mercredi 1 octobre 2014

l'expresso du 1° octobre

Sur BFMTV, François Bayrou a affirmé être "moins enthousiaste que beaucoup de gens pour les primaires". "La France n'a pas besoin de camp", a-t-il justifié. Mais le président du MoDem "ne ferme pas la porte" car il ne sait pas "ce que l'avenir sera". "Je ne crois pas que la droite et le centre doivent être systématiquement la même chose", a toutefois déclaré François Bayrou, qui souhaite que "le centre français prenne conscience de sa force, qu'il s'unisse et qu'il ose proposer aux Français le projet que la France a besoin".

La phrase

Le président (Hollande) va vivre une "interminable agonie", a déclaré sur France Info Jean-Luc Mélenchon, qui estime que le pays "va de plus en plus mal et ira de plus en plus mal".

La nuance

Interrogée sur le retour de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati a affirmé que c'était "plutôt une bonne chose". Mais l'ancienne ministre a toutefois émis une petite nuance. "Il revient, c'est une bonne chose. Il revient par l'UMP, c'est plutôt une bonne chose", a déclaré la députée européenne, sans cacher donc qu'elle aurait préféré que Nicolas Sarkozy ne passe pas par la case présidence de l'UMP.

Les doutes

Alors que le projet de loi sur la transition énergétique arrive mercredi à l'Assemblée nationale, Cécile Duflot est revenue sur l'attitude de l'exécutif à ce sujet. "Si j'étais convaincue de l'engagement du gouvernement en faveur de la transition énergétique, je crois que j'y serai restée. Oui, j'ai des doutes", a confié l'ancienne ministre du Logement sur Europe 1.

La détermination

Xavier Bertrand l'assure, le retour de Nicolas Sarkozy "ne change strictement rien à (ses) intentions, à (ses) convictions, à (ses) ambitions pour 2017". Dans un entretien à Valeurs Actuelles à paraître jeudi, l'ancien ministre met aussi en garde son camp affirmant que "l'antihollandisme ne suffira pas". Quant à la présidence de l'UMP, il attend de connaître les projets de chacun des candidats. "Je dirai ce que je ferai et pourquoi", mais "je ne donnerai pas de consignes de vote", indique-t-il.

Le chiffre : 2 centimes

Le gouvernement a confirmé qu'il procèderait à une augmentation de 2 centimes d'euros par litre de la taxe sur le diesel, dans le cadre du projet de loi de finances (PLF) pour 2015.
 

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