VIOLENCE - Ségolène Royal, sur France Bleu La Rochelle :
L'ex-candidate à la présidentielle a estimé vendredi que Nicolas Sarkozy "portait une partie de la responsabilité" des incidents de Bayonne. "La violence verbale, c'est lui qui l'a commencée", a déclaré Ségolène Royal, tout en condamnant "fermement toutes les formes d'agressivité, de violence ou d'atteinte à l'intégrité des personnes, y compris quand il s'agit d'un adversaire politique".
L'ex-candidate à la présidentielle a estimé vendredi que Nicolas Sarkozy "portait une partie de la responsabilité" des incidents de Bayonne. "La violence verbale, c'est lui qui l'a commencée", a déclaré Ségolène Royal, tout en condamnant "fermement toutes les formes d'agressivité, de violence ou d'atteinte à l'intégrité des personnes, y compris quand il s'agit d'un adversaire politique".
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DIVERGENCES - Marine Le Pen, sur Canal+ :
Invitée de la Matinale, la présidente du Front national a assuré que les divergences étaient moindres dans son parti qu'à l'UMP ou au PS. Marine Le Pen récusait ainsi l'idée que son père nuirait à sa campagne électorale. "Le FN n'est pas une secte", a-t-elle notamment lancé. "Jean-Marie Le Pen est Jean-Marie Le Pen. C'est un homme libre, il dit ce qu'il pense, mais il n'est plus le candidat (du FN). C'est moi qui suis la candidate", a ajouté Marine Le Pen. "Même si nous sommes en divergence, les Français vont voter pour Marine Le Pen et pour le projet de Marine Le Pen. Ils ne vont pas voter pour Jean-Marie Le Pen. Les choses sont claires", a-t-elle conclu.
Invitée de la Matinale, la présidente du Front national a assuré que les divergences étaient moindres dans son parti qu'à l'UMP ou au PS. Marine Le Pen récusait ainsi l'idée que son père nuirait à sa campagne électorale. "Le FN n'est pas une secte", a-t-elle notamment lancé. "Jean-Marie Le Pen est Jean-Marie Le Pen. C'est un homme libre, il dit ce qu'il pense, mais il n'est plus le candidat (du FN). C'est moi qui suis la candidate", a ajouté Marine Le Pen. "Même si nous sommes en divergence, les Français vont voter pour Marine Le Pen et pour le projet de Marine Le Pen. Ils ne vont pas voter pour Jean-Marie Le Pen. Les choses sont claires", a-t-elle conclu.
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SARKOZY ET HOLLANDE - Dominique de Villepin, sur BFM-TV et RMC :
Les deux favoris de la course présidentielle "prennent les Français pour des couillons". C'est ce qu'a assuré le candidat de République solidaire à l'Elysée. "Nous sommes devant des candidats qui adoptent des marqueurs idéologiques. C'est un combat absurde : ni l'un ni l'autre ne mettra en application ce qu'ils disent, ils ne le pourront pas", a lancé l'ancien Premier ministre, qui a qualifié également François Hollande et Nicolas Sarkozy "d'attrape-couillons". "Vous êtes devant des candidats qui s'amusent avec les Français et les prennent pour des gogos", a insisté Dominique de Villepin.
Les deux favoris de la course présidentielle "prennent les Français pour des couillons". C'est ce qu'a assuré le candidat de République solidaire à l'Elysée. "Nous sommes devant des candidats qui adoptent des marqueurs idéologiques. C'est un combat absurde : ni l'un ni l'autre ne mettra en application ce qu'ils disent, ils ne le pourront pas", a lancé l'ancien Premier ministre, qui a qualifié également François Hollande et Nicolas Sarkozy "d'attrape-couillons". "Vous êtes devant des candidats qui s'amusent avec les Français et les prennent pour des gogos", a insisté Dominique de Villepin.
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PREMIER SECRETAIRE DU PS - Jean-Christophe Cambadélis, sur LCI :
Le député socialiste a fait savoir qu'il était, "bien sûr", intéressé par le poste de premier secrétaire du PS. Sera-t-il le prochain patron du parti? "Oh la la! On verra ça! ", a répondu l'élu de Paris. "Mais on en parlera". Le souhaite-t-il? "Bien sûr !", a-t-il répondu. Par ailleurs, ce proche de Dominique Strauss-Kahn a indiqué l'avoir vu récemment. "Il a déjà été mieux", a indiqué le secrétaire national du PS, à propos de son moral.
Le député socialiste a fait savoir qu'il était, "bien sûr", intéressé par le poste de premier secrétaire du PS. Sera-t-il le prochain patron du parti? "Oh la la! On verra ça! ", a répondu l'élu de Paris. "Mais on en parlera". Le souhaite-t-il? "Bien sûr !", a-t-il répondu. Par ailleurs, ce proche de Dominique Strauss-Kahn a indiqué l'avoir vu récemment. "Il a déjà été mieux", a indiqué le secrétaire national du PS, à propos de son moral.
LE PEN - Louis Aliot, sur France Info :
"Il y a dans les attaques contre Marine Le Pen une petite part de misogynie ; je pense notamment à M. Mélenchon", a déploré le vice-président du FN. Selon lui, si le leader du Front de gauche avait émis les mêmes critiques à l'encontre d'autres femmes, "il y aurait eu surement des cris de tous les démocrates". Le candidat à la présidentielle est "un extrémiste de gauche, qui cautionne des régimes totalitaires", a encore dit le compagnon de Marine Le Pen, contrairement à cette dernière qui est une "patriote".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-vendredi-2-mars-491110?from=bloc2012
"Il y a dans les attaques contre Marine Le Pen une petite part de misogynie ; je pense notamment à M. Mélenchon", a déploré le vice-président du FN. Selon lui, si le leader du Front de gauche avait émis les mêmes critiques à l'encontre d'autres femmes, "il y aurait eu surement des cris de tous les démocrates". Le candidat à la présidentielle est "un extrémiste de gauche, qui cautionne des régimes totalitaires", a encore dit le compagnon de Marine Le Pen, contrairement à cette dernière qui est une "patriote".
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