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AFFAIRE DSK – Pierre Moscovici, sur France info. Le député du Doubs, proche de Dominique Strauss-Kahn, a qualifié de "mesquine" et d'"inélégante" l'attitude de l'UMP et du président de la République lors des derniers rebondissements sur l'affaire DSK. "Ils sont les seuls à ne pas s'être rendus compte que la justice avait fait des erreurs", a expliqué le député socialiste sur France Info. "Leur attitude a été mesquine, sans aucune classe. On pouvait attendre plus d'empathie envers un citoyen français victime d'une erreur judiciaire que le monde entier découvre en même temps".
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AFFAIRE DSK – Ségolène Royal, sur Europe 1. La candidate à la primaire socialiste a prévenu lundi qu’elle refuserait désormais de commenter l’affaire DSK et ses conséquences sur la vie politique française. "Il faut le laisser tranquille. Il a d’autres priorités compte tenu de ce qu’il vit aujourd’hui. Il doit prendre son temps. Il faut arrêter de lui mettre de la pression", a asséné la candidate à la primaire socialiste. "Le calendrier de l’élection présidentielle française n’est pas assujetti au calendrier judiciaire américain. Il faut tourner la page de cette justice spectacle."
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AFFAIRE DSK - Jean-Christophe Cambadélis, sur France Culture. Le député strauss-kahnien a assuré ne pas avoir reçu de "message" de Dominique Strauss-Kahn lui demandant de "parler pour rouvrir les dates de candidatures aux primaires", a-t-il expliqué. Dominique Strauss-Kahn "veut simplement être lavé de l'injustice qui lui a été faite", a assuré Jean-Christophe Cambadélis, soutien de Martine Aubry, qui a déclaré sa candidature à la primaire mardi.
PRIMAIRE PS - Jean-Marie Le Guen, sur Europe 1.
Le député socialiste de Paris s'est dit "évidemment" pour "repousser la date (limite) de candidature pour la primaire" suite à la libération sur parole de Dominique Strauss-Kahn. Partisan de DSK, Jean-Marie Le Guen considère que "ce serait une double peine" pour l'ancien patron du FMI, si la date ne changeait pas. "Imaginons que le Parti socialiste ne prenne pas en compte l’injustice dont a été victime Dominique Strauss-Kahn. Cela ne dérange en rien le processus en tant que tel qui se déroulera début octobre", a-t-il estimé.
Le député socialiste de Paris s'est dit "évidemment" pour "repousser la date (limite) de candidature pour la primaire" suite à la libération sur parole de Dominique Strauss-Kahn. Partisan de DSK, Jean-Marie Le Guen considère que "ce serait une double peine" pour l'ancien patron du FMI, si la date ne changeait pas. "Imaginons que le Parti socialiste ne prenne pas en compte l’injustice dont a été victime Dominique Strauss-Kahn. Cela ne dérange en rien le processus en tant que tel qui se déroulera début octobre", a-t-il estimé.
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par Europe1fr
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