samedi 30 novembre 2013

Cécile Duflot, huée au congrès de Caen - 30/11

Emmanuelle Cosse élue à la tête d'Europe Ecologie Les Verts

Emmanuelle Cosse a été élue secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts lors du congrès du parti, à Caen, après un accord entre sa motion majoritaire et une autre des six motions en lice, a annoncé au Figaro une source interne au parti.

«Pour un cap écologiste» d'Emmanuelle Cosse, soutenue par Cécile Duflot (38,29% des votes des militants) a fusionné avec «Via écologica» (17,07%), rassemblant ainsi 55% des suffrages.

Marie-Pierre Bresson, tête de liste de la motion «Via Ecologica», soutenue par le maire de Sevran Stéphane Gatignon et l'eurodéputé Karim Zéribi, devien secrétaire nationale adjointe et trésorière du parti.

Un texte d'orientation appelant notamment à la rénovation de la vie politique doit être rendu public sous peu.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/30/97001-20131130FILWWW00412-emmanuelle-cosse-elue-a-la-tete-deurope-ecologie-les-verts.php

Chiffres du chômage : «farce» «bidouille» et «coup de bluff»


Chiffres du chômage : «farce» «bidouille» et... par lefigaro

Wauquiez : "On n'est pas sortis de la crise"


Wauquiez : "On n'est pas sortis de la crise" par Europe1fr

Hamon : "l'écotaxe est suspendue pas supprimée"


Hamon : "l'écotaxe est suspendue pas supprimée" par Europe1fr

Tanguy Pastureau : Borloo est le fêtard le plus sobre du monde

Portrait: Emmanuelle Cosse bien placée pour prendre la tête d'EELV - 30/11

76% des Français jugent une explosion sociale imminente

Un chiffre record. Les Français sont 76% à juger certaine ou probable une explosion sociale dans le prochains mois dans le contexte actuel "marqué par un chômage très élevé et une impopularité record du couple exécutif", selon un sondage Ifop à paraître dans Dimanche Ouest-France. Dans un climat social tendu où les mouvements de protestations de multiplient, "jamais cette anticipation n'avait été aussi importante puisque nous atteignions 64% en janvier 1998, 66% en avril 2009 et 70% en avril dernier", selon ce sondage.
La jeunesse doute, mais... Par rapport à avril dernier, le pourcentage de ceux qui pensent "que nous assisterons certainement à une explosion sociale dans les prochains mois progresse de 8 points pour s'établir à 27% et ceci constitue un signe supplémentaire que la situation sociale est très tendue dans le pays", précise-t-on de même source. La certitude de la survenue d'une "déflagration sociale" est la plus répandue parmi les 35-49 ans (32% à en être certains et 48% a l'estimer probable, soit 80% au total) et la tranche d'âge à y croire le moins sont les 18-24 ans qui sont quand même 70% à estimer cette explosion sociale certaine ou probable.
Les extrêmes y croient. "On n'observe pas dans cette enquête de spécificités régionales, comme si c'était la majeure partie de la société qui s'attendait désormais à un mouvement social d'ampleur", note l'institut. Le risque d'explosion sociale est nettement plus ressenti aux extrêmes, avec 84% de réponses positives chez les sympathisants LO ou NPA et 89% parmi les proches du FN (dont 51% sont certains que ce scénario va se produire), mais aussi dans l'électorat de droite avec 85% de réponse positive à l'UMP et même 89% à l'UDI.
Mais seulement 56% des sympathisants socialistes jugent probable ou certaine une telle issue. Un chiffre en évolution de cinq points par rapport à avril dernier alors que dans le reste de la gauche il a beaucoup plus progressé avec +14 points au Front de Gauche (78% croient aujourd'hui à une explosion sociale dans les prochains mois) et +19 points chez Europe Ecologie/Les Verts (68% désormais à y croire).
Ce sondage a été réalisé du 22 au 27 novembre 2013 par questionnaire auto-administré en ligne sur un échantillon de 2.874 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
 

vendredi 29 novembre 2013

Lutte contre la prostitution: il faut avancer par petits pas

Pau : Pécresse soutiendrait Bayrou "au 2e tour"

"Je suis favorable au soutien de l'UMP au premier tour, et de François Bayrou s'il arrive au second tour à Pau", a indiqué vendredi sur Europe1 la députée UMP des Yvelines, Valérie Pécresse. Un sondage Ifop, Sud Radio et Sud Ouest donne François Bayrou, le co-fondateur de l'Alternative, le nouveau rassemblement du MoDem et de l'UDI, en tête au premier et second tour des municipales à Pau où il est candidat pour la troisième fois. Au 1er tour, François Bayrou, à la tête d'une liste MoDem-UDI, recueillerait 29% des suffrages, devant la liste menée par le socialiste David Habib (27%), et celle sans étiquette de Yves Urieta (16%). Les autres listes s'établiraient à moins de 10%, avec respectivement l'UMP (9%), le Front de gauche (8%) le Front national (8%) et EELV (3%).

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Pau-Pecresse-soutiendrait-Bayrou-au-2e-tour-641089

Baisse du chômage : le PCF "n'y croit pas"

Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste (PCF), "ne croit pas, loin de là", à l'inversion de la courbe du chômage et a appelé à l'unité de "tous ceux qui à gauche ne se reconnaissent pas dans la politique gouvernementale."
"On est toujours à un niveau record de 3.270.000 chômeurs pour ceux qui le sont tout le temps. Et quand on ajoute ceux qui sont dans des chômages partiels, ça augmente de 40.000 personnes et on atteint quasiment 5 millions, 4,9 millions. On est dans une situation qui reste préoccupante et je ne crois pas qu'on soit, pour le moment, loin de là, dans l'inversion de la courbe du chômage", a déclaré Pierre Laurent sur I>TELE.
"Les contrats aidés qui permettent à des jeunes, pendant un temps limité, de se sortir du chômage et de la précarité, tant mieux. Mais si on veut une vraie inversion de la courbe du chômage, il faut une politique de développement d'emploi pérenne qu'on ne voit pas venir", a poursuivi le sénateur de Paris.
 

Ecotaxe: Ayrault attend le travail d'évaluation d'une mission parlementaire - 29/11


Ecotaxe: Ayrault attend le travail d'évaluation... par BFMTV

Jean-Jacques Bourdin : une minute avant son interview en direct

Jacques Chirac fête ses 81 ans ce vendredi

Une semaine après sa dernière apparition publique...
Quatre vingt-un: Ce pourrait être sa côte de popularité, il s’agit en fait de son âge. Jacques Chirac fête son anniversaire ce vendredi, une semaine après sa dernière apparition publique. Le 21 novembre, l’ancien président était apparu très affaibli lors de la remise des prix de sa Fondation au musée du Quai Branly, s’appuyant pour marcher sur les épaules de François Hollande ou de son épouse.
L’actuel chef de l’Etat avait rendu un hommage appuyé à son prédécesseur, avec qui il entretient des relations cordiales. Cet été, comme l’an passé, François Hollande a d’ailleurs rendu visite à l’ex-Président en Corrèze.
De plus en plus discret depuis la fin de sa présidence en 2007, Jacques Chirac conserve une grande aura auprès des Français, jusqu’à devenir une quasi icône «cool».

http://www.20minutes.fr/politique/1256875-20131129-jacques-chirac-fete-81-ans-vendredi

Comment Valls tisse sa toile pour Matignon

Baisse du chômage en octobre : pourquoi l'Élysée ne bondit pas de joie

Braqueur tué : Marine Le Pen veut une présomption de légitime défense

Pécresse : "La réforme fiscale n'aura jamais lieu"

Bourdin Direct : Stéphane Le Foll -- 29/11

L'expresso du 29/11

"Un chiffre ne fait pas la tendance. Mais enfin, si vous n'avez pas le premier chiffre, vous n'avez pas la tendance", a déclaré sur France Info le ministre du Travail Michel Sapin qui, comme François Hollande, acte le "début de l'inversion de la courbe du chômage" après les résultats d'octobre publiés jeudi soir.
Retrouvez l'ensemble des réactions aux chiffres du chômage

La réaction

Sur France 2, Jean-Luc Mélenchon s'en est pris à Pierre Moscovici, qui s'est dit la veille favorable à "plus de liberté" sur le travail dominical. "J'ai d'autres idées pour M. Moscovici, il y a aussi l'esclavage", a lancé sérieusement le co-président du Parti de gauche, qui a également imaginé que l"on pourrait faire travailler les enfants la nuit". "Ces personnes ne sont jamais en retard d'une idée quand il s'agit de martyriser les gens", a insisté le député européen.
A lire, le récit de l'intervention de Moscovici et Montebourg à Des paroles et des actes

La réconciliation

Patron du Parti communiste, Pierre Laurent sera aux côtés de Jean-Luc Mélenchon dimanche pour une marche "pour la révolution fiscale", après plusieurs semaines de tensions. "Je suis ravi, il faut un Front de gauche uni, et au-delà d'ailleurs", a affirmé le sénateur. "Je préfère qu'on soit ensemble dans l'action plutôt qu'à polémiquer sur des choses inutiles", a-t-il ajouté.

Le pronostic 

"J'en fait le pari devant vous, cette réforme fiscale promise par Jean-Marc Ayrault, elle n'aura jamais lieu", a affirmé Valérie Pécresse, invitée d'Europe 1. "Personne ne la défend. Personne ne peut fixer de calendrier. Il n'y a pas d'objectif et elle va pénaliser des millions de personnes", a taclé l'ex-ministre UMP du Budget.

La piste

Se refusant à faire une annonce précise, Stéphane Le Foll a dit travailler actuellement pour que le taux de TVA soit maintenu à 7% sur une partie des activités des centres équestres. Le monde de l'équitation se mobilise depuis deux semaines contre un passage de 7 à 20%, entérinée par la publication d'un décret destiné à mettre la France en conformité avec une directive européenne.

Le commentaire

Interrogée sur la garde des Sceaux, sacrée femme de l'année par le magazine Elle, Marine Le Pen s'est dite sur RTL lasse de "tourner autour de madame Taubira" depuis trois semaines. "Elle est femme de l'année parce qu'elle a été insultée? Moi je n'aurais pas aimé...", a déclaré la présidente du Front national, qui a toutefois précisé avoir été choquée par ces insultes. Mais "quand madame Duflot est traitée de truie sur Twitter, ça me choque aussi. Et quand Marine Le Pen est traitée d'étron aussi, ça me choque", a-t-elle ajouté.
 

jeudi 28 novembre 2013

Harlem Désir sur les retraites chapeaux : "On ne peut pas écarter une loi"


Harlem Désir sur les retraites chapeaux : "On... par rtl-fr

Taubira superstar du PS à la Mutualité - 28/11


Taubira superstar du PS à la Mutualité - 28/11 par BFMTV

PolitiqueS : Jean-Louis Debré, Président du Conseil Constitutionnel


PolitiqueS : Jean-Louis Debré, Président du... par LCP

Juppé, "président de la République ou rien!"


Juppé, "président de la République ou rien!" par lejdd

Le Clash Figaro-Nouvel Obs : Les grands patrons sont-ils tous des voyous

Bourdin Direct: Jean-Luc Mélenchon -- 28/11

Il faut reconnaître le vote blanc - L'édito de Christophe Barbier

Chômage: Hollande se montre flou quant à l'inversion de la courbe d'ici fin 2013

L'expresso du 28/11

Sur BFMTV, Jean-Luc Mélenchon a justifié, malgré ses virulentes critiques à l'égard du gouvernement, son vote pour François Hollande au second tour de l'élection présidentielle. "Je voulais éliminer Nicolas Sarkozy", a déclaré le co-président du Parti de gauche, ajoutant avoir cru le socialiste dans son combat contre la "finance". "Résultat : il arrive et il fait pire que Sarkozy!", a lancé l'eurodéputé, qui a par ailleurs traité le président "d’hypocrite" sur la réforme des retraites.

La mise en garde

"Si l'inefficacité est démontrée dans le prochain cas à venir, il faudra légiférer", prévient Arnaud Montebourg dans une interview au Parisien/Aujourd'hui en France. Le ministre du Redressement productif a estimé "juste et normale" la décision du PDG de PSA, Philippe Varin, de renoncer aux 21 millions prévus pour sa retraite. "Mais il est fâcheux qu'on soit obligé de passer par un scandale public pour obliger une entreprise et son premier dirigeant à revenir à des niveaux de rémunération ou de retraite décents", regrette le ministre.

La phrase

"Il n'y a pas de prime à la médiocrité", a affirmé sur RTL le patron du PS Harlem Désir, qui a jugé "indécente" la retraite chapeau à laquelle Philippe Varin a renoncé.

L'annonce

C'est une déconvenue pour l'entreprise américaine Hess Oil, qui a racheté en 2012 à la société Toreador sept permis de recherche d'hydrocarbures en France. "Je refuse de signer la mutation de ces permis de recherche d'hydrocarbures qui avaient été octroyés par le précédent gouvernement", affirme dans Le Parisien le ministre de l'Ecologie Philippe Martin. Ce dernier refuse ainsi de rouvrir le dossier sur le gaz de schiste. "Vu les couches géologiques visées par ces forages, cela implique forcément d'avoir recours à la fracturation hydraulique qui est un procédé interdit en France", explique-t-il.

La confidence

"J'ai retrouvé de la stabilité. Je suis désormais sur deux pieds", affirme Alain Juppé dans une interview à VSD, à propos de sa peine d'inéligibilité en 2004 qui lui a coupé son ambition présidentielle de 2007. Annoncé comme un prétendant possible à l'Elysée en 2017, l'ex-Premier ministre assure simplement qu'il s'investira, après les municipales et les européennes, dans le "nécessaire travail de mise à jour de nos idées".

