DSK - Manuel Valls, sur Europe 1: Invité mercredi sur la radio, Manuel Valls s'est prononcé en faveur d'une candidature du patron du FMI aux primaires socialistes: "Je souhaite que Dominique Strauss-Kahn soit candidat et qu'il participe au débat des primaires et au débat sur l'avenir de la France". Lui même candidat, le député-maire d'Evry estime qu'il faut une "candidature solide, qui doit être celle de DSK"
FILLON - Xavier Bertrand sur LCI: Le ministre du Travail et de la Santé, Xavier Bertrand, a affirmé que les vacances de François Fillon en Egypte, en partie aux frais de ce pays, répondaient à des "règles de sécurité", accusant l'opposition de dresser "un rideau de fumée". "Les Français savent bien (...) qu'il y a des règles de sécurité particulières. (Le Premier ministre) ne peut pas prendre un avion comme tout le monde. Il ne peut pas justement se comporter comme tout touriste. Ce n'est tout simplement pas possible", a affirmé Xavier Bertrand sur LCI. Il a rappelé qu'à l'initiative du président Nicolas Sarkozy, les membres du gouvernement payent l'équivalent d'un billet lors de leur déplacements à titre privé.
MAM/FILLON ET LAETITIA - François Bayrou sur France Info: Le président du MoDem est revenu sur les polémiques nées des vacances de Michèle Alliot-Marie et de François Fillon. "C'est frappant que les dirigeants de la France, cinquième puissance mondiale, se fassent inviter dans des pays pauvres dans lesquels la majorité de la population vit en dessous de la pauvreté extrême. (...) Il est essentiel de changer les habitudes des dirigeants dans un pays comme le nôtre." François Bayrou précise que "les dirigeants ne devraient pas se satisfaire de vivre ainsi dans des privilèges discrets." Ces polémiques ont pour conséquence que "notre parole est moins libre, et l'image de la France auprès des opinions publiques des pays en question se trouve singulièrement écornée et affaiblie". Dans l'affaire Laëtitia, François Bayrou estime qu'il "est légitime que la puissance publique s'interroge sur les raisons qui ont fait que cette surveillance n'ait pas eu lieu. La manière dont Nicolas Sarkozy s'est exprimé, c'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase", explique-t-il. "On a surchargé les tâches des magistrats en faisant constamment voter des lois sans leur donner les moyens supplémentaires pour qu'ils puissent faire leur travail."
MAM/FILLION - Jean-Marc Ayrault sur RTL: Alors qu'on lui demandait s'il réclamait la démission du Premier ministre comme il l'avait fait pour la ministre des Affaires étrangères, le chef de file des députés PS Jean-Marc Ayrault a répondu : "Mais non, ce n'est pas la même chose". Il a rappelé que la ministre avait choisi de passer ses vacances en Tunisie au moment où, dans ce pays, il y avait "déjà une répression à balles réelles, quelqu'un qui s'était immolé par le feu". Le voyage de François Fillon, selon lui, "révèle la confusion des genres". Le Premier ministre "essayait d'avoir une image un peu meilleure que celle de M. Sarkozy mais sur ce plan-là, c'est raté", a tranché le député-maire de Nantes.
DSK - Pierre Moscovici sur RMC/BFM TV: Le député PS du Doubs a réagit aux propos d'Anne Sinclair qui a indiqué ne pas vouloir que Dominique Strauss-Khan se représente pour un second mandat à la tête du FMI. "Je pense que c’est un signe très fort qu’il va vers la candidature", s'est réjouit Pierre Moscovici. "C’est un couple très uni, l’avis d'Anne Sinclair importe énormément, compte beaucoup. Et personne ne peut penser que cette phrase n’a pas été travaillée, pensée. Je ne crois pas que ce soit une phrase de hasard (..). Moi je m’en réjouis, parce que je crois que ce pays qui est dans une crise très profonde (...) a besoin que la gauche lui offre des solutions et Dominique Strauss-Kahn est le mieux à même à gauche d'offrir des solutions à ce problème là".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Les-declarations-politiques-de-mercredi-9-fevrier-266149
Vacances MAM/Fillon: l’image de la France "écornée" (Bayrou
envoyé par FranceInfo. - L'actualité du moment en vidéo.
Le journal des élections...présidentielles...législatives...cantonales etc... Tout ce que vous voulez savoir sur une revue de la presse politique!
mercredi 9 février 2011
Anne Sinclair "ne souhaite pas" que DSK rempile au FMI
Anne Sinclair, épouse de Dominique Strauss-Kahn, affirme dans des propos à paraître jeudi dans Le Point, qu'elle "ne souhaite pas" que celui-ci fasse un second mandat à la tête du FMI, relançant les supputations sur la candidature de DSK à la présidentielle de 2012. "J'ai lu dans plusieurs journaux français que la réélection de Dominique serait assurée à la tête du FMI. Pour ce qui me concerne, je ne souhaite pas qu'il fasse un second mandat", déclare Anne Sinclair dans l'hebdomadaire.
L'actuel mandat du directeur général du FMI s'achève en novembre 2012. Cette petite phrase est lancée alors que de nombreux socialistes pressent M. Strauss-Kahn de dire s'il briguera ou non la candidature socialiste pour la présidentielle de 2012, lors des primaires du parti. Selon le calendrier adopté par le PS, le dépôt des candidatures à ces primaires s'ouvrira le 28 juin, la clôture intervenant le 13 juillet. Le candidat sera désigné à l'automne 2011 avec le 1er tour le 9 octobre, et un second éventuel une semaine après.
http://lci.tf1.fr/politique/anne-sinclair-ne-souhaite-pas-que-dsk-rempile-au-fmi-6269067.html
L'actuel mandat du directeur général du FMI s'achève en novembre 2012. Cette petite phrase est lancée alors que de nombreux socialistes pressent M. Strauss-Kahn de dire s'il briguera ou non la candidature socialiste pour la présidentielle de 2012, lors des primaires du parti. Selon le calendrier adopté par le PS, le dépôt des candidatures à ces primaires s'ouvrira le 28 juin, la clôture intervenant le 13 juillet. Le candidat sera désigné à l'automne 2011 avec le 1er tour le 9 octobre, et un second éventuel une semaine après.
http://lci.tf1.fr/politique/anne-sinclair-ne-souhaite-pas-que-dsk-rempile-au-fmi-6269067.html
En deux ans, le NPA a perdu plus d'un tiers de ses militants
C'est l'histoire d'un parti qui n'attire décidément pas les foules. Depuis son congrès de fondation en février 2009, le Nouveau parti anticapitaliste a perdu plus d'un tiers de ses militants pour atteindre quelque 6 000 adhérents, le congrès le week-end prochain à Montreuil n'ayant pas permis de mobiliser fortement. Lors des congrès locaux précédant le congrès national (11-13 février), seul 3 550 militants ont participé au vote sur les quelque 4 500 adhérents à jour de cotisation, a dit mardi à Pierre-François Grond, membre de la direction du parti, reconnaissant que le NPA a perdu au total "un gros tiers" de ses adhérents, passant de "9 300 à 6 000" personnes.
Cette participation, "en retrait par rapport à la consultation sur les régionales de l'an passé" qui avait réuni 4 500 militants, est "la principale déception", a-t-il ajouté, en relevant que "peut-être on a fait un congrès trop classique, trop lourd". Parmi les départs, selon M. Grond, il y a "ceux qui sont venus à la fondation du parti et ne voulaient pas s'engager dans une démarche plus militante", "ceux qui sont partis déçus par le mode de fonctionnement", "ceux qui sont partis par choix politique" et "ceux qui ont quitté le parti à cause du voile". "On a du mal à faire faire de la politique régulièrement à beaucoup de monde", c'est "en partie de notre faute", a reconnu le membre de la direction, en soulignant que "le congrès et le parti doivent se pencher là-dessus".
L'élection de la nouvelle direction en ligne de mire
Lors des congrès locaux, le texte d'orientation politique de la direction n'a pas obtenu de majorité (40,8%), les deux textes "identitaires" et "révolutionnaires" recueillant 31,7% et celui des "unitaires" 27,2%, selon les résultats finaux transmis mardi par le NPA dans un communiqué. "C'est une première étape dans la discussion, elle se poursuivra durant le congrès lui-même jusqu'à l'élection de la nouvelle direction."
http://lci.tf1.fr/politique/en-deux-ans-le-npa-a-perdu-plus-d-un-tiers-de-ses-militants-6268751.html
Cette participation, "en retrait par rapport à la consultation sur les régionales de l'an passé" qui avait réuni 4 500 militants, est "la principale déception", a-t-il ajouté, en relevant que "peut-être on a fait un congrès trop classique, trop lourd". Parmi les départs, selon M. Grond, il y a "ceux qui sont venus à la fondation du parti et ne voulaient pas s'engager dans une démarche plus militante", "ceux qui sont partis déçus par le mode de fonctionnement", "ceux qui sont partis par choix politique" et "ceux qui ont quitté le parti à cause du voile". "On a du mal à faire faire de la politique régulièrement à beaucoup de monde", c'est "en partie de notre faute", a reconnu le membre de la direction, en soulignant que "le congrès et le parti doivent se pencher là-dessus".
L'élection de la nouvelle direction en ligne de mire
Lors des congrès locaux, le texte d'orientation politique de la direction n'a pas obtenu de majorité (40,8%), les deux textes "identitaires" et "révolutionnaires" recueillant 31,7% et celui des "unitaires" 27,2%, selon les résultats finaux transmis mardi par le NPA dans un communiqué. "C'est une première étape dans la discussion, elle se poursuivra durant le congrès lui-même jusqu'à l'élection de la nouvelle direction."
http://lci.tf1.fr/politique/en-deux-ans-le-npa-a-perdu-plus-d-un-tiers-de-ses-militants-6268751.html
mardi 8 février 2011
Les petites phrases du jour
MAM/TUNISIE: François Baroin, sur France 2: François Baroin a réaffirmé mardi la confiance du gouvernement à Michèle Alliot-Marie, dont l'opposition réclame la démission après ses vacances en Tunisie, indiquant qu'il n'y "aucune difficulté pour qu'elle poursuive (sa) mission" comme ministre des Affaires étrangères. "Michèle Alliot-Marie s'est expliquée, elle n'était pas droit dans ses bottes (...) elle a dit honnêtement que si c'était à refaire, elle ne le referait pas, elle a redit qu'elle ne le referait pas, elle a reconnu son erreur", a déclaré le porte-parole du gouvernement sur France 2. Selon lui, "il y a une part d'exploitation politicienne" dans la polémique sur les vacances de la ministre en Tunisie et ses déplacements en jet privé, alors que la révolution du Jasmin avait déjà débuté.
