dimanche 23 octobre 2011

les petites phrases du 23/10/2011

VOTE ETRANGERS - Patrick Devedjian, sur Radio J.Le député UMP et président du conseil général des Hauts-de-Seine a estimé dimanche que donner le droit de vote aux étrangers pour les élections locales aboutirait à instaurer "une citoyenneté à deux vitesses". L'ancien ministre a expliqué n'être "pas favorable" à cette mesure inscrite dans le projet socialiste.
PARTI SOCIALISTE - Olivier Besancenot, sur Canal+.
L'une des principales fgures du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a jugé dimanche que "le virage politique à gauche" du Parti socialiste n'a pas eu lieu à l'occasion de la primaire, avec la désignation de François Hollande comme candidat pour la présidentielle de 2012.
ENFANT SARKOZY - Marine Le Pen, sur M6.
Invitée dans l'émission Face à l'actu, la présidente du Front national a estimé qu'elle aurait préféré que Giulia Bruni-Sarkozy, la fille du président de la République née mercredi, "porte un prénom français plutôt qu'un prénom italien". "Je pense que quand on est président de la République française, il m'apparait comme un signal fort de donner à son enfant un prénom français. C'est mon côté patriote, et je pense que beaucoup de Français pensent la même chose que moi", a dit Marine Le Pen.
EURO - Valérie Pécresse, sur RCJ.
La ministre du Budget a réaffirmé dimanche sur la radio RCJ qu'"il n'y a pas de retour en arrière possible sur l'euro" alors que s'est ouvert à Bruxelles un sommet crucial sur l'avenir de la zone euro. "On ne va pas revenir au franc, si on revenait au franc ce serait tragique, l'euro nous protège", a-t-elle estimé sur les ondes de la Radio de la communauté juive. "Il faut vraiment que nous consolidions l'Europe, (...) l'Europe solidaire est un formidable bouclier pour nous contre la crise" et la France doit avoir "une politique de compétitivité", a-t-elle souhaité regrettant "la tentation du protectionnisme".
PARRAINAGES - Marine Le Pen, dans Le Parisien.
Dans un interview, la présidente du Front national affirme que la collecte des 500 parrainages de maires nécessaires à sa candidature va "encore être un souci". "Les soutiens étant rendus publics, de moins en moins de maires donnent leurs signatures aux candidats pour ne pas avoir d'ennuis. Ils craignent notamment des mesures de rétorsion qui les priveraient de subventions pour leurs équipements", estime Marine Le Pen. Si Marine Le Pen ne pouvait se présenter, faute de parrainages, "ceux qui en seraient responsables le paieraient très cher dans les urnes, avec des conséquences dévastatrices pour eux aux élections législatives", prévient-elle. "Il y aura des députés du Front national au printemps prochain", prédit la leader du FN, expliquant: "le mode de scrutin n'est plus un inconvénient pour nous. Il peut même être un accélérateur. Aux cantonales, nous avons raté beaucoup de sièges à quelques voix près".
CRISE DE LA DETTE - François Fillon, au Japon.
Le Premier ministre français s'est voulu optimiste sur les crises des dettes souveraines qui agitent l'Europe. "Les Etats-membres, dont la France et l'Allemagne, et les différentes institutions européennes sont prêts à prendre des mesures décisives", a-t-il dit à la presse, au cours de son voyage au Japon. Les chefs d'Etat et de gouvernement européens se réunissent ce dimanche en sommet à Bruxelles pour tenter de définir une réponse d'envergure à la crise de la dette qui frappe le continent depuis deux ans.

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