L'appel

Dans Le Figaro, le député PS Pascal Terrasse assure que "le temps de l'union nationale est venu en France", à l'instar de la grande coalition qui s'apprête à se former en Allemagne. "Lorsqu'il a fallu se rassembler, nous avons su le faire, à l'instar du Conseil national de la Résistance après la Seconde Guerre mondiale", explique l'élu de l'Ardèche.

LaLe sénateur Jean-Vincent Placé a soutenu sur i-Télé Dominique Voynet, qui ne briguera pas sa succession à la mairie de Montreuil. "C'est pour moi une grande tristesse qu'elle se retire. On a besoin de quelqu'un de la stature de Dominique Voynet dans notre pays", a affirmé le leader des écologistes au Sénat. déception


http://www.lejdd.fr/Politique/Melenchon-Hollande-fait-pire-que-Sarkozy-640958

mercredi 27 novembre 2013

Dominique Voynet en échec politique

Municipales Paris 2014: Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) suspend sa campagne «pour raisons familiales graves»

La candidate UMP annule tous ses déplacements et rendez-vous jusqu'au lundi 2 décembre...
La candidate UMP à la Mairie de Paris Nathalie Kosciuko-Morizet (NKM) a décidé de suspendre sa campagne électorale «pour des raisons familiales graves», a fait savoir à la presse l’équipe de campagne.
Tous les déplacements et rendez-vous de Nathalie Kosciuko-Morizet sont annulés jusqu’au 2 décembre. Selon nos informations, le père de la candidate, François Kosciusko-Morizet, maire de Sèvres, est entre la vie et la mort après une attaque cardio-vasculaire la semaine dernière. La famille de NKM est donc sous le choc et la candidate a décidé de rester auprès d'elle. «Elle n'était pas en grande forme pour mener la campagne dans les jours à venir», explique l'un de ses proches.
NKM avait déjà subi un drame personnel lors des dernières législatives en mai 2012: son frère cadet Etienne s'était donné la mort.

http://www.20minutes.fr/politique/1255931-20131127-municipales-paris-2014-nathalie-kosciuko-morizet-ump-suspend-campagne-pour-raisons-familiales-graves

PSA : Varin renonce à sa retraite chapeau

Le PDG de PSA, Philippe Varin, renonce à sa retraite chapeau de 21 millions d'euros, versée sous forme de rente, à hauteur de 650.000 euros par an. Du gouvernement à la CGT en passant par le Medef lui-même, nombre d'intervenants sont montés au créneau pour pointer un cadeau jugé excessif fait au dirigeant, alors que PSA est dans la tourmente et orchestre un vaste plan de restructuration aux conditions drastiques pour les salariés.

http://www.lejdd.fr/Economie/Depeches/PSA-Varin-renonce-a-sa-retraite-chapeau-640900

ZAPPING ACTU DU 26/11/2013


ZAPPING ACTU DU 26/11/2013 - Jean-Marc Ayrault... par lezapping

Malek Boutih : Ayrault "n’est pas un roi"


Malek Boutih : Ayrault "n’est pas un roi" par FranceInfo

"Qu'on ne retombe pas dans le clientélisme du PS"


"Qu'on ne retombe pas dans le clientélisme du PS" par Europe1fr

Sapin présente son "plan de lutte" contre les détachements abusifs

La classe politique dénonce «l'indécence» de Philippe Varin

Pour Baroin, l'UMP irait mieux sans Copé

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L'expresso du 27/11

Outre un Grenelle de la baisse des dépenses publiques, le patron de l'UDI Jean-Louis Borloo va demander à Jean-Marc Ayrault une réforme de la fiscalité locale. "Il n'y a plus grande injustice actuelle que la fiscalité locale", a-t-il lancé sur BFMTV, regrettant au passage que l'on soit "dans la France du commentaire permanent".
La comparaison
François de Rugy reconnaît volontiers qu'"il y a des problèmes autour de la prostitution". Mais, interrogé sur RTL, le coprésident du groupe EELV à l'Assemblée nationale a prévenu qu'il votera contre la loi en cours de débat au Parlement. "On marche sur la tête, puisqu'on va voter la fin du délit de racolage. Les prostituées pourront donc racoler. Mais les clients seront pénalisés", a-t-il argué avant de filer la métaphore : "Autrement dit, imaginez qu'il soit autorisé de faire de la publicité pour un produit sur votre antenne, mais que l'achat de ce produit serait pénalisé."

La mise au point

Sur France Info, Malek Boutih a commenté la tenue, par la gauche, d'un meeting contre la montée des extrémismes organisé mercredi soir par le PS. S'il ne condamne pas l'initiative, le député socialiste de l'Essonne a dit regretter qu'"il manque une tonalité positive". "Attention, on n'est pas dans la France des années 30. Ce n'est pas vrai que la France est en train de basculer dans le racisme général", a-t-il tenu à nuancer.

Le désaccord

Patrick Devedjian a continué sa croisade contre le Grand Paris sur France 2. Dénonçant le projet de métropole parisienne, le président UMP du conseil général des Hauts-de-Seine a lancé : "La France est le seul pays d'Europe à avoir un appareil administratif aussi ramifié. Essayons de le simplifier plutôt."
Lire notre interview de Patrick Devedjian : "Paris est en train d'annexer la banlieue"

Le choix

"Je suis un peu isolé dans ma famille politique mais j'assume." Le député UMP Bernard Accoyer, ancien président de l'Assemblée nationale, a affirmé sur i-Télé être "en faveur du prélèvement à la source". "Il y a un petit problème de confidentialité avec les entreprises", a-t-il toutefois reconnu avant de balayer : "Mais aujourd'hui rien n'est impossible."

Le soutien (inattendu)

Sur RTL, François de Rugy a commenté la défection de Dominique Voynet dans la course aux municipales en évoquant "le niveau, très bas, du débat politique". Entre autres exemples, il a apporté son soutien à une députée du… FN : "Un journal porte atteinte à la vie privée de Marion Maréchal-Le Pen, simplement parce qu'elle s'appelle Maréchal-Le Pen. Moi, je combats le Front national, les idées de Marion Maréchal-Le Pen, mais je n'accepte pas qu'on porte atteinte à sa vie privée."
 

mardi 26 novembre 2013

À l'origine de la haine Chirac-Giscard

C'est une histoire que les moins de 40 ans ne connaissent pas mais que tous les accros à la politique vont adorer. La Rupture, thriller dans les coulisses du pouvoir, retrace une des pages les plus sombres de l'histoire de la droite française qui a marqué durablement la Ve République. Laurent Heynemann, qui signe ce téléfilm, met en scène avec justesse l'origine de la haine entre Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac. Deux hommes que tout oppose, ou presque. Leur style, leur famille politique et surtout leur entourage.
Le réalisateur s'est attaché à raconter les vingt-sept mois de "cohabitation" entre Giscard et Chirac. Avant même d'être officiellement nommé le 27 mai 1974, le futur maire de Paris hésite. Ses deux plus proches conseillers de l'époque – l'infernal tandem formé par Marie-France Garaud et Pierre Juillet – finissent par convaincre leur "pur-sang" d'aller à Matignon. À l'Élysée, l'entourage de Giscard est plus que méfiant. "Chirac est un boa", prévient Michel Poniatowski, futur ministre de l'Intérieur et fidèle de VGE. Le décor est planté.

