mardi 9 juillet 2013

ZAPPING ACTU DU 08/07/2013


ZAPPING ACTU DU 08/07/2013 par lezapping

Fillon hué devant le siège de l'UMP


Fillon hué devant le siège de l'UMP par LeHuffPost

Manuel Valls à Christian Estrosi : "Tenez un discours républicain


Manuel Valls à Christian Estrosi : "Tenez un... par LCP

Journalistes français disparus en Syrie: trente médias écrivent à Hollande

Non cumul des mandats: pour ou contre - 09/07

Bourdin direct: Christian Jacob - 09/07

Cayrol: "le retour de Sarkozy est gonflé et bien joué" - 9/07

Éric Ciotti : «La démarche de François Fillon est de contruire un projet fort

Jean-Marie Le Guen: "Nicolas Sarkozy se présente en victime alors qu'il est

L'expresso du 9 juillet

"Je ne suis pas le porte-parole de Nicolas Sarkozy", a déclaré le président de l'UMP Jean-François Copé sur Europe 1.

L'analyse

Pour Henri Guaino, Nicolas Sarkozy n'est "pas victime d'un complot", mais "il est clair qu'il est la cible de ce gouvernement des juges". Le député des Yvelines, qui a comparé sur RTL la situation de l'ancien chef de l'Etat à "l'affaire Dreyfus", a insisté sur la "subjectivité" de la décision du Conseil constitutionnel d'invalider les comptes de campagne du candidat de l'UMP : "Si Nicolas Sarkozy avait été élu, il n'aurait pas dépassé le plafond. Il y a donc un droit pour les vainqueurs et un droit pour les vaincus."

Le chiffre : 10%

Réagissant à la double hausse d'électricité, de 10% sur un an, qui va impacter les factures des particuliers, la ministre des Personnes âges Michèle Delaunay a reconnu, sur France 2, que "ce n'est une bonne nouvelle pour personne". Et de justifier : "Nous savons que l'énergie ne peut qu'augmenter. Dans le plan d'investissements que Jean-Marc Ayrault va annoncer mardi, il y a d'ailleurs des mesures d'économies pour de nouvelles énergies moins chères." "C'est tout à fait anormal que l'électricité augmente sans qu'on explique pourquoi", a pour sa part réagi Ségolène Royal sur i-Télé.

L'attaque

Contre la loi sur le non-cumul des mandats, voté en première lecture à l'Assemblée nationale mardi après-midi, Christian Jacob est également opposé à introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives. Invité sur BFMTV, il explique : "Sur ce sujet, l'alliance du PS et du FN est connue." Selon lui, la proportionnelle permettrait l'entrée de députés frontistes à l'Assemblée au détriment de l'UMP. Et de parler de "liens étroits entre FN et PS".

Le commentaire

Sur i-Télé, Ségolène Royal a réitéré ses propos au sujet des hausses d'impôts : "Aujourd'hui, toute l'énergie doit être remis sur la relance de l'activité économique et ne pas casser le moral des particuliers et des entreprises en leur annonçant des nouveaux impôts."
 

lundi 8 juillet 2013

PoliticoZap: Hollande donne de sa personne - 08/07

Nicolas Sarkozy acclamé à la sortie du siège de l'UMP - 08/07

Sarkozy, Morsi et Hollande: une semaine de présidents

Marseille: Carlotti candidate aux primaires socialistes

François Hollande rend hommage à Alain Mimoun, "sportif exceptionnel"

Copé "très touché par la réponse des Français à la souscription" - 08/07

Arrivée de Nicolas Sarkozy au siège de l'UMP pour la 1ère fois depuis 2007

H.Guaino très énervé contre les "âneries" de M.Sapin


UMP : le retour du vrai chef

Thierry Lepaon : Nous avons le sentiment d'être entendus, pas écoutés

Le Bloc-notes éco : Nos impôts et nos économies

Bourdin direct: Jacques Attali - 08/07

Jean-Marie Le Guen : «L'aile gauche du PS a raison sur les retraites»

L'expresso du juillet

J'ai vu qu'il y avait une collecte nationale (en faveur de l'UMP, Ndlr). Je me suis demandé s'ils allaient recruter Adriana Karembeu", a déclaré le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, sur RTL.

La mise au point

Une nouvelle fois interrogé sur France 2 sur une possible alliance avec le Front national, Nicolas Dupont-Aignan a rappelé qu'il est "un gaulliste social" qui "veut une Europe différente sans pour autant en sortir". Dans le programme de Debout la République, "il y a beaucoup de thèmes communs avec la gauche de Chevènement ou de Montebourg", a-t-il encore insisté.

La polémique

Christian Estrosi a choqué une partie des élus de gauche en déclarant, dimanche matin, "vouloir mater" les Roms qui s'installent illégalement dans sa ville de Nice. Réaction de Michel Sapin, le ministre du Travail invité sur i-Télé : "On peut exprimer des inquiétudes sans utiliser des mots de violence. On ne combat pas l'illégalité par l'illégalité (…) Si chacun respecte la loi, il n'y aura pas de problème." "On ne gagnera pas à rejeter des concitoyens européens", a commenté pour sa part le député socialiste Jérôme Guedj sur Europe 1.

L'encyclique

La Croix a publié en intégralité, dans son édition de lundi, la première encyclique du pape François, "Lumen Fidei" ("Lumière de la Foi"). Entre autres, on y trouve un paragraphe qui fait écho au récent débat français sur le mariage pour tous : "Je pense à l'union stable de l'homme et de la femme dans le mariage. Celle-ci naît de leur amour (…), de la reconnaissance et de l'acceptation de ce bien qu'est la différence sexuelle par laquelle les conjoints peuvent s'unir en une seule chair et sont capables d'engendrer une nouvelle vie."

