Il a "constaté" que les deux présidents de la République réélus (François Mitterrand et Jacques Chirac, Ndlr) "en cohabitation certes, ont été mobiles, capables en permanence de s'adapter et capables de regarder les Français dans les yeux et de se dire que veulent les Français et comment est-ce que je peux être plus efficace". Dominique de Villepin a estimé que "le gouvernement n'a(vait) pas eu de nouveau souffle depuis 4 ans". "C'est la même politique avec les mêmes effets d'annonces et les mêmes impasses et donc une sanction qui se profile de plus en plus".
MARIE-FRANCE PISIER - Frédéric Mitterrand, à l’AFP:
Le ministre de la Culture et de la Communication, Frédéric Mitterrand, a réagi dimanche au décès de l'actrice Marie-France Pisier en déplorant la perte d'"une comédienne rare" et d'"une femme de caractère dont le charme et le jeu si subtil ont marqué le cinéma français". "Son charme, son humour teinté d'une délicieuse ironie et l'étrangeté qu'elle savait distiller dans ses personnages manquera au cinéma français et à nos coeurs", a déclaré le ministre. "Ses débuts avec François Truffaut lui donnent une place toute particulière dans le cinéma de la nouvelle vague: son ton, sa diction, sa distance étrange s'harmonisent avec les univers d'Alain Robbe-Grillet, de Luis Buñuel, de Jacques Rivette puis d'André Téchiné avec qui elle obtiendra deux fois le César du meilleur second rôle, en 1976 et 1977". "C'était aussi une intellectuelle engagée dans les combats de son époque. Cet engagement ne cessa jamais, dans ses idées comme auprès des hommes remarquables qui furent ses compagnons", a-t-il encore dit, en rappelant que l'actrice fut aussi une "créatrice", adaptant elle-même son roman "Le bal du gouverneur" au cinéma.
Le ministre de la Culture et de la Communication, Frédéric Mitterrand, a réagi dimanche au décès de l'actrice Marie-France Pisier en déplorant la perte d'"une comédienne rare" et d'"une femme de caractère dont le charme et le jeu si subtil ont marqué le cinéma français". "Son charme, son humour teinté d'une délicieuse ironie et l'étrangeté qu'elle savait distiller dans ses personnages manquera au cinéma français et à nos coeurs", a déclaré le ministre. "Ses débuts avec François Truffaut lui donnent une place toute particulière dans le cinéma de la nouvelle vague: son ton, sa diction, sa distance étrange s'harmonisent avec les univers d'Alain Robbe-Grillet, de Luis Buñuel, de Jacques Rivette puis d'André Téchiné avec qui elle obtiendra deux fois le César du meilleur second rôle, en 1976 et 1977". "C'était aussi une intellectuelle engagée dans les combats de son époque. Cet engagement ne cessa jamais, dans ses idées comme auprès des hommes remarquables qui furent ses compagnons", a-t-il encore dit, en rappelant que l'actrice fut aussi une "créatrice", adaptant elle-même son roman "Le bal du gouverneur" au cinéma.
2012 - Christian Estrosi sur Canal+:
Dans Dimanche+, Christian Estrosi
“On est entré dans une course à l'échalote avec le Front national”. Tel est le constat de Christian Estrosi dans Dimanche+. Pour l’ancien ministre, “il faut des réformes sociales”, plutôt que des débats sur la laïcité. Mais il ne voit pas Nicolas Sarkozy en danger: “S’il y a bien un président proche des ouvriers, qui a sauvé Alstom, qui a permis de sauver des emplois, c’est Nicolas Sarkozy”. Face à la montée de Marine Le Pen, il répond que “ce n’est pas en abandonnant l’euro qu’on reglera nos problèmes”. A propos de la crise franco-italienne, Christian Estrosi a considéré que l'Europe devait accompagner la Tunisie vers la démocratie, mais ne peut pas accueillir les Tunisiens. "Il faut les renvoyer chez eux, et réviser Schengen, pas en sortir". Sur le nucléaire, le président de la communauté urbaine de Nice n’envisage pas l’arrêt du nucléaire. “Se passer du nucléaire? Certainement pas!”, a-t-il martelé face à Anne-Sophie Lapix.
Dans Dimanche+, Christian Estrosi
“On est entré dans une course à l'échalote avec le Front national”. Tel est le constat de Christian Estrosi dans Dimanche+. Pour l’ancien ministre, “il faut des réformes sociales”, plutôt que des débats sur la laïcité. Mais il ne voit pas Nicolas Sarkozy en danger: “S’il y a bien un président proche des ouvriers, qui a sauvé Alstom, qui a permis de sauver des emplois, c’est Nicolas Sarkozy”. Face à la montée de Marine Le Pen, il répond que “ce n’est pas en abandonnant l’euro qu’on reglera nos problèmes”. A propos de la crise franco-italienne, Christian Estrosi a considéré que l'Europe devait accompagner la Tunisie vers la démocratie, mais ne peut pas accueillir les Tunisiens. "Il faut les renvoyer chez eux, et réviser Schengen, pas en sortir". Sur le nucléaire, le président de la communauté urbaine de Nice n’envisage pas l’arrêt du nucléaire. “Se passer du nucléaire? Certainement pas!”, a-t-il martelé face à Anne-Sophie Lapix.
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