MAGISTRATS: Eric Ciotti, dans Libération: Le député UMP des Alpes-Maritimes critique dans le quotidien le mouvement des magistrats: "Je suis extrêmement choqué par la réaction disproportionnée des magistrats, qui s'assimile, aux yeux de l'opinion, à du corporatisme". celui qui a été chargé par Nicolas Sarkozy d'une mission sur l'exécution des peines s'en est également pris aux propos de du juge Marc Trévidic, qui a qualifié lundi le président de la République de "multirécidiviste": "Ce sont des propos dangereusement anti-républicains. Il faut recoudre le lien entre notre justice et la société".
AFFAIRE LAETITIA, Dominique de Villepin sur France Info: Pour Dominique de Villepin, la colère des magistrats suite aux propos de Nicolas Sarkozy est "non seulement compréhensible, mais elle est prévisible (...) Quand on se voit désigné comme bouc-émissaire d’une faute avant même que les enquêtes n’aient été faites, cela suscite non seulement de l'incompréhension mais un trouble profond", a estimé l'ancien premier ministre sur France Info. "Il y a besoin d'un examen très sérieux des moyens de la justice (avec) des tables rondes, des états généraux, il faut être mieux capable d'évaluer les besoins de la justice pour y apporter des réponses." Dominique de Villepin réclame en premier lieu plus de "sérénité". "O n attend du président de la République qui est le garant de l’indépendance de la justice , le garant de la sérénité de la Justice, on attend qu’il soit le premier pourvoyeur de cette sérénité et que chacun soit dans son rôle." L'ancien premier ministre s'interroge également la répartition des rôles dans le gouvernement. "Je souhaiterai que le ministre de la justice, si nous en avons un, puisse s'exprimer et apporter des réponses."
MAM/UMP, Jean-François Copé sur Europe 1 : Le secrétaire général de l'UMP a apporté un "soutien total" du parti, ajoutant qu'il trouve "qu'elle se défend avec beaucoup de courage", en faisant référence aux critiques dont la ministre des Affaires étrangères fait l'objet concernant ses voyages en Tunisie dans un avion privé. "Moi il m'est arrivé de faire l'objet d'attaques très violentes, la seule chose que je peux dire c'est qu'elle a du courage, et qu'elle a en face d'elle un PS qui est dans le harcèlement systématique. Surtout, ne rien proposer, mais attaquer sans relâche", a-t-il renchérit. Il a également apporté son soutien au gouvernement et au chef de l'Etat. "Mon rôle en tant que patron de l'UMP est de lancer des débats. Il ne doit pas y avoir de contradiction, chacun est dans son rôle", a-t-il déclaré. "Nous soutenons sytématiquement le gouvernement. "Il y a un contraste avec le PS, qui est totalement absent en terme de proposition. Mais il est vrai que nous devons rassembler". Concernant la polémique sur les propos de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Laëtitia, Jean-François Copé a estimé que "le président de la République est dans son rôle lorsqu'il dit qu'il faut des sanctions (envers les magistrats). Heureusement qu'il y a un président de la République qui est là lorsqu'il y a un dysfonctionnement. Le président de la République est le garant de cela".
LOIS BIOÉTHIQUE - Xavier Bertrand dans Libération: Alors que la révision de la loi bioéthique débute aujourd'hui à l'Assemblée, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, estime que les demandes des enfants nés d'un don sont "tout à fait légitimes mais on ne peut pas mettre sur le même niveau la question du droit de connaître ses origines et celle de la préservation de l'anonymat." Pour Xavier Bertrand, "l’élément déterminant reste l'affirmation du principe: l'anonymat préserve les dons." Le ministre de la Santé a affirmé son opposition à l'ouverture de l'aide médicale à la procréation aux couples non hétérosexuels. "Je sais bien que les structures familiales évoluent, mais je crois qu'il ne faut pas s'éloigner d'un certain nombre de valeurs. Je reste persuadé que la présence d'un père et d'une mère est nécessaire, et correspond davantage à ma vision de la famille."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Les-declarations-politiques-de-mardi-8-fevrier-Eric-Ciotti-Francois-Baroin-265623
De Villepin réclame des "états généraux" de la Justice
envoyé par FranceInfo. - L'info video en direct.
MAGISTRATS: Eric Ciotti, dans Libération: Le député UMP des Alpes-Maritimes critique dans le quotidien le mouvement des magistrats: "Je suis extrêmement choqué par la réaction disproportionnée des magistrats, qui s'assimile, aux yeux de l'opinion, à du corporatisme". celui qui a été chargé par Nicolas Sarkozy d'une mission sur l'exécution des peines s'en est également pris aux propos de du juge Marc Trévidic, qui a qualifié lundi le président de la République de "multirécidiviste": "Ce sont des propos dangereusement anti-républicains. Il faut recoudre le lien entre notre justice et la société".
AFFAIRE LAETITIA, Dominique de Villepin sur France Info: Pour Dominique de Villepin, la colère des magistrats suite aux propos de Nicolas Sarkozy est "non seulement compréhensible, mais elle est prévisible (...) Quand on se voit désigné comme bouc-émissaire d’une faute avant même que les enquêtes n’aient été faites, cela suscite non seulement de l'incompréhension mais un trouble profond", a estimé l'ancien premier ministre sur France Info. "Il y a besoin d'un examen très sérieux des moyens de la justice (avec) des tables rondes, des états généraux, il faut être mieux capable d'évaluer les besoins de la justice pour y apporter des réponses." Dominique de Villepin réclame en premier lieu plus de "sérénité". "O n attend du président de la République qui est le garant de l’indépendance de la justice , le garant de la sérénité de la Justice, on attend qu’il soit le premier pourvoyeur de cette sérénité et que chacun soit dans son rôle." L'ancien premier ministre s'interroge également la répartition des rôles dans le gouvernement. "Je souhaiterai que le ministre de la justice, si nous en avons un, puisse s'exprimer et apporter des réponses."
MAM/UMP, Jean-François Copé sur Europe 1 : Le secrétaire général de l'UMP a apporté un "soutien total" du parti, ajoutant qu'il trouve "qu'elle se défend avec beaucoup de courage", en faisant référence aux critiques dont la ministre des Affaires étrangères fait l'objet concernant ses voyages en Tunisie dans un avion privé. "Moi il m'est arrivé de faire l'objet d'attaques très violentes, la seule chose que je peux dire c'est qu'elle a du courage, et qu'elle a en face d'elle un PS qui est dans le harcèlement systématique. Surtout, ne rien proposer, mais attaquer sans relâche", a-t-il renchérit. Il a également apporté son soutien au gouvernement et au chef de l'Etat. "Mon rôle en tant que patron de l'UMP est de lancer des débats. Il ne doit pas y avoir de contradiction, chacun est dans son rôle", a-t-il déclaré. "Nous soutenons sytématiquement le gouvernement. "Il y a un contraste avec le PS, qui est totalement absent en terme de proposition. Mais il est vrai que nous devons rassembler". Concernant la polémique sur les propos de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Laëtitia, Jean-François Copé a estimé que "le président de la République est dans son rôle lorsqu'il dit qu'il faut des sanctions (envers les magistrats). Heureusement qu'il y a un président de la République qui est là lorsqu'il y a un dysfonctionnement. Le président de la République est le garant de cela".
LOIS BIOÉTHIQUE - Xavier Bertrand dans Libération: Alors que la révision de la loi bioéthique débute aujourd'hui à l'Assemblée, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, estime que les demandes des enfants nés d'un don sont "tout à fait légitimes mais on ne peut pas mettre sur le même niveau la question du droit de connaître ses origines et celle de la préservation de l'anonymat." Pour Xavier Bertrand, "l’élément déterminant reste l'affirmation du principe: l'anonymat préserve les dons." Le ministre de la Santé a affirmé son opposition à l'ouverture de l'aide médicale à la procréation aux couples non hétérosexuels. "Je sais bien que les structures familiales évoluent, mais je crois qu'il ne faut pas s'éloigner d'un certain nombre de valeurs. Je reste persuadé que la présence d'un père et d'une mère est nécessaire, et correspond davantage à ma vision de la famille."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Les-declarations-politiques-de-mardi-8-fevrier-Eric-Ciotti-Francois-Baroin-265623
De Villepin réclame des "états généraux" de la Justice
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Les électeurs de Sarkozy quittent le navire
Question : Que fait un mouvement politique lorsque les sondages ne semblent guère favorables à son camp ou à celui qui sera selon toute vraisemblance son porte-drapeau lors de la prochaine échéance électorale ? Réponse : Il met en doute la pertinence des ces enquêtes d'opinion. Les sondages ne passionnent il est vrai personne : ni les politiques, ni les Français, et encore moins les médias. Et ils ont tous raison.
Difficile, en effet, de changer en promesse de vote ces perpétuelles cotes de popularité. N'empêche, de temps à autres, celles-ci ont de quoi interpeller. D'après un sondage LH2 pour le site Internet du Nouvel Observateur, la cote de popularité du chef de l'État a progressé de 2 points. Cela serait dû, selon LH2, à l'actualité nationale relativement calme. En revanche, selon une enquête CSA, seulement 31% des Français font aujourd'hui confiance au président de la République pour « affronter efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays ». C'est 3 points de moins qu'en janvier.
Rien qui ne permette de prédire le score de Nicolas Sarkozy lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2012, si celui-ci se présente, bien évidemment. Néanmoins, l'UMP a quelques raisons de s'inquiéter. L'électorat traditionnel du chef de l'État, à savoir les retraités et les cadres supérieurs, sont de plus en plus enclins à douter de lui. C'est donc bien la politique elle-même du président qui est responsable de cette chute, et notamment ses « échecs » en matière de sécurité.
http://www.francesoir.fr/actualite/politique/electeurs-sarkozy-quittent-navire-71364.html
Difficile, en effet, de changer en promesse de vote ces perpétuelles cotes de popularité. N'empêche, de temps à autres, celles-ci ont de quoi interpeller. D'après un sondage LH2 pour le site Internet du Nouvel Observateur, la cote de popularité du chef de l'État a progressé de 2 points. Cela serait dû, selon LH2, à l'actualité nationale relativement calme. En revanche, selon une enquête CSA, seulement 31% des Français font aujourd'hui confiance au président de la République pour « affronter efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays ». C'est 3 points de moins qu'en janvier.
Rien qui ne permette de prédire le score de Nicolas Sarkozy lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2012, si celui-ci se présente, bien évidemment. Néanmoins, l'UMP a quelques raisons de s'inquiéter. L'électorat traditionnel du chef de l'État, à savoir les retraités et les cadres supérieurs, sont de plus en plus enclins à douter de lui. C'est donc bien la politique elle-même du président qui est responsable de cette chute, et notamment ses « échecs » en matière de sécurité.
http://www.francesoir.fr/actualite/politique/electeurs-sarkozy-quittent-navire-71364.html
«On ne sait pas où habite Bayrou»
Hervé Morin se confie à la veille d'une rencontre avec Jean-Louis Borloo...
«C'est le match retour», plaisante Hervé Morin. Ce soir à 18h, le président du Nouveau Centre doit rencontrer ses homologues du parti radical de Jean-Louis Borloo. A la veille de cette deuxième rencontre censée accoucher des conditions du rassemblement du centre, Hervé Morin nous a reçus.
Quel est l'enjeu de cette réunion?
Continuer à rassembler les centristes tout en préservant l'autonomie de chaque parti: le Nouveau Centre, le parti radical, les autres mouvements... Il faut que nos idées soient entendues.
Mais, la première étape du rassemblement avec Jean Arthuis a déjà laissé émerger des différences...
Il faut les accepter. Il y a des différences aussi entre certains membres de l'UMP ou certains membres du PS. Notre idée, c'est de les surmonter. Et je suis sûr que nous y parviendrons.
Avec François Bayrou?
Sans lui. Pour l'instant, on ne sait pas où il habite...
Jean-Louis Borloo, lui, est toujours adhérent de l'UMP...
C'est pour cela que nous travaillons sur des statuts qui conviennent à tout le monde. Je ne doute pas qu'il sera un des acteurs de ce rassemblement.
Pourrait-il se présenter en 2012?
L'essentiel, c'est que le centre ait un candidat pour porter ses valeurs
http://20min.fr/a/666254
«C'est le match retour», plaisante Hervé Morin. Ce soir à 18h, le président du Nouveau Centre doit rencontrer ses homologues du parti radical de Jean-Louis Borloo. A la veille de cette deuxième rencontre censée accoucher des conditions du rassemblement du centre, Hervé Morin nous a reçus.
Quel est l'enjeu de cette réunion?
Continuer à rassembler les centristes tout en préservant l'autonomie de chaque parti: le Nouveau Centre, le parti radical, les autres mouvements... Il faut que nos idées soient entendues.
Mais, la première étape du rassemblement avec Jean Arthuis a déjà laissé émerger des différences...
Il faut les accepter. Il y a des différences aussi entre certains membres de l'UMP ou certains membres du PS. Notre idée, c'est de les surmonter. Et je suis sûr que nous y parviendrons.
Avec François Bayrou?
Sans lui. Pour l'instant, on ne sait pas où il habite...
Jean-Louis Borloo, lui, est toujours adhérent de l'UMP...
C'est pour cela que nous travaillons sur des statuts qui conviennent à tout le monde. Je ne doute pas qu'il sera un des acteurs de ce rassemblement.
Pourrait-il se présenter en 2012?
L'essentiel, c'est que le centre ait un candidat pour porter ses valeurs
http://20min.fr/a/666254
lundi 7 février 2011
Les petites phrases du jour
MAM-TUNISIE – Ségolène Royal: "Le mensonge en méthode de gouvernement"
Réagissant aux polémiques sur les vacances tunisiennes de Michèle Alliot-Marie, la candidate aux primaires socialistes a fustigé sur Europe 1 "un nouveau coup porté à la crédibilité de la diplomatie française". "Le gouvernement et le président de la République ont érigé le mensonge en méthode de gouvernement", a-t-elle dénoncé, citant les affaires Woerth et Servier.
TUNISIE – Michèle Alliot-Marie: "J'étais claquée"
La ministre des Affaires étrangères s'est expliquée sur les polémiques qui l'éclaboussent, mettant en avant sa bonne foi et son éthique. "Mais sur cette séquence-là, non. Alors est-ce que c’est parce que j’étais claquée et que me retrouvant dans un cadre amical, je me suis détendue et je n’ai vu que les relations amicales, et non pas ce que ça pouvait provoquer ? Oui, c’est possible et je le regrette profondément". MAM a aussi annoncé qu'elle ne reprendrait plus d'avion privé tant qu'elle est ministre. "J'ai fait de la politique depuis suffisamment longtemps pour savoir ce que valent les polémiques politiciennes", a-t-elle aussi estimé au Parisien.
Cette affaire, une nouvelle fois, pose la question de la définition des conflits d'intérêt", a avancé Charles de Courson, député centriste de la Marne sur RTL. "Quand on est ministre, qu'est-ce qu'on peut accepter, qu'est-ce qu'on doit refuser?" a-t-il interrogé, établissant un parallèle avec l'affaire Woerth.
MAM-LAETITIA - Valérie Pécresse: "Jamais de risque zéro"
"Elle a dit qu'elle regrettait, elle s'est expliquée. Pour moi, l'affaire est close", a estimé la ministre de l'Enseignement supérieur sur BFM-TV soutenant son homologue des Affaires étrangères. "Michèle Alliot-Marie est une femme d'une extrême honnêteté, d'une extrême rigueur", a-t-elle salué, appelant à la fixation de règles claires en matière de conflits d'intérêt.
Valérie Pécresse a aussi défendu les déclarations de Nicolas Sarkozy sur la justice, après la mort de Laëtitia à Pornic. "Jamais nous ne serons dans un système de risque zéro", a-t-elle concédé, ajoutant: "Le problème est celui de la gestion des délinquants dangereux."
CGT - Bernard Thibault: "Passons à autre chose"
Ira-t-il au bout de son mandat? "C'est parti pour", a répondu le secrétaire général de la CGT. "On a voulu manifestement installé des rumeurs sur mon départ, je l'ai démenti, passons à autre chose", a-t-il exhorté, assurant qu'il irait au bout de son mandat, à moins que les représentants l'ayant élu n'en décide autrement.
MAM - Olivier Besancenot: "Le problème ce n'est pas de tirer sur une ambulance"
Le porte-parole du NPA a souhaité ne pas limiter la polémique à la seule personne de Michèle Alliot-Marie. "Dès ses premières déclarations (...) on avait souhaité qu'elle présente ses excuses ou qu'elle parte. Depuis à chacune de ses déclarations, elle offre un peu plus de motifs pour qu'elle démissionne", explique Olivier Besancenot sur France Inter. "Le problème ce n'est pas de tirer sur une ambulance. Il faut comprendre le problème politique. Ce n'est pas le silence du gouvernement qui serait passé à côté, c'est la complicité. La question qui se pose c'est de savoir si ceux qui ont tiré sur le peuple tunisien et égyptien ont été d'une quelque manière formés ou armés par la police ou l'armée française."
MAM - Benoît Hamon: " la seule solution qui permettrait à Mme Alliot-Marie de recouvrer un peu de dignité c'est qu'elle parte"
Le porte-parole du PS a estimé sur France Info que "la seule solution" permettant à Michèle Alliot-Marie, empêtrée dans l'affaire de ses vacances tunisiennes, "de recouvrer un peu de dignité" serait "qu'elle parte". "Voilà un pouvoir, un gouvernement, qui tous les jours appelle les Français à avoir des droits mais aussi des devoirs mais qui ne respecte pas, Mme Alliot-Marie en tête, ses devoirs à l'égard du peuple français", a déclaré Benoît Hamon avant d'ajouter, "et qu'enfin, on ait un geste de la part d'un ministre de ce gouvernement qui montre qu'on ne prend pas les Français pour des imbéciles".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Les-declarations-politiques-du-lundi-7-fevrier-265095
Royal fustige les "mensonges" de MAM
envoyé par Europe1fr. - L'info video en direct.
Réagissant aux polémiques sur les vacances tunisiennes de Michèle Alliot-Marie, la candidate aux primaires socialistes a fustigé sur Europe 1 "un nouveau coup porté à la crédibilité de la diplomatie française". "Le gouvernement et le président de la République ont érigé le mensonge en méthode de gouvernement", a-t-elle dénoncé, citant les affaires Woerth et Servier.
TUNISIE – Michèle Alliot-Marie: "J'étais claquée"
La ministre des Affaires étrangères s'est expliquée sur les polémiques qui l'éclaboussent, mettant en avant sa bonne foi et son éthique. "Mais sur cette séquence-là, non. Alors est-ce que c’est parce que j’étais claquée et que me retrouvant dans un cadre amical, je me suis détendue et je n’ai vu que les relations amicales, et non pas ce que ça pouvait provoquer ? Oui, c’est possible et je le regrette profondément". MAM a aussi annoncé qu'elle ne reprendrait plus d'avion privé tant qu'elle est ministre. "J'ai fait de la politique depuis suffisamment longtemps pour savoir ce que valent les polémiques politiciennes", a-t-elle aussi estimé au Parisien.
Cette affaire, une nouvelle fois, pose la question de la définition des conflits d'intérêt", a avancé Charles de Courson, député centriste de la Marne sur RTL. "Quand on est ministre, qu'est-ce qu'on peut accepter, qu'est-ce qu'on doit refuser?" a-t-il interrogé, établissant un parallèle avec l'affaire Woerth.
