dimanche 30 juin 2013

Duflot compte rester au gouvernement

La question du départ du gouvernement de la ministre du Logement Cécile Duflot "ne se pose pas" et elle continuera son travail "tant que les conditions politiques seront réunies", déclare l'écologiste dans un entretien paru samedi.
"La question ne se pose pas", répond Cécile Duflot au journal La Provence sur son intention de quitter le gouvernement. A la relance du journaliste "Même si vos amis vous le demandaient ?", la ministre déclare : "C'est autre chose. Je pense avoir démontré l'utilité d'une ministre écologiste pour mener à bien des politiques publiques qui touchent tous les Français, en l'occurrence sur le logement. Je continuerai mon travail tant que les conditions politiques seront réunies". Sur l'élection législative partielle de Villeneuve-sur-Lot, ancienne circonscription de Jérôme Cahuzac, la ministre estime que le reproche fait aux écologistes d'avoir contribué à éparpiller les voix de gauche tenait plus de la "fausse excuse que de l'analyse".
 

Raffarin opposé à une présence de Sarkozy

L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin déclare que la présence de Nicolas Sarkozy dans le débat politique maintenant "n'est pas une bonne chose" dans Le Parisien à paraître dimanche.
"Sa présence dans le débat politique maintenant n'est pas une bonne chose ni pour lui ni pour l'UMP. Il faut permettre à nos talents d'émerger" déclare-t-il. Le sénateur UMP n'exclut toutefois pas un retour de l'ancien président de la République en 2017. "Ca n'est pas exclu. Mais il est prématuré d'en parler" estime-t-il. Indiquant qu'il l'a "vu récemment", il assure que Nicolas Sarkozy "n'est pas encore dans une logique de campagne ou de conquête".
 

Municipales : Désir appelle à l'union

Harlem Désir, Premier secrétaire du PS, a appelé dimanche à la constitution de listes d'union à gauche des le premier tour des élections municipales. Interrogé par Radio J sur les critiques du responsable EELV Jean-Vincent Placé assurant dans le Journal du Dimanche que "de Hollande à Désir, il y a une vraie difficulté à gérer l'ensemble de la majorité", le numéro un socialiste a répliqué : "la majorité doit rester soudée", "pour le redressement, nous avons besoin de toute la majorité".
Pour ce qui est des municipales de 2014, l'eurodéputé a relevé : "nous gérons ensemble de très nombreuses villes", or "l'abstention est toujours un risque lors d'élections intermédiaires"."La gauche doit aller rassemblée aux municipales", a-t-il insisté. "J'appelle à la constitution de listes d'union rassemblant l'ensemble des formations de gauche des le premier tour".
Ce rassemblement lui paraît nécessaire "aussi bien dans les villes où nous avons des objectifs de conquête, comme Marseille, Avignon, Montauban" que dans "les villes où nous avons géré ensemble". A Paris aussi ? "C'est ce que je souhaite", a répondu M. Désir.
 

Serge July : l'interminable affaire Tapie

A Paris, NKM soigne ses réseaux

Elle est partout. Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas attendu d’être désignée candidate UMP à la mairie de Paris après sa victoire à la primaire début juin pour être en campagne permanente. Depuis qu’elle brigue l’Hôtel de Ville, l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy multiplie les rencontres avec les différents réseaux parisiens.
Début juin, l’ex porte-parole du candidat UMP à la présidentielle participait ainsi au 2e congrès des Communautés juives de France. Comme la socialiste Anne Hidalgo, sa principale adversaire présente ce jour-là, NKM entretient des bonnes relations avec la communauté juive, patiemment tissées lorsqu’elle était maire de Longjumeau. Cérémonies commémorant la Shoah, dîner du Crif le 20 mars, remise du prix Copernic le 14 juin par l’Union Libérale Israélite de France… NKM soigne particulièrement ses relations avec les responsables de la religion. Très courtisée, la candidate tente de répondre aux nombreuses sollicitations. Le 25 mai, elle était invitée par l’Union de la communauté algérienne de Paris avec un autre candidat à la primaire, Pierre-Yves Bournazel.
Pas un réseau n’est oublié par la députée, qui a notamment rencontré en mai le conseiller régional UDI Alexis Govciyan, personnalité incontournable chez les personnes d’origine arménienne. Mercredi dernier, elle rencontrait la communauté ultramarine. Dans sa conquête des Parisiens d’outre-mer, NKM peut compter sur Samia Badat-Karam et sur Nathalie Fanfant, deux secrétaires nationales de l’UMP. Le même soir, Nathalie Kosciusko-Morizet était conviée à un dîner-débat par le Club du XXIe siècle, qui regroupe les élites issues de l’immigration. Un cercle cofondé par Chenva Tieu, ancien concurrent de NKM avant d’être déclaré inéligible et de se rallier à la candidate. Cet entrepreneur né au Cambodge mobilise les dirigeants d’entreprises et la communauté asiatique du XIIIe arrondissement. NKM la rencontrera d’ailleurs le 4 juillet lors d’un grand dîner organisé à la maison des Polytechniciens, où 500 personnes sont attendues.

Les chiraquiens en renfort

Ils étaient moins nombreux, en mai, pour rencontrer la candidate de l’UMP. Ce jour-là, une quarantaine de personnes originaires de Corse ont brièvement échangé avec elle. Si les réseaux Corses ont perdu un peu d’influence, les Auvergnats de Paris sont toujours autant courtisés. Et pour cause : c’est un relais d'opinion puissant parmi les patrons de cafés et de restaurants de la capitale, où ils détiennent souvent les établissements les plus luxueux. Le 10 avril, NKM participait ainsi à la remise du prix littéraire Arverne, organisée par la Ligue Auvergnate et du Massif Central. La candidate était accompagnée de Jacques Godfrain et Jacques Toubon, deux anciens proches de l’ancien maire de Paris Jacques Chirac (1977-1995). "Elle peut compter sur l’aide d’anciens élus parisiens en place sous Chirac", confirme un élu actuel. Même Bernadette Chirac, qui a bien connu le grand-père de NKM, un ancien diplomate, donne un coup de main en mobilisant l’électorat catholique. Fervente pratiquante, Bernadette Chirac s’est opposée au mariage pour tous, quand NKM s’abstenait à l’Assemblée.
Une position qui lui a permis de ne pas se couper de la communauté gay, choyée par l’actuelle majorité socialiste. Le 15 juin, NKM faisait partie de la cinquantaine d’invités lors d’une soirée privée organisée par l’ancien président de Gay lib, Emmanuel Blanc. Le secrétaire national de l’UMP Sébastien Chenu, qui gère les réseaux homos de la candidate, était lui aussi présent.
Celle qui se présente comme une femme "libre et indépendante" suscite aussi l’intérêt de réseaux classés à gauche. NKM, qui n’est pas maçonne, a ainsi été reçue le 11 juin par les francs-maçons du Grand Orient de France (GODF). Anne Hidalgo était déjà passée rue Cadet le 27 mars. "Ce sont deux femmes de qualités, sérieuses. Elles ne se sont pas dérobées aux questions", témoigne un participant. "Hidalgo et NKM se marquent à la culotte", observe, amusé, un ancien candidat à la primaire.
 

Taubira, icône de la gauche et cible de la droite - 30/06

Espionnage: pour Cohn-Bendit, "les grands Etats se croient tout permis" -

samedi 29 juin 2013

La ministre Delaunay prépare déjà son départ

Disons que cinq ans au ministère me paraîtraient longs". Dans une interview au journal Sud Ouest publiée samedi, Michèle Delaunay évoque son envie de changer d’air. La ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie, qui est actuellement "en période de rédaction" de la loi sur l’autonomie des personnes âgées, estime que celle-ci sera "prête avant la fin de l’année". Interrogée sur sa volonté de retrouver son siège de députée de Gironde après le vote de la loi, la ministre répond : "Oui. Mon statut de ‘dépotée’, de travailleur migrant ne me plaît qu'à moitié. C'est une difficulté de vie, je vis comme un étudiant". Elle n'évoque cependant pas de démission.
Celle qui avait fait sensation en 2007 en battant Alain Juppé aux législatives à Bordeaux, dans la foulée pourtant de l'élection de Nicolas Sarkozy, indique qu'il y a eu discussion avec l'actuel candidat socialiste aux municipales à Bordeaux Vincent Feltesse et sur une éventuelle primaire entre eux. "Pour que des primaires aient un écho important et mobilisateur, il fallait que nous soyons les deux candidats. Et je ne voulais en aucun cas de ce ‘casting’ qui nous aurait fait du tort à nous deux, et qui aurait servi nos adversaires", explique-t-elle. Pour la ministre, ne pas être tête de liste, "c'est jouer pour l'avenir de Bordeaux". "On joue dans la durée", insiste-t-elle.
Si Vincent Feltesse - qui est son suppléant à l’Assemblée - venait à être élu maire en mars 2014, Michèle Delaunay pourrait alors retrouver son poste de parlementaire.

"Un acteur fort de la campagne" à Bordeaux

Concernant les municipales à venir, Michèle Delaunay estime qu’il "faut vraiment que Bordeaux entre dans une dynamique de changement de siècle". Selon elle, "Juppé a un bon talent de gestionnaire et d'embellisseur de la ville, mais ce n'est pas un créateur de futur". "Peu importe si les pronostics ne nous sont pas favorables", observe-t-elle, alors que les sondages donnent l’actuel maire Alain Juppé largement gagnant l'an prochain.
"Vincent Feltesse et moi, on a la même approche d'une campagne : il faut faire le ‘max’ tous les jours. On a 5% de chances. Mais si c'est ces 5%, c'est extra!", estime-t-elle. Dans la campagne du député PS Vincent Feltesse, elle compte n'être ni "une abeille ouvrière", ni "le porte-flingue", mais "un acteur fort de la campagne" tout en précisant qu’elle ne sera "pas là tous les jours en raison de son engagement ministériel".
 

Bien manger, mais à quel prix ?


Bien manger, mais à quel prix ? par ARTEplus7

La revue de pressse décalée de Tanguy Pastureau

ZAPPING ACTU HEBDO DU 29/06/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 29/06/2013 par lezapping

Hollande, Barroso, l’Europe quand même


Hollande, Barroso, l’Europe quand même par francetvinfo

Le débrief de l'actualité : Mélenchon, la révolution en business class

Tapie au journal de France 2 lundi

Bernard Tapie, mis en examen aujourd'hui pour escroquerie en bande organisée, sera l'invité lundi du journal de 20h00 de France 2 et répondra aux questions de son présentateur David Pujadas, a annoncé aujourd'hui la chaîne publique.

Déféré devant les juges ce matin
après quatre jours de garde à vue, l'homme d'affaires, comédien et patron de presse est ensuite "parti se reposer loin de Paris", a déclaré son avocat Me Temime qui avait indiqué que Bernard Tapie comptait s'exprimer lundi sur l'arbitrage en sa faveur dans l'affaire Adidas-Crédit Lyonnais aujourd'hui remis en question par l'Etat.

Bernard Tapie devait initialement être reçu sur France 2 hier soir, notamment pour promouvoir son dernier livre paru cette semaine.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/28/97001-20130628FILWWW00658-tapie-au-journal-de-france-2-lundi.php

vendredi 28 juin 2013

Tapie, Cahuzac: "Les piliers de la République sont gangrenés"

Valérie Trierweiler : "Je passe l'aspirateur pour me détendre


Valérie Trierweiler : "Je passe l'aspirateur... par lefigaro

Didier Migaud, premier président de la Cour des Comptes dans L'invité d'Hedwige Chevrillon - 28 juin


Didier Migaud, premier président de la Cour des... par BFMBUSINESS

Sarnez: "La bataille de Paris se joue au centre"

Hollande: de nouveaux mécanismes en Europe pour lutter contre les crises

DSK-Cahuzac : «gêne» et «bras d'honneur aux Français»

Balkany "très heureux" pour Sarkozy

Patrick Balkany, député UMP des Hauts-de-Seine, s'est déclaré aujourd'hui "très heureux" du non-lieu requis en faveur de l'ex-président de la République, Nicolas Sarkozy, par le parquet de Bordeaux dans l'affaire Bettencourt. "Je suis d'abord vraiment très heureux que le parquet général ait requis le non-lieu parce que j'avais été très choqué, comme beaucoup de nos amis, de mes amis, sur l'abus de faiblesse", a expliqué ce proche de Nicolas Sarkozy sur BFM TV.

"Quand on connaît Nicolas Sarkozy, le fait d'avoir pu être mis en examen pour abus de faiblesse sur une vieille dame, c'était pour nous quelque chose de totalement incompréhensible et intolérable", a-t-il ajouté. "Moi qui connais Nicolas Sarkozy depuis des dizaines d'années, je peux vous dire que ce n'est pas le genre à aller quémander quoi que ce soit chez qui que ce soit, ni chez
Liliane Bettencourt, ni chez quelqu'autre personnage", a affirmé le maire de Levallois-Perret, écartant les accusations de financement illicite du parti.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/28/97001-20130628FILWWW00500-balkany-tres-heureux-pour-sarkozy.php

PSA sous contrôle américain ? Pas tout de suite, mais...

