L'ex-ministre des Affaires étrangères Alain
Juppé a jugé vendredi que "la
compétition" entre Jean-François
Copé et François Fillon pour le leadership de l'UMP en vue
de la présidentielle de 2017 était "inutile et dangereuse". "Je trouve cette
compétition, et j'espère qu'elle ne transformera pas en confrontation, à la fois
inutile et dangereuse", a déclaré M. Juppé interrogé sur France Info. "Elle est
dangereuse parce qu'elle risque de nous diviser au moment où l'UMP devrait au
contraire se rassembler pour faire son travail d'opposition, et d'autre part
elle est inutile", a-t-il expliqué.
La présidentielle de 2017 "commence à hanter tous les esprits, or ce n'est pas du tout la question de ce jour", selon le maire de Bordeaux, qui a rappelé son souhait de primaires ouvertes en 2016, réaffirmant qu'"il n'en serait pas". "La question d'aujourd'hui c'est d'abord de faire vivre une opposition constructive" mais "très vigilante à l'Assemblée nationale et au Sénat" et "deuxièmement, c'est de renforcer l'UMP", a préconisé l'ancien ministre. "L'UMP a besoin de clarifier ses valeurs", de "bâtir un nouveau projet" et "pour cela on n'a pas besoin d'un chef, il nous faut une équipe dirigeante qui soit capable de concilier notre unité et notre diversité", a-t-il dit également. "Ce n'est pas ce qui est en train de se préparer, c'est pour cela que je le regrette", a-t-il insisté alors que "les militants ont un profond désir d'unité".
La présidentielle de 2017 "commence à hanter tous les esprits, or ce n'est pas du tout la question de ce jour", selon le maire de Bordeaux, qui a rappelé son souhait de primaires ouvertes en 2016, réaffirmant qu'"il n'en serait pas". "La question d'aujourd'hui c'est d'abord de faire vivre une opposition constructive" mais "très vigilante à l'Assemblée nationale et au Sénat" et "deuxièmement, c'est de renforcer l'UMP", a préconisé l'ancien ministre. "L'UMP a besoin de clarifier ses valeurs", de "bâtir un nouveau projet" et "pour cela on n'a pas besoin d'un chef, il nous faut une équipe dirigeante qui soit capable de concilier notre unité et notre diversité", a-t-il dit également. "Ce n'est pas ce qui est en train de se préparer, c'est pour cela que je le regrette", a-t-il insisté alors que "les militants ont un profond désir d'unité".
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