16h00: Sarkozy remercie tout le monde, notamment "Carla".
15h58: "Vous être la France radieuse. Il vous reste trois jours pour convaincre, trois jours pour gagner, vive la République, et vive la France", conclut Sarkozy pour une prise de parole très courte, d'un peu plus de 30 minutes.
15h57: Sarkozy tacle Hollande: "quand il parle de moi, c'est candidat sortant. Il n'et pas encore candidat entrant, à ce que je sache"
15h56: "Ce que je vous propose c'est la République, celle de Jules Ferry, du général de Gaulle", dit-il.
15h55: "Ce que je vous propose ce n'est pas la fermeture, ce n'est pas la haine, ce n'est pas la peur, la frilosité, jamais, je laisse ces sentiments bas aux autres, ceux qui m'injurient".
15h52: "Nous sommes différents et nous voulons le rester. Nous sommes la République et pas seulement la démocratie. Nous sommes les héritiers d'une immense culture, les enfants de Voltaire, de Chateaubriand, de Victor Hugo. Nous voulons garder notre langue, notre litterature, notre art de vivre. Les héritiers d'une immense histoire, de Jeanne d'Arc, de la Résistance, des trente glorieuses. Nous ne voulons pas de la jalousie, de l'amertume, de la haine, de la lutte des classes, du socialisme. Nous sommes le peuple de France".
15h52: "Je veux une école qui apprendra aux enfants la différence entre le bien et le mal, le beau et le laid", dit-il. C'est à l'école que se construit "ce nouveau modèle français", son "identité".
15h49: "Je veux un nouveau modèle français où ceux qui ont travaillé toute leur vie pourront vivre leur retraite sans être à la charge de leurs enfants", dit-il. "C'est pour cela que nous avons voulu la réforme des retraites. C'est une question de morale", dit-il.
15h:48: "La France du travail n'est pas avide, cupide, malhonnête, immorale, c'est pour ça qu'elle ne supporte pas les mises en cause de la France. La France doit être aimée et respectée, voilà notre message".
15h45: "Le capitalisme financier trahit" le capitalisme entrepreneurial. "Je veux un nouveau modèle français où la réussite sera" admirée, où "le talent et le mérite sera récompensé", où "le travail engendrera le patrimoine et où le patrimoine seront la récompense du travail", développe-t-il. "Je veux dire à tous ceux qui ne connaissent pas la France du travail, que le patrimoine c'est des dizaines d'années de labeur, elle le regarde avec émotion, je veux dire à cette France du travail qu'elle n'a pas à s'excuser pour son travail, son mérite, ses efforts. Ce qu'elle possède la France du travail, elle l'a gagné. C'est le sien, ce n'est pas le patrimoine de l'Etat. On n'a pas le droit de culpabiliser la France du travail".
15h38: "C'est par le travail que nous pourrons reprendre la maîtrise de notre destin", dit-il. "C'est le travail qui créé le travail et le partage du temps de travail qui créé le chômage", dit-il. "Je veux protéger le travail", dit-il, notamment avec son discours sur la frontière.
16h36: Il parle des négociations qu'il veut mettre"Une souplesse négociée permettra d'éviter bien des licenciements, des souffrances", il veut un "modèle français" où "enfin on se fera confiance". "Si nous avons pris le risque de nous rassembler, ce n'est pas contre quiconque, nous n'avons pas d'ennemis, pas d'adversaires, nous avons la France dans le coeur".
15h34: Regardez ce qu'il se passe en Grèce, en Espagne. Personne ne veut de cela en France", plaide-t-il, assurant que les réformes mises en place a permis de l'éviter.
15h33: "Nous ne pouvons pas rester immobiles. Nous perdrons tout. Vous n'avez pas le droit de mentir aux salariés", dit-il.
15h32: "Je dis aux syndicats: laissez de côté les partis. Votre rôle n'est pas de défendre une idéologue, votre rôle est de défendre les salariés et le travail. Dans la République, ce ne sont pas les syndicats qui gouvernent, c'est le gouvernement". Et s'il y a des blocages, "on donne la parole au peuple, c'est cela la démocratie".
15h31: Il parle du "dialogue social, absolument indispensable. Tout le monde a quelque chose à apprendre" du dialogue, dit-il, voulant réfléchir à de nouvelles manières de négocier. "Pour faire face, la France doit être soudée, unie, rassemblée. Je le dis aux syndicats: posez le drapeau rouge et servez la France"
15h30: "Vous refusez le partage des bénéfices entre les actionnaires et les ouvriers", au nom de "la vieille lutte des classe", "cette idéologie qui divise", tance-t-il.
15h29: "Sans travail, il n'y a aucune chance pour les Français de préparer l'avenir", lance-t-il.
15h27: "Vous avez appauvri les travailleurs en prétendant les protéger". "Nous sommes les héritiers de ceux qui ont lutté pour les droits. Nous sommes le peuple de France et nous assumons l'histoire de France dans sa globalité", dit-il. Sauf les 35 heures a priori, et la retraite à 60 ans aussi, qui ruine la France, selon lui.
15h26: "Je n'ai pas entendu dans ces cortèges la voix de Léon Blum, de Zola, je n'ai entendu que des slogans politiques". "Je veux le dire à tous ceux qui nous contestent le droit de se rassembler aujourd'hui, nous nous considérons comme les héritiers de ceux qui ont réclamé le droit de grève"
15h25: "Le drapeau rouge, c'est le drapeau d'un parti. Le drapeau tricolore, c'est le drapeau de la France. Nous choisirons toujours ceux qui préfèrent la France à leur parti", dit Nicolas Sarkozy. "Nous assumons toutes les sensibilités de la France. Il n'y a pas un peuple de droite et un peuple de gauche"
15h24: Il cite Lamartine, qui parle du drapeau tricolore "qui a fait le tour du monde", et le drapeau rouge, "qui a baigné dans le sang".
15h24: "Regardez les cortèges. Ils ont choisi de défiler avec des drapeaux rouge. On a choisi de se rassembler sous le drapeau tricolore"
15h23: Il fait référence à De Gaulle. "La masse immense que je vois là, prouve aux insulteurs que rien n'est perdu pour la France", cite Nicolas Sarkozy.
15h22: "Vous êtes 200.000, vous êtes le peuple de France", lance Sarkozy
15h20: Nicolas Sarkozy fend la foule en direction de la tribune
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