Bourdin direct: Fleur Pellerin - 28/06

Vote à l'UMP: les militants préoccupés par la présidentielle - 28/06

UE: 6 milliards d'euros pour lutter contre le chômage des jeunes

Mamère "pas très utile à l'Assemblée"

L'écologiste Noël Mamère (EELV) annonce dans Libération de vendredi qu'il renoncera à son mandat de député de Gironde s'il est réélu maire de Bègles en 2014, confiant qu'il ne se sent "pas très utile à l'Assemblée". "La seule chose qui pourrait me faire changer d'avis, c'est si le PS - qui a passé un contrat avec EELV pour que ma circonscription reste réservée à un écologiste - n'est pas loyal", précise Noël Mamère qui assure qu'il appliquera, "quoi qu'il arrive", en 2014 la limitation du cumul des mandats dont l'application n'est prévue par la loi qu'en 2017.
A ce propos, il "trouve hypocrite de reporter la limitation de cumul en 2017". "Pour moi, c'est l'illustration de la méthode Hollande : 'Je tiens mon engagement mais le changement, c'est pour demain'." "Je ne me sens pas très utile à l'Assemblée, où mon groupe fait ce qu'il peut pour exister face à l'hégémonie du PS", explique l'ancien journaliste de 64 ans, député depuis 1995.
 

Juppé, préféré des sympathisants UMP

Alain Juppé arrive en tête devant François Fillon et Jean-François Copé dans le coeur des sympathisants UMP qui à 54% considèrent qu'il "ferait un bon président de la République", selon un sondage BVA pour i>TELE et Le Parisien publié vendredi. Dans cette enquête, il arrive en tête sur cinq des sept traits d'images testés. Il est considéré comme "sympathique" par 42% des sympathisants UMP devant François Fillon (35%) et Jean-François Copé (15%), "proche des gens" par 40% devant Fillon (32%) et Copé (19%), "rassembleur" par 49% ( Fillon, 30%; Copé, 15%) et "rassurant" pour 50% d'entre-eux (Fillon, 40%; Copé, 3%).
Il fait jeu égal avec François Fillon pour le "courage" (36% chacun) quand Jean-François Copé est choisi pour ce trait d'image par 22% des sondés. En revanche, le président de l'UMP arrive très largement en tête pour le dynamisme avec 54%, devant Juppé (25%) et Fillon (14%). Pour 54% des sympathisants UMP sondés, Alain Juppé "ferait un très bon président" (Fillon, 31%; Copé, 8%). 7% ne se prononcent pas.
 

L'expresso du 28 jui

Selon un sondage BVA pour i-Télé et Le Parisien, 54% des sympathisants UMP considèrent qu'Alain Juppé "ferait un bon président de la République". L'ancien Premier ministre arrive ainsi largement devant François Fillon (31%) et Jean-François Copé (8%). 

L'avertissement

Le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud, a réitéré ses avertissements au gouvernement sur Europe 1. "Nous
avons
estimé que, vraisemblablement, l'objectif d'un déficit de 3,7% du PIB ne serait pas atteint. La France sera plutôt autour de 4%", soit "autour de 80 milliards", a-t-il estimé. "À priori les dépenses publiques semblent maîtrisées. Mais le calcul des recettes a été trop optimiste et la croissance a baissé", a poursuivi le socialiste. 

La phrase

"La France et l'Europe vont ensemble depuis 60 ans. Ce n'est pas une option d'être Européen en même temps que d'être patriote", a déclaré sur RTL, Michel Barnier, commissaire européen, après quelques tensions entre la France et la commission européenne. 

L'attaque

"La commission de monsieur Barroso, c'est le contraire du rêve européen. C'est une commission qui a ajouté l'austérité à la crise", a déclaré sur i-Télé Harlem Désir. Le patron du PS dit refuser de se soumettre à une "politique d'austérité". "Nous n'allons pas suivre la position de la Cour des comptes parce que ça serait une politique d'austérité", a-t-il encore prévenu. 
La précision
"Pour l'instant, rien n'est arbitré", a expliqué Fleur Pellerin, au sujet d'une taxe sur les télécoms, alors que la Cour européenne de justice a estimé que cette contribution pour financer en partie l'audiovisuel public est conforme au droit européen. "C'est une taxe proposé dans un rapport, je suis favorable à ce qu'on augmente pas la pressio fiscale sur les télécoms", a prévenu la ministre 

L'anecdote

Lors de la dernière émission de La matinale de Canal +, Roselyne Bachelot a raconté être toujours encartée à l'UMP. "J'ai toujours ma carte. Je n''ai pas ma carte de presse mais j'ai ma carte de l'UMP", a expliqué l'ancienne ministre, qui s'est reconverti en chroniqueuse sur Direct 8. 
 

jeudi 27 juin 2013

Accuser Barroso ne sert à rien

Chantal Jouanno : «L'audition de DSK était manifestement une oeuvre de comunication


Chantal Jouanno : «L'audition de DSK était... par Lopinionfr

François Fillon, "maître en lâcheté", pour le PS

Le PS a vivement répliqué jeudi à François Fillon, le qualifiant de "professeur de courage mais maître en lâcheté", après que l'ancien Premier ministre UMP a dénoncé la "lâcheté sans nom" de la gauche sur les retraites. "Monsieur Fillon prétend aujourd'hui (...) donner des leçons de courage à la gauche, alors que ces six dernières années ont été marquées par sa lâcheté politique", écrit le PS dans un communiqué signé de l'un de ses porte-parole, Eduardo Rihan Cypel.
Maniant l'anaphore, le porte-parole critique l'action de François Fillon à Matignon et après. "Le courage aurait été de refuser le statut de collaborateur que lui a collé Nicolas Sarkozy alors qu'il était son Premier ministre". "Le courage, ajoute encore le PS, c'est de tirer toutes les conséquences de sa +différence d'approche irréconciliable+ avec Sarkozy face au Front national". "Le courage, poursuit notamment le PS, c'était d'aller au bout de sa démarche et se représenter devant les militants pour la présidence de son parti". "Le courage, conclut-il, c'est de renoncer à la ligne du 'ni PS, ni FN' qui fait le jeu de l'extrême droite".
 

Déficit : la Cour des comptes dit vrai, selon Ayrault

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a déclaré jeudi que "malheureusement du fait de l'absence de croissance" la Cour des comptes avait raison de craindre un dérapage du déficit public en 2013 par rapport aux prévisions. "Je pense que pour 2013, malheureusement, du fait de l'absence de croissance, ce que dit la Cour des comptes est vrai. Mais à la fin de l'année nous verrons", a déclaré à la presse le chef du gouvernement lors d'un déplacement à Fort-de-France.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Deficit-la-Cour-des-comptes-dit-vrai-selon-Ayrault-615942

Hollande sur Barroso: les questions de personne "secondaires"

Le président français François Hollande a jugé jeudi à son arrivée au sommet européen les questions de personne "secondaires", après les récentes passes d'armes entre la France et le président de la Commission européenne José Manuel Barroso. Interrogé sur une éventuelle mise au point avec ce dernier, François Hollande a répondu : "Non, c'est sur les politiques européennes que nous nous déterminons, les questions de personnes sont secondaires". Une série de coups ont été échangés ces derniers jours entre la France et le président de la Commission, notamment sur la question de l'exception culturelle que Paris entendait exclure à tout prix des négociations de libre-échange avec les Etats-Unis. "Je souhaite que nous puissions avoir un bon sommet, un sommet pour l'emploi des jeunes, un sommet pour la maîtrise de la finance et un sommet pour la croissance et pour l'emploi, franchement c'est ce qu'attendent les Européens", a souligné le chef de l'Etat français. Son entourage avait indiqué peu avant qu'il rejoindrait le sommet avec une volonté d'"apaisement".
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Hollande-sur-Barroso-les-questions-de-personne-secondaires-615934

Nathalie Kosciusko-Morizet : L'invité du jour du 27/06/2013 dans A la Bonne

http://lci.tf1.fr/france/justice/suicide-chez-renault-faute-inexcusable-reconnue-pour-un-troisieme-8065379.html

La dégradation de la vie politique

Mais où se cachent donc les riches ?

Bourdin direct: Cécile Duflot - 27/06

Migaud: "l'objectif de déficit de 3,7% risque d'être dépassé"

L'expresso du 7 juin

"Nous allons avoir une réunion cet été les 1er et 2 septembre à Arcachon. Ce sera la rentrée de l'association des amis de Nicolas Sarkozy", a fait savoir son président , Brice Hortefeux, invité d'i-Télé. Selon lui, ce sera un "triple témoignage " à l'égard de l'ex-chef de l’État : "affection, fidélité et confiance".

La confidence

Sur RTL, François Bayrou est revenu sur son soutien à Édouard Balladur pendant la présidentielle de 1995. Alors que Ziad Takieddine  affirme qu'il a financé la campagne de ce dernier, le président du MoDem avait à l'époque porté son choix sur l'ex-premier ministre car il pensait qu'Édouard Balladur "rompait avec un certain nombre de travers des systèmes antérieurs". "Je pensais qu'il combattrait ces dérives, raison de mon soutien. J'espère que je ne me suis pas trompé".

La polémique

Réagissant aux propos de Bernard Tapie qui dans son livre paru jeudi, affirme qu'il y a eu tromperie dans le litige qui l'oppose au Crédit Lyonnais, François Bayrou n'est pas de cet avis. "Je suis absolument certain qu'il n'a pas été victime", a-t-il fait savoir. "Le Crédit Lyonnais a sauvé Bernard Tapie d'une faillite déshonorante. Il n'a pas pu être trompé, c'est lui qui a fixé le prix".

L'anecdote

Selon Libération , les ministres se sont amusés à la lecture de l'interview de Karine Berger qui confiait la semaine dernière être "influente et "l’un des députés les plus visibles". "Depuis un an, c’est bien la première fois qu’on se marrait tous", a confié une ministre, rapporte le quotidien. Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, a d'ailleurs baptisé l'élue : Karine Berger, "le nouveau Chuck Norris".
 

mercredi 26 juin 2013

La Une de L'Express: l'incroyable vie de Cahuzac

Jean-François Buet : "Cécile Duflot ne se préoccupe que des locataires"


Jean-François Buet : "Cécile Duflot ne se... par rtl-fr

Peillon : "10.000 postes supplémentaires pour l'école"


Peillon : "10.000 postes supplémentaires pour l... par Europe1fr

ZAPPING ACTU DU 25/06/2013


ZAPPING ACTU DU 25/06/2013 par lezapping

"La stabilisation des chiffres du chômage est une illusion d'optique"

Cahuzac livre sa vérité à la commission d'enquête

France : Polémiques autour du déficit - JT DE L'ÉCO 26/06/2013

Carla Bruni : "la candidature de Nicolas Sarkozy n'est pas d'actualité"

Rebsamen : "J'espère que Jérôme Cahuzac pourra dire la vérité'

L'expresso du 26 juin

Le chiffre : 10.000

C'est le nombre de "postes" dans l'enseignement secondaire annoncé mercredi matin par le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon sur Europe 1. Ces postes seront créés "pour faire qu'il y ait plus de sérénité, de sécurité, d'adultes dans nos établissements", a-t-il dit. Ils s'ajoutent aux 60.000 postes de la loi sur la refondation de l'école. Le 19 juin le quotidien La Croixfaisait état de la création de "10.000 emplois aidés" dans le primaire.
*

L'attaque

"Radio bolcho" : c'est ainsi que les amis de Marine Le Pen surnomment France Inter, a-t-elle assuré. La patronne du FN était invitée de la radio mercredi matin et s'est emporté. La raison? Nelson Mandela, dont elel ne pense que du bien: "L'Apartheid était un système profondément condamnable et injuste", a-t-elle expliqué, avant de confier que "Mandela voulait rencontrer Jean-Marie Le Pen, mais Jacques Chirac est intervenu pour faire capoter ce voyage". Le piège tendu par le journaliste Patrick Cohen a été facilement évite jusqu'à ce que ce dernier lui rappelle que la mairie de Vitrolles, quand elle était dirigée par le Front national, avait décidé de débaptiser la place "Nelson Mandela". Le sang de la patronne du FN n'a fait qu'un tour : "Vous savez comment on vous appelle à l'extérieur? Radio Bolcho!"

Le désaccord

Invité sur i-Télé, Benoît Hamon a critiqué, comme Arnaud Montebourg avant lui, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso : "Barroso casse le modèle social et nourrit la désespérance."

La phrase

"Pas un citoyen de ce pays peut dire qu'on a un gouvernement de gauche", a assuré sur Canal + Gérard Filoche, cadre du… Parti socialiste.
 
Le conseil
Il vient du sénateur UMP Gérard Longuet et est dirigé vers Dominique Strauss-Kahn, invité mercredi après-midi pour être entendu par la commission d'enquête sur les banques : "Dans l’image de la dignité de l’homme politique, je pense que DSK nous a fait faire un bond en arrière et il serait raisonnable de sa part de ne pas venir."

La mise au point

Le président de l'UDI Jean-Louis Borloo estime dans une interview au Figaro paru mercredi que le "vrai front républicain" consisterait en "une plate-forme" commune entre l'UMP et l'UDI, qui ne serait toutefois pas un "rapprochement". Alors qu'on lui demande si c'est une réponse favorable à François Fillon qui souhaite un rapprochement de l'UDI et de l'UMP, Jean-Louis Borloo répond : "La question n'est pas celle d'un rapprochement qui créerait de la confusion mais de bâtir dans le respect de chacun un projet alternatif pour les Français."
 
 

Sarkozy rencontre ses "amis"

Nicolas Sarkozy continue d'entretenir le suspense sur son éventuel retour en politique. Dernier indice en date : l'ancien président a rencontré mercredi des nouveaux adhérents des Amis de Sarkozy, association ayant vocation à défendre son bilan.
Nadine Morano, membre active de cette association, a posté sur son compte Twitter quelques photos de cette rencontre.
 
 

Bourdin direct: Laurent Fabius - 26/06

mardi 25 juin 2013

Xavier Bertrand: "Ce gouvernement n'a pas le courage de mener des réformes"

Class actions, Tour de France et Gay Pride: la semaine de Christophe Barbier

ZAPPING ACTU DU 24/06/2013


ZAPPING ACTU DU 24/06/2013 par lezapping

Bruno Le Roux : "La droite a des problèmes de calculette


Bruno Le Roux : "La droite a des problèmes de... par FranceInfo

"J'aurais refusé de célébrer un mariage gay"

Déficits: la droite parle de dérapage, Moscovici de "mensonge"

Commerce UE-Chine: Hollande prône "un esprit d'apaisement"

La montée en puissance du Front National

Bourdin direct: Eric Woerth - 25/06

Le front républicain résiste, Hollande chute et Sarkozy remonte

"La réduction des déficits, c'est nous qui la faisons !"

L'affaire DSK m'a atteint, l'affaire Cahuzac m'a écoeuré

L'expresso du 25 juin

"Sur les finances publiques, (le gouvernement) ment. Sur l'Europe, il est négatif. Ça ne donne pas envie", a déclaré Eric Woerth (UMP), interrogé sur BFMTV sur les récents propos d'Arnaud Montebourg sur Bruxelles.

Le chiffre : 80 milliards

Le déficit de l'Etat devrait dépasser les 80 milliards d'euros en fin d'année - au lieu des 61,6 milliards prévus par la loi de finance - ont calculé les députés UMP et UDI dans un rapport qui doit être rendu public mardi, et qui a été révélé lundi soir par le site du Figaro.

L'échange

"Nous exigeons la vérité sur les chiffres", a déclaré Benoist Apparu sur i-Télé. Le député UMP demande un "collectif budgétaire". "Il n'est pas sain que le gouvernement masque la vérité", a-t-il ajouté. Quelques minutes avant, sur RTL, Pierre Moscovici jugeait "singulièrement gonflés" ces parlementaires de l'opposition à l'origine d'un rapport sur l'état des finances publiques. Pour le ministre de l'Economie, la précédente majorité a mis la France "dans une quasi faillite". Réponse de l'élu UMP : "Sa leçon qu'il la garde pour lui (…) Il ne trouve pas d'autres excuses que le passé pour nous raconter ses propres déboires."

L'explication

Alors qu'il s'apprête à passer la main en 2014, Bertrand Delanoë est revenu sur sa décision de passer dès la rentrée prochaine à la semaine de 4,5 jours dans la capitale. Le "rythme scolaire correspondra mieux à la santé" des petits Parisiens, a-t-il fait valoir sur Canal +. L'édile entend consacrer 23 millions d'euros - dont 11 millions seront payés par l'Etat - pour "l'amélioration des activités périscolaires" qui seront "gratuites, facultatives" et une "chance supplémentaire" pour les enfants. "On doit le faire vite en y mettant beaucoup de moyens", a déclaré Bertrand Delanoë.

La mise en garde

Dans une interview au Parisien, Bernard Accoyer revient sur les résultats de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot. Il met en garde sa propre famille. "Le score est serré et on voit bien le risque un jour pour l'UMP d'être battue en duel par l'extrême-droite", assure-t-il. Et l'élu de Haute-Savoie - qui regrette "une certaine confusion" dans son parti - d'y aller de son conseil : "Pour être au deuxième tour, il faut une unité sans faille de la droite et du centre (…) En politique, quand on est confus ou ambigu, on perd des voix."

Le tweet

Le patron d'Europe 1, Fabien Namias, annonce sur Twitter que l'écologiste Daniel Cohn-Bendit rejoindra la matinale de la station à la rentrée prochaine. Le député européen a à plusieurs reprises annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière politique
 

lundi 24 juin 2013

Mailly : "le gouvernement n'a pas traité la question du pouvoir d'achat"

L'édito de Christophe Barbier / 24 juin

Collard: A Villeneuve-sur-Lot "il nous a manqué les millimètres dont on avait besoin

Le front républicain est-il en train de se fissurer au PS? -- 24/06

La Commission européenne dénonce "le chauvinisme" français

L'Etat va débloquer des fonds pour les inondations du sud-ouest

Législative de Villeneuve-sur-Lot : le décryptage

Nathalie Kosciusko-Morizet invitée du Grand Jury du 23 juin 2013

Juppé: Montebourg, "le plus improductif" des ministres - 23/06

Bourdin direct: Michel Sapin - 24/06

L'expresso du 4 juin

Sur Canal +, Marisol Touraine a indiqué qu'elle était "favorable à la mise en place d'actions de groupes" dans les domaines de la santé. Ce secteur  - tout comme celui de l'environnement - est exclu du projet de loi sur la consommation examiné à partir de lundi par les députés. "Je présenterai des mesures en ce
sens
début 2014 dans le cadre d'une loi spécifique à la santé", a déclaré la ministre de la Santé, ajoutant que cela "représentera une avancée démocratique tout à fait majeure".

