Ségolène Royal a plaidé pour la constitution d'une armée européenne, ce qui permettrait de renforcer l'implication de l'Europe dans les opérations extérieures. "Sans doute serait-il imaginable, puisque nous parlons depuis des années de la constitution d'une armée européenne, que ce soit l'armée française qui serve de socle à la concrétisation de la formation d'une armée européenne qui impliquerait la responsabilité des autres pays européens davantage qu'ils ne le font aujourd'hui", a déclaré l'ancienne candidate à la présidentielle sur RTL.
Le constat
Après avoir parcouru 6.000 kilomètres à pied, Jean Lassalle a bouclé mercredi son tour de France entamé en avril dernier. De ce long périple qui visait à "redonner la parole aux silencieux", le député MoDem des Pyrénées-Atlantiques tire un premier enseignement : "J'ai trouvé cette France encore plus résignée, sans espoir et surtout sans futur" a-t-il expliqué sur Europe 1.
La décision
Vincent Peillon, le ministre de l'Education nationale, va donner un coup de pouce financier à certains directeurs d'écoles primaires, a annoncé France Info jeudi matin. Huit millions d'euros vont être distribués, d'après les syndicats. Les petites écoles sont notamment visées.
Le conseil
Gérard Longuet a souhaité que Nicolas Sarkozy, dont il fut le ministre, s'adresse à "tous les Français". Interrogé par i-Télé sur les ambitions prêtées à l'ex-chef de l'Etat, le sénateur a d'abord assuré que "2017 s'organisera, comme chaque élection présidentielle, dans l'année qui précède". "Ce ne sont jamais les candidats à moins quatre ans ou moins trois ans qui sont au rendez-vous de l'élection", a-t-il fait valoir.
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La phrase
"Si je suis assigné à résidence sans pouvoir parler, alors la liberté n'existe plus en Italie", a déclaré Silvio Berlusconi sur Europe 1. "Oui, Poutine a diné chez moi deux jours avant la décision du Sénat. Je le connais depuis 2001. Un très bon ami", a également confié l'ancien chef de gouvernement italien. Il a également estimé que son éviction le 27 novembre dernier, était "un coup d’Etat". "Le parti communiste italien voulait à partir de 1992, la possibilité de prendre le pouvoir définitivement. J’ai eu la possibilité d’empêcher cela", a-t-il expliqué.