Le chiffre

La souscription nationale pour éviter la ruine à l'UMP a d'ores et déjà dépassé la barre des deux millions. Sur Europe 1, Catherine Vautrin, la trésorière du parti, indique : "Sur les dons effectués uniquement Internet, nous étions, dimanche soir à 19 heures, à plus de 2,1 millions d’euros." Et d'ajouter : "Et ce matin, nous allons découvrir les donc envoyés par courriers."

Le débat

Michel Sapin, sur i-Télé, a répondu à Thierry Lepaon, sur RTL. Sujet de ce débat par médias interposés : la réforme des retraites. Pour le secrétaire général de la CGT, "le gouvernement semble obsédé par les dépenses. Il faut aussi regarder les recettes." Et de promettre un "automne chaud". "La météorologie sociale, personne n'est capable de l'ordonner. Ni le gouvernement, ni les responsables syndicaux", a répondu le ministre du Travail.

L'explication

Jacques Attali a analysé sur BFMTV les enjeux de l'accord de libre-échange que l'Union européenne et les Etats-Unis commencent à négocier cette semaine : "L'Europe est très excédentaire à l'égard des Etats-Unis, donc les Américains ont à y gagner. Mais la France est au contraire déficitaire par rapport aux Etats-Unis. Sur le papier, cet accord pourrait nous bénéficier." Reste que "la négociation Europe-Canada dure depuis sept ans et n'est toujours pas terminée", a rappelé l'économiste avant de conclure : "Cet accord entre l'Union et les Etats-Unis est donc loin d'être conclu."

La proposition

A l'instar de l'exception culturelle dont bénéficient les artistes français, Nicolas Dupont-Aignan souhaiterait que ce protectionnisme soit étendu aux industries et à l'agriculture. "Pourquoi les agriculteurs, les ouvriers n'ont pas le droit à une exception comme celle dont bénéficie notre cinéma?", a-t-il demandé sur France 2.
 

dimanche 7 juillet 2013

Hollande: 23% des Français satisfaits

En dessous de tout. Moins d'un Français sur quatre (23%) se dit satisfait de l'action du président François Hollande, soit une baisse de trois points en un mois, selon le baromètre Clai-Metronews-LCI réalisé par OpinionWay, diffusé aujourd'hui. Il s'agit du plus bas niveau de satisfaction enregistré depuis mai 2012.

D'après cette étude réalisée du 2 au 5 juillet, 2% des Français se disent "très satisfaits" de l'action du chef de l'Etat, et 21% "assez satisfaits", tandis que 38% sont "assez mécontents" et 36% "mécontents" (soit 74% d'avis négatifs contre 73% en juin). 3% ne se prononcent pas. Même parmi les sympathisants de gauche, les avis négatifs excèdent les positifs: 49% se disent mécontents, 48% satisfaits.

Concernant Jean-Marc Ayrault, le niveau de satisfaits est légèrement supérieur (26%), mais s'affiche néanmoins en baisse de deux points par rapport à juin. Il avait atteint son plus bas en mai (25%). En juillet, 2% des sondés se disent "très satisfaits", et 24% "assez satisfaits" de l'action du Premier ministre, contre 69% de mécontents (39% "assez", 30% "très"). 5% ne se prononcent pas. Pour Ayrault, le niveau de satisfaits parmi les sympathisants de gauche reste très légèrement supérieur à celui des mécontents (48% face à 47%, 5% NSP).

Les choses ne changent pas

En outre, selon le même sondage, le pourcentage de Français estimant que les choses changent en France depuis l'élection de François Hollande est en chute de neuf points, tombant à 27% au lieu de 36% en juin.

Dans le palmarès de l'action gouvernementale, Manuel Valls reste le ministre s'attirant le plus d'avis positifs pour son action à l'Intérieur. Plus d'un Français sur deux (53%) en est satisfait. Seuls quatre autres ministres dépassent la barre des 40% (Najat Vallaud-Belkacem et Laurent Fabius à 45%, Aurélie Filippetti et Jean-Yves Le Drian 40%).

Parmi les opposants à l'actuelle majorité, seules deux personnalités dépassent les 40%. Il s'agit des anciens Premiers ministres UMP
Alain Juppé et François Fillon, à respectivement 45% (inchangé) et 42% (+2 points) de satisfaits. Jean-Luc Mélenchon (32%, +2), Marine Le Pen (30%, -1) et Jean-François Copé (25%, +1) sont assez loin derrière dans ce palmarès.
Sondage réalisé du 2 au 5 juillet par téléphone auprès d'un échantillon de 1.002 personnes représentatif de la population française (méthode des quotas). Marges d'incertitude jusqu'à 2 voire 3 points.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/07/97001-20130707FILWWW00150-hollande-moins-d-1-francais-sur-4-satisfait.php

Royal n'apprécie par les propos de Batho, "choquants et scandaleux" - 07

Moscovici n'écarte pas une nouvelle hausse des impôts après 2014

L'état de l'économie française et l'absence de croissance pourraient inciter le gouvernement à augmenter les impôts après 2014, a reconnu le ministre de l'Economie Pierre Moscovici.

François Hollande avait promis qu'il n'y aurait pas d'augmentation d'impôts supplémentaire à partir de 2014, en dehors de celle déjà programmée. Mais cette promesse risque bel et bien de ne pas être respectée. Ce dimanche, dans une interview dimanche au Parisien, le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, a reconnu que la possibilité que 2014 soit la dernière année d'augmentation de la pression fiscale dépendrait "de l'état de l'économie française" et pas seulement du volontarisme du gouvernement.

"En 2014, nous limiterons la hausse des prélèvements obligatoires à 0,3% du PIB (environ 6 milliards d'euros, ndlr) et je souhaite que ce soit la dernière année où ils augmenteront", a déclaré le ministre au quotidien. "J'ai exprimé ce souhait, ce n'est pas par rapport au gouvernement ou à quiconque, c'est par rapport à l'état de l'économie française", a expliqué à Aix Pierre Moscovici. "Quand je dis que je le souhaite, c'est que toutes nos politiques dépendent d'un paramètre, sur lequel nous agissons mais que parfois nous subissons aussi: la croissance", a-t-il détaillé.

Il a rappelé que pour 2014, le projet de budget prévoyait 14 milliards d'économies dans les dépenses et entre 0,2 et 0,3% du Produit intérieur brut (entre 4 et 6 milliards) d'augmentation des prélèvements obligatoires. Pour M. Moscovici, après 2014, les prélèvements obligatoires pourraient "connaître une pente qui soit celle de la stabilité puis de la diminution".
 

ZAPPING ACTU HEBDO


ZAPPING ACTU HEBDO DU 06/07/2013 par lezapping

Le debrief de l'actualité : Valls et Montebourg sont des sex-symbols

Hollande dans les Pyrénées: "tout a été rétabli pour accueillir les touristes

UMP : près de 2M d'euros récoltés (Estrosi)

L'appel aux dons lancé par l'UMP suite à l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy,a déjà rapporté près de 2 millions d'euros, a estimé Christian Estrosi, député UMP des Alpes-Maritimes et maire de Nice invité dimanche du Grand Rendez-vous Europe 1/ i>Télé/ Le Parisien-Aujourd'hui en France. "Je vous le confirme, le site de l'UMP, comme le site de Nicolas Sarkozy, lesamisdenicolassarkozy.fr, explosent, c'est-à-dire qu'en quelques heures, en quelques jours, on peut estimer déjà à pas loin de 2 millions d'euros la participation d'un certain nombre de Français de tous bords", a-t-il déclaré.
La souscription va -t-elle compenser le manque à gagner de 11 millions d’Euros pour l’UMP qu'entraîne la décision du Conseil constitutionnel ? "Je ne pourrais pas vous apporter de réponse à cette heure", a répondu Christian Estrosi.
 

Les invités politiques du dimanche

Christian Estrosi (UMP) : Le Grand Rendez-vous, sur Europe 1/Le Parisien/i>Télé, à 10 heures.
Benoist Apparu (UMP) : 30 minutes pour convaincre, sur Judaïques FM, à 10 h 30.
François Lamy (PS) : Forum, sur Radio J, à 14 h 20.
Ségolène Royal (PS) et Chantal Jouanno (UDI) : BFM Politique, BFMTV/ Le Point/ RMC, à 18 heures.
Pierre Gattaz (Président du Medef) : Le Grand Jury, sur RTL/Le Figaro/LCI, à 18 h 30.
Pascal Durand (EELV) : Soir 3, sur France 3, à 22 h 15.
 

3 Français sur 5 ne souhaitent pas la candidature Sarkozy en 2017

Selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche, trois Français sur cinq ne souhaitent pas que l'ex-chef de l'Etat présente sa candidature à l'élection présidentielle de 2017.

Trois Français sur cinq ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy soit candidat à l'élection présidentielle de 2017, une proportion stable, selon un sondage Ifop pour le JDD à paraître dimanche.
A la question "vous personnellement, souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à la prochaine élection présidentielle ?", 59% des personnes  interrogées ont répondu non, et 40% oui. 1% ne s'est pas prononcé.
Selon ce sondage réalisé après que l'ex-président a annoncé qu'il allait se  "mobiliser" contre la décision du Conseil constitutionnel invalidant son compte  de la campagne de 2012, cette proportion est sans changement par rapport à un  sondage avec la même question posée par le même institut fin juin (60%/40%).
70% pensent que Sarkozy sera candidat
L'ex-président apparaît toujours comme une personnalité peu capable de  rassembler par-delà les clivages politiques, puisque 82% des sympathisants UMP  souhaitent qu'il soit une nouvelle fois candidat dans quatre ans, alors qu'ils sont aussi nombreux à gauche (81%) à souhaiter qu'il ne se représente pas.
En revanche, une proportion élevée (70%), en nette hausse, pense que l'ex-président de la République sera à nouveau candidat en 2017, 30% pensant  l'inverse. Fin juin, ils étaient respectivement 61% à pronostiquer qu'il se  présenterait, et 39% à prévoir le contraire.
80% des sympathisants de l'UMP pensent que Nicolas Sarkozy se présentera  dans quatre ans, mais aussi 66% des sympathisants de gauche.
 

Copé: "La voix de l'UMP ne s'éteindra pas"

samedi 6 juillet 2013

Sarkozy de retour? "Prématuré de le dire" (NKM)

Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate de l'UMP à la mairie de Paris, a estimé samedi sur France 3 Ile-de-France que la participation de Nicolas Sarkozy à la réunion extraordinaire du Bureau politique de ce parti lundi ne signifiait pas "un retour en politique". "Non, je ne crois pas que cette réunion signe un retour en politique", a déclaré l'ex-porte-parole de M. Sarkozy pendant la campagne présidentielle. Selon elle, "la décision éventuelle de revenir doit être une décision très personnelle, c'est une décision qu'il ne faut en aucune manière se laisser imposer par des événements extérieurs quels qu'ils soient". "Et donc, je ne suis pas sûre qu'on doive faire un lien", a-t-elle ajouté. "Nicolas Sarkozy n'a pas dit +je reviens en politique+, il a dit +cette décision inédite (du Conseil constitutionnel de confirmer le rejet du compte de campagne, NDLR) pose un problème pour ma famille politique et je suis avec elle à ce moment-là+, ça n'est pas la même chose".
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sarkozy-de-retour-Premature-de-le-dire-NKM-617613

Manuel Valls appelle à la prudence pour moins de morts sur les routes - 06

"Fête de la Violette" des sarkozystes de l'UMP en Sologne

Copé: "l'heure est au rassemblement" - 06/07

UMP: les dons flirtent avec le million d'euros

Suite au rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, ce qui représente un manque à gagner de 11 millions d’Euros pour l’UMP, Jean-François Copé a lancé une "grande souscription nationale" auprès des militants de son parti. "Samedi, à 8h, on avait dépassé les 900.000 euros", a déclaré à l'AFP une source de l'entourage du président de l’UMP. Ce montant correspondant à ce qui a déjà été réglé par internet via le site de l'UMP, mais il exclut les dons par courrier que le parti devrait commencer à récolter dans les prochains jours, a-t-on souligné de même source.
Dans Le Figaro, l'UMP explique qu'"il y a énormément de petits dons, parce que, nous expliquent nos sympathisants, ils ne peuvent pas donner davantage. Mais il y a également quelques contributions conséquentes. Moyennant quoi, le montant des dons moyens s'établit à 87 euros".
 

Victime d'une tentative de meurtre, le consul de France à Benghazi témoigne

vendredi 5 juillet 2013

Oups, François Hollande confond l'Egypte et la Tunisie

L'équation impossible de Delphine Batho

Le trésorier de la campagne de Sarkozy dénonce "deux traitements" - 05/07

Hollande: "le Conseil constitutionnel doit être respecté" - 05/07

Comptes de campagne: vers un retour de Sarkozy ?

La semaine de Christophe Barbier / 5 juillet 2013

Dans les fédérations, les militants UMP mettent la main au portefeuille - 05

"C'est un compliment d'être une emmerdeuse"

Le président français François Hollande dit sa "confiance" en la Tunisie nouvelle

Comment l'Etat va quand même indirectement rembourser l'UMP

En demandant à ses partisans de mettre la main à la poche pour éviter la banqueroute, l'UMP va priver l'Etat de recettes fiscales. En effet, les dons aux partis politiques ouvrent droit à une réduction d'impôt. Bercy pourrait ainsi voir plusieurs millions lui échapper.

L'UMP est à la recherche de 11 millions d'euros, depuis que le Conseil constitutionnel a décidé de rejeter les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy. Pour éviter la banqueroute, le parti dirigé par Jean-François Copé a donc lancé une grande souscription. Quel que soit la somme que l'UMP parviendra à collecter, l'Etat en paiera une bonne partie quand même.
En effet, les dons aux partis politiques sont en partie déductibles de l'impôt sur le revenu. En clair, si une personne décide de verser 100 euros à l'UMP, elle pourra bénéficier d'une réduction d'impôt de 66,66 euros, à condition qu'elle soit imposable. Ce qui signifie que si l'UMP parvient à rassembler 11 millions d'euros, l'Etat pourrait perdre jusqu'à 7,3 millions d'euros de recettes fiscales. A noter toutefois que les (très) généreux donateurs ne pourront déduire au maximum "que" 9900 euros car les dons aux partis politiques ouvrant droits à un tel avantage sont plafonnés par foyer fiscal à 15.000 euros.
 

2017: Sarkozy plébiscité (sondage CSA)

Soixante-sept pour cent des sympathisants de l'UMP souhaitent que Nicolas Sarkozy soit le candidat de ce parti à l'élection présidentielle de 2017, très loin devant François Fillon, mentionné par 13% des personnes interrogées, selon un sondage CSA pour le site internet Atlantico publié aujourd'hui.
Alain Juppé recueille les faveurs de 8% des personnes interrogées. Viennent ensuite Jean-François Copé (3%), Nathalie Kosciusko-Morizet et Bruno Le Maire (2% chacun). Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand et Valérie Pécresse recueillent chacun 1% d'avis favorables. 4% ont répondu: "aucune de ces personnalités".

 Si l'on prend en compte l'ensemble des sympathisants de droite et d'extrême droite, et donc ceux du Front national, Nicolas Sarkozy obtient 46%, suivi de François Fillon avec 13% et Alain Juppé (8%). Parmi les autres candidats possibles, dont Jean-François Copé, aucun n'obtient plus de 3%. 20% ont répondu: "aucune de ces personnalités".

Sondage réalisé en ligne du 26 juin au 4 juillet, en cumulant deux enquêtes auprès d'échantillons nationaux représentatifs et constitués selon la méthode des quotas. Echantillon total de 2.010 personnes âgées de 18 ans et plus dont ont été extraits 695 sympathisants de droite et d'extrême droite.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/05/97001-20130705FILWWW00707-2017-sarkozy-plebiscite-sondage-csa.php

"La gauche veut-elle tuer Nicolas Sarkozy ?"

PoliticoZap: un clip vidéo étonnant - 04/07

Avocat de Nicolas Sarkozy: "Il pourrait s'exprimer en des termes politiques

L'expresso du 5 juillet

Je n'aurais pas dû être virée." C’est ce qu’a déclaré Delphine Batho au micro de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, deux jours après son éviction du gouvernement.

La phrase

Selon Brice Hortefeux, Nicolas Sarkozy est "la cible de tous les pouvoirs et de tous les acharnements", de la part des juges et du pouvoir en place. "Sa personnalité gêne, son expérience inquiète", a estimé le député européen, en réaction au rejet des comptes de campagne de l’ancien président.