MAM-LAETITIA - Valérie Pécresse: "Jamais de risque zéro"
"Elle a dit qu'elle regrettait, elle s'est expliquée. Pour moi, l'affaire est close", a estimé la ministre de l'Enseignement supérieur sur BFM-TV soutenant son homologue des Affaires étrangères. "Michèle Alliot-Marie est une femme d'une extrême honnêteté, d'une extrême rigueur", a-t-elle salué, appelant à la fixation de règles claires en matière de conflits d'intérêt.
Valérie Pécresse a aussi défendu les déclarations de Nicolas Sarkozy sur la justice, après la mort de Laëtitia à Pornic. "Jamais nous ne serons dans un système de risque zéro", a-t-elle concédé, ajoutant: "Le problème est celui de la gestion des délinquants dangereux."
CGT - Bernard Thibault: "Passons à autre chose"
Ira-t-il au bout de son mandat? "C'est parti pour", a répondu le secrétaire général de la CGT. "On a voulu manifestement installé des rumeurs sur mon départ, je l'ai démenti, passons à autre chose", a-t-il exhorté, assurant qu'il irait au bout de son mandat, à moins que les représentants l'ayant élu n'en décide autrement.
MAM - Olivier Besancenot: "Le problème ce n'est pas de tirer sur une ambulance"
Le porte-parole du NPA a souhaité ne pas limiter la polémique à la seule personne de Michèle Alliot-Marie. "Dès ses premières déclarations (...) on avait souhaité qu'elle présente ses excuses ou qu'elle parte. Depuis à chacune de ses déclarations, elle offre un peu plus de motifs pour qu'elle démissionne", explique Olivier Besancenot sur France Inter. "Le problème ce n'est pas de tirer sur une ambulance. Il faut comprendre le problème politique. Ce n'est pas le silence du gouvernement qui serait passé à côté, c'est la complicité. La question qui se pose c'est de savoir si ceux qui ont tiré sur le peuple tunisien et égyptien ont été d'une quelque manière formés ou armés par la police ou l'armée française."
MAM - Benoît Hamon: " la seule solution qui permettrait à Mme Alliot-Marie de recouvrer un peu de dignité c'est qu'elle parte"
Le porte-parole du PS a estimé sur France Info que "la seule solution" permettant à Michèle Alliot-Marie, empêtrée dans l'affaire de ses vacances tunisiennes, "de recouvrer un peu de dignité" serait "qu'elle parte". "Voilà un pouvoir, un gouvernement, qui tous les jours appelle les Français à avoir des droits mais aussi des devoirs mais qui ne respecte pas, Mme Alliot-Marie en tête, ses devoirs à l'égard du peuple français", a déclaré Benoît Hamon avant d'ajouter, "et qu'enfin, on ait un geste de la part d'un ministre de ce gouvernement qui montre qu'on ne prend pas les Français pour des imbéciles".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Les-declarations-politiques-du-lundi-7-fevrier-265095
Royal fustige les "mensonges" de MAM
envoyé par Europe1fr. - L'info video en direct.
Besancenot flou sur sa candidature en 2012
Le porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste, Olivier Besancenot, se dit ouvert à une "candidature de rassemblement" avec des éléments du "mouvement social" pour la présidentielle, et reste flou sur sa volonté de se présenter à cette élection, dans une interview à paraître lundi dans Libération. "A son congrès (11-13 février), le NPA pourrait proposer de fédérer les forces anticapitalistes qui s'activent au sein du mouvement social, et travailler à une candidature de rassemblement" pour 2012, déclare Olivier Besancenot, avant de marquer sa différence avec Jean-Luc Mélenchon. "Mélenchon se revendique toujours des années Mitterrand et de la gauche plurielle. Il laisse la possibilité entrouverte d'appliquer, demain, son programme avec le PS. C'est une différence entre nous", ajoute le porte-parole du NPA.
Selon lui, ce que propose le leader du Parti de Gauche, "c'est un ralliement, pas l'unité". "Si Jean-Luc Mélenchon croit au rassemblement, envisage-t-il de ne pas être candidat et de faire campagne pour quelqu'un qui incarnerait la radicalité du mouvement social? Moi oui", fait encore valoir M. Besancenot. Selon lui, "des personnalités +luttes de classe+, capables d'incarner la radicalité, ça existe. Il faut voir si d'autres que nous au sein de la gauche sociale et politique partagent ce projet".
Mais "si cette proposition de rassemblement ne trouve pas d'écho, nous désignerons une candidature du NPA au mois de juin", ajoute-t-il, sans dire s'il se mettra sur les rangs. Interrogé sur son propre avenir au sein du NPA, Olivier Besancenot laisse la question en suspens. "La nouvelle direction élira en son sein de nouveaux porte-parole, probablement deux (lors du congrès, nldr). Ensuite, il faudra discuter si je fais partie de ce tandem ou si je bascule sur les questions européennes. L'internationalisme me tient à coeur", déclare-t-il.
http://lci.tf1.fr/politique/besancenot-flou-sur-sa-candidature-en-2012-6264569.html
Selon lui, ce que propose le leader du Parti de Gauche, "c'est un ralliement, pas l'unité". "Si Jean-Luc Mélenchon croit au rassemblement, envisage-t-il de ne pas être candidat et de faire campagne pour quelqu'un qui incarnerait la radicalité du mouvement social? Moi oui", fait encore valoir M. Besancenot. Selon lui, "des personnalités +luttes de classe+, capables d'incarner la radicalité, ça existe. Il faut voir si d'autres que nous au sein de la gauche sociale et politique partagent ce projet".
Mais "si cette proposition de rassemblement ne trouve pas d'écho, nous désignerons une candidature du NPA au mois de juin", ajoute-t-il, sans dire s'il se mettra sur les rangs. Interrogé sur son propre avenir au sein du NPA, Olivier Besancenot laisse la question en suspens. "La nouvelle direction élira en son sein de nouveaux porte-parole, probablement deux (lors du congrès, nldr). Ensuite, il faudra discuter si je fais partie de ce tandem ou si je bascule sur les questions européennes. L'internationalisme me tient à coeur", déclare-t-il.
http://lci.tf1.fr/politique/besancenot-flou-sur-sa-candidature-en-2012-6264569.html
Hollande candidat aux primaires PS si....
François Hollande a confirmé dimanche qu'il serait candidat aux primaires du Parti socialiste en vue de l'élection présidentielle s'il était réélu à la présidence du conseil général de Corrèze. Le siège de François Hollande n'est pas soumis à renouvellement lors des élections cantonales des 20 et 27 mars mais sa présidence du conseil général ne tient qu'à un siège. "Je ne suis pas encore candidat, je ferai connaître ma décision aprés les élections cantonales", a-t-il déclaré dimanche sur i-Télé. "Si les Corréziens me permettent d'être réélu à la présidence du conseil général je pourrai poursuivre. S'ils ne me le permettent pas je resterai là où je suis", a poursuivi le député socialiste, qui fut longtemps premier secrétaire du PS. Prié de dire clairement s'il serait candidat à condition de rester à la tête du département, Hollande a répondu : "Oui, vous avez parfaitement compris".
http://lci.tf1.fr/filnews/politique/hollande-candidat-aux-primaires-ps-si-6263909.html
http://lci.tf1.fr/filnews/politique/hollande-candidat-aux-primaires-ps-si-6263909.html
dimanche 6 février 2011
Les petites phrases du jour
NICOLAS HULOT- Eva Joly dans Le Parisien
Alors que les Français plébiscitent la candidature de Nicolas Hulot, comme le montre un sondage Ifop pour le JDD , Eva Joly revient, dans Le Parisien, sur l'éventuelle candidature de Nicolas Hulot. "Il est urgent qu’il lève cette hypothèque. Nicolas Hulot est un candidat de grande valeur, il est le bienvenu dans nos primaires, mais qu’il se décide !". Pour elle, l'animateur de TF1 a certes "beaucoup fait pour que l’opinion prenne conscience de l’urgence climatique. Mais, aujourd’hui, ce travail est fait et il faut maintenant proposer des solutions. Elles ne sont pas toutes strictement environnementales, ne parlent pas que d’énergies renouvelables".
AFFAIRE MAM- De Villepin sur Europe 1
Dominique de Villepin a jugé que l'utilisation à deux reprises par la ministre des Affaires étrangères de l'avion privé d'un de ses amis tunisiens durant ses vacances en Tunisie à la fin de l'année était un élément "révélateur de l'humiliation de ne pas avoir une diplomatie à la hauteur". Et d'ajouter: "Quand on voit le pouvoir en place pointer du doigt des policiers, des magistrats dans ce drame de Nantes, l'affaire Laetitia, nous ne pouvons pas manquer de penser que l'impunité dont s'entourent les politiques est inacceptable."
MAGISTRATS- François Chérèque sur Europe 1
"Non seulement je comprends mais j'approuve", a déclaré François Chérèque (le secrétaire général de la CFDT) commentant la colère des magistrats. Partie de Nantes, le mécontentement s'étend à toute la France, suite aux propos de Nicolas Sarkozy demandant des "sanctions" dans l'affaire de la mort de la jeune Laetitia. "A Nantes, il manquait sept à huit personnes pour faire le service, les responsables (...) c'est ceux qui réduisent les moyens", a estimé François Chérèque, dans le Grand rendrez-vous Europe 1/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-dimanche-6-fevrier-264721
Alors que les Français plébiscitent la candidature de Nicolas Hulot, comme le montre un sondage Ifop pour le JDD , Eva Joly revient, dans Le Parisien, sur l'éventuelle candidature de Nicolas Hulot. "Il est urgent qu’il lève cette hypothèque. Nicolas Hulot est un candidat de grande valeur, il est le bienvenu dans nos primaires, mais qu’il se décide !". Pour elle, l'animateur de TF1 a certes "beaucoup fait pour que l’opinion prenne conscience de l’urgence climatique. Mais, aujourd’hui, ce travail est fait et il faut maintenant proposer des solutions. Elles ne sont pas toutes strictement environnementales, ne parlent pas que d’énergies renouvelables".
