jeudi 15 mars 2012

les petites phrases du 15/03/2012

MELENCHON - Michel Sapin, sur Europe 1.
Michel Sapin a affirmé que Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de Gauche, ne "sera jamais un ennemi". "J'ai deux souhaits", a indiqué le chargé du projet présidentiel de François Hollande : "que la gauche dans son ensemble soit au soir du premier tour la plus élevée possible (...) et la deuxième chose, c'est que François Hollande soit très largement en tête parce que c'est la force du premier tour qui est déterminante pour le vote du deuxième tour".

FISCALITE - Michel Sapin, sur Europe 1.
Le socialiste a attaqué la proposition de Nicolas Sarkozy de faire jouer la concurrence face à la hausse du prix de l'essence. "Il faut compenser les augmentations de recettes par la baisse de la TIPP", a-t-il déclaré. "On peut bloquer dans un premier temps le prix de l'essence", a expliqué le socialiste, ajoutant qu"'il faut éviter que l'Etat soit complice d'une augmentation qui est de la spéculation".
IMMIGRATION - Florian Philippot, sur France Info.
Le directeur de campagne de Marine Le Pen a dénoncé "l'enfumage" et le "cynisme" électoraliste de Nicolas Sarkozy, qui cherche à s'adresser à l'électorat frontiste en se réappropriant des thèmes tels que le protectionnisme et l'immigration. Il a aussi pointé du doigt la politique du président sortant en matière d'immigration. Selon lui, il y a "80% d'immigration légale en plus que sous Jospin". "C'est le record de la cinquième République", a-t-il lancé.
CAMPAGNE DE HOLLANDE - Aquilino Morelle, sur Europe 1.
Le nouveau directeur adjoint de la campagne de François Hollande a affirmé que sa promotion aux côtés de Pierre Moscovici était "une marque de confiance de la part de Pierre Moscovici lui-même". "C'est lui qui m'a demandé de l'accompagner et de l'aider. Je connais Pierre Moscovici depuis 24 ans et François Hollande depuis 18 ans", a-t-il expliqué. A propos de la campagne du candidat socialiste, Aquilino Morelle estime que "c'est une phase de mobilisation plus forte. Une campagne présidentielle ça commence toujours par une guerre de tranchée". "Après il y a une guerre de mouvement et puis ça se finit toujours par un corps à corps. Ça sera pour les deux candidats à la fin. On est dans la phase de mobilisation", a-t-il conclu.

1 commentaire:

Anne a dit…

Les Français ne sont pas intéressés par la campagne...
Quel sera le taux d'asbtention ?

Bon jeudi Francis
Biz Anne