"Le ministère de l'Intérieur mobilise des moyens, et notamment des moyens Canadair, pour que nous puissions dans une opération conjointe maîtriser le plus rapidement cet incendie dramatique et meurtrier", a déclaré le ministre délégué en charge des Affaires européennes. "La solidarité avec l'Espagne est totale et entière car il y a une frontière commune et il est d'usage lorsqu'un pays de l'Union européenne est confronté à un drame aussi grand, qui peut présenter un danger pour les populations, de venir au secours, d'aider et apporter des moyens", a-t-il ajouté.
Lire aussi : Trois Français morts dans un incendie en Espagne
PSA - Rachida Dati, sur Europe 1
Rachida Dati a fustigé l'attitude d'Arnaud Montebourg à propos de Peugeot-Citroen. "PSA est une entreprise française qui est confrontée à une crise mondiale de l'automobile. Donc, l'attaquer, c'est la fragiliser", a estimé l'ancienne Garde des Sceaux. "Qu'un ministre de la République puisse porter des accusations aussi violentes à l'encontre de ses dirigeants et de ses actions est irresponsable. Moi, je pense à tous ses salariés dont les emplois sont encore menacés", a-t-elle regretté. Et de conclure : "Il faudrait que monsieur Montebourg devienne ministre enfin et arrête d'être avocat".
Rachida Dati a fustigé l'attitude d'Arnaud Montebourg à propos de Peugeot-Citroen. "PSA est une entreprise française qui est confrontée à une crise mondiale de l'automobile. Donc, l'attaquer, c'est la fragiliser", a estimé l'ancienne Garde des Sceaux. "Qu'un ministre de la République puisse porter des accusations aussi violentes à l'encontre de ses dirigeants et de ses actions est irresponsable. Moi, je pense à tous ses salariés dont les emplois sont encore menacés", a-t-elle regretté. Et de conclure : "Il faudrait que monsieur Montebourg devienne ministre enfin et arrête d'être avocat".
EURO - Henri Guaino, sur BFMTV
La politique de l'euro fort "a mis l'industrie à genoux", a estimé l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, en appelant l'Europe à se protéger des "distorsions de concurrence" et à ne pas ouvrir ses marchés "sans contreparties". "Il faut (par exemple) que nos normes qui s'appliquent à nos automobiles s'appliquent aussi aux autres", a-t-il fait valoir."Lorsqu'on fabrique sans tenir compte des problèmes environnementaux dans d'autres pays, l'Europe (doit réfléchir) à la manière de faire (...) une taxe carbone aux frontières". Selon le député UMP des Yvelines, "plus personne ne se rallie à l'idée qu'il faut tout ouvrir n'importe comment. Plus personne aujourd'hui ne se satisfait du mythe d'une France ou d'une Europe sans usines". "Il y a une époque, on disait la Chine sera l'atelier du monde et puis nous, nous aurons la matière grise, les bureaux d'étude. Pensez-vous! Les bureaux d'études, ils partent aussi quand la production s'en va", a conclu l'ex-conseiller spécial de Nicolas Sarkozy.
La politique de l'euro fort "a mis l'industrie à genoux", a estimé l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, en appelant l'Europe à se protéger des "distorsions de concurrence" et à ne pas ouvrir ses marchés "sans contreparties". "Il faut (par exemple) que nos normes qui s'appliquent à nos automobiles s'appliquent aussi aux autres", a-t-il fait valoir."Lorsqu'on fabrique sans tenir compte des problèmes environnementaux dans d'autres pays, l'Europe (doit réfléchir) à la manière de faire (...) une taxe carbone aux frontières". Selon le député UMP des Yvelines, "plus personne ne se rallie à l'idée qu'il faut tout ouvrir n'importe comment. Plus personne aujourd'hui ne se satisfait du mythe d'une France ou d'une Europe sans usines". "Il y a une époque, on disait la Chine sera l'atelier du monde et puis nous, nous aurons la matière grise, les bureaux d'étude. Pensez-vous! Les bureaux d'études, ils partent aussi quand la production s'en va", a conclu l'ex-conseiller spécial de Nicolas Sarkozy.
PARTI SOCIALISTE - Jean-Christophe Cambadélis, sur RFI
Le député de Paris a affirmé qu'il "envisagerait avec bonne humeur" d'être candidat au poste de Premier secrétaire du PS en octobre si Martine Aubry décidait de ne pas briguer un nouveau mandat. Quel que soit le scénario, il se prononcera en "septembre, en regardant ce que fera Martine Aubry" et en assurant qu'il ne sera pas candidat contre la maire de Lille.
Le député de Paris a affirmé qu'il "envisagerait avec bonne humeur" d'être candidat au poste de Premier secrétaire du PS en octobre si Martine Aubry décidait de ne pas briguer un nouveau mandat. Quel que soit le scénario, il se prononcera en "septembre, en regardant ce que fera Martine Aubry" et en assurant qu'il ne sera pas candidat contre la maire de Lille.
Dati : "sortir la Syrie de cette barbarie" par Europe1fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire