PROPOS DE MONTEBOURG – Jean Leonetti, sur France Inter
Le ministre des Affaires européennes a dénoncé la charge d'Arnaud Montebourg (PS) contre la chancelière allemande Angela Merkel, accusée de tuer l'euro et de mener une "politique à la Bismarck". "Je n'ai jamais vu de telle germanophobie hystérique de la part des responsables socialistes, ce torrent d'insultes permanent. Mais qu'est-ce qu'ils ont dans la tête! Quand François Hollande dit : 'je vais remettre l'Europe en confiance', ce n'est pas en insultant l'Allemagne", a déclaré Jean Leonetti.
Le ministre des Affaires européennes a dénoncé la charge d'Arnaud Montebourg (PS) contre la chancelière allemande Angela Merkel, accusée de tuer l'euro et de mener une "politique à la Bismarck". "Je n'ai jamais vu de telle germanophobie hystérique de la part des responsables socialistes, ce torrent d'insultes permanent. Mais qu'est-ce qu'ils ont dans la tête! Quand François Hollande dit : 'je vais remettre l'Europe en confiance', ce n'est pas en insultant l'Allemagne", a déclaré Jean Leonetti.
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RAPPROCHEMENT HOLLANDE-BAYROU - Jean-Vincent Placé, sur Radio classique
Interrogé sur la main tendue de François Hollande au président du Modem, le sénateur écologiste a estimé que "la question de François Bayrou n'était pas le sujet essentiel", jugeant que "si dans une dynamique présidentielle", le président du MoDem ralliait la majorité de gauche, "on verra(it)". "Il y a déjà un hyper-président" avec Nicolas Sarkozy, et "je ne voudrais pas qu'il y ait un hyper-candidat" avec François Hollande, a dit le sénateur, jugeant "particulier qu'il fasse une campagne uniquement sur ce qu'il pense lui" alors qu'"il devrait ne pas oublier qu'à terme il y aura une majorité parlementaire" si la gauche l'emporte en 2012.
Interrogé sur la main tendue de François Hollande au président du Modem, le sénateur écologiste a estimé que "la question de François Bayrou n'était pas le sujet essentiel", jugeant que "si dans une dynamique présidentielle", le président du MoDem ralliait la majorité de gauche, "on verra(it)". "Il y a déjà un hyper-président" avec Nicolas Sarkozy, et "je ne voudrais pas qu'il y ait un hyper-candidat" avec François Hollande, a dit le sénateur, jugeant "particulier qu'il fasse une campagne uniquement sur ce qu'il pense lui" alors qu'"il devrait ne pas oublier qu'à terme il y aura une majorité parlementaire" si la gauche l'emporte en 2012.
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AFFAIRE DSK - Marie-George Buffet, sur Canal +
La députée communiste a déclaré en avoir "marre" des développements de l'affaire DSK, avec son "étalage" et ces "explications qui n'en sont pas". Invitée à commenter les derniers rebondissements de ce dossier, l'élue de Seine-Saint-Denis a lancé : "Franchement, j'en ai marre. Marre de cet étalage, de ces explications qui n'en sont pas, de ces justifications. Ça suffit ! La prostitution, les femmes qu'on paye ou qu'on se ferait payer, tout ça serait normal. Non ! C'est pas normal !", a lancé Marie-Georges Buffet. "Ce n'est pas normal de sauter sur une femme même si elle vous a lancé un regard. Qu'est-ce que c'est que ce comportement ? Le fameux roman des pulsions masculines ?"
La députée communiste a déclaré en avoir "marre" des développements de l'affaire DSK, avec son "étalage" et ces "explications qui n'en sont pas". Invitée à commenter les derniers rebondissements de ce dossier, l'élue de Seine-Saint-Denis a lancé : "Franchement, j'en ai marre. Marre de cet étalage, de ces explications qui n'en sont pas, de ces justifications. Ça suffit ! La prostitution, les femmes qu'on paye ou qu'on se ferait payer, tout ça serait normal. Non ! C'est pas normal !", a lancé Marie-Georges Buffet. "Ce n'est pas normal de sauter sur une femme même si elle vous a lancé un regard. Qu'est-ce que c'est que ce comportement ? Le fameux roman des pulsions masculines ?"
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PROPOS DE MONTEBOURG - Jean-Vincent Placé, sur Radio Classique/Public Sénat
Le conseiller politique de Cécile Duflot est revenu sur les propos d'Arnaud Montebourg qui a accusé mercredi Angela Merkel de mener "une politique à la Bismarck". Jean-Vincent Placé a estimé que le socialiste "nous fait revenir très en arrière, peut-être au moment du traité de Versailles en 1919 où Clemenceau a pensé régler tous les problèmes en humiliant l'Allemagne". "On a vu ce que ça a donné..., a ajouté Jean-Vincent Placé. Selon lui, il faut "éviter ce type de propos inadéquat et inapproprié" et a jugé que le député "devrait revenir sur ses propos", précisant qu'on ne peut pas "rentrer dans le débat de la présidentielle et de l'avenir de l'Europe de la pire des façons, avec le repli sur soi".
Le conseiller politique de Cécile Duflot est revenu sur les propos d'Arnaud Montebourg qui a accusé mercredi Angela Merkel de mener "une politique à la Bismarck". Jean-Vincent Placé a estimé que le socialiste "nous fait revenir très en arrière, peut-être au moment du traité de Versailles en 1919 où Clemenceau a pensé régler tous les problèmes en humiliant l'Allemagne". "On a vu ce que ça a donné..., a ajouté Jean-Vincent Placé. Selon lui, il faut "éviter ce type de propos inadéquat et inapproprié" et a jugé que le député "devrait revenir sur ses propos", précisant qu'on ne peut pas "rentrer dans le débat de la présidentielle et de l'avenir de l'Europe de la pire des façons, avec le repli sur soi".
JOURNEE MONDIALE CONTRE LE SIDA - Carla Bruni-Sarkozy, sur Europe 1
La Première dame a appelé à la vigilance à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, affirmant qu'il fallait "réveiller les consciences" pour améliorer la prévention et "ne pas baisser la garde devant ce virus". Cette journée de mobilisation est "fondamentale car le sida n'est pas du tout un problème résolu" et si "beaucoup de progrès ont été accomplis, il reste beaucoup à faire", a-t-elle plaidé. "Il faut rester alertés, attentifs et dire aux jeunes, et aux moins jeunes, de se protéger, de faire des dépistages", a-t-elle ajouté, rappelant que la contamination ne recule plus depuis plusieurs années en France mais aussi que 50.000 personnes ignorent qu'elles sont porteuses du virus.
La Première dame a appelé à la vigilance à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, affirmant qu'il fallait "réveiller les consciences" pour améliorer la prévention et "ne pas baisser la garde devant ce virus". Cette journée de mobilisation est "fondamentale car le sida n'est pas du tout un problème résolu" et si "beaucoup de progrès ont été accomplis, il reste beaucoup à faire", a-t-elle plaidé. "Il faut rester alertés, attentifs et dire aux jeunes, et aux moins jeunes, de se protéger, de faire des dépistages", a-t-elle ajouté, rappelant que la contamination ne recule plus depuis plusieurs années en France mais aussi que 50.000 personnes ignorent qu'elles sont porteuses du virus.
DEPLACEMENTS DE SARKOZY – François Bayrou, sur France InfoLe président du MoDem a jugé "pas glorieux, pas heureux pour la démocratie et pour l'équité" que des déplacements et meetings d'un président-candidat soient "pour l'essentiel payés par l'argent du contribuable". "Tous les présidents sortants ont toujours fait cela", a estimé le leader du Mouvement démocrate. "Mais l'essentiel, c'est que les Français se posent la question de savoir s'il existe une issue à la crise, et ce n'est pas avec la pratique du gouvernement actuel qu'on va s'en sortir et c'est pas non plus par une alternance classique".
