lundi 30 avril 2012

Les petites phrases du 30/04/2012

SYNDICATS - François Fillon, sur RTLFrançois Fillon a affirmé qu'il fallait "éviter toutes les remarques désagréables à propos des syndicats", ajoutant ne pas aimer "qu'on critique les syndicats en tant que tels" car ils "sont nécessaires au fonctionnement de l'économie et du système social français". Comme on lui faisait remarquer que cela pouvait apparaître comme une critique vis-à-vis de Nicolas Sarkozy, il a ajouté : "C'est mon opinion et je l'ai toujours défendue. Personne ne sera surpris que je la défende à nouveau".
DSK - François Hollande sur Europe 1
Le candidat socialiste a répété qu’il ne souhaitait pas voir Dominique Strauss-Kahn jouer de rôle politique, alors que l’ex-président du FMI était un invité très remarqué samedi soir à l’anniversaire de Julien Dray. "Chacun organise ses relations privées comme il l’entend. Mais sur le plan politique, j’ai dit que Dominique Strauss-Kahn n’est pas dans la campagne et n’a pas à y revenir", a-t-il affirmé.
François Chérèque , dans Libération:
A la veille du rassemblement prévu par Nicolas Sarkozy le 1er-Mai, François Chérèque a estimé que le discours du président de la République sur le travail "pousse à la division" et est devenu "insupportable". "Je n'ai pas souvenir d'une telle agressivité vis-à-vis des organisations syndicales, fondée qui plus est sur de faux constats. La confiance sera donc difficile à restaurer", ajoute-t-il. Le secrétaire général de la CFDT s'inquiète également pour la démocratie française : "Chaque fois qu'il y a eu dans l'histoire une mainmise du politique sur cette fête, c'était dans un contexte de dérive antidémocratique", dit-il. "Le fait qu'un des deux finalistes à la présidentielle entre dans cette logique est donc une grande source d'inquiétude, pour la CFDT, sur l'évolution de notre démocratie."
MEDIAPART - François Hollande, sur Europe 1
Au sujet du document publié par le site Mediapart et présenté comme la preuve d'un financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, le candidat socialiste a estimé que "c'est à la justice d'être saisie"."Si c'est un faux, eh bien le site sera condamné, si ce n'était pas un faux, à ce moment-là il y aurait des explications à fournir", a t-il déclaré. Et de préciser : "Je n'ai aucun lien avec Mediapart. Ce site est un site d'investigations, d'informations et cherche ce qu'il peut trouver, et c'est arrivé qu'il accable quelquefois des personnalités de gauche. Donc je ne vois pas comment il pourrait être établi qu'il pourrait y avoir une relation entre les socialistes et ce site d'informations", a-t-il ajouté.

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