CANDIDATURES UMP - Xavier Bertrand sur France
Info
L’ex-ministre du Travail prendra position "à la fin de l’été" sur sa candidature à la présidence de son parti. Il a déclaré que le débat au sein de l’UMP "prendra toute sa force dès la fin de l’été, dès l’ouverture des candidatures pour le Congrès. Pour le reste, pas d’opposition entre nous." "En attendant, il y a une phase indispensable", c’est "d’en parler avec les militants" a-t-il ajouté. Le vote des militants aura lieu les 18 et 25 novembre prochains.
L’ex-ministre du Travail prendra position "à la fin de l’été" sur sa candidature à la présidence de son parti. Il a déclaré que le débat au sein de l’UMP "prendra toute sa force dès la fin de l’été, dès l’ouverture des candidatures pour le Congrès. Pour le reste, pas d’opposition entre nous." "En attendant, il y a une phase indispensable", c’est "d’en parler avec les militants" a-t-il ajouté. Le vote des militants aura lieu les 18 et 25 novembre prochains.
DISCOURS DE POLITIQUE GENERALE - François Baroin, sur France
2
L'ancien ministre UMP de l'Economie a estimé mercredi que le discours de politique générale de Jean-Marc Ayrault était marqué par une "erreur stratégique grave" qui va "asphyxier l'économie". Ce discours comprenait une "erreur stratégique grave qui est de vouloir réduire les déficits en augmentant les dépenses et de combler l'ensemble, pour un effort qui représentera 40 milliards en six mois (...), qui se fera essentiellement sur une base fiscale. Ça va asphyxier l'économie", a-t-il dit sur France 2. L'ancien ministre a également dénoncé "un discours extraordinairement long, fastidieux". "Il n'a pas évité le péril de l'ennui", a-t-il estimé.
L'ancien ministre UMP de l'Economie a estimé mercredi que le discours de politique générale de Jean-Marc Ayrault était marqué par une "erreur stratégique grave" qui va "asphyxier l'économie". Ce discours comprenait une "erreur stratégique grave qui est de vouloir réduire les déficits en augmentant les dépenses et de combler l'ensemble, pour un effort qui représentera 40 milliards en six mois (...), qui se fera essentiellement sur une base fiscale. Ça va asphyxier l'économie", a-t-il dit sur France 2. L'ancien ministre a également dénoncé "un discours extraordinairement long, fastidieux". "Il n'a pas évité le péril de l'ennui", a-t-il estimé.
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RIGUEUR - Marylise Lebranchu, sur RTL
La ministre de la Fonction publique a estimé que les fonctionnaires devaient affronter un "grand moment de rigueur". "Ce n'est pas une cure d'austérité mais c'est un grand moment de rigueur. Les fonctionnaires sont conscients de l'importance de leur fonction et ont envie que leur pays se redresse, donc ils savent que s'ils y participent, ils peuvent générer aussi leur part de croissance", a dit la ministre. "Ce sont les fonctionnaires qui permettent le redressement des territoires aussi", a-t-elle ajouté.
La ministre de la Fonction publique a estimé que les fonctionnaires devaient affronter un "grand moment de rigueur". "Ce n'est pas une cure d'austérité mais c'est un grand moment de rigueur. Les fonctionnaires sont conscients de l'importance de leur fonction et ont envie que leur pays se redresse, donc ils savent que s'ils y participent, ils peuvent générer aussi leur part de croissance", a dit la ministre. "Ce sont les fonctionnaires qui permettent le redressement des territoires aussi", a-t-elle ajouté.
DISCOURS DE POLITIQUE GENERALE - Michel Rocard, sur
i-Télé
L'ancien Premier ministre socialiste a apprécié le discours de politique générale prononcé mardi par Jean-Marc Ayrault. "Il s'en est plutôt bien tiré", a-t-il jugé. Selon lui, "les choix qu'a faits Jean-Marc Ayrault" reflètent "une correction de trajectoire institutionnelle. Le Premier ministre reprend toute sa dimension". Selon Michel Rocard, le Premier ministre a plaidé plutôt en faveur de la "concertation. Le mot revient souvent... Donc, ça veut dire la concertation avec les partenaires sociaux (...) Il a évoqué la nécessité de trouver un consensus national".
L'ancien Premier ministre socialiste a apprécié le discours de politique générale prononcé mardi par Jean-Marc Ayrault. "Il s'en est plutôt bien tiré", a-t-il jugé. Selon lui, "les choix qu'a faits Jean-Marc Ayrault" reflètent "une correction de trajectoire institutionnelle. Le Premier ministre reprend toute sa dimension". Selon Michel Rocard, le Premier ministre a plaidé plutôt en faveur de la "concertation. Le mot revient souvent... Donc, ça veut dire la concertation avec les partenaires sociaux (...) Il a évoqué la nécessité de trouver un consensus national".
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JUSTICIABLE – Manuel Valls, sur Europe 1
Le ministre de l'Intérieur a rappelé mercredi qu'il fallait "respecter le travail de la justice" au lendemain de la perquisition au domicile de Nicolas Sarkozy. "Le rôle d’un responsable politique, qui plus est quand il est ministre de l’intérieur c’est de respecter le travail de la justice", a souligné le ministre de l'Intérieur. " Nous sommes dans une démocratie avec une séparation stricte des pouvoirs. Là où je suis, je dois respecter la séparation des pouvoirs", a ajouté Manuel Valls. Interrogé sur les soupçons de financement occultes de la campagne de 2007 de l'ancien chef de l’État, Manuel Valls a répondu que c'était "à la justice d’en faire la démonstration". "C’est un justiciable comme un autre. La justice doit faire la lumière. Nous vivons une crise économique et une crise morale" ; Ne commentons pas le travail de la justice. Laissons-la travailler sereinement", a-t-il conclu
Le ministre de l'Intérieur a rappelé mercredi qu'il fallait "respecter le travail de la justice" au lendemain de la perquisition au domicile de Nicolas Sarkozy. "Le rôle d’un responsable politique, qui plus est quand il est ministre de l’intérieur c’est de respecter le travail de la justice", a souligné le ministre de l'Intérieur. " Nous sommes dans une démocratie avec une séparation stricte des pouvoirs. Là où je suis, je dois respecter la séparation des pouvoirs", a ajouté Manuel Valls. Interrogé sur les soupçons de financement occultes de la campagne de 2007 de l'ancien chef de l’État, Manuel Valls a répondu que c'était "à la justice d’en faire la démonstration". "C’est un justiciable comme un autre. La justice doit faire la lumière. Nous vivons une crise économique et une crise morale" ; Ne commentons pas le travail de la justice. Laissons-la travailler sereinement", a-t-il conclu
SESSION EXTRAORDINAIRE – Claude Bartolone, dans
L'Express
Le président de l'Assemblée nationale déclare qu'il ne lui "paraîtrait pas inutile" que le président François Hollande s'exprime devant le Parlement lors de la session extraordinaire. Claude Bartolone fait valoir que le chef de l’État "n'est pas obligé de se déplacer physiquement" pour s'adresser au Parlement comme la révision de la Constitution, en 2008, le lui permet. "Il peut communiquer une adresse en direction du Parlement, c'est-à-dire un texte lu par le président de l'Assemblée nationale", poursuit-il. "S'il devait s'exprimer au cours de la session extraordinaire, ce qui me paraîtrait pas inutile, il pourrait le faire sous cette forme", dit-il.
Le président de l'Assemblée nationale déclare qu'il ne lui "paraîtrait pas inutile" que le président François Hollande s'exprime devant le Parlement lors de la session extraordinaire. Claude Bartolone fait valoir que le chef de l’État "n'est pas obligé de se déplacer physiquement" pour s'adresser au Parlement comme la révision de la Constitution, en 2008, le lui permet. "Il peut communiquer une adresse en direction du Parlement, c'est-à-dire un texte lu par le président de l'Assemblée nationale", poursuit-il. "S'il devait s'exprimer au cours de la session extraordinaire, ce qui me paraîtrait pas inutile, il pourrait le faire sous cette forme", dit-il.
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