vendredi 1 juin 2012

Les petites phrases du 1° juin 2012

LÉGISLATIVES- Jean-François Copé, sur France 2Le patron de l'UMP a réitéré son appel à la mobilisation de son parti avant les législatives. "Pour moi, le plus important, c'est que nous soyons mobilisés", a-t-il souligné. Selon lui, c'est à l'automne que "le moment viendra" pour désigner le responsable de la formation politique."Je passe beaucoup de temps à apaiser, à réconcilier, à dialoguer, à rabibocher, à discuter avec les uns et les autres comme je l'ai fait d'ailleurs avec Alain Juppé pas plus tard qu'hier", a poursuivi la maire de Meaux. "Faisons en sorte d'avoir le plus de députés UMP possible", a-t-il dit, pour empêcher que "s'inscrive dans notre droit le retour programmé de la retraite à 60 ans pour une partie de la population, alors qu'on ne peut pas le payer, le refus de la règle d'or budgétaire ou le droit de vote pour les étrangers", a-t-il conclu.
INDEMNITÉ DE DÉPART – Rachida Dati, Europe 1La maire du VIIe arrondissement de Paris a estimé que Pierre-Henri Gourgeon, l'ancien directeur général du groupe Air France, "était parti dans des conditions difficiles, avec le pactole". "Je serai surprise qu'il le rende", a ajouté l'eurodéputée. "A la limite, cela serait moral que Monsieur Gourgeon ne perçoive pas cette indemnité et n'aille pas travailler pour la concurrence pour préserver les intérêts de la France et de la compagnie", a conclu Rachida Dati. Interrogée sur l'avenir de l'ancien président, son ancienne protégée a estimé "qu'il serait toujours connecté avec la politique". "Nicolas Sarkozy va bien", a-t-elle assuré.
GROS SALAIRES – Louis Aliot, sur i-TéléInterrogé sur la lutte engagée par le gouvernement contre els gros salaires, le porte-parole du FN s'en est félicité. "Ils vont sur le bon chemin, il y avait des dérives emblématique", se réjouit-il, bien qu'il voit dans les premières mesures du gouvernement Ayrault "des opérations de communication" en pleine campagne électorale. "On était tellement habitué à du bling bling alors ils paraissent plus modestes". Il a aussi démenti tout changement de nom du front national : "Nous n'avons pas avoir honte de notre nom".
PLANS SOCIAUX - Jean-Marc Ayrault, sur BFMTV RMCIl y a actuellement "environ trente-six" entreprises "en danger" car particulièrement menacées par les plans sociaux, a indiqué le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. "Nous avons établi (...) la liste des entreprises les plus en danger. C'est environ 36 entreprises aujourd'hui, de tailles différentes, (dans) des situations différentes", a dit le chef du gouvernement, qui était interrogé sur les menaces de plans sociaux à l'heure actuelle.


Dati : "Sarkozy toujours connecté avec la... par Europe1fr

Aucun commentaire: