vendredi 29 avril 2011

Les petites phrases du jour 29/04/2011

FFF - Chantal Jouanno, sur RMC: La secrétaire d'Etat aux sports est revenue sur la nouvelle polémique qui secoue la Fédération française de football. "Gardons notre sang-froid, nous sommes sur des soupçons. Il faut faire la lumière sur cette affaire mais je n’ose pas y croire. C’est contraire à tout, aux lois de la République et aux valeurs du sport. Si on sélectionne les personnes, c’est sur des critères physiques, éthiques, mais surtout pas ethniques", a déclaré Chantal Jouanno sur RMC. Le site Mediapart a révélé que la FFF aurait décidé de mettre officieusement en place des quotas ethniques dans les centres de formation de jeunes footballeurs.
PRIME - Laurence Parisot, sur RTL: La patronne du Medef a dénoncé l'idée "néfaste" et "ruineuse" d'une prime aux salariés des entreprises de plus de 50 salariés augmentant ses dividendes, même s'il n'y a pas de montant minimum imposé comme l'a annoncé le gouvernement. "C'est une mesure ruineuse. Je ne connais pas un chef d'entreprise qui ne désapprouve pas cette approche", a affirmé la patronne des patrons à RTL, évoquant "une liste longue d'effet pervers".
PRIME - François Baroin, dans Les Echos: Le ministre du Budget et porte-parole du gouvernement a indiqué que le gouvernement ne souhaitait pas imposer un montant minimum dans les négociations sur le versement d'une prime. Le montant de 1.000 à 1.500 euros évoqué fait référence au plafond jusqu'auquel les primes seront exonérées de la plupart des charges. "Il s'agit bien d'une négociation indépendante de celle sur les salaires. J'ajoute que de nombreux chefs d'entreprise verront le dispositif sous un oeil favorable au vu des incitations introduites", a affirmé François Baroin. Et d'ajouter que "40.000 entreprises, ce qui représente 8 millions de salariés", pourraient être concernées.
ISF - François Baroin, dans Les Echos: Dans une interview accordée aux Echos, François Baroin a affirmé que la réforme fiscale, qui prévoit la disparition du bouclier fiscal et un allègement de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), doit être lue comme une "première étape importante".
"Je reste convaincu que l'ISF est une anomalie française. Supprimer le bouclier fiscal et les effets négatifs de l'ISF, cela constitue une réforme très importante même si les contraintes budgétaires et de temps ne nous permettent pas d'aller plus loin", a déclaré le ministre du Budget.
hebergeur image

Aucun commentaire: