La tribune
A l'occasion de la visite d'Etat de François Hollande aux Etats-Unis. Les présidents français et américain signent une tribune commune dans Le Monde et le Washington Post. Dans ce texte, Hollande et Obama évitent les sujets qui fâchent comme l'espionnage des dirigeants européens, révélé par Edward Snowden, mais insistent sur les points d'accords comme sur la Syrie ou l'Iran. Les deux leaders demandent également que davantage de pays "partagent le poids et le prix du leadership".
Le sondage
Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls subit une forte chute de popularité selon le baromètre Clai-Metronews-LCI réalisé par Opinion Way. Habitué à la première place du classement gouvernemental, le locataire de Beauvau (45% de popularité, -12 points) est cette fois devancé par Najat Vallaud-Belkacem, (Porte-parolat, Femmes) en tête avec 49% de satisfaction (-1), Laurent Fabius (Affaires étrangères), inchangé à 48%, et fait jeu égal avec Jean-Yves Le Drian (Défense), qui abandonne 6 points à 45%, et Aurélie Filippetti (Culture, 45%, -2).
La réaction
Après le vote des Suisses à une courte majorité de 50,3%, demandant une limitation de l'immigration, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a qualifié sur RTL ce vote de "préoccupant". "Cela signifie qu'on va revoir nos relations avec la Suisse. On va devoir renégocier les traités", a-t-il ajouté. En outre, à quelques heures de la visite d'Etat de François Hollande aux Etats-Unis où le gaz de schiste est exploité massivement, Laurent Fabius "dit trois fois oui" à des "recherches pour savoir s’il y a une autre possibilité d’exploiter le gaz de schiste" "L'histoire de la gauche, c'est l'histoire du progrès", a-t-il également estimé.
La der'
Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, préside aujourd'hui son dernier conseil de Paris
Le soutien
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a réaffirmé dimanche soir, dans une interview publiée sur le site internet des Echos, sa volonté de "faire baisser l'euro", estimant que son niveau actuel "annihile les efforts de compétitivité" lancés en France. "Par petit pas, il vient vers nous, Monsieur Montebourg" a réagi sur Europe 1, Marine Le Pen. "Je ne soutiens pas Arnaud Montebourg, c'est lui qui commence à nous soutenir", a-t-elle également ajouté.
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