mardi 18 février 2014

L'expresso du 18/02

Nathalie Kosciusko-Morizet a eu sur i-Télé une pensée pour Jacques Chirac, hospitalisé brièvement lundi soir. Et en a profité pour saluer son bilan à la tête de la mairie de Paris, que l'ex-ministre brigue aujourd'hui. "Il a laissé une trace à Paris qui est une trace très affectueuse (...) Il y a une tendresse, de l'affect pour Jacques Chirac", a déclaré la candidate UMP. Avant d'assurer notamment que "le ravalement de Paris" ou le "développement de l'aide sociale, c'est Jacques Chirac".

La détecteur de mensonges express

Très critiqué la semaine dernière après avoir dénoncé un livre jeunesse, Jean-François Copé a assumé sur RTL. "J'ai surtout observé une chose, c'est qu'après avoir été insulté (...), ce livre, dans la plus grande discrétion, a été retiré de la liste des livres recommandés par l'Education nationale", a affirmé le président de l'UMP. En réalité, l'ouvrage Tous à poil n'est plus une "activité pédagogique" conseillée par le site des ABCD de l'égalité mais une "ressource complémentaire" indicative recommandée aux enseignants dans les ABCD, comme l'indiquait déjà Le Lab d'Europe 1.

Le comparatif

La votation Suisse, "c'est le démonstrateur du lepénisme en vrai", a dit sur France Inter Arnaud Montebourg. "On va pouvoir montrer les résultats aux Français du lepénisme exercer à une petite échelle, qui est l'échelle helvétique", a précisé le ministre du Redressement productif, en parlant de "suicide collectif" pour qualifier le vote de la semaine dernière en faveur de la "fin de l'immigration massive".

La phrase

"On fait le sale boulot qui n'a pas été fait avant, mais on le fait avec coeur", a assuré sur i-Télé la ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, avant de légèrement se rectifier en indiquant qu'il s'agissait "d'un beau boulot en réalité, mais un travail ardu".

La réaction

Des élus de la droite parisienne ont-ils essayé de débarquer NKM? C'est la question qui a été posée sur i-Télé à la candidate UMP, en réaction aux propos de Michèle Alliot-Marie. Celle-ci confiait la veille sur la même chaîne que "certains" avaient émis l'idée, il y a "quelques semaines", d'une candidature de l'ex-ministre. "Moi, je n'en ai jamais entendu parler et d'ailleurs ça ne m’intéresse pas beaucoup", a répondu Nathalie Kosciusko-Morizet, précisant quelques secondes plus tard ne pas "y croire". "Vous êtes en train de me dire : 'Vous avez des ennemis dans votre parti politique'. Ah ben le grand scoop!", a-t-elle ensuite ajouté.
 
 

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