La prédiction

"Les conséquences sont terribles. La démocratie ne peut pas continuer à fonctionner ainsi. J’observe un acharnement sans précédent contre un président sortant qui pourrait jouer un rôle dans l’avenir. Tous les Français peuvent l’observer", a prévenu l’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, sur Europe1, toujours au sujet du rejet par les Sages des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.

L’attaque

"Une petite provocation pour faire parler de lui." C’est ainsi que le président du conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a qualifié sur France Info l'attaque du président d'honneur du Front national Jean-Marie Le Pen contre les Roms jeudi soir.

Le chiffre : 54%

Quelques 54% des Français désapprouvent la décision de François Hollande d’évincer Delphine Batho du gouvernement, selon un sondage BVA/iTélé/LeParisien
 

jeudi 4 juillet 2013

Compte invalidé: Guaino "remet en cause le rôle du Conseil constitutionnel

Nicolas Sarkozy démissionne du Conseil constitutionnel

L'ex-président de la République Nicolas Sarkozy annonce qu'il démissionne "immédiatement" du Conseil constitutionnel.

Cette annonce intervient deux heures après
la décision des Sages de rejeter le recours déposé par l'ex-président contre la décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Cette commission avait refusé d'approuver le compte de campagne de Sarkozy en décembre dernier.

"Après la décision du Conseil constitutionnel et devant la gravité de la situation et les conséquences qui en résultent pour l'opposition et pour la démocratie, Nicolas Sarkozy démissionne immédiatement du Conseil constitutionnel afin de retrouver sa liberté de parole", indique le communiqué.

Dès la nouvelle publiée, le président de l'UMP Jean-François Copé est allé s'entretenir avec l'ancien président de la République, dans ses bureaux parisiens de la rue de Miromesnil. Copé a annoncé qu'il réunirait "la semaine prochaine" un bureau politique statutaire de l'UMP "afin d'examiner toutes les conséquences de cette décision". Mais, dès la fin de journée jeudi, Copé devait faire une déclaration depuis le siège du parti.

De son côté, François Fillon a appelé sa "famille politique" à assumer les conséquences financières de la décision des neuf Sages.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/04/97001-20130704FILWWW00494-nicolas-sarkozy-demissionne-du-conseil-constitutionnel.php

Batho : Duflot veut "un second souffle" pour l'écologie

La ministre écologiste Cécile Duflot réclame, après l'éviction de Delphine Batho du gouvernement, "un véritable second souffle" en matière d'écologie et reconnaît s'être posée la question du maintien au gouvernement des ministres EELV, dans un entretien jeudi au Monde.
"Jusqu'alors, la question de notre présence au gouvernement ne se posait pas, mais je suis obligée de reconnaître que je me la suis posée" après le limogeage express de l'ex-ministre PS de l'Ecologie mardi, ajoute-t-elle, soulignant qu'il "y a un glissement qui ne laisse pas de place à l'écologie et qu'il faut arrêter".
 

Retraites: Mailly (FO) a rencontré le Premier ministre

Leroux sur Batho: "la responsabilité, c'est d'assumer ses erreurs" - 04/07

Malek Boutih soutient Batho après ses accusations contre le gouvernement

Batho dénonce le "tournant de la rigueur"

Delphine Batho, évincée mardi du gouvernement après des critiques publiques sur le budget de son ministère de l'Écologie, a dénoncé aujourd'hui "le tournant de la rigueur" en France.

"Ce que je n'accepte pas, ce n'est pas de faire des compromis, c'est le tournant de la rigueur qui ne dit pas son nom et qui prépare la marche au pouvoir de l'extrême droite dans notre pays", a déclaré l'ex-ministre PS lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale.

"Ce dont il est question, ce n'est pas d'un poste ministériel, c'est du droit de ma génération à avoir des espoirs et à agir. Le temps est venu de reprendre la main du changement, j'appelle la gauche à un sursaut en faveur de l'écologie de l'espoir et des générations futures", a-t-elle ajouté.

L'ex-ministre a également accusé jeudi le gouvernement d'avoir cédé à "certaines forces économiques", liées notamment au gaz de schiste et au nucléaire, qui "voulaient (s)a tête".

"La collégialité au sein du gouvernement, c'est fini"

Mais pour Delphine Batho, en critiquant le budget, elle n'a
"en aucun cas manqué à la solidarité gouvernementale". A la question de savoir si elle imaginait de telles conséquences en s'exprimant comme elle l'avait fait mardi matin sur RTL, Mme Batho a répondu: "Je n'imaginais à aucun moment une réaction qui m'a paru disproportionnée, j'imaginais provoquer une discussion."

Elle a également mis en cause Jean-Marc Ayrault qui, a-t-elle affirmé, arbitre désormais les budgets "sans discussion directe avec les ministres concernés". "Mon éviction est aussi un message à mes ex-collègues pour leur dire que c'est fini, la collégialité au sein du gouvernement", a-t-elle lancé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/04/97001-20130704FILWWW00423-batho-denoncele-tournant-de-la-rigueur.php

LIVE - Suivez à partir de 15 heures sa conférence de presse en direct sur «20 Minutes»...

Le temps de digérer. «Démissionnée» mardi soir du gouvernement, Delphine Batho a promis mercredi matin de « tout» dire sur les «circonstances de ce limogeage et ses conséquences».
La socialiste devrait notamment annoncer qu'elle retrouvera d'ici un mois, comme la loi le permet, son siège à l'Assemblée nationale. Pour le reste, rendez-vous à 15 heures, depuis le bureau de l'Assemblée nationale, où elle tiendra sa conférence de presse.

POUR SUIVRE LA CONFERENCE DE PRESSE CLIQUEZ SUR CE LIEN A PARTIRDE15H00 .....................  http://www.20minutes.fr/politique/1184153-20130704-direct-delphine-batho-va-tout-dire-limogeage

Frédéric Mitterrand : Hollande ne s'intéresse pas à la culture

Bourdin direct: Manuel Valls - 04/07

La fin du cumul des mandats décrypté

L'expresso du 4 juillet

Laurent Fabius a livré mercredi soir la seule réaction officielle des autorités françaises après l'éviction de Mohamed Morsi en Égypte. Cinq lignes, publiées sur Facebook, dans lesquels le ministre dit "prendre acte" de la situation. "C'est un peu court", a répondu Jean-François Copé, invité de i-Télé jeudi matin. Les événements au Caire ont inspiré au président de l'UMP un commentaire : "Le fait de gagner démocratiquement des élections ne suffit pas à incarner la démocratie".
 
On ne peut pas contester les choix budgétaires et les arbitrages du Premier ministre". Manuel Valls, invité à réagir à l'éviction de Delphine Batho sur BFMTV, a démontré sa solidarité gouvernementale, même si l'erreur de l'ex-ministre "n'enlève en rien l'affection et l'amitié qu'(il a) pour Delphine Batho". 

Le chiffre : 50.000

C'est le montant des subventions qu'aurait alloué en 2011 le député de Seine-Maritime Laurent Fabius à un village… de l'Ariège, révèle jeudi Francetvinfo. Cette somme provient de sa réserve parlementaire, un fonds censé servir à aider des communes dans leur circonscription. Mais le village de Carla-Bayle est à 800 km du fief de Fabius. Pourquoi une telle générosité? L'actuel ministre des Affaires étrangères y possède une résidence secondaire. La salle des fêtes de la commune et la façade réhabilitée sur la place de la mairie, objets des aides, lui sont reconnaissantes.

La mise au point

RTL revenait jeudi matin sur les billets gratuits sur Air France, après la polémique concernant Carla Bruni et son aller-retour Paris-New York offert par la compagnie. Le ministre des Transports et sa famille disposeraient de tels privilèges, assure la radio.
 

L'aveu

L'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy serait prompt, en privé, à critiquer son successeur François Hollande. Et pas seulement sur le plan politique croit savoir L'Express qui rapporte, jeudi, que Nicolas Sarkozy aurait ainsi confié à un visiteur : "Tu l'as vu, ce petit gros ridicule qui se teint les cheveux, a-t-il fait remarquer à un visiteur. T'en connais, toi, des hommes qui se teignent les cheveux?".
 

L'épouse de Jérôme Cahuzac en garde à vue

Patricia Cahuzac  a été placée en garde à vue à la Division nationale  d'investigations financières et fiscales (Dniff) à Nanterre, selon des sources proches de l'enquête confirmant une information du Point. L'ex compagne de Jérôme Cahuzac, actuellement en instance de divorce avec lui est en garde à vue depuis mercredi dans l'enquête ouverte notamment pour blanchiment de fraude fiscale  contre son mari. Elle s'inscrit dans le cadre d'une commission  rogatoire des deux juges instruisant ce dossier, Renaud van Ruymbeke et Roger Le Loire. Pour les enquêteurs, il s'agit notamment de comprendre ce que Mme Cahuzac savait du compte de son époux.


L'inspecteur des impôts, Rémy Garnier, à la retraite, avait raconté à la commission d'enquête parlementaire sur l'Affaire Cahuzac avoir rencontré le 3 octobre 2012 deux détectives privés engagés par Mme Cahuzac, probablement dans sa procédure de divorce. Selon M. Garnier, ils étaient "au courant" de l'existence d'un compte caché. Ils "avaient des documents sous les yeux avec une liste de laboratoires qui auraient alimenté le fameux compte", a-t-il poursuivi.
 
Jérôme Cahuzac a quitté le gouvernement le 19 mars, dans la foulée de  l'ouverture par le parquet de Paris d'une information judiciaire pour  "blanchiment de fraude fiscale", relative à son compte en Suisse.
 

mercredi 3 juillet 2013

Delphine Batho n'a pas entièrement tort

Batho "l'a ouvert bien tard", selon Voynet


Batho "l'a ouvert bien tard", selon Voynet par francetvinfo

Delphine Batho quitte son ministère en métro - 03/07


Delphine Batho quitte son ministère en métro... par BFMTV

Delphine Batho quitte le gouvernement

Le limogeage de Delphine Batho calmera-t-il le trublion Arnaud Montebourg

Municipales à Paris: Hidalgo devant NKM d'une tête - 03/07

Borloo à Ayrault: "croissance, confiance et apaisement", les promesses se

Delphine Batho limogée : cher payé ?

Bourdin direct: François Fillon - 03/07

Delphine Batho limogée, la fin des couacs au gouvernement? - 03/07

L'expresso du 3 juin

Le ministre délégué au Développement, Pascal Canfin (EELV), a menacé mercredi d'un départ des ministres verts du gouvernement, au lendemain du limogeage de Delphine Batho, si des "actes" n'étaient pas rapidement posés pour faire "la transition écologique". "Nous considérons qu'il faut maintenant davantage d'actes posés par ce gouvernement pour faire que la transition écologique soit réellement une priorité de la France et du gouvernement. Il y a devant nous des rendez-vous qui sont déterminants et si ces rendez-vous étaient ratés, à ce moment-là (...) bien évidemment nous en tirerons toutes les conséquences", a expliqué le ministre écologiste sur France Info.

Le désaccord

Le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a estimé mercredi que le président François Hollande "aux abois" avait montré "un visage autoritaire, machiste et violent" en limogeant Dephine Batho et dit espérer que cette décision accélérera "l'indispensable recomposition politique (...) dont le peuple a besoin". "François Hollande avait déjà divisé la gauche politique, puis les syndicats. Il divise à présent son gouvernement. Et du même coup son parti, comme il va le voir bientôt. Il s'en mordra les doigts", écrit Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué. Et d'ajouter : "Il croyait faire un exemple sans frais. Mais Madame Batho n'est pas la faible femme qu'il croit."

L'attaque

Daniel Cohn-Bendit a fait sur Europe 1 le parallèle entre l'attitude de Delphine Batho et celle d'Arnaud Montebourg, ministre frondeur mais pas inquiété. "Arnaud Montebourg, il a un petit pouvoir (…) Macho, macho, on ne le licencie pas! ", a estimé le député européen. "Jean-Marc Ayrault a l'air de supporter ou de devoir supporter Arnaud Montebourg".

Le regret

Il vient d'une ancienne ministre de l'Ecologie, ce mercredi matin, sur Europe 1 : "Je n'ai pas trouvé que l'action de Delphine Batho comme ministre de l'Ecologie pendant un an ait été formidable. A vrai dire, j'ai trouvé qu'il ne se passait rien", a glissé Nathalie Kosciusko-Morizet.

Coulisses

Juste après sa sortie de Matignon, Delphine Batho a reçu un appel téléphonique de François Hollande, raconte Libération. En résumé, il lui a dit "dommage", rapporte le quotidien. "Dommage", lui a-t-elle également répondu.

L'annonce

Les militants d'Europe Ecologie - Les Verts se sont prononcés mardi soir pour la constitution d'une liste municipale autonome pour les prochaines municipales à Nantes en 2014, rompant avec 15 ans d'union entre les socialistes, à la tête de la ville avec Jean-Marc Ayrault depuis 1989, et les écologistes. Entre la bataille sur l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes et le départ de Delphine Batho, ce n'est peut-être pas qu'un hasard.

L'anecdote

Arnaud Montebourg était invité d'un "chat vidéo" lorsqu'il a appris l'éviction de Delphine Batho du gouvernement. Une conseillère lui a appris la nouvelle en l'écrivant sur… un tableau, raconte Le Lab.
 

Batho "dira tout" demain

mardi 2 juillet 2013

Pascal Durand, secrétaire national d'Europe Ecologie - Les Verts

Marine Le Pen réagit à la levée de son immunité parlementaire

Sarkozy favori des sympathisants UMP

Nicolas Sarkozy reste le favori des sympathisants UMP pour la présidentielle de 2017, loin devant son concurrent direct François Fillon, selon un sondage Ifop pour Valeurs actuelles diffusé aujourd'hui. L'ancien président est en effet préféré par 58% des sympathisants UMP, plus de 40 points devant son ancien Premier ministre crédité de 16%.

Le maire de Bordeaux Alain Juppé se classe en troisième position à 8%, devant l'ex-ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet (5%). La domination de Nicolas Sarkozy est d'autant plus nette qu'il rassemble sur son nom près de six sympathisants sur dix, alors que 10 personnalités sont proposées aux interviewés, souligne l'Ifop.

En son absence, aucune figure de la droite n'est capable d'occuper le même espace. Dans cette configuration,
François Fillon arriverait en tête, mais avec 34% seulement, suivi d'Alain Juppé (15%) et de Jean-François Copé (10%).

Ce sondage a été effectué du 19 au 28 juin auprès d'un échantillon de 403 sympathisants UMP, extrait du cumul de deux échantillons correspondant à un total de 2278 personnes.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/02/97001-20130702FILWWW00463-sarkozy-favori-des-sympathisants-ump.php

Philippe Martin nouveau ministre de l’Écologie

Le président de la République a nommé mardi "M. Philippe Martin, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l'Energie", a annoncé l'Elysée dans un communiqué. Philippe Martin, qui aura 60 ans en novembre, est député PS du Gers, membre de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l'Assemblée. Il succède dans la foulée à Delphine Batho, démise de ces fonctions mardi par le président de la République.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Philippe-Martin-nouveau-ministre-de-l-Ecologie-616943

Hollande met fin aux fonctions de Batho

François Hollande a mis fin mardi aux fonctions de la ministre de l'Ecologie Delphine Batho "sur proposition du Premier ministre" et a nommé Philippe Martin pour lui succéder, a annoncé l’Élysée. "Sur proposition du Premier ministre (Jean-Marc Ayrault), le président de la République a mis fin aux fonctions de Mme Delphine Batho et a nommé M. Philippe Martin, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l'Energie", a annoncé l'Elysée dans un communiqué. Philippe Martin, qui aura 60 ans en novembre, est député PS du Gers, membre de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l'Assemblée.
Plus tôt dans la journée, Delphine Batho avait "été convoquée par le Premier ministre", avait annoncé le compte Twitter officiel de Matignon. La désormais ex-ministre de l’Écologie devait sans doute s'expliquer sur sa sortie médiatique concernant les pertes budgétaires subies par l'Ecologie dans le budget 2014.
 

Le débat d'orientation budgétaire

Pierre Moscovici: "Il y aura une hausse des prélèvements obligatoires" - 02

Ménard :" Les gens en ont ras-le-bol de cette classe politique"

L'expresso du 2 juillet

Le budget 2014 est "mauvais". Delphine Batho n'a pas réussi à contenir sa déception mardi, sur RTL, en commentant les coupes budgétaires prévues pour 2014. C'est son ministère de l'Ecologie qui est le plus touché, avec une baisse de 7% de ses crédits. "Je préfère dire la vérité", a-t-elle ajouté. "C'est un affichage qui n'est pas bon" pour l'écologie, a-t-elle encore assuré, voulant faire dans les prochains jours "la démonstration que la volonté de faire de la France la nation de l'excellence environnementale, la transition énergétique, ne sont pas des variables d'ajustement."

