lundi 16 décembre 2013

L'expresso du 16/12

Pour Marion Maréchal-Le Pen, le rapport controversé sur l'intégration diffusé sur le site de Matignon, est "l'anti-modèle républicain". "C'est une réelle provocation à l'égard du modèle républicain qui est celui de la France", a estimé la députée FN, qui y voit là "l'aboutissement de l'idéologie défendue par l'UMP et le PS".

La réaction

Le ministre délégué à la Consommation, Benoît Hamon, a donné quelques précisions sur RTL alors que les gendarmes ont entamé lundi une vaste opération dans le cadre d'une enquête contre un trafic de viande de cheval. "Il s'agirait de chevaux impropres à la consommation, qui devaient finir chez l'équarrisseur et qui potentiellement finiraient chez le boucher", a précisé le ministre. Et de souligner la différence avec l'affaire Spanghero : "On vendait du cheval à la place du bœuf, on était dans la tromperie commerciale. Là il pourrait s'agir d'un problème sanitaire, c'est différent de ce que l'on a connu."

Le chiffre

Selon un sondage BVA pour Le Parisien, Martine Aubry recueillerait 64% des voix au second tour de l’élection municipale à Lille si le scrutin de déroulait dimanche, loin devant son adversaire de l’UMP, Jean-René Lecerf. Au premier tour, le maire PS sortante arriverait largement en tête avec 45% des suffrages.

La phrase

"J'ai recensé 36 couacs. Les deux derniers sont plus graves : ce sont des différends entre le Président et le Premier ministre", a lancé sur Europe 1 l'ancien ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux. 

La mise en garde

Alors que la conférence citoyenne rend lundi son avis sur la fin de vie, Ségolène Royal s'est montrée prudente sur i-Télé : "Il faut faire attention au vocabulaire ce ne sont pas l'euthanasie ou le droit au suicide qui sont des termes affreux, épouvantables. C'est le droit à mourir dans la dignité."

La confidence

Fidèle parmi les fidèles de l'ex-chef d'Etat et président de l'association des amis de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux a confié sur Europe 1 : "Il n’est pas prisonnier d’un calendrier, quel qu’il soit. C’est un homme libre. La réalité est simple : il a dit en 2012 qu’il n’entendait pas intervenir dans la vie politique française quotidienne et il ne le fait pas. Il ne donne pas d’interview, il ne s’exprime pas publiquement, ne tient pas de réunion publique. Pour autant, il écoute, entend, observe et partage les préoccupations des Français face à l’avalanche d’échecs que nous vivons : sécuritaires, sociaux, économiques."
 

Aucun commentaire: