JOLY OU HULOT - Yannick Jadot, sur France Info :Le député européen d'Europe Ecologie - les Verts a insisté sur "les deux visions de l'écologie" portées par les deux candidats à la primaire écologiste. Selon Yannick Jadot, Eva Joly incarne "une écologie de combat" tandis que Nicolas Hulot représente "une écologie de la pédagogie". Et le député a fait son choix : "Il ne fait pas faire simplement de la pédagogie, il faut aussi savoir combattre", a-t-il déclaré.
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MELENCHON 2012 - Pierre Laurent - sur RTL :Alors qu'une conférence nationale du Parti Communiste s'ouvre vendredi, son secrétaire national a assuré que "si les conditions d'un accord politique sont réunies", les communistes "sont prêts à faire le geste de désigner Jean-Luc Mélenchon", co-président du Parti de gauche (PG) comme candidat à la présidentielle. "Moi, j'ai donné à titre personnel mon avis et il va dans ce sens-là", a ajouté Pierre Laurent. "Si on veut peser dans la vie politique française et peser suffisamment à gauche, il faut rassembler les communistes et d'autres personnes à gauche venues d'autres familles politiques", a-t-il également déclaré.
BINATIONALITE - Manuel Valls, dans Le Parisien / Aujourd'hui en France :
Le député socialiste, président de la mission d'information parlementaire sur le droit de la nationalité, se dit déclare "totalement opposé à une remise en cause de la binationalité", comme le réclame la présidente du Front national Marine Le Pen. Manuel Valls explique que c'est "une mauvaise idée, d'abord parce que cela revient à dire par exemple que les citoyens franco-américains, franco-israéliens, franco-algériens ou franco-maliens ne sont pas tout à fait français". "Ensuite, poursuit le député-maire d'Evry, parce qu'il faut penser aussi aux 2 millions de binationaux qui vivent à l'étranger". "Ils sont, ajoute-t-il, des ambassadeurs de la France sur le plan économique, culturel, touristique".
Lire aussi : Binationalité : Quand Le Pen écrit aux députés
Le député socialiste, président de la mission d'information parlementaire sur le droit de la nationalité, se dit déclare "totalement opposé à une remise en cause de la binationalité", comme le réclame la présidente du Front national Marine Le Pen. Manuel Valls explique que c'est "une mauvaise idée, d'abord parce que cela revient à dire par exemple que les citoyens franco-américains, franco-israéliens, franco-algériens ou franco-maliens ne sont pas tout à fait français". "Ensuite, poursuit le député-maire d'Evry, parce qu'il faut penser aussi aux 2 millions de binationaux qui vivent à l'étranger". "Ils sont, ajoute-t-il, des ambassadeurs de la France sur le plan économique, culturel, touristique".
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RUMEURS POLITIQUES - Alain Juppé, sur Europe 1 :
En déplacement en Israël, le ministre des Affaires étrangères est revenu sur les rumeurs qui agitent la vie politique française depuis plusieurs jours. Alain Juppé a regretté le climat actuel, marqué notamment par les propos de Luc Ferry sur l’arrestation d’un ex-ministre au Maroc en flagrant délit de pédophilie. "On est en plein voyeurisme. Ça fait vendre, paraît-il", a-t-il regretté. "Je voudrais qu’on en revienne quand même de temps en temps aux vrais problèmes, aux vraies questions qui permettent d’améliorer la vie des gens, plutôt qu’à cette politique de caniveau qui vraiment ne grandit personne, ne fait rien avancer du tout", a poursuivi l’ancien Premier ministre. "Quand il y a présomption ou soupçon de délit, c’est à la justice d’intervenir", a-t-il conclu.http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-vendredi-3-juin-324699?from=bloc2012
En déplacement en Israël, le ministre des Affaires étrangères est revenu sur les rumeurs qui agitent la vie politique française depuis plusieurs jours. Alain Juppé a regretté le climat actuel, marqué notamment par les propos de Luc Ferry sur l’arrestation d’un ex-ministre au Maroc en flagrant délit de pédophilie. "On est en plein voyeurisme. Ça fait vendre, paraît-il", a-t-il regretté. "Je voudrais qu’on en revienne quand même de temps en temps aux vrais problèmes, aux vraies questions qui permettent d’améliorer la vie des gens, plutôt qu’à cette politique de caniveau qui vraiment ne grandit personne, ne fait rien avancer du tout", a poursuivi l’ancien Premier ministre. "Quand il y a présomption ou soupçon de délit, c’est à la justice d’intervenir", a-t-il conclu.http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-vendredi-3-juin-324699?from=bloc2012
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