Le pronostic

Suite au résultat de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot, Florian Philippot a estimé sur Europe 1 que si François Hollande décidait maintenant de dissoudre l'Assemblée, nous (le Front national) aurions - sans changement de mode de scrutin - au moins une quarantaine de députés". Pour le vice-président du FN, il ne manquait "pas grand-chose, encore quelques jours d'explications" pour qu’Étienne Bousquet-Cassagne l'emporte.

La mise au point

 "La question qui nous est posée est de savoir si on est utile",  a une nouvelle fois fait valoir Cécile Duflot sur France Inter, se décrivant comme "une femme écologiste dans un gouvernement majoritairement socialiste". "Est-ce que je suis utile en portant l'encadrement des loyers? Je crois que oui (…) Un jour peut-être, je répondrais 'non' à cette question. Mais tant que je peux répondre 'oui', je continuerai à relever les manches et à travailler", a expliqué la ministre du Logement, interrogée sur sa présence au gouvernement.

L'appel

Après l'élimination du PS dès le premier tour lors de plusieurs législatives partielles, Bruno Le Roux a appelé les partenaires de la majorité à se "rassembler". "Il faut demander à ceux qui gère ensemble d'assumer ensemble", a-t-il déclaré sur i-Télé. Concernant les municipales à venir, le patron socialiste à l'Assemblée nationale estime que "la gauche ne doit jamais disparaitre d'un second tour" et souhaite des "listes d'union partout où nous le pouvons", "à chaque fois qu'il y a danger".

La prévision

Les chiffres du chômage du mois de mai doivent être publiés mercredi soir. "Ils ne seront pas forcément bon", a déclaré Michel Sapin, indiquant que la tendance actuelle "est à la hausse". Mais le ministre du Travail voit des "signes positifs" comme la reprise de l'intérim ou  encore les chiffres des déclarations d'embauche. "Je n'en fais pas pour autant la moindre victoire", a-t-il ajouté. Michel Sapin a aussi repris l'objectif de Hollande sur l'inversion de la courbe du chômage fin 2013.

La phrase

"J'en ai rien à foutre d'être convoqué." C'est l'état d'esprit de Bernard Tapie en ce début de semaine, selon Europe 1. Il est convoqué à la brigade financière de Paris lundi matin pour s'expliquer sur l'arbitrage dont il a été bénéficiaire.
 

Copé: "le score élevé du FN", "l'expression d'un colère"

dimanche 23 juin 2013

Quand la télé se moque de Hollande sur M6


Quand la télé se moque de Hollande sur M6 par LeHuffPost

Syrie: Hollande appelle l'opposition à "reprendre le contrôle"

Juppé "pas sûr" que la stratégie du front républicain soit "une bonne idée" - 23/

Les éleveurs marchent sur Paris et vers les consommateurs

Villeneuve-sur-Lot : l'UMP victorieuse, pas de 3e député pour le FN

Le candidat UMP Jean-Louis Costes a remporté dimanche soir l'élection législative partielle de Villeneuve-sur-Lot avec 53,76% des voix, face au candidat du FN Etienne Bousquet-Cassagne.

Le FN réussira-t-il à prendre le siège de Jérôme Cahuzac, et par là-même à vaincre le "front républicain", comprenez l'appel au barrage anti-FN ? Le verdict est attendu vers 20h30. Un peu plus de 75.000 électeurs étaient appelés ce dimanche à départager Jean-Louis Costes, maire UMP de Fumel de 49 ans, arrivé en tête au premier tour avec 28,71% des voix, et un étudiant en BTS de 23 ans, Etienne Bousquet-Cassagne, qui dimanche dernier a infligé un revers cuisant au PS, devançant avec 26,04% des suffrages le candidat socialiste (23,69%) pour s'inviter au second tour. Lire les enjeux de ce scrutin en dessous de notre direct.
 

Sarkozy. François Fillon, "c'est le pire des traîtres"

Nouvelle attaque de Nicolas Sarkozy à l'encontre de François Fillon ! Et là, franchement, la guerre est déclarée. "C'est le pire des traîtres, il n'est pas capable de me dire en face ce qu'il dit dans les médias !", aurait ainsi lancé l'ex-chef de l'Etat à l'un de ses visiteurs. C'est ce que révèle "Le Monde".
Nicolas Sarkozy dénoncerait, notamment, le "double langage" de son ex-Premier ministre, qui a fait connaître son vif intérêt pour l'investiture UMP dans l'optique de l'élection présidentielle 2017.
Mais il s'agit en fait d'un énième épisode dans cette guéguerre que se livrent les deux hommes : début mai, François Fillon, aujourd'hui député de Paris, avait indiqué qu'il avait "donné plusieurs fois sa démission" à Nicolas Sarkozy lorsqu'il était à Matignon. Et, quelques jours plus tard, ce dernier avait qualifié son ex-Premier ministre de "loser".
Interrogés par nos confrères du "Monde", des proches de Nicolas Sarkozy, aujourd'hui conférencier, auraient fait savoir qu'il préparerait son retour sur la scène politique. "Il est en campagne, ça ne fait aucun doute", a confié l'un d'eux. D'où, peut-être, cette agressivité ?

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/sarkozy-francois-fillon-c-est-le-pire-des-traitres-22-06-2013-2146569.php

Les invités politiques du dimanche

Christine Boutin (PCD) et Jean-Luc Mélenchon (PG) : Le Brunch politique, sur Sud Radio, à 12 heures.
Marisol Touraine (PS ) : 12/13 Dimanche, sur France 3, à 12 h 10.
Anne Hidalgo (PS ) : Forum, sur Radio J, à 14 h 20.
Alain Juppé (UMP ) : BFM Politique, BFMTV/Le Point/ RMC, à 18 heures.
Bernard Kouchner : Internationales, sur TV5Monde et RFI, à 18 h 10.
Arnaud Montebourg (PS ) : Tous politiques, sur France Inter/ Le Monde/AFP, à 18 h 10.
Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP ) : Le Grand Jury, sur RTL/ Le Figaro/LCI, à 18 h 30.


http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Les-invites-politiques-du-dimanche-615006

Baromètre JDD : Hollande rechute

Nouveau coup de tonnerre sur la cote de popularité de François Hollande. L’éclaircie constatée au mois de mai aura été de courte durée. Un petit mois le temps de gagner quatre points grâce à la validation de la loi sur le mariage pour tous. La réalisation de cette promesse électorale semble déjà loin pour le Président. Il perd trois points en juin et retombe à 26%. "Ce sondage est préoccupant pour François Hollande, car il est peut-être annonciateur du risque que court l’exécutif avec la réforme des retraites", estime Frédéric Dabi, directeur adjoint de l’Ifop. Selon le sondeur, le risque c’est de ne pas gagner un soutien à droite et de se couper du peuple de gauche.