AFFAIRE MAM- De Villepin sur Europe 1
Dominique de Villepin a jugé que l'utilisation à deux reprises par la ministre des Affaires étrangères de l'avion privé d'un de ses amis tunisiens durant ses vacances en Tunisie à la fin de l'année était un élément "révélateur de l'humiliation de ne pas avoir une diplomatie à la hauteur". Et d'ajouter: "Quand on voit le pouvoir en place pointer du doigt des policiers, des magistrats dans ce drame de Nantes, l'affaire Laetitia, nous ne pouvons pas manquer de penser que l'impunité dont s'entourent les politiques est inacceptable."
MAGISTRATS- François Chérèque sur Europe 1
"Non seulement je comprends mais j'approuve", a déclaré François Chérèque (le secrétaire général de la CFDT) commentant la colère des magistrats. Partie de Nantes, le mécontentement s'étend à toute la France, suite aux propos de Nicolas Sarkozy demandant des "sanctions" dans l'affaire de la mort de la jeune Laetitia. "A Nantes, il manquait sept à huit personnes pour faire le service, les responsables (...) c'est ceux qui réduisent les moyens", a estimé François Chérèque, dans le Grand rendrez-vous Europe 1/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-dimanche-6-fevrier-264721
Hulot, meilleur candidat d'Europe Ecologie pour les Français
Les Français préfèrent largement Nicolas Hulot à Eva Joly comme candidat d'Europe Ecologie-Les Verts à l'élection présidentielle de 2012, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche*. L'animateur de télévision à la fibre écologiste est plébiscité par 61% des personnages interrogées, contre 30% qui disent souhaiter une candidature d'Eva Joly. S'agissant des traits d'image, Nicolas Hulot domine Eva Joly, sauf en ce qui concerne la "maîtrise des dossiers économiques et sociaux" où l'ex magistrate l'emporte sur lui avec 59% contre 36%. 81% des personnes interrogées considèrent qu'il "incarne les idées et les Valeurs de l'écologie" (16% pour Mme Joly). 63% le juge honnête (32% pour l'eurodéputée), 57% estiment qu'il "comprend les problèmes des gens" (37% pour Mme Joly) et 47% qu'il "a l'étoffe d'un président" (43% pour Eva Joly).
Le calendrier des primaires d'Europe Ecologie-Les Verts pour la présidentielle, intialement fixées au 24 juin, sera rediscuté en fonction de la décision de Nicolas Hulot de se présenter ou non. Plusieurs dirigeants écologistes considèrent en effet que le calendrier ne doit pas être figé si l'animateur de télévision se décidait tardivement à concourir. Eva Joly est favorite de cette primaire. Yves Cochet est pour l'instant son seul challenger. Mais les écologistes sont suspendus à l'éventuelle candidature de Nicolas Hulot, qui devrait dire en mars ou en avril s'il se lance dans la course.
"Qu'il se décide, et vite", dit Joly
Eva Joly, enjoint par ailleurs Nicolas Hulot de déclarer rapidement s'il serait candidat ou non à la primaire dans une interview au Journal du dimanche. "Il est urgent qu'il lève cette hypothèque", déclare Mme Joly. "Nicolas Hulot est un candidat de grande valeur, il est le bienvenu dans nos primaires, mais qu'il se décide!", poursuit la députée européenne, ancienne juge d'instruction. La candidate s'en prend également à l'ancien ministre de l'Environnement, Jean-Louis Borloo, qui a décidé d'un moratoire dans la filière du photovoltaïque, avant de quitter le gouvernement. "Qu'un gouvernement puisse geler la filière pour trois mois, c'est une ignorance ahurissante des réalités", s'insurge-t-elle. "Borloo est disqualifié à tout jamais en matière d'écologie", juge-t-elle. Dans la même interview à l'hebdomadaire dominical, elle estime que la ministre des Affaires étrangères "Michèle Alliot-Marie aurait déjà dû démissionner" pour être partie en vacances en Tunisie quand les révoltes commençaient, acceptant un cadeau d'un proche du régime Ben Ali". "Dans les autres démocraties, quand vous êtes pris en défaut, vous démissionnez", observe-t-elle. "En France, on s'accroche au pouvoir! C'est mauvais", estime-t-elle.
*Le sondage a été réalisé par téléphone les 3 et 4 février auprès d'un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
http://lci.tf1.fr/politique/hulot-meilleur-candidat-d-europe-ecologie-pour-les-francais-6263388.html
Le calendrier des primaires d'Europe Ecologie-Les Verts pour la présidentielle, intialement fixées au 24 juin, sera rediscuté en fonction de la décision de Nicolas Hulot de se présenter ou non. Plusieurs dirigeants écologistes considèrent en effet que le calendrier ne doit pas être figé si l'animateur de télévision se décidait tardivement à concourir. Eva Joly est favorite de cette primaire. Yves Cochet est pour l'instant son seul challenger. Mais les écologistes sont suspendus à l'éventuelle candidature de Nicolas Hulot, qui devrait dire en mars ou en avril s'il se lance dans la course.
"Qu'il se décide, et vite", dit Joly
Eva Joly, enjoint par ailleurs Nicolas Hulot de déclarer rapidement s'il serait candidat ou non à la primaire dans une interview au Journal du dimanche. "Il est urgent qu'il lève cette hypothèque", déclare Mme Joly. "Nicolas Hulot est un candidat de grande valeur, il est le bienvenu dans nos primaires, mais qu'il se décide!", poursuit la députée européenne, ancienne juge d'instruction. La candidate s'en prend également à l'ancien ministre de l'Environnement, Jean-Louis Borloo, qui a décidé d'un moratoire dans la filière du photovoltaïque, avant de quitter le gouvernement. "Qu'un gouvernement puisse geler la filière pour trois mois, c'est une ignorance ahurissante des réalités", s'insurge-t-elle. "Borloo est disqualifié à tout jamais en matière d'écologie", juge-t-elle. Dans la même interview à l'hebdomadaire dominical, elle estime que la ministre des Affaires étrangères "Michèle Alliot-Marie aurait déjà dû démissionner" pour être partie en vacances en Tunisie quand les révoltes commençaient, acceptant un cadeau d'un proche du régime Ben Ali". "Dans les autres démocraties, quand vous êtes pris en défaut, vous démissionnez", observe-t-elle. "En France, on s'accroche au pouvoir! C'est mauvais", estime-t-elle.
*Le sondage a été réalisé par téléphone les 3 et 4 février auprès d'un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
http://lci.tf1.fr/politique/hulot-meilleur-candidat-d-europe-ecologie-pour-les-francais-6263388.html
Les invités politiques du dimanche
François Chérèque, secrétaire général de la CFDT: Le Grand Rendez-Vous sur Europe 1/Le Parisien, à 10 heures.
Jean-Pierre Brard (Gauche démocrate et républicaine): 30 minutes pour convaincre sur Judaïques FM, à 10h30.
Arnaud Montebourg (PS): Le Grand Entretien sur RCJ, à 11 heures.
Patrick Devedjian (UMP): Dimanche +, sur Canal +, à 12h45.
Julien Dray (PS): Forum Radio J, à 14h20.
Christine Lagarde (UMP): C Politique sur France 5, à 17h40.
François Hollande (PS): Dimanche Soir Politique sur France Inter, avec i>Télé, Le Monde et Dailymotion, à 18h10.
Jean-Luc Mélenchon (PG): BFMTV 2012 RMC-Le Point, à 18 heures.
Christian Jacob (UMP): Le Grand Jury sur RTL-Le Figaro-LCI, à 18h45.
Jack Lang (PS): Soir 3 Politique sur France 3, à 22 h 20.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Les-invites-politiques-du-dimanche-264559
Jean-Pierre Brard (Gauche démocrate et républicaine): 30 minutes pour convaincre sur Judaïques FM, à 10h30.
Arnaud Montebourg (PS): Le Grand Entretien sur RCJ, à 11 heures.
Patrick Devedjian (UMP): Dimanche +, sur Canal +, à 12h45.
Julien Dray (PS): Forum Radio J, à 14h20.
Christine Lagarde (UMP): C Politique sur France 5, à 17h40.
François Hollande (PS): Dimanche Soir Politique sur France Inter, avec i>Télé, Le Monde et Dailymotion, à 18h10.
Jean-Luc Mélenchon (PG): BFMTV 2012 RMC-Le Point, à 18 heures.
Christian Jacob (UMP): Le Grand Jury sur RTL-Le Figaro-LCI, à 18h45.
Jack Lang (PS): Soir 3 Politique sur France 3, à 22 h 20.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Les-invites-politiques-du-dimanche-264559
samedi 5 février 2011
Pour Mélenchon, la gauche irait "au désastre" avec Strauss-Kahn
La présence du socialiste Dominique Strauss-Kahn au second tour de la présidentielle de 2012 en France serait un scénario catastrophe pour la gauche, estime Jean-Luc Mélenchon dans un entretien publié samedi par le journal Le Monde.
Le probable candidat du Front de gauche, qui a fait du directeur général du Fonds monétaire international (FMI) sa cible privilégiée, brandit la menace d'un mauvais report des voix de ses électeurs sur Dominique Strauss-Kahn.
"Je mets en garde les socialistes: si au deuxième tour de la présidentielle, c'est Dominique Strauss-Kahn, on va au désastre", dit le président du Parti de gauche.
"Il incarne cette ligne qui a perdu la social-démocratie partout en Europe", ajoute Jean-Luc Mélenchon, qui a claqué la porte du Parti socialiste en novembre 2008 pour créer son propre parti.
"Il faut que le PS réalise que l'autre gauche représente entre 12 et 15% dans ce pays. En tout état de cause, si c'est Strauss-Kahn au second tour, quoi que je dise, mes électeurs ne suivront pas."
http://fr.news.yahoo.com/4/20110205/tts-france-politique-melenchon-ca02f96.html
Le probable candidat du Front de gauche, qui a fait du directeur général du Fonds monétaire international (FMI) sa cible privilégiée, brandit la menace d'un mauvais report des voix de ses électeurs sur Dominique Strauss-Kahn.
"Je mets en garde les socialistes: si au deuxième tour de la présidentielle, c'est Dominique Strauss-Kahn, on va au désastre", dit le président du Parti de gauche.
"Il incarne cette ligne qui a perdu la social-démocratie partout en Europe", ajoute Jean-Luc Mélenchon, qui a claqué la porte du Parti socialiste en novembre 2008 pour créer son propre parti.
"Il faut que le PS réalise que l'autre gauche représente entre 12 et 15% dans ce pays. En tout état de cause, si c'est Strauss-Kahn au second tour, quoi que je dise, mes électeurs ne suivront pas."
http://fr.news.yahoo.com/4/20110205/tts-france-politique-melenchon-ca02f96.html
Les petites phrases du jour
AFFAIRE MAM - Cohn-Bendit: "Le symbole de l'ignorance"
Le leader écologiste Daniel Cohn-Bendit, invité samedi sur Europe 1, a estimé que l'attitude de la ministre Michèle Alliot-Marie sur la Tunisie était "extrêmement bête", fustigeant un "symbole de l'ignorance du gouvernement Sarkozy". La ministre des Affaires étrangères a été accusée d'avoir voyagé à Noël dans un avion appartenant à un proche du clan Ben Ali, entraînant une polémique en France et des demandes de démission. "Cela m'embête de taper sur la bêtise", a ajouté Daniel Cohn-Bendit, observant que la ministre pouvait rester à son poste, et qu'il fallait laisser la "honte là où elle est".
HAUTS-DE-SEINE - Balkany: "Devedjian dit des conneries"
Le divorce est consommé. Contacté samedi par leJDD.fr, Patrick Balkany, le maire de Levallois-Perret, répond aux attaques lancées par Patrick Devedjian. Vendredi soir, le président du conseil général des Hauts de Seine a affirmé que la ville de Levallois, dirigée par Patrick Balkany et son épouse Isabelle, était l'une des "plus endettées de France". Réponse de l’intéressé: "Sur le fond, Patrick Devedjian dit des conneries. Nous n'avons jamais eu le moindre problème de remboursement avec qui que ce soit, les propos de Patrick Devedjian ne sont que des âneries" affirme le maire de Levallois-Perret. Sur la forme, Patrick Balkany fustige "le côté fin de règne de Patrick Devedjian!" "Il n'est aujourd'hui plus crédible. Tout ce qui sort de sa bouche est du fiel, de la haine" regrette t-il.
POLICE/JUSTICE - Ciotti pour un plan Marshall
Dans une interview au Figaro, le député UMP Eric Ciotti a proposé "un plan Marshall pour la justice et la police", alors que le monde judiciaire est en colère après les propos de Nicolas Sarkozy, qui a réclamé des sanctions dans l'affaire du meurtre de Laëtitia. "Je fais partie de ceux qui considèrent que la justice a besoin d’un grand plan d’orientation", a déclaré l'élu. Selon lui, "on ne peut pas mettre sans cesse sur la table la question des moyens, sans discernement. Depuis 2007, beaucoup a été fait", estime-t-il. "Pourtant, au regard d’autres démocraties voisines, comme l’Allemagne, la justice française n’est pas à la hauteur", concède-t-il. "Je suis choqué par les positions extrêmes affichées par certains magistrats", a expliqué Eric Ciotti, selon qui Nicolas Sarkozy "a eu raison d’indiquer que les dysfonctionnements qui a priori ont été relevés doivent être sanctionnés".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-toutes-les-reactions-politiques-du-samedi-5-fevrier-264447
Le leader écologiste Daniel Cohn-Bendit, invité samedi sur Europe 1, a estimé que l'attitude de la ministre Michèle Alliot-Marie sur la Tunisie était "extrêmement bête", fustigeant un "symbole de l'ignorance du gouvernement Sarkozy". La ministre des Affaires étrangères a été accusée d'avoir voyagé à Noël dans un avion appartenant à un proche du clan Ben Ali, entraînant une polémique en France et des demandes de démission. "Cela m'embête de taper sur la bêtise", a ajouté Daniel Cohn-Bendit, observant que la ministre pouvait rester à son poste, et qu'il fallait laisser la "honte là où elle est".
HAUTS-DE-SEINE - Balkany: "Devedjian dit des conneries"
Le divorce est consommé. Contacté samedi par leJDD.fr, Patrick Balkany, le maire de Levallois-Perret, répond aux attaques lancées par Patrick Devedjian. Vendredi soir, le président du conseil général des Hauts de Seine a affirmé que la ville de Levallois, dirigée par Patrick Balkany et son épouse Isabelle, était l'une des "plus endettées de France". Réponse de l’intéressé: "Sur le fond, Patrick Devedjian dit des conneries. Nous n'avons jamais eu le moindre problème de remboursement avec qui que ce soit, les propos de Patrick Devedjian ne sont que des âneries" affirme le maire de Levallois-Perret. Sur la forme, Patrick Balkany fustige "le côté fin de règne de Patrick Devedjian!" "Il n'est aujourd'hui plus crédible. Tout ce qui sort de sa bouche est du fiel, de la haine" regrette t-il.
POLICE/JUSTICE - Ciotti pour un plan Marshall
Dans une interview au Figaro, le député UMP Eric Ciotti a proposé "un plan Marshall pour la justice et la police", alors que le monde judiciaire est en colère après les propos de Nicolas Sarkozy, qui a réclamé des sanctions dans l'affaire du meurtre de Laëtitia. "Je fais partie de ceux qui considèrent que la justice a besoin d’un grand plan d’orientation", a déclaré l'élu. Selon lui, "on ne peut pas mettre sans cesse sur la table la question des moyens, sans discernement. Depuis 2007, beaucoup a été fait", estime-t-il. "Pourtant, au regard d’autres démocraties voisines, comme l’Allemagne, la justice française n’est pas à la hauteur", concède-t-il. "Je suis choqué par les positions extrêmes affichées par certains magistrats", a expliqué Eric Ciotti, selon qui Nicolas Sarkozy "a eu raison d’indiquer que les dysfonctionnements qui a priori ont été relevés doivent être sanctionnés".
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-toutes-les-reactions-politiques-du-samedi-5-fevrier-264447
A l'UMP, les coups pleuvent
A chaque réunion entre ses ténors, l'UMP se déchire un peu plus. D'abord entre des hommes forts du parti majoritaire et Jean-François Copé, à qui on reproche ses débats "anxiogènes", puis entre le même Copé et François Fillon. Mercredi, la tension est montée d'un cran.
A l'UMP, l'ambiance se détériore chaque jour un peu plus. En coulisses, les violentes dissensions, entre François Fillon et Jean-François Copé d'une part, et entre ce dernier et une bonne partie des cadres du parti majoritaire d'autre part, se font jour. Mercredi, au cours du bureau politique, elles se sont cristallisées sur les propositions du secrétaire général du parti (fin des 35 heures, hausse de la TVA, statut des fonctionnaires). Des débats lancés sans prendre en compte les élections cantonales du mois prochain, ont regretté quelques-uns. Christian Estrosi en premier, qui a reproché à Copé de "perturber" la campagne électorale. "Il ne faut pas lancer n'importe quel débat à n'importe quel moment. Surtout, il ne faut pas les lancer sans nous prévenir avant... On a quand même les élections cantonales dans un mois et demi", a lâché le député-maire de Nice, selon plusieurs sources citées par l'AFP.
"Attention à ce que les débats qu'on lance puissent être utiles dans le cadre de la campagne des cantonales", a imité Dominique Bussereau, qui va tenter fin mars de conserver son poste de président du conseil général de Charente-Maritime. "La TVA, les 35 heures... Il faut faire attention à ne pas avoir des propos anxiogènes", a-t-il poursuivi. Des mises en garde qui auraient provoqué d'une part l'"agacement" de Jean-François Copé et même une raillerie de Jean-Pierre Raffarin: "Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt", a glissé l'ancien Premier ministre. Le huis clos imposé Salle Colbert à l'Assemblée, lieu traditionnel de réunion de ce bureau politique, était donc bienvenu.
"Plat de lentilles"
"Ça fait partie de la vie politique", a résumé Hervé Mariton, joint par leJDD.fr. Présent à ce bureau politique, le député de la Drôme a dit ne pas faire partie des contestataires. "Je donne tout à fait raison à Jean-François Copé d'avoir posé ces questions. Une fois qu'elles sont posées, il faut avoir pour exigence de donner une réponse et une décision. Mais il ne faut pas oublier que nous sommes au gouvernement et que nous pouvons adopter des mesures", a-t-il expliqué, rapportant ne pas avoir décelé d'"agacement" chez le patron de l'UMP.
Pourtant, selon d'autres sources citées par l'AFP, Jean-François Copé aurait tenté sèchement de mettre un terme au "débat sur les débats". "Si vous continuez à contester le lancement de débats, la sanction tombera d'en haut", sous-entendu de l'Elysée, aurait lancé Copé à l'adresse des deux frondeurs. Des menaces démenties au siège de l'UMP, indique l'AFP: "En quoi quelqu'un comme Estrosi pourrait-il être sanctionné pour ses reproches à Copé? Il a déjà été sanctionné en étant viré du gouvernement" en novembre. Les piques se transforment en hallebardes et trouvent même des échos publics dans la presse. Dans une interview parue jeudi dans Les Echos, Laurent Wauquiez, proche de l'ancien chef de l'UMP Xavier Bertrand, met en garde contre une "dérive ultra-libérale" dans les idées lancées par sa formation.
Les critiques de la "méthode Copé" à l'UMP sont, il faut le dire, nourries par le duel qui oppose le secrétaire général du parti et le Premier ministre. Entre les deux hommes, l'ambiance est verbalement violente. Ce week-end, lors d'une réunion de l'UMP, le patron de l'UMP aurait, selon des indiscrétions non démenties, accusé François Fillon de manquer de conviction et d'avoir "vendu 15 ans de gaullisme social pour un plat de lentilles" en se ralliant à Nicolas Sarkozy en 2005. Et le "plat de lentilles" ne fait que répondre à l'attribution, soi-disant par le Premier ministre, du surnom de "Rantanplan" -le chien pas très éclairé de Lucky Luke- à Christian Jacob, nouveau chef de file des députés UMP et très proche de Copé. Pourtant, le Premier ministre disait regretter la "brutalité" de Copé. "Très souvent, quand on reconstitue les choses ensemble, on finit par lever les malentendus. Et ça ne se passe pas si mal", disait-il. Entre-temps, les échanges de saillies peuvent faire des dégâts au sein de la majorité.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/tensions-entre-l-ump-Jean-Francois-Cope-et-Francois-Fillon-263617
A l'UMP, l'ambiance se détériore chaque jour un peu plus. En coulisses, les violentes dissensions, entre François Fillon et Jean-François Copé d'une part, et entre ce dernier et une bonne partie des cadres du parti majoritaire d'autre part, se font jour. Mercredi, au cours du bureau politique, elles se sont cristallisées sur les propositions du secrétaire général du parti (fin des 35 heures, hausse de la TVA, statut des fonctionnaires). Des débats lancés sans prendre en compte les élections cantonales du mois prochain, ont regretté quelques-uns. Christian Estrosi en premier, qui a reproché à Copé de "perturber" la campagne électorale. "Il ne faut pas lancer n'importe quel débat à n'importe quel moment. Surtout, il ne faut pas les lancer sans nous prévenir avant... On a quand même les élections cantonales dans un mois et demi", a lâché le député-maire de Nice, selon plusieurs sources citées par l'AFP.
"Attention à ce que les débats qu'on lance puissent être utiles dans le cadre de la campagne des cantonales", a imité Dominique Bussereau, qui va tenter fin mars de conserver son poste de président du conseil général de Charente-Maritime. "La TVA, les 35 heures... Il faut faire attention à ne pas avoir des propos anxiogènes", a-t-il poursuivi. Des mises en garde qui auraient provoqué d'une part l'"agacement" de Jean-François Copé et même une raillerie de Jean-Pierre Raffarin: "Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt", a glissé l'ancien Premier ministre. Le huis clos imposé Salle Colbert à l'Assemblée, lieu traditionnel de réunion de ce bureau politique, était donc bienvenu.
"Plat de lentilles"
"Ça fait partie de la vie politique", a résumé Hervé Mariton, joint par leJDD.fr. Présent à ce bureau politique, le député de la Drôme a dit ne pas faire partie des contestataires. "Je donne tout à fait raison à Jean-François Copé d'avoir posé ces questions. Une fois qu'elles sont posées, il faut avoir pour exigence de donner une réponse et une décision. Mais il ne faut pas oublier que nous sommes au gouvernement et que nous pouvons adopter des mesures", a-t-il expliqué, rapportant ne pas avoir décelé d'"agacement" chez le patron de l'UMP.
Pourtant, selon d'autres sources citées par l'AFP, Jean-François Copé aurait tenté sèchement de mettre un terme au "débat sur les débats". "Si vous continuez à contester le lancement de débats, la sanction tombera d'en haut", sous-entendu de l'Elysée, aurait lancé Copé à l'adresse des deux frondeurs. Des menaces démenties au siège de l'UMP, indique l'AFP: "En quoi quelqu'un comme Estrosi pourrait-il être sanctionné pour ses reproches à Copé? Il a déjà été sanctionné en étant viré du gouvernement" en novembre. Les piques se transforment en hallebardes et trouvent même des échos publics dans la presse. Dans une interview parue jeudi dans Les Echos, Laurent Wauquiez, proche de l'ancien chef de l'UMP Xavier Bertrand, met en garde contre une "dérive ultra-libérale" dans les idées lancées par sa formation.
Les critiques de la "méthode Copé" à l'UMP sont, il faut le dire, nourries par le duel qui oppose le secrétaire général du parti et le Premier ministre. Entre les deux hommes, l'ambiance est verbalement violente. Ce week-end, lors d'une réunion de l'UMP, le patron de l'UMP aurait, selon des indiscrétions non démenties, accusé François Fillon de manquer de conviction et d'avoir "vendu 15 ans de gaullisme social pour un plat de lentilles" en se ralliant à Nicolas Sarkozy en 2005. Et le "plat de lentilles" ne fait que répondre à l'attribution, soi-disant par le Premier ministre, du surnom de "Rantanplan" -le chien pas très éclairé de Lucky Luke- à Christian Jacob, nouveau chef de file des députés UMP et très proche de Copé. Pourtant, le Premier ministre disait regretter la "brutalité" de Copé. "Très souvent, quand on reconstitue les choses ensemble, on finit par lever les malentendus. Et ça ne se passe pas si mal", disait-il. Entre-temps, les échanges de saillies peuvent faire des dégâts au sein de la majorité.
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vendredi 4 février 2011
Royal sur Hulot: être président, ce n'est pas "porter une émission de télé"
On la savait donneuse de leçons, c'est hier à Nicolas Hulot que Ségolène Royal s'en est pris. La candidate aux primaires socialistes a déclaré qu'être président, "ce n'est pas comme porter une émission de télé" à propos d'une éventuelle candidature à la présidentielle de ce-dernier. "Les gens croient qu'être président, c'est toujours plus facile que ça y parait. C'est un long travail, (...) il faut un projet, ça ne s'improvise pas", a déclaré la présidente de région. "Les candidatures médiatiques n'ont jamais réussi. Maintenant, on verra", a-t-elle dit, avant d'ajouter: "Il est connu grâce à ses émissions sur TF1 essentiellement. (...) Porter un pays, c'est pas comme porter une émission de télé". "Il est très sympathique au demeurant", a-t-elle conclu
Claude Bartolone, député PS et président du conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a accompagné Ségolène Royal lors de sa visite à Sevran et Clichy-sous-Bois, a affirmé pour sa part: "Il y a une grande différence entre popularité et capacité électorale"."Je pense à un candidat qu'on a présenté dans le nord et dans le sud, qui a
une aura dans le pays incroyable, c'est Bernard Kouchner, et chaque fois qu'on l'a présenté à une élection, on n'a pas réussi à le faire élire", a poursuivi M. Bartolone
Visite de jardins partagés
"C'est aux écologistes de choisir leur candidat", a-t-il ajouté, avant de dire qu'il "aurait eu un faible pour Cécile Duflot, si (il avait été) Vert". Ségolène Royal a visité jeudi une médiathèque et des jardins partagés dans le quartier populaire Rougemont, à Sevran, appelant à une "humanisation des villes".
Elle s'est ensuite rendue à Clichy-sous-Bois - pour la 7ème fois selon le maire PS Claude Dilain -, où elle a débattu avec des membres d'une association. M. Bartolone a annoncé que François Hollande viendrait bientôt en Seine-Saint-Denis. De même, Arnaud Montebourg et Martine Aubry ont accepté son invitation, dans le cadre de la campagne des cantonales qui ont lieu en mars. "Les départements peuvent être des petites France qui servent de préparation à l'élection présidentielle", a-t-il déclaré.
http://lci.tf1.fr/politique/royal-sur-hulot-etre-president-ce-n-est-pas-porter-une-emission-6260593.html
Claude Bartolone, député PS et président du conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a accompagné Ségolène Royal lors de sa visite à Sevran et Clichy-sous-Bois, a affirmé pour sa part: "Il y a une grande différence entre popularité et capacité électorale"."Je pense à un candidat qu'on a présenté dans le nord et dans le sud, qui a
une aura dans le pays incroyable, c'est Bernard Kouchner, et chaque fois qu'on l'a présenté à une élection, on n'a pas réussi à le faire élire", a poursuivi M. Bartolone
Visite de jardins partagés
"C'est aux écologistes de choisir leur candidat", a-t-il ajouté, avant de dire qu'il "aurait eu un faible pour Cécile Duflot, si (il avait été) Vert". Ségolène Royal a visité jeudi une médiathèque et des jardins partagés dans le quartier populaire Rougemont, à Sevran, appelant à une "humanisation des villes".
Elle s'est ensuite rendue à Clichy-sous-Bois - pour la 7ème fois selon le maire PS Claude Dilain -, où elle a débattu avec des membres d'une association. M. Bartolone a annoncé que François Hollande viendrait bientôt en Seine-Saint-Denis. De même, Arnaud Montebourg et Martine Aubry ont accepté son invitation, dans le cadre de la campagne des cantonales qui ont lieu en mars. "Les départements peuvent être des petites France qui servent de préparation à l'élection présidentielle", a-t-il déclaré.
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Les petites phrases du jour
SARKOZY ET MELENCHON - Laurent Fabius sur France info: L'ancien Premier ministre a évoqué l'attitude de la France lors des différentes crises internationales récentes. “M onsieur Sarkozy a perdu le contact, le fil...on a vu ce qui s’est passé avec la Côte d’Ivoire où monsieur Sarkozy avait dit d’un air martial un vendredi qu’avant trois jours monsieur Gbagbo devait avoir quitté le pouvoir. Il est toujours là. En Tunisie, c’est un contresens total, pas seulement madame Alliot-Marie. T out cela n’est pas conforme à la position que devrait avoir la France." Laurent Fabius est également revenu sur le cas de Jean-Luc Mélenchon.“C’est un garçon cultivé et intelligent mais là se pose à lui un problème. Il veut être désigné comme candidat du Front de Gauche et du coup, il tape, il tape, il tape trop durement et de façon souvent injuste sur les socialistes et sur DSK mais ça me paraît une stratégie un peu courte. Le choix, il sera binaire: Il devra se poser la question ; est-ce que je soutiens la candidature de gauche ou est-ce que je soutiens la candidature de monsieur Sarkozy ? ”
DIPLOMATIE FRANÇAISE - Bertrand Delanoë sur France Inter: Interrogé sur l'attitude de la diplomatie française dans les récentes crises internationales, Bertrand Delanoë s'est montré très critique. "Je pense que depuis plusieurs années, la diplomatie française est cynique et manie la notion des droits de l'Homme d'une manière qui n'est pas du tout convenable et crédible. Que l'on ait des relations d'Etat à Etat, c'est tout à fait normal. Mais les têtes à queue sur les droits de l'Homme en Chine et la manière dont vis-à-vis de tous ces régimes on n'est pas capable d'avoir des relations respectueuses des Etats mais en portant nos valeurs. C'est ça qui affaiblit la diplomatie française. Le maire de Paris est également revenu sur la polémique autour de Michèle Alliot-Marie. "La politique française a commis beaucoup de fautes. Pas seulement la ministre des Affaires étrangères. Des fautes sur le fond. Quand on a la manière dont les responsables publics se comportent dans leur vie personnelle, est ce qu'ils acceptent ou pas des avantages, chacun est devant sa conscience."
