INCENDIE A LA RÉUNION – Claude Guéant, dans le Journal de l'Ile de la Réunion. Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a jugé que les " deux Dash (avions bombardiers d'eau,ndlr) arrivent au moment le plus opportun" pour combattre l'incendie du Parc national de la Réunion, soulignant que "ce ne sont pas les polémiques policitiennes qui vont éteindre le feu". "Nous envoyons les deux (Dash) dont dispose la sécurité civile. Le faire avant aurait été inefficace, c'est notamment l'enseignement que nous avons tiré de l'incendie de l'an dernier", s'est défendu l'ancien secrétaire général de l'Elysée. "Je comprends que les élus, devant l'ampleur de l'incendie, aient souhaité alerter les pouvoirs publics sur la solution qu'ils jugeaient la plus adaptée pour en venir à bout.", a ajouté Claude Guéant.
ZONE EURO Jean-Luc Mélenchon, sur Europe 1. Le candidat du Front de gauche à la présidentielle a déclaré que "l'Europe est engagée sur une pente folle et qu'il est temps qu'une borne d'arrêt soit donnée". Selon le député européen, "dire effacer la moitié de la dette grecque est faux car on a effacé 100 milliards sur 350 milliards". Pour lui, ce référendum c'est "la démocratie et le droit des peuples à décider d'eux même, le peuple grec a le droit de dire : Vous n'avez pas trouvé la bonne solution pour nous." C'est aux dirigeants européens "de trouver des solutions qui permettent à la fois de sauver l'euro et de sauver la Grèce", a conclu Jean-Luc Mélenchon.
CHARLIE HEBDO - Xavier Bertrand, sur RTL. Le ministre du Travail et de la Santé s'est déclaré "profondément choqué" par l'incendie des locaux de Charlie hebdo. Je suis profondément choqué (...) parce qu'un journal ce n'est pas une activité comme les autres, c'est la liberté d'expression", a-t-il dit. "Heureusement que la liberté d'expression dans un pays comme le nôtre est garantie et protégée contre tous les excès et contre tous les arbitraires", a-t-il ajouté.
REFERENDUM GREC - Jean-François Copé, sur Europe 1. Le secrétaire général de l'UMP a regretté l'initiative de référendum de Georges Papandréou. "L'heure n'est pas à un référendum", a-t-il jugé. Cette initiative du Premier ministre grec "place en porte-à-faux complet la Grèce vis-à-vis de la solidarité européenne", a-t-il estimé. "C'est un mauvais coup pour l'Europe", a-t-il conclu.
REFERENDUM GREC - Bertrand Delanoë, sur BFM TV. Le maire de Paris estime que Georges Papandréou aurait "dû prévenir ses partenaires européens". Il espère également que le référendum se tienne au plus vite car selon lui, "janvier sera beaucoup trop tard". Il propose notamment que la question posée au peuple grec soit "est-ce que vous voulez rester dans la zone euro?". Si la réponse est oui, "je trouverais normal que le gouvernement grec discute avec les partenaires européens pour que l'apllication du plan (…) se fasse de manière intelligente sur la plan social et que cela laisse une chance à la croissance économique grecque de repartir", a expliqué Bertrand Delanoë.
REFEREMDUM GREC, Pascal Lamy, sur France Inter. Le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a assuré que le référendum décidé par le Premier ministre grec sur le plan d'aide à la Grèce pouvait "être gagné"."Les Grecs sont probablement capables d'apprécier que c'est ça ou quelque chose d'encore pire", a-t-il précisé. Pour lui, une sortie de la Grèce de la zone euro et l'abandon de la monnaie commune serait "plus douloureuse" que les plans d'austérité imposés au pays. "Politiquement, ce serait très mauvais pour cette région de l'Europe qui comporte la Grèce, la Turquie pas très loin. L'Europe a vraiment besoin de stabilité à ses frontières", a-t-il ajouté. Enfin, pour le socialiste "la grande leçon qu'il faut tirer de cette crise" est la nécessité de faire "un pas supplémentaire vers une Europe fédérale sur le plan économique, budgétaire et fiscal
Xavier Bertrand, ministre du Travail, de... par rtl-fr
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