Huit points perdus chez les sympathisants socialistes

Il faut dire que François Hollande accuse en juin une baisse de huit points chez les salariés du secteur public. Preuve que la réforme des retraites - même sans toucher à l’âge légal du départ - ne passera pas comme une lettre à la Poste. Le Président recule fortement à gauche : -10 chez les sympathisants du Front de gauche ; -21 chez les écologistes et surtout -8 au PS.
Relégué en seconde ligne, Jean-Marc Ayrault ne perd que deux points (31%). Mais lui aussi n’est pas épargné par les craintes des salariés du secteur public auprès desquels il perd dix points.
Retrouvez l'analyse et tous les résultats du baromètre Ifop dans les colonnes du JDD, sur iPad ou sur Internet
 

samedi 22 juin 2013

ZAPPING ACTU DU 21/06/2013


ZAPPING ACTU DU 21/06/2013 par lezapping

Les députés travaillent-ils trop ?


Les députés travaillent-ils trop ? par LeHuffPost

La revue de presse décalée de Tanguy Pastureau

Sarkozy en a de plus en plus envie

Revenir en politique, il n'y penserait pas seulement en se rasant. Selon Le Monde, ses proches prépareraient son retour et lui-même serait de plus en plus impatient.

"Il est en campagne, ça ne fait aucun doute". La phrase, rapportée par Le Monde, est celle d'un des plus proches collaborateurs mais dont le nom n'est pas cité. "C'est vrai qu'il montre de plus en plus son appétence", dit ainsi l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, le premier des "sarkozystes". Selon le quotidien, qui publie une enquête dans son édition de dimanche-lundi, l'ancien président de la République serait dans les starting-blocks pour revenir en politique. 
Ce retour pourrait prendre la forme d'un appel de ses amis en 2014 suivi d'une offensive de l'ancien président en 2015. Les critiques de son ancien Premier ministre François Fillon, qui s'est lancé dans la course à l'élection présidentielle de 2017, et sa mise en examen dans l'affaire Bettencourt jouent un grand rôle dans sa détermination, ajoute le quotidien. "Il aura besoin d'une maison avec de solides fondations", poursuit Brice Hortefeux
Rester silencieux, un gros effort pour lui
Dans une interview à Valeurs Actuelles parue en mars, l'ancien président qui, selon les sondages, reste le favori des électeurs de droite pour la présidentielle de 2017, avait déjà levé une partie du voile sur ses intentions. Il n'excluait pas de revenir si le pays se trouvait "tenaillé entre la poussée de l'extrémisme de gauche et celui de droite", sans "aucune solution de recours à droite ni à gauche". "Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus : 'avez-vous envie ?' mais 'aurez-vous le choix ?'", indiquait-il. "Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir."
Ses proches décrivent dans Le Monde les préparatifs en cours pour organiser cet éventuel retour. Le sondeur Pierre Giacometti, qui travaillait à l'Elysée sous Nicolas Sarkozy, reconnaît le voir régulièrement et explique que l'ancien président est pressé de sortir de la cure de silence qu'il s'est imposée. "On sous-estime ce que peut représenter pour lui l'effort de rester silencieux", explique-t-il.
Fillon, le "pire des traitres"
Brice Hortefeux confirme qu'une équipe s'est reconstituée autour de lui et que la rédactrice de son programme de 2007, Emmanuelle Mignon, "a repris du service". Son ancienne "plume", Camille Pascal, ajoute que "les gens qui l'entourent aujourd'hui le serviront dès qu'il le voudra". Le Monde fait état de la colère de Nicolas Sarkozy à l'encontre de François Fillon, qui ne ménage pas ses critiques vis-à-vis de l'ancien locataire de l'Elysée. "C'est le pire des traîtres", aurait-il dit.
Sa mise en examen dans l'enquête sur la fortune de Liliane Bettencourt, où il est soupçonné d'avoir profité de la faiblesse de la milliardaire pour lui soutirer de l'argent afin de financer sa campagne de 2007, constituerait également une puissante motivation pour revenir. Nicolas Sarkozy juge cette mise en cause injuste et ses avocats tentent d'ailleurs de faire récuser les magistrats qui l'ont mis en examen. Ses proches affirment dans Le Monde que toutes les affaires qui l'éclaboussent, notamment le dossier de l'arbitrage qui a permis à l'homme d'affaires Bernard Tapie de toucher 403 millions d'euros pour solder le litige qui l'opposait au Crédit Lyonnais, s'effondreront, ce qui renforcera sa stature.
 

vendredi 21 juin 2013

G8, inondations, et Lionel Messi: les photos de la semaine

Interview du président de la République au 50ème Salon du


Interview du président de la République au... par elysee

Bayrou ne croit pas en "la boîte à outil" du Président


Bayrou ne croit pas en "la boîte à outil" du... par Europe1fr

Villeneuve-sur-Lot : à qui la faute ?

Retraites: début des concertations le 4 juillet

Jeudy Politique : Le FN, premier parti de France en 2014?


Jeudy Politique : Le FN de Marine Le Pen... par lejdd

L'epressodu 21 uin

Interrogé par Apolline de Malherbe sur Canal +, Nicolas Dupont-Aignan a commenté les dernières prévisions de l'Insee et, plus généralement, la politique gouvernementale.
" - Quand vous appuyez sur le frein, il ne faut pas s'étonner de s'arrêter.
- Pourquoi le frein?
- Parce qu'on fait tout pour qu'il y ait du chômage.
- C’est-à-dire?
- On a mis en place une politique de récession qui a échoué en Grèce, en Espagne, en Italie, au Portugal, et la France applique les recettes de ces fous furieux qui nous gouvernent à Bruxelles. Si on continue comme ça, on aura une révolution en France."

La phrase

"Je ne vois pas une conférence sociale, je vois une espèce de colloque patronal", a déclaré sur i-Télé Olivier Besancenot, ex-candidat à la présidentielle et militant du NPA. 