CAMPAGNE DE BALLADUR EN 95 - Jacques Robert, ancien membre du constitutionnel, dans le Parisien/Aujourd'hui en FranceLa validation des comptes de campagne d'Edouard Balladur par le Conseil constitutionnel en octobre 1995 aurait été "une belle entourloupe" assurze-t-il. "Mon impression, c'est que Roland Dumas (président du Conseil à l'époque), Jacques Chirac et Edouard Balladur se tenaient à l'époque par la barbichette. Et que nous avons servi de caution à une belle entourloupe", avoue cet ancien professeur de droit, président honoraire de l'université Panthéon-Assas, aujourd'hui âgé de 83 ans. "Les comptes du candidat Balladur accusaient 10 millions de francs de recettes d'origine inconnue. Ils étaient donc irréguliers.", se souvient-il. Selon lui, Roland Dumas aurait estimé que "les Français ne comprendraient pas qu'on annule l'élection (présidentielle de 1995, ndlr) pour une histoire de dépassements de crédits".
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SARKOZY EN CAMPAGNE – Manuel Valls, sur Europe 1
Le directeur de la communication de François Hollande a fustigé l'attitude de Nicolas Sarkozy, qui mélange les genres selon lui. "Il n'est pas acceptable que Nicolas Sarkozy confonde en permanence son rôle de chef de l'Etat avec son rôle de candidat", a-t-il affirmé. Pour le député d'Evry, il est clair que Nicolas Sarkozy "n'est plus président de la République, il est candidat". "Quand on convoque 5.000 militants UMP dans un Zénith comme jeudi soir à Toulon, on est candidat". Manuel Valls a estimé que Daniel Vaillant avait bien fait de saisir la commission des comptes de campagne "pour s'interroger sur certaines dépenses du chef de l'Etat" qui pourraient être considérées comme frais de campagne. "On l'a vu dans la Creuse, à Bordeaux, ou sur le site nucléaire du Tricastin, Nicolas Sarkozy s'est à chaque fois livré des attaques en règle du PS", a-t-il argumenté.
Le directeur de la communication de François Hollande a fustigé l'attitude de Nicolas Sarkozy, qui mélange les genres selon lui. "Il n'est pas acceptable que Nicolas Sarkozy confonde en permanence son rôle de chef de l'Etat avec son rôle de candidat", a-t-il affirmé. Pour le député d'Evry, il est clair que Nicolas Sarkozy "n'est plus président de la République, il est candidat". "Quand on convoque 5.000 militants UMP dans un Zénith comme jeudi soir à Toulon, on est candidat". Manuel Valls a estimé que Daniel Vaillant avait bien fait de saisir la commission des comptes de campagne "pour s'interroger sur certaines dépenses du chef de l'Etat" qui pourraient être considérées comme frais de campagne. "On l'a vu dans la Creuse, à Bordeaux, ou sur le site nucléaire du Tricastin, Nicolas Sarkozy s'est à chaque fois livré des attaques en règle du PS", a-t-il argumenté.
LA CANDIDATURE DE HOLLANDE - Jean-Pierre Raffarin, sur France 2L'ancien Premier ministre a trouvé "un peu amusant" de voir que François Hollande, "celui qui cède à Mme Duflot" selon lui, "prétend vouloir résister" à Angela Merkel. Le sénateur a commenté les critiques du candidat socialiste à l'Elysée visant ce qu'il a appelé "les renoncements" de Nicolas Sarkozy face à la chancelière allemande. "C'est absurde de vouloir jouer avec l'Allemagne un rapport de forces qui serait un rapport de forces puéril", a-t-il estimé, affirmant: "Nous sommes dans une situation de grande gravité, il est clair qu'il n'y a pas d'avenir en France sans un partenariat avec l'Allemagne".
Jean-Louis Borloo, président du Parti Radical... par rtl-fr
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