jeudi 28 juin 2012

Les petites phrases du 28/06/2012

HOLLANDE/MERKEL - Bernard Cazeneuve, sur i-Télé.
Le ministre délégué aux Affaires européennes a estimé jeudi que "les choses vont bien entre les Français et les Allemands" même s'il existe encore des "sujets de discussion", au lendemain d'une rencontre entre François Hollande et Angela Merkel et à quelques heures d'un sommet européen très attendu. "Nous essayons de construire un compromis solide, qui ne peut pas se construire sur des ambiguïtés", a expliqué Bernard Cazeneuve.

UMP - Dominique de Villepin, sur Europe 1.
L'ancien Premier ministre a expliqué vouloir "remettre sur les rails" son parti République Solidaire et a une nouvelle fois savoir qu'il pourrait se rapprocher de l'UMP. "Nous pourrions tout à fait travailler au sein d'une UMP rénovée et rassemblée. Je crois qu'il n'y a pas de fatalité à l'affrontement". Dominique de Villepin a précisé qu'il allait rencontrer François Fillon et qu'il souhaitait voir les ex-ministres Jean-Louis Borloo et Jean-Pierre Raffarin. Quant à sa contribution personnelle, il a indiqué qu'il s'agit de "défendre (ses) convictions à partir de l'espérance qui est la (sienne)".
PS/EELV - Jean-Vincent Placé, sur France Inter.
Le président du groupe écologiste au Sénat, interrogé sur les frictions entre sa formation et le PS sur la répartition des rôles à l'Assemblée, a expliqué qu'il s'agissait de "bisbilles secondaires". Au sujet de la présidence de la commission de développement durable qu'EELV briguait, Jean-Vincent Placé a évacué : "Ce ne sont pas les sujets principaux. On pourrait parler du sommet européen qui vient, du discours de politique générale du Premier ministre." "Dans la mise en place d'équipes", a observé l'écologiste, "à chaque fois, il y a des discussions de ce type-là".
FILLON - Laurent Wauquiez, sur Europe 1.
Le député UMP de Haute-Loire, qui annonce ce jeudi dans une interview au
Figaro son soutien à François Fillon pour la présidence du parti, a estimé "qu'il y a une dynamique de rassemblement" autour de l'ancien Premier ministre. Ce dernier a avancé trois raisons. "D'abord, il a la crédibilité de ses cinq ans de Premier ministre (...). La deuxième chose, c'est qu'il a un seuil de popularité important (...). Et puis, c'est quelqu'un qui est à l'équilibre entre les différentes idées et les positions dans notre famille politique", a détaillé Laurent Wauquiez.

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