Parlement l’an dernier, mais censurée par le Conseil constitutionnel parce qu’il avait considéré qu’il n’y avait pas suffisamment d’éléments sanitaires", a expliqué l'élu de Haute-Garonne sur Europe 1.

L'autosatisfactiChristian Estrosi n'est pas peu fier d'être le maire le plus influent sur les réseaux sociaux, selon un baromètre dévoilé en fin de semaine dernière. "Je donne l'impulsion pour que derrière, il y ait énormément de suiveurs (sur Twitter), de likers (sur Facebook)", a expliqué l'édile UMP de Nice sur i-Télé. Avant d'insister : "Je constate qu'il y a des milliers de Français qui suivent l'impulsion que je donne, car j'essaye de faire sortir le débat politique du politiquement correct."on


http://www.lejdd.fr/Politique/Filippetti-l-autorite-d-Hollande-pas-remise-en-cause-par-les-agitations-politiciennes-631823