Le ministre délégué à l'Economie solidaire, Benoît
Hamon, va signer une contribution de son courant au PS intitulée "Le changement,
c'est maintenant", et non le texte de Jean-Marc
Ayrault et Martine
Aubry, a indiqué mardi à l'AFP l'un de ses proches, le député Régis
Juanico. "La contribution sera signée par Benoît
Hamon mais pas en premier signataire, qui sera une jeune députée,
Barbara Romagnan", a affirmé M. Juanico, après une réunion à l'Assemblée d'"Un
monde avance" (UMA) en présence du ministre.
La contribution d'UMA sera présentée mercredi au conseil national du PS sous le titre "Le changement, c'est maintenant", reprenant
le slogan de campagne de François
Hollande. M. Hamon ne devrait donc pas signer la "contribution
générale" du Premier ministre et de la Première secrétaire du parti. M. Ayrault
et Mme Aubry ont proposé "à l'ensemble des dirigeants du PS, comme aux membres du gouvernement, de soutenir de façon
exclusive cette contribution générale".
La suite en septembre
Malgré le dépôt d'une contribution, le courant de M. Hamon a décidé de ne pas présenter de candidat au poste de Premier secrétaire du PS, lors du congrès de Toulouse à la fin octobre, a ajouté M. Juanico. "Pour la motion, on verra d'ici au conseil national de synthèse du 12 septembre", a-t-il poursuivi.
La contribution du courant UMA considère que le "traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance", que la France doit encore ratifier, est un "verrou libéral-conservateur". Le Premier ministre a laissé entendre, mardi matin, devant les députés PS, que le débat sur la ratification pourrait intervenir à la fin septembre. En revanche, le ministre de l'Education Vincent Peillon et ses proches du courant Espoir à gauche ont décidé de se rallier à la contribution de M. Ayrault et Mme Aubry, a indiqué à l'AFP le député de Marseille Patrick Mennucci
La suite en septembre
Malgré le dépôt d'une contribution, le courant de M. Hamon a décidé de ne pas présenter de candidat au poste de Premier secrétaire du PS, lors du congrès de Toulouse à la fin octobre, a ajouté M. Juanico. "Pour la motion, on verra d'ici au conseil national de synthèse du 12 septembre", a-t-il poursuivi.
La contribution du courant UMA considère que le "traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance", que la France doit encore ratifier, est un "verrou libéral-conservateur". Le Premier ministre a laissé entendre, mardi matin, devant les députés PS, que le débat sur la ratification pourrait intervenir à la fin septembre. En revanche, le ministre de l'Education Vincent Peillon et ses proches du courant Espoir à gauche ont décidé de se rallier à la contribution de M. Ayrault et Mme Aubry, a indiqué à l'AFP le député de Marseille Patrick Mennucci
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