mardi 1 mai 2012

Revivez le discours de François Hollande en direct: «Jamais je ne céderai sur les principes de la République»

14h14: Son "objectif: être le successeur de François Mitterrand". "Je ne demande pas votre aide, je vous dis: soyez fier d'être citoyen Français, faites votre devoir, merci de votre confiance", conclut-il
14h14: "Le 1er mai, fête du travail et le 6 mai, la victoire", développe-t-il
14h13: "Merci d'être parmi nous. Nous aurons toujours au mois de mai de beaux anniversaires", dit-il.
14h12: "Le pays est fatigué de ce qui lui a été fait depuis cinq ans, il a été brutalisé", dit-il
14h12: "Je pense à ceux qui ont une certaine idée de la France, à ceux qui ont une exigence morale dans le comportement, qui veulent une justice indépendante, ceux là sont dans le mouvement avec nous. Et il y a aussi tous ceux qui se détournent de la politique, qui doutent, nous devons aller les chercher". Il ne faut pas "les laisser dans des mains qui ne seraient pas celle de la République". "Je veux promettre mais pas me compromettre", tacle-t-il.
14h10: "Aujourd'hui je ne suis plus le candidat du PS, je suis le candidat de toute la gauche rassemblée. C'est ce qu'elle a fait le soir du premier tour avec Eva Joly et Jean-Luc Mélenchon. Je suis aussi le candidat qui doit élargir encore le rassemblement".
14h08: "C'est une lourde responsabilité de vous faire gagner l'élection. Je veux que ce soit votre victoire".
14h07: "Voilà pourquoi je voulais venir ici dans la Nièvre à quelques jours du grand rendez-vous du 6 mai". La foule scande "François président". "C'est vrai que nous avons confiance en nous même et dans le peuple français. Il veut le changement et il doit le décider".
14h06: Hollande reparle de l'Education, des 60.000 postes qu'il veut créer, par rapport aux 80.000 supprimés par la droite.
14h05: "N'ayez peur de rien. Nous redresserons le pays. Nous nous battrons contre les exclusions. Nous reconnaîtrons le travail à sa juste valeur. Voilà ce qui nous animera".
14h: "Voilà que le candidat sortant a rencontré la frontière. Il ne l'avait pas rencontré jusque-là. Il y a des règles, des principes. Pourquoi faire peur? Pourquoi agiter le spectre de l'invasion?" "Nous ne pouvons pas accueillir des étrangers dès lors que notre situation économique ne le permet pas, nous y veillerons. Mais pourquoi cette peur, faire de l'étranger la question principale de la présidentielle? Eh bien non, la question principale c'est le chômage, le pouvoir d'achat", développe-t-il.
13h59: "Le risque ce serait nous. Non. Le risque ce serait de continuer avec eux", tance-t-il. "
13h58: "Nous renégocierons le traité européen et nous le ferons en bonne harmonie je pense avec nos partenaires car ils ont compris" qu'il faut de la croissance, lance Hollande.
13h52: «La fête du travail, c'est la fête du syndicalisme», affirme Hollande. «Je ne veux pas de distinction, il n'y a que des vrais travailleurs», dit-il encore.
13h50: «L'autre jour il était à la Concorde, là il est à la discorde», tacle Hollande, qui «n'acceptera pas que le candidat sortant s'arroge la valeur travail». Surtout quand le chômage a largement augmenté dans le quinquennat.
13h40: A Nevers, Hollande rend hommage à Pierre Bérégovoy, cet «ouvrier», ce «syndicaliste», cet «homme d'Etat». Il rappelle que la «violence» en politique l'a conduit à se suicider et que cette violence existe toujours. Mais aussi, Bérégovoy, ce «grand argentier», qui a été un ministre des Finances reconnu, pour signifier que la gauche peut gérer.
http://www.20minutes.fr/presidentielle/926509-live-revivez-discours-francois-hollande-direct-jamais-cederai-principes-republique

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