La mise au point

Alors que la réforme des retraites est discutée à l'occasion de la conférence sociale, Michel Sapin, a défendu les choix du gouvernement. "Il est juste d'allonger la durée de cotisation, il est injuste de reporter l'âge légal de départ à la retraite", explique-t-il. Le socialiste a également rappelé un autre chiffre : "A 67 ans, on peut toujours partir à taux plein
 

Le choix

Sur BFMTV et RMC, la ministre de la Culture Aurélie Filippetti a expliqué être "réservée" sur la question du retour de la publicité sur les chaînes du service public après 20h. En août 2012, elle contredisait son collègue du Budget, Jérôme Cahuzac, en assurant que ce retour n'aurait pas lieu. Cette fois, elle assure qu'"on peut envisager une page de publicité". "Mais de toute façon, ça ne compensera pas" le déficit de France Télévisions, a-t-elle dit, en affirmant que cette hypothèse n'était pas "la panacée
 

L'Insee refroidit les prévisions de François Hollande

Smartphones: Filippetti n'exclut pas "une contribution" pour aider la culture - 21

Sapin: "mettre le turbo dans la lutte contre le chômage"

Ayrault pris à partie par un anti

Jean-Marc Ayrault a été pris à partie aujourd'hui à Lyon par un opposant au mariage homosexuel. Il était parvenu à s'introduire dans la cérémonie d'hommage à Jean Moulin et à la Résistance française présidée par le premier ministre.

"Regardez comme ils sont beaux ces enfants, ils ont tous un père et une mère!" a crié le jeune homme après qu'un choeur d'enfants eut interprété Le Chant des partisans. Le perturbateur a aussitôt été interpellé par le préfet du Rhône en personne, Jean-François Carenco, qui était à proximité.

Pendant la cérémonie, les forces de l'ordre ont également dû contenir une poignée de militants anti-mariage gay qui ont tenté de se faire entendre à distance. Sur le chemin du départ, le cortège du premier ministre a ensuite essuyé les huées d'une dizaine de mères de familles qui avaient réussi à s'approcher avec leurs poussettes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/21/97001-20130621FILWWW00480-ayrault-pris-a-partie-par-un-anti.php

jeudi 20 juin 2013

Spécial hôpitaux

Retraite: l'allongement de la durée de cotisation "mesure la plus juste" - 20/06

Conférence sociale: un plan pour les emplois sans candidats

Bruno Le Maire : Notre démocratie est en train d'étouffer

La conférence sociale... à reculons

Guaino: "La démagogie est la maladie mortelle des démocraties" - 20/06

Privilèges des députés : "une vague terrible de démagogie"

L'expresso du 20 juin

François Bayrou plaide pour un "régime unique" de retraites, y compris pour les députés. "Il faut y aller progressivement, on peut prendre quelques années pour le faire, on doit faire en sorte que les droits acquis soient préservés, on ne va pas brutalement abattre tout un pan de droits acquis pour des dizaines de professions, mais à partir du jour du vote de la loi, tout le monde devra être au même régime", a-t-il expliqué sur LCI.

La phrase

"On construit la France sur la base d'une promo de l'ENA, ça doit changer", a jugé Bruno Le Maire sur RTL

Le désaccord

Réagissant à l'article publié jeudi dans le Nouvel Observateur, dans lequel dix députés plaident pour une moralisation de  la vie publique et avancent plusieurs mesures en ce
sens
, Henri Guaino a dénoncé une "vague terrible de démagogie qui déferle sur le pays et sur l'Assemblée". "Je suis assez peiné pour ne pas dire scandalisé", a déploré l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy sur BFM TV. "L idée selon laquelle chacun s'accuse de ne pas en faire assez est une idée folle (..) On ne va pas résoudre la corruption et la malhonnêteté  par la suspicion", a-t-il insisté. "Au lieu de poser les questions de manière sereine on les pose de façon démagogique (…) La surenchère de démagogie est "la maladie mortelle des démocraties", a-t-il encore poursuivi.  

Le regret

Marylise Lebranchu regrette son annonce de mardi sur France info. La ministre de la Fonction publique y faisait part du choix du gouvernement de ne pas dégeler le point d'indice des salaires de la Fonction publique en 2014. Les syndicats se sont offusqués de ne pas avoir été consulté pour prendre une telle décision. "Ce n'est pas un couac, c'est une connerie, une erreur de communication, reconnaît Marylise Le Branchu selon un confidentiel du Figaro." J'ai mis le feu partout. Je ne m'attends pas à des compliments".
 

mercredi 19 juin 2013

"Jean-Luc Mélenchon, venez débattre si vous êtes un homme"

ZAPPING ACTU DU 18/06/2013


ZAPPING ACTU DU 18/06/2013 par lezapping

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

Bac 2013: des profs ont-ils été invités à surnoter? - 19/06

Assemblée nationale: dix députés demandent l'abolition de leurs "privilèges" -

Bettencourt : le juge Gentil mérite-t-il d'être dessaisi ?

La jungle des aides aux entreprises

Lefebvre : "Je suis Français et fier de l'être"

Cécile Duflot : Mes mesures contre les marchands de sommeil

Gattaz : "Le chef c'est moi mais il faut être collectif"

Bourdin Direct: Bernard Cazeneuve

L'expresso du19 juin

Sur i-Télé , et en
duplex
de Bordeaux, Alain Juppé a jugé que le G8 qui s'est tenu en Irlande du Nord lundi et mardi "n'a pas servi à grand chose". Le maire de Bordeaux dénonce "un massacre scandaleux" en Syrie et "l'incapacité de la communauté à se mettre  d'accord". L'ex-ministre des Affaires étrangères pointe également "la responsabilité historique de la Russie qui laisse agir un régime criminel". L'utilisation d'armes chimiques était la "ligne rouge" pour que la communauté internationale agisse, "elle est quasiment avérée et il ne se passe rien", a-t-il encore déploré.

La phrase

Jean-Christophe Rufin estime que pour stopper les manifestations au Brésil, "la deuxième chose (à faire), ça va être sortir Lula de sa naphtaline", a-t-il déclaré sur Europe 1. Le diplomate estime en effet qu'il faut que l’ex-président qui souffre d'un cancer du larynx intervienne car "c’est lui qui est vraiment écouté".

La mise au point

Réagissant aux déclarations de Pierre Condamin-Gerbier, ancien banquier Suisse chez Reyl qui a affirmé au JDD que "quinze grands noms de la politique ont un compte en Suisse", Bernard Cazeneuve lui a lancé une invitation sur BFMTV. "Il y a une administration qui peut l'accueillir, elle est au 129, rue de Bercy", a insisté le ministre du Budget. "Il vient ce matin avec la liste de noms et nous ferons les enquêtes."