"C'est L'Express qui s'installe au gouvernement !"

Dès la première rencontre dans le bureau du président, Chirac se cabre quand son "patron" lui dicte la liste de ses ministres. Le gaulliste bloque carrément quand il découvre les nominations de Jean-Jacques Servan Schreiber et Françoise Giroud. "C'est L'Express qui s'installe au gouvernement, ceux-là même qui ont combattu le général de Gaulle !" Chirac finira par imposer une proche, Giscard acceptant du bout des lèvres que Simone Veil devienne ministre de la Santé.
Les phases de tension se succèdent à vitesse grand V durant 90 minutes. Ressurgit la classe politique des années 1970 et 1980. Les DS noires défilent dans la cour de l'Élysée. Les hommes portent des costumes trois pièces et pratiquent le baisemain… On se délecte avec quelques scènes épiques : celle du dîner au fort de Brégançon, durant lequel Giscard impose la présence de son moniteur de ski à un Chirac excédé; ou encore la rencontre secrète entre Mitterrand et Chirac au domicile d'Édith Cresson. Sans compter cet incroyable dernier Conseil des ministres où Chirac vient annoncer et justifier sa démission avant que VGE ne vienne rejoindre le gouvernement. Comme si de rien n'était ou presque.

Une Marie-France Garaud sexy

On découvre aussi un Chirac à la manœuvre pour faire main basse sur le parti gaulliste. Aidé dans la coulisse par Charles Pasqua, le futur maire de Paris bouscule les barons gaullistes sans complexes. Cette plongée dans les années 1970 montre enfin un Chirac, humain, culpabilisant face à la maladie qui frappe sa fille aînée, Laurence.
Incontestablement réussie, jamais caricaturale, cette fiction s'appuie sur un récit pertinent, accessible à tous les publics et bien servi par des dialogues précis. Les auteurs, Patrice Duhamel et Jacques Santamaria, journalistes politiques embeded, ont puisé dans leurs propres notes. Hippolyte Girardot (déjà présent dans le film La Conquête, où il campait le rôle de Claude Guéant) est magistral. L'acteur évite le piège de l'imitation et interprète un Giscard tout en maîtrise, froid et calculateur. Avec sa paire de lunettes de grosse écaille, Grégori Derangère incarne un jeune Chirac crédible. Mentions spéciales enfin pour Géraldine Pailhas, qui donne une touche sexy inattendue à Marie-France Garaud, et à Philippe Uchan incarnant un Charles Pasqua en porte-flingue. L'accent corso-marseillais en prime.
La Rupture, mardi à 20.45, France 3.
 

Contre la morosité, rester zen: la Une de L'Express

Réforme fiscale: Ayrault reçoit l'UMP

Réforme fiscale: Ayrault reçoit l'UMP
Jean-Marc Ayrault a annoncé mardi à l'Assemblée nationale qu'il recevrait des représentants des parlementaires UMP lundi pour évoquer la "remise à plat" de la fiscalité promise par le gouvernement. Le Premier ministre a débuté lundi une série de consultations avec les partenaires sociaux sur ce grand chantier, avant de recevoir jeudi et vendredi les parlementaires de la majorité et de l'UDI.
Mardi lors de la séance des questions d'actualité, il a annoncé que les parlementaires UMP seraient reçus lundi prochain. Le président du groupe UMP à l'Assemblée, Christian Jacob, qui a interrogé le chef du gouvernement, a lui aussi confirmé cette rencontre. "Je vous dis tout de suite que vous serez dans une situation tout à fait intéressante (...) J'attends de vous que vous apportiez aussi des réponses" sur ce grand chantier, a déclaré Jean-Marc Ayrault, pour qui ce rendez-vous avec l'UMP sera un "grand moment de clarification".
Jean-Marc Ayrault a souligné que l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy s'était engagé à "baisser de 4 points les prélèvements obligatoires" durant son quinquennat alors qu'ils ont au total augmenté "d'1,5 point". "Quand je vous observe, vous demandez des baisses d'impôts, mais quand vous votez des amendements, vous augmentez la dépense, où est la cohérence?" a lancé le Premier ministre aux députés UMP. "Vous avez voté avec les sénateurs communistes 13 milliards d'augmentation des dépenses, où est votre cohérence?", a-t-il fustigé.
 

Moscovici n'a "aucun problème" avec Ayrault

Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, a assuré mardi n'avoir "aucun problème politique ou personnel avec Jean-Marc Ayrault", après l'annonce par le Premier ministre d'une grande réforme fiscale dont il avait été tardivement informé. "Je n'ai aucun problème politique ou personnel avec Jean-Marc Ayrault, et je partage cette volonté de remise à plat de la fiscalité, avec des impératifs qui sont ceux de la simplicité, de la visibilité, de la justice", a affirmé le ministre.
Il a par ailleurs réfuté toute marginalisation de son ministère dans cette réforme, en insistant sur le rôle décisif que ses services joueront pour l'élaborer et la mener à terme. "Je n'ai jamais eu la moindre inquiétude là-dessus. Une réforme fiscale, ou une remise à plat de la fiscalité, ça se fait forcément avec le ministère des Finances, en son coeur, en son sein", a-t-il soutenu. "Il y a une semaine déjà, ou presque, Jean-Marc Ayrault a décidé d'un comité de pilotage, au sein duquel évidemment (le ministre du budget) Bernard Cazeneuve et moi-même seront présents", a également insisté le ministre. "Il ne faut pas inventer des difficultés là où il n'y en a pas".
Par ailleurs, Pierre Moscovici avait admis dimanche n'avoir "peut-être" pas été "réjoui" par l'annonce par voie de presse du remplacement éventuel des directeurs du Budget et du Trésor. Ce dernier, Ramon Fernandez, accompagnait le ministre cette semaine dans un déplacement en Chine et a refusé de commenter son sort personnel. "Les remplacements de directeurs d'administrations centrales, cela arrive, cela se produit au conseil des ministres sur la proposition du ministre compétent, en l'occurrence le ministre de l'économie et des finances (...) Tout commentaire sur ce sujet doit être réservé à l'enceinte qui convient, c'est-à-dire le conseil des ministres", a enfin déclaré mardi Pierre Moscovici
 

Pau : Fillon pour une "union" Bayrou-UMP

François Fillon, ancien Premier ministre, a affirmé mardi qu'il était favorable, pour les élections municipales à Pau, à une "union" entre le candidat UMP, Eric Saubatte, et François Bayrou, tête de liste MoDem-UDI. "Je suis en contact depuis plusieurs semaines avec les deux" candidats, a affirmé François Fillon. "Je soutiens Eric Saubatte, qui est mon ami. Mais je pense qu'on peut gagner Pau" et que pour cela, "il faut faire l'union", a-t-il ajouté.
"Pour faire un accord, il faut que les deux se parlent. Ce serait stupide de ne pas reprendre Pau, alors que tout semble indiquer qu'elle doit revenir à la droite et au centre", a-t-il estimé. L'ancien chef de gouvernement assure qu'il est "toujours dans la même logique de rassemblement, de ceux qui votent pour le Front national, ceux qui votent au centre".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Pau-Fillon-pour-une-union-Bayrou-UMP-640698

La réforme des retraites adoptée à l'Assemblée

Les députés ont une nouvelle fois voté mardi le projet de budget de la Sécu pour 2014, avec son volet sur la taxation de l'épargne révisé et l'ajout d'un geste pour l'aide à la complémentaire santé des retraités. Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) a été adopté par 318 voix contre 242, grâce aux votes des socialistes, radicaux de gauche et écologistes. Le Front de gauche s'est opposé à un texte qui "reste enfermé dans la voie de l'austérité et des reculs sociaux". L'article, qui prévoit un nouvel allongement de la durée de cotisation et crée un compte pénibilité, a été adopté en nouvelle lecture par 291 voix (contre 243), soit 21 voix de plus qu'à la mi-octobre.
Les députés ont aussi revalorisé de 50 euros par an l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé (ACS) des plus de 60 ans, une mesure présentée in extremis par le gouvernement, dans la nuit de lundi à mardi, afin de faciliter mardi après-midi l'adoption de son projet de réforme des retraites après sa nouvelle lecture par l'Assemblée. Le coup de pouce à l'ACS est présenté comme une des compensations au report du 1er avril au 1er octobre de la revalorisation annuelle des pensions. L'ensemble des mesures du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) doit permettre de ramener le déficit du régime général - celui des salariés du privé - à 12,8 milliards d'euros en 2014, en recul de 3,4 milliards d'euros par rapport à 2013 sur un budget global de quelque 475 milliards d'euros.
Les sénateurs se pencheront de nouveau jeudi matin sur le projet de loi, qui devrait être rejeté encore une fois, puis les députés auront le dernier mot lors d'un scrutin programmé le 3 décembre.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-reforme-des-retraites-adoptee-a-l-Assemblee-640713

Stéphane Richard : "Quatre opérateurs en France, ça ne se justifie pas


Stéphane Richard : "Quatre opérateurs en France... par lesechos

Voynet jette l'éponge aux municipales : "La politique ne peut pas être une sorte de fight club"


François Hollande : un répit s'esquisse dans les sondages

"Ayrault transforme l'or en plomb"

Bourdin Direct : Benoît Hamon -- 26/11

L'expresso du 26/11

Michel Sapin s'est dit mardi favorable à ce que la Contribution sociale généralisée (CSG) devienne "progressive", dans le cadre de la remise à plat de la fiscalité. Et d'analyser sur RTL la situation actuelle : "Vous avez aujourd'hui la CSG qui rapporte plus que l'impôt sur le revenu et vous avez un impôt sur le revenu qui est relativement juste parce qu'il est progressif. Plus on gagne de l'argent et plus on va payer d'impôt tandis que s'agissant de la CSG (...) au premier euro chacun paye la même chose."

L'hommage

Lucien Neuwirth, mort dans la nuit de lundi à mardi, était "un grand gaulliste social visionnaire", a témoigné sur LCI Bernard Accoyer. Pour l'ancien président UMP de l'Assemblée nationale, "la profondeur de la réflexion de Lucien Neuwirth n'avait d'égal que le courage de son engagement".

La leçon

Ségolène Royal est revenue sur le rejet de la taxe à 75% par le Sénat : "Psychologiquement, cette taxe a été négative, car les Français se sont dits 'si jamais je réussis, on me prend 75% de ce que je gagne'." Et de rappeler que la taxe concerne seulement les revenus au-dessus du premier million d'euros gagné. "Tout a été mal compris", a-t-elle conclu.

L'annonce

Jean-Yves Le Drian a annoncé sur Europe 1 le déploiement d'environ "un millier de soldats" français en Centrafrique pour une durée de l'ordre de six mois, afin de rétablir l'ordre en appui d'une force africaine. "Nous le ferons en appui (d'une mission africaine, Ndlr) et non pas en entrée en premier, comme nous avons pu le faire pour le Mali, et pour une période brève, de l'ordre de six mois à peu près", a-t-il insisté.

La mise au point

"Genève-2 (la conférence de paix sur la Syrie, prévue le 22 janvier prochain) n'est pas une conversation de café du commerce", a insisté Laurent Fabius sur France Culture. La conférence recherche "un consentement mutuel entre les représentants du régime et l'opposition modérée (pour) arriver à faire un gouvernement de transition doté de tous les pouvoirs", a expliqué le ministre des Affaires étrangères. Et de précisé que ni Bachar el-Assad ni "les terroristes" seront présents.

Le désaccord

L'économiste en chef du FMI Olivier Blanchard a jugé "injustifié" le récent abaissement par Standard & Poor's de la note de la dette de la France, dans le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung publié mardi. "Je ne vois aucun risque significatif que la dette française ne soit pas honorée", a-t-il encore martelé
 

lundi 25 novembre 2013

La sérénité de François Hollande

La popularité de Hollande rebondit légèrement

La popularité de François Hollande enregistre un léger mieux en novembre par rapport à ses plus bas d'octobre mais sa politique est toujours jugée aussi négativement, selon l'Observatoire de la politique nationale BVA-Orange pour l'Express, la presse régionale et France Inter publié aujourd'hui.

Le chef de l'État regagne trois points de bonnes opinions, à 29%, et son Premier ministre un point, à 26%. Mais sept Français sur dix ont une mauvaise opinion de François Hollande (69%) comme de Jean-Marc Ayrault (71%). Ils sont autant à juger leur politique "pas juste" (72%) et plus encore "pas efficace" (83%).

Si sa cote recule de trois points, à 55%, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls reste largement en tête du classement mensuel de la cote d'influence des personnalités, devant l'ancien premier ministre Alain Juppé (-2 points, à 49%). Mais il n'arrive qu'en quatrième position chez les seuls sympathisants de gauche, auprès desquels la maire de Lille Martine Aubry enregistre un bond spectaculaire (+8 points, à 71%).