L'attaque

Jean-Vincent Placé, sénateur EELV, est remonté contre le gouvernement. Pas seulement à cause du budget de l'Ecologie, mais plus généralement en raison de la gouvernance de l'exécutif. "C'est la façon de gouverner du gouvernement, c'est lamentable.Quand ça arrange, on fait un rapport type Gallois, décidé en 12 heures sans concertation avec les crédits d’impôt", a-t-il assuré, réservant l'essentiel de son courroux sur la procréation médicale assistée (PMA) : "Dès qu’il s’agit d’enterrer la PMA ou le droit à mourir dans la dignité, on fait un rapport du Comité consultatif national d’éthique. Ce n’est pas bien de faire enterrer ces projets par d’autres, c'est hypocrite".

La réponse

La thèse du complot dénoncée par Bernard Tapie face à la contestation de l'arbitrage de 2008 destiné à solder le litige l'opposant au Crédit Lyonnais est "absurde", a déclaré mardi Pierre Moscovici, sur BFMTV.
Frédéric Lefebvre n'est pas un député comme les autres. Il représente les Français installés aux Etats-Unis et au Canada. Résultat, il est prudent sur l'affaire de l'espionnage de la France et de l'Union européenne par les Etats-Unis. "Je comprends la volonté de la France d’avoir des éclaircissements. En même temps, je n’aime pas ce sentiment et cette réaction immédiate depuis dimanche, avec un american bashing qui se développe", a-t-il déclaré sur LCI. "Tout le monde devient anti-américain", a-t-il assuré.

Le désaccord

L'ancien ministre Benoist Apparu (UMP) a voté non aux nouveaux statuts de son parti instaurant une primaire pré-élyséenne qu'il juge "risquée". "De mon point de vue, il y a une contradiction entre l'élection par nos militants du président de l'UMP et l'organisation d'une primaire", explique le député de la Marne dans une interview mardi à Direct Matin. "Dans la génétique de notre parti, le président de la formation est par essence, candidat à la présidentielle. Nous sommes un parti bonapartiste où tout émane du chef. L'UMP est exclusivement tournée vers la présidentielle", dit-il.

L'anecdote

Qui est le président "Oulan"? Il s'agit bien de François Hollande, mais, manifestement, Barack Obama a encore du mal à prononcer son nom, alors qu'il semble à l'aise avec celui d'Angela Merkel
 

Budget : «Le gouvernement a compris la gravité de la situation»

Budget 2014: le gouvernement veut faire des économies - 02/07

lundi 1 juillet 2013

PoliticoZap: NKM prend la Bastille - 01/07

ZAPPING ACTU DU 01/07/2013


ZAPPING ACTU DU 01/07/2013 par lezapping

Vote du Budget : Jean-Vincent Placé pose trois conditions

La semaine de Christophe Barbier / 1er juillet 2013

L'expresso du 1 juillet

"Du point de vue des sondages, j'ai les pieds dans le gaz de schiste". Sur RTL, Jean-François Copé a pour la première fois avancé publiquement ce qu'il pense de sa cote de popularité.

Le désaccord

"Je reste par principe opposé aux primaires". Sur i-Télé, Henri Guaino a maintenu son désaccord vis-à-vis de la primaire à l'UMP, pourtant adoptée à une écrasante majorité dimanche par les adhérents dans les nouveaux statuts. Ce pré-scrutin n'est-il pourtant pas moderne? "Le mot moderne est un mot que l'on met à toutes les sauces quand on a plus aucune idée", a-t-il répondu. Surtout, la primaire ne convient pas à tous les candidats, estime-t-il : "Si Nicolas Sarkozy devait revenir, je ne le vois pas repasser par la case des primaires."
Alors que le Parlement doit voter mardi sur une levée de son immunité pour répondre à un procès la visant pour des propos tenus en 2010 établissant un parallèle entre les prières de rue des musulmans et l'occupation allemande, Marine Le Pen réitère ses accusations. "Je suis poursuivie pour un délit d’opinion pour avoir osé dire ce que tous les Français pensent, à savoir que les prières de rue, dont je leur indique d’ailleurs qu’elles continuent à se dérouler sur le territoire français, sont une occupation", a-t-elle lancé sur LCI. "Oui, c’est une occupation! Je le maintiens. C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation." Si son immunité est levée, Marine Le Pen pourrait être mise en examen pour incitation à la haine raciale.

L'attaque

Que pense Frédéric Mitterrand de la nouvelle ministre de la Culture, Aurélie Filippetti? Pas que du bien… "Je la connaissais un peu, j'aimais ses romans, surtout le premier. Lors de la passation de pouvoir, je l'avais aidée. Mais un an après, elle fait montre d'une approche totalement dogmatique de la Culture", assène-t-il dans un entretien au Figaro. "Les socialistes n'ont pas de vision culturelle", estime-t-il.

L'annonce

La croissance ne revient pas, les impôts ne rentrent pas et il faut encore diminuer le déficit de l'Etat. Que faire? François Hollande donne des indices dans un entretien à Ouest-France : "Augmenter les impôts? Non. Nous n’alourdirons pas la pression fiscale des Français en cours d’année. Alors, nous prendrons de nouvelles mesures d’économies en 2014-2015. Et pas simplement dans la sphère de l’État mais aussi dans celle des administrations locales et dans les dépenses sociales."
 

UMP : Jean-François Copé président pour de bon

Jean-François Copé : Je ne suis pas le porte-parole de Nicolas Sarkozy

Primaire UMP : "une trahison de l'esprit de la Vème République"

Bourdin direct: Michel Barnier - 01/07