L'ancienne Première secrétaire du PS devance dans l'ordre les ministres de la Justice Christiane Taubira (+4 points à 68%) et du Redressement productif Arnaud Montebourg (+2 points à 63%). Manuel Valls suit à 61% (+4 points).

Deux tiers des Français souhaitent d'autre part que, lors des municipales de mars prochain, le vote ne se fasse que sur les enjeux locaux, contre 27% qui pensent qu'il se fera pour sanctionner le président de la République.

Gauche et droite sont au coude à coude pour les souhaits de victoire - 24% pour le PS et 5% pour l'extrême gauche d'une part, 20% pour l'UMP et 9% pour l'UDI de l'autre -, devant le Front national (17%).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/25/97001-20131125FILWWW00499-la-popularite-de-hollande-rebondit-legerement.php

S. Le Foll sur la hausse de TVA : "la France a été condamnée par l'Europe" official 


S. Le Foll sur la hausse de TVA : "la France a... par ITELE

Fiscalité : Pécresse veut d'abord dépenser moins


Fiscalité : Pécresse veut d'abord dépenser moins par FranceInfo

Henri Guaino: "Si Sarkozy n'avait pas été là, il n'y aurait plus démocratie en France

Fiscalité: à Matignon, les syndicats posent leurs revendications

Mailly: Ayrault "déterminé", la réforme fiscale "pas un coup de com"

Iran : "Avancée et vigilance" pour Laurent Fabius

Fiscalité: vers quel type de réforme? - 25/11

Berger: "nous voulons un impôt plus progressif" - 25/11

François Baroin : Baisser les impôts ? Impossible

L'expresso du 25/11

"Un million de personnes vont être aidées par les Restos du Cœur", a précisé Olivier Berthe, le président bénévole de l'association invité sur BFMTV. Ce dernier a tenu au passage à casser un préjugé : "L'essentiel des personnes qui viennent aux Restos sont très très loin de l'assistanat. Au contraire, elles ont longtemps repoussé le moment de venir."

L'avertissement

Jean-Luc Mélenchon veut bien "faire l'effort de prendre au sérieux" la remise à plat fiscale annoncée par Jean-Marc Ayrault mais avertit dans une interview à Direct Matin publiée lundi : "Si c'est pour faire un tour de passe-passe de communication, comme d'habitude, il lui en cuira." "Les Français ne sont pas des imbéciles si faciles à gruger", ajoute-t-il.

L'analyse

Pourquoi l'UMP n'arrive pas à profiter de l'impopularité du gouvernement? François Baroin, invité sur RTL, a son idée : "D'abord, nous avons été battus et il faut du temps pour se remettre d'une défaite. Deuxième élément, l'UMP a vécu quelques événements rocambolesques depuis. Et enfin, nous vivons avec l'ombre portée de Nicolas Sarkozy." Avant de préciser ce troisième point : "Son leadership est encore désiré par une bonne partie des militants."

L'attaque

S'en prenant sur i-Télé à l'administration Delanoë, Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a déploré que "les impôts aient trop augmenté à Paris". "Essentiellement pour des dépenses de fonctionnement", a-t-elle ajouté avançant que "le train de vie (de la mairie) a augmenté de 30%".
Lire notre reportage : NKM fait la tournée des bars

La prudence

Réagissant à l'accord sur le nucléaire iranien scellé dimanche, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a tenu à rester prudent sur Europe 1 : "Tant que tout n'est pas réglé, rien n'est réglé (…) Nous ne sommes pas au bout du processus, ce n'est qu'une première étape." "Ce n'est certes qu'un accord intérimaire. Mais des garanties sont prises pour vérifier que l'Iran l'appliquera de bonne foi", a analysé pour sa part Alain Juppé, son prédécesseur, sur son blog.
 

dimanche 24 novembre 2013

Copé-Municipales : "les conditions sont réunis pour une vague bleue"

Invité dimanche du Grand rendez-vous Europe 1-I-télé-Le Monde, Jean-François Copé considère que "les conditions sont encore réunies pour une vague bleue aux municipales". Le président de l’UMP a renvoyé dos à dos le PS et le Front national. "Un piège est tendu, celui d’une collusion entre le PS d’un côté et le FN de l’autre dans le cadre d’une instrumentalisation indécente", a déclaré le député-maire de Meaux. Jean-François Copé a ensuite appelé à voter utile pour les candidats de l’UMP dès le premier tour, sinon "si vous votez Front National, vous aurez des François Hollande dans toutes les villes" , a-t-il mis en garde.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Cope-Municipales-les-conditions-sont-reunis-pour-une-vague-bleue-640242

PS : la peur d’un congrès


Réaction d’un dirigeant du PS à la très courte majorité obtenue par Cécile Duflot au congrès des Verts : "Si nous, nous faisions un congrès aujourd’hui, nous ne serions pas du tout certains d’être majoritaires."
 

Péchenard quitte la Sécurité routière

L’ancien patron de la police de Nicolas Sarkozy devrait intégrer l’Inspection générale de l’administration. Actuellement à la tête de la Sécurité routière, Frédéric Péchenard devrait quitter son poste début janvier pour se lancer à la conquête de la mairie de Paris sur la liste de Nathalie Kosciusko-Morizet

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Pechenard-quitte-la-Securite-routiere-640280

Martel, "prise de guerre pas glorieuse"

Philippe Martel, ancien chef de cabinet d’Alain Juppé au début des années 1990, est passé au FN? "Je ne l’ai pas vu depuis dix ans", balaie le maire de Bordeaux, qui décrit son ancien collaborateur comme "une prise de guerre pas glorieuse" pour Marine Le Pen. Philippe Martel dirige depuis le début du mois le cabinet de la présidente du FN.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Martel-prise-de-guerre-pas-glorieuse-640281

Ayrault, maillon "le plus faible" du gouvernement, selon Copé

Jean-Marc Ayrault est le maillon "le plus faible" d'un gouvernement "qui lui-même est sur un bateau ivre", a déclaré dimanche Jean-François Copé, qui ne croit pas à la remise à plat de la fiscalité annoncée par le Premier ministre.

"Depuis 18 mois, la crédibilité de la parole publique s'est effondrée sur tous les sujets. Aujourd'hui, le constat que font tous les Français, c'est une inaptitude au commandement dans un pays qui a absolument besoin, dans cette période, d'être dirigé", a accusé Jean-François Copé dimanche au Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/ITELE. En ligne de mire : Jean-Marc Ayrault : "Nous avons vécu une semaine qui montre clairement que Jean-Marc Ayrault est devenu le maillon le plus faible de ce gouvernement, qui est lui-même sur un bateau ivre", a affirmé le patron de l'UMP interrogé sur la remise à plat de la fiscalité annoncée mardi par le Premier ministre.  
"Nous avons vu un Premier ministre qui lâche en rase campagne son ministre de l'Economie, qu'il n'informe même pas de ce projet qui vient après 55 milliards de hausse d'impôts sur les Français. Cette même semaine, Jean-Marc Ayrault soutient mordicus son ministre de l'Education nationale sur une réforme en cours, les rythmes scolaires, qui est en train de devenir l'un des plus grands fiasco du gouvernement depuis qu'il est en charge", a développé l'ancien ministre des gouvernements Raffarin et Villepin.
  
Vision, projet, décisions... 
"Le problème, c'est que la première réforme fiscale possible aujourd'hui, elle s'appelle baisse des impôts. Et moi je ne cautionnerai pas un projet qui ne prévoit pas d'abord une baisse massive des impôts pour rendre du pouvoir d'achat aux entreprises et aux ménages, qui sont aujourd'hui écrasés", a averti Jean-François Copé.
  
Pour le député-maire de Meaux, en Seine-et-Marne, l'aptitude au commandement, c'est "avoir une vision pour la France, or je n'en vois aucune autre que celle qui consiste à démolir tout ce qui a été fait avant. C'est ensuite avoir un projet, mais où est le projet si ce n'est une hausse permanente des impôts et un affaiblissement de l'autorité de l'Etat ?" "Troisièmement, une incapacité terrible à prendre des décisions courageuses", a martelé Jean-François Copé, qui "assume" cependant son soutien à 
François Hollande sur l'intervention militaire au Mali.

"Depuis 18 mois, jamais le gouvernement n'a entendu le moindre message de l'opposition. Je n'ai jamais été reçu par le Premier ministre, ce qui est quand même inouï sachant que je préside le premier parti de France", a-t-il affirmé.
 

Monseigneur di Falco : « J’ai eu trois éducations : la rue, l’école, la Bible » disait Ellington. »


Monseigneur di Falco : « J’ai eu trois... par LePoint

Invités politique ce dimanche 24/11

GRAND JURY - Alors que la campagne municipales bat déjà son plein dans la capitale, la candidate socialiste à la mairie de Paris, Anne Hidalgo, sera l'invitée du "Grand Jury RTL", ce dimanche 24 novembre.

C/Politique sur France 5 Dimanche 24 novembre, 18h00
François Bayrou, ancien ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, longtemps député des Pyrénées-Atlantiques, président du Mouvement démocrate (MoDem), répond aux questions de Caroline Roux.

samedi 23 novembre 2013

Moscovici défend son directeur du Trésor

Le ministre de l'Économie Pierre Moscovici, a pris la défense de son directeur du Trésor, Ramon Fernandez, donné sur le départ, rapportent aujourd'hui Le Monde et Les Echos. "C'est mon éthique personnelle de manifester mon estime et mon respect pour les personnes qui travaillent de façon loyale à mes côtés", a-t-il affirmé vendredi soir à l'issue d'une réunion de l'Eurogroupe.

Julien Dubertret à la direction du budget et Ramon Fernandez à la direction du Trésor doivent être prochainement remplacés par Denis Morin et François Villeroy de Galhau, l'un des dirigeants de BNP Paribas. Ces changements interviennent dans le cadre de la remise à plat de la fiscalié voulue par le premier ministre Jean-Marc Ayrault et l'annonce par Matignon d'une vaste réorganisation de Bercy.

« Si changement il y a, la nomination du directeur du Trésor doit se faire dans l'enceinte adéquate, le Conseil des ministres, et sous la responsabilité du ministre compétent»,  a encore expliqué Pierre Moscovici, sous forme de rappel à l'ordre de l'exécutif. «Le ministère des finances est un acteur essentiel de la réforme et de la remise à plat du système fiscal », a-t-il poursuivi afin de confirmer qu'il comptait légitiment peser dans le débat qui s'annonce et dont Matignon tente de s'emparer.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/11/23/97002-20131123FILWWW00303-moscovici-defend-son-directeur-du-tresor.php

Fiscalité: le coup de force d'Ayrault

Selon Le Monde daté dimanche-lundi, François Hollande n'a appris qu'au tout dernier moment l'offensive préparée par son premier ministre, Jean-Marc Ayrault, sur la fiscalité.

Alors que ce dernier a annoncé,
à la surprise générale, une "remise à plat de la fiscalité" en début de semaine dans une interview aux Échos, le président n'a été informé de la teneur de cet entretien que trois jours avant sa parution, par SMS, rapporte le quotidien du soir.

Si Matignon et l'Élysée assurent que cette initiative sur la fiscalité a été préparée de concert, beaucoup, dans l'entourage des deux têtes de l'exécutif, dénoncent un coup de force du chef du gouvernement. "Ayrault a forcé la main de Hollande", assure un proche du président, cité par Le Monde. "Il lui a fait un bébé dans le dos", reproche le conseiller d'un ministre.

Au plus bas dans les sondages, Jean-Marc Ayrault s'est redonné avec ce coup de force de l'air et de l'espace pour plusieurs mois, tordant le cou à l'hypothèse d'un changement de premier ministre avant les européennes.

Les négociations avec les partenaires sociaux sur le dossier fiscal sont d'ailleurs prévues pour débuter dès lundi matin, 08h30.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/11/23/97002-20131123FILWWW00351-fiscalite-le-coup-de-force-d-ayrault.php

MUNICIPALES. Gaudin candidat à Marseille, un non-événement pour Ghali et Menucci

Maintenant qu'il est sorti du bois, Jean-Claude Gaudin affirme qu'il va enfin pouvoir répondre aux "inepties" de ses "détracteurs". Et il pourra commencer dès vendredi matin car le candidat PS, le député Patrick Mennucci, doit tenir une conférence de presse sur "le bilan des 19 années Gaudin", sur le thème "immobilisme et renoncement".
Dès l'annonce de la candidature de l'actuel maire de Marseille, Samia Ghali, battue au second tour des primaires PS, a minimisé l'annonce. La sénatrice PS des Bouches-du Rhône estime que cette annonce n'est "pas surprenante" mais selon elle, "Marseille a besoin de tourner une page"que cette nouvelle était un "non-événement". 
 
Jean-Claude Gaudin, a donc annoncé jeudi qu'il briguerait un 4e mandat aux élections municipales de 2014, dans une interview publiée jeudi soir sur le site du Figaro. "J'ai décidé de me présenter. C'est l'aboutissement d'une longue réflexion en liaison avec mes amis politiques et en écoutant les Marseillais. La situation locale et nationale n'a fait que me renforcer. Je ne veux pas que Marseille retourne en arrière", explique le sénateur-maire de 74 ans.
L'élu, aux commandes de la deuxième ville de France depuis 18 ans, affirme qu'il "souhaite poursuivre, amplifier, accélérer le changement (qu'il a) impulsé avec (ses) équipes depuis 1995", avec "une équipe solide, soudée, renouvelée et rajeunie qui prendra le relais". "Dans un pays où l'espérance de vie augmente sans arrêt, je ne vois pas la nécessité de mettre à la retraite tous ceux qui ont passé les 70 ans", répond Jean-Claude Gaudin, interrogé sur son âge et un possible "mandat de trop".
Le candidat affirme de nouveau qu'il n'envisage aucune alliance avec le FN, crédité dans plusieurs sondages de plus de 20% des intentions de vote, estimant que son alliance avec le parti d'extrême droite lors des régionales de 1986 remontait "à la préhistoire". "Évidemment, les triangulaires ne favorisent pas la droite républicaine. Ceux qui tentent de pourfendre en parole les idées du FN se réjouissent que son succès puisse me gêner. J'ai l'intention de faire face", indique Jean-Claude Gaudin. Le maire sortant souligne qu'il va axer cette nouvelle campagne sur la diminution du chômage, affirmant qu'il avait déjà été "réduit de moitié" lors de ses trois mandatures.
 

Bretagne: CFDT et CGT se démarquent des "bonnets rouges"

La revue de presse de Tanguy Pastureau du 22 novembre 2013

Hollande sait que la reconquête de l'opinion serait très longue, difficile

Bernard Debré : Nathalie Kosciusko-Morizet représente un sang neuf

Tanguy Pastureau : NKM dans le métro

vendredi 22 novembre 2013

Valérie Trierweiler : "Je ne me tairai plus"

La compagne de François Hollande a de nouveau pris en modèle Danielle Mitterrand qui "ne se laissait pas bâillonner", vendredi, lors de la remise du prix qui porte le nom de l'ancienne Première dame.

Après l'affaire du tweet, elle avait promis qu'on ne l'y prendrait plus. Mais Valérie Trierweiler n'a pas pour autant l'intention de rester silencieuse. La compagne de François Hollande a promis vendredi de ne plus "se taire", dans un discours à l'occasion de la remise du prix Danielle Mitterrand à qui elle s'est de nouveau référée comme modèle.

"Danielle Mitterrand ne prenait pas la pose, elle prenait des positions. Des positions courageuses", a lancé celle qui est devenue l'année dernière ambassadrice de "France Libertés", l'association fondée par Mme Mitterrand.
"Elle n'avait pas peur de porter haut les valeurs de la gauche"
"Elle était une première dame qui refusait la soumission, elle n'était  guidée que par le désir de justice et de liberté. Y compris quand elle devait afficher un désaccord avec le président Mitterrand. Elle n'avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner. Elle n'avait pas peur du mot "politique"", a-t-elle poursuivi.
"Voilà ce que j'ai appris de cette grande dame. Voilà pourquoi elle est aujourd'hui mon modèle", a-t-elle affirmé, en ajoutant: "Je ne me tairai plus". Le prix Danielle Mitterrand est revenu cette année à l'association colombienne "La mesa interbarrial de desconectados".
 

Fiscalité: renversement de pouvoir à Bercy

Cazeneuve : "Cap sur la réduction des dépenses


Cazeneuve : "Cap sur la réduction des dépenses" par Europe1fr

Christine Boutin voilée à la télévision iranienne


Christine Boutin voilée à la télévision iranienne par LeNouvelObservateur

«Monsieur Glavany, répondez-moi !»

A Marseille, Gaudin candidat à sa propre succession

Un système fiscal "illisible, ancien et pas juste"

62.500 défaillances d'entreprise en 2013

Bourdin Direct: Najat Vallaud-Belkacem -22/11

Pierre Durand : La manifestation contre la TVA à 20% sur la filière équestre est digne

NPA Souscription Saison 3 : le braco

L'expresso du 22/11

"C’est un secret de polichinelle que de dire que je me suis toujours intéressée aux questions européennes. Je vis dans une région à trois frontières donc pour moi l’Europe, c’est la vie au quotidien. J’en ai fait part à ma famille politique mais je respecte les instances, donc nous verrons", a expliqué Nadine Morano sur France 2. Et l'ex-ministre d'ajouter ensuite : "Je serai candidate aux européennes. J’en ai parlé avec Jean-François Copé, à l’équipe dirigeante, mais ce sera ma famille politique qui décidera".

Le coup de gueule

"Ces critiques récurrentes et constantes sur la technostructure de Bercy qui serait à l’origine de tous les maux de la République commencent à bien faire. Tout cela suffit", a martelé Bernard Cazeneuve sur Europe 1. "Il y a à l’administration de Bercy des fonctionnaires de tous niveaux de responsabilités, qui ont un grand sens de l’État, qui sont irréprochables, sans lesquels ont ne peut faire ni réforme fiscale ni réforme du pays. Et je veux rendre hommage à tous les collaborateurs de cette administration".

Le désaccord

Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, a refusé l'appel de la CFDT et de la CGT de constituer un front syndical uni, une première depuis l'élection de François Hollande. "Je n'aime pas répondre aux convocations" et "je ne crois pas aux choses artificielles", a-t-il déclaré. "Je n'ai pas le temps d'aller chez le coiffeur pour être beau sur la photo d'ici lundi", a-t-il plaisanté pour justifier son absence à la réunion du 25 novembre siège de la CFDT.
 

jeudi 21 novembre 2013

Affaire du tireur de Paris: Et si les médias en avaient trop fait?

Hausse de la TVA: les horticulteurs protestent

Les horticulteurs ont rejoint jeudi les rangs déjà bien fournis des secteurs d'activité qui s'insurgent contre la hausse de la TVA en janvier, prédisant "la mort à court terme" de leur profession, d'après un communiqué de leur fédération. "Après une première augmentation de 5,5 à 7% en janvier 2012, notre TVA doit de nouveau augmenter au 1er janvier 2014 (pour passer à 10%, ndlr), c'est trop", fait valoir la Fédération nationale des producteurs de végétaux d'ornement (FNPHP).
Les horticulteurs qui représentent 5.000 entreprises en France ne sont "pas assez pour bloquer les routes", c'est pour cela qu'ils représentent une "variable d'ajustement facile en période de crise budgétaire", s'insurge la Fédération. Le volume de consommation de produits horticoles en France a déjà baissé de 9,2% en 2012 et le revenu des horticulteurs est un des trois plus faibles de l'agriculture depuis deux ans, rappelle-t-elle.
L'horticulture représente 25.000 emplois directs dans la production et génère environ 160.000 emplois indirects dans la filière (fleuristes, jardineries, graineteries, paysagistes, etc...).
 

Taubira, femme de l'année pour Elle

. Christiane Taubira a été élue femme de l'année par le magazine Elle. Le féminin salue son courage dans la défense de la loi sur le mariage pour tous. "Elle a gagné la bataille du mariage pour tous dans l'adversité. Elle est aujourd'hui la cible d'attaques racistes. Mais rien ne fait plier la garde des Sceaux", souligne Elle. La ministre de la Justice a également répondue à une interview dans laquelle elle affirme : "la haine ne me pénètre pas".

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Taubira-femme-de-l-annee-pour-Elle-639929