SARKOZY ET L'AFFAIRE LAETITIA - Jean-Pierre Raffarin sur RMC/BFM TV: Le chef de l'Etat a affirmé jeudi que le fait d'avoir laissé sortir de prison Tony Meilhon, le suspect numéro 1 dans l'affaire Laëtitia, sans suivi particulier était une "faute" et que les responsables seraient sanctionnés. "On ne peut pas considérer qu'il n'y a pas de responsable. Je pense qu'une société comme la nôtre doit rechercher les responsables. Je ne dis pas que ce sont les policiers ou les magistrats (...) Je pense qu'il est nécessaire que nous ayons une enquête approfondie sur le sujet pour que des responsabilités soient dégagées." "Pour la famille de Laëtitia et tous ceux qui ont été touchés par ce type de drame et pour la protection de la société, il faut que les magistrats acceptent cette idée de responsabilité. Je ne les accuse pas (...) Il ne faut pas désigner des coupables avant que l'enquête soit achevée."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-vendredi-4-fevrier-263809
Départ de Moubarak: les scénarios de Laurent Fabius
envoyé par FranceInfo. - L'info internationale vidéo.
DIPLOMATIE FRANÇAISE - Bertrand Delanoë sur France Inter: Interrogé sur l'attitude de la diplomatie française dans les récentes crises internationales, Bertrand Delanoë s'est montré très critique. "Je pense que depuis plusieurs années, la diplomatie française est cynique et manie la notion des droits de l'Homme d'une manière qui n'est pas du tout convenable et crédible. Que l'on ait des relations d'Etat à Etat, c'est tout à fait normal. Mais les têtes à queue sur les droits de l'Homme en Chine et la manière dont vis-à-vis de tous ces régimes on n'est pas capable d'avoir des relations respectueuses des Etats mais en portant nos valeurs. C'est ça qui affaiblit la diplomatie française. Le maire de Paris est également revenu sur la polémique autour de Michèle Alliot-Marie. "La politique française a commis beaucoup de fautes. Pas seulement la ministre des Affaires étrangères. Des fautes sur le fond. Quand on a la manière dont les responsables publics se comportent dans leur vie personnelle, est ce qu'ils acceptent ou pas des avantages, chacun est devant sa conscience."
SARKOZY ET L'AFFAIRE LAETITIA - Jean-Pierre Raffarin sur RMC/BFM TV: Le chef de l'Etat a affirmé jeudi que le fait d'avoir laissé sortir de prison Tony Meilhon, le suspect numéro 1 dans l'affaire Laëtitia, sans suivi particulier était une "faute" et que les responsables seraient sanctionnés. "On ne peut pas considérer qu'il n'y a pas de responsable. Je pense qu'une société comme la nôtre doit rechercher les responsables. Je ne dis pas que ce sont les policiers ou les magistrats (...) Je pense qu'il est nécessaire que nous ayons une enquête approfondie sur le sujet pour que des responsabilités soient dégagées." "Pour la famille de Laëtitia et tous ceux qui ont été touchés par ce type de drame et pour la protection de la société, il faut que les magistrats acceptent cette idée de responsabilité. Je ne les accuse pas (...) Il ne faut pas désigner des coupables avant que l'enquête soit achevée."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-vendredi-4-fevrier-263809
Départ de Moubarak: les scénarios de Laurent Fabius
envoyé par FranceInfo. - L'info internationale vidéo.
Guéant va rompre le silence
Le secrétaire général de l’Elysée n’a pas renoncé à s’exprimer dans les médias. Cette exigence de discrétion réclamée par François Fillon au moment du remaniement de l’automne ne devrait pas tenir au-delà du printemps. Claude Guéant assure que cette question n’a jamais été évoquée entre "le Président et le Premier ministre", ni entre "le Premier ministre et moi-même". Discret depuis le mois de novembre, Claude Guéant prévoit une expression publique… au printemps.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Gueant-va-rompre-le-silence-261337
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Gueant-va-rompre-le-silence-261337
jeudi 3 février 2011
Primaire PS: Mignard promet la transparence
Dans une interview au Nouvel Observateur, Jean-Pierre Mignard, l'un des trois arbitres de la primaire socialiste, détaille les règles du scrutin qui déterminera le candidat PS pour 2012.
Les trois membres de l'instance qui sera chargée au PS de veiller au bon déroulement des primaires en vue de la présidentielle 2012 seront les "gardiens des règles et des formes", explique l'un d'eux, l'avocat Jean-Pierre Mignard, dans un entretien au Nouvel Observateur jeudi.
Le PS a désigné mercredi comme membres de la "Haute autorité", outre Me Mignard, la juriste Mireille Delmas-Marty et l'ancien préfet Rémy Pautrat.
"Il s'agit d'une autorité indépendante de la représentation politique du parti. Elle sera en charge de veiller à ce que le PS se comporte équitablement vis-à-vis de tous les candidats, notamment sur les moyens financiers", indique l'avocat.
"Il nous faudra réfléchir aux sollicitations par les médias et à une règle sur la répartition des temps de parole. A l'issue du vote, la haute autorité rendra son avis sur le déroulement du scrutin et sur le résultat final", poursuit-il.
"Pendant la campagne, si un candidat s'affranchissait des règles éthiques (...) il sera du devoir de la haute autorité de distribuer un carton jaune, de dire publiquement et collégialement qu'un tel ne respecte pas les valeurs du droit, de la démocratie et du socialisme français", prévient-il.
Enfin, l'instance devra se pencher sur les irrégularités signalées au moment du scrutin et décider d'une éventuelle annulation de résultats dans des bureaux de vote litigieux. "Les élections au PS vont désormais se dérouler comme dans toute société démocratique ordonnée", promet Me Mignard, en rappelant le "traumatisme" du Congrès de Reims en 2008, où Martine Aubry fut élue à la tête du PS dans des conditions très controversées.
Reconnaissant être "un ami de Ségolène Royal", qu'il avait soutenue en 2008 face à Mme Aubry dans la conquête du parti, Jean-Pierre Mignard exclut... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/primaire-ps-mignard-promet-la-transparence_958598.html#xtor=AL-447
Les trois membres de l'instance qui sera chargée au PS de veiller au bon déroulement des primaires en vue de la présidentielle 2012 seront les "gardiens des règles et des formes", explique l'un d'eux, l'avocat Jean-Pierre Mignard, dans un entretien au Nouvel Observateur jeudi.
Le PS a désigné mercredi comme membres de la "Haute autorité", outre Me Mignard, la juriste Mireille Delmas-Marty et l'ancien préfet Rémy Pautrat.
"Il s'agit d'une autorité indépendante de la représentation politique du parti. Elle sera en charge de veiller à ce que le PS se comporte équitablement vis-à-vis de tous les candidats, notamment sur les moyens financiers", indique l'avocat.
"Il nous faudra réfléchir aux sollicitations par les médias et à une règle sur la répartition des temps de parole. A l'issue du vote, la haute autorité rendra son avis sur le déroulement du scrutin et sur le résultat final", poursuit-il.
"Pendant la campagne, si un candidat s'affranchissait des règles éthiques (...) il sera du devoir de la haute autorité de distribuer un carton jaune, de dire publiquement et collégialement qu'un tel ne respecte pas les valeurs du droit, de la démocratie et du socialisme français", prévient-il.
Enfin, l'instance devra se pencher sur les irrégularités signalées au moment du scrutin et décider d'une éventuelle annulation de résultats dans des bureaux de vote litigieux. "Les élections au PS vont désormais se dérouler comme dans toute société démocratique ordonnée", promet Me Mignard, en rappelant le "traumatisme" du Congrès de Reims en 2008, où Martine Aubry fut élue à la tête du PS dans des conditions très controversées.
Reconnaissant être "un ami de Ségolène Royal", qu'il avait soutenue en 2008 face à Mme Aubry dans la conquête du parti, Jean-Pierre Mignard exclut... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
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La cote d'avenir de DSK se lézarde
Son avance reste confortable et Dominique Strauss-Kahn reste en tête des personnalités politiques avec une "cote d'avenir" de 42%, selon le dernier baromètre mensuel TNS Sofres Logica (1) pour Le Figaro Magazine. Sa cote enregistre pourtant une chute de 7 points en janvier. "Cette baisse de la cote d'avenir de Dominique Strauss-Kahn est d'autant plus notable que celles de ses possibles concurrents aux primaires socialistes restent stables", souligne l'institut.
L'écart entre lui et Martine Aubry (seconde du classement avec 38%, -1) se réduit à 4 points, au lieu de 10 points le mois dernier. François Hollande (31%) et Ségolène Royal (28%) sont stables. Manuel Valls (18%) cède un point, ainsi qu'Arnaud Montebourg (17%).
"Une dégradation globale du rapport au politique"
L'étude relève une baisse de popularité générale qui "n'est pas concentrée sur le couple exécutif mais témoigne d'une dégradation plus globale du rapport au politique. Les baisses sont particulièrement marquées chez les personnalités de droite et n'épargnent pratiquement aucun ministre", ajoute l'institut : Michèle Alliot-Marie (28%, -4 points), Christine Lagarde (28%, -4), Alain Juppé (27%, -4), Frédéric Mitterrand (23%, -3) et Xavier Bertrand (18%, -2) voient leur cote d'avenir reculer. Jean-François Copé perd 4 points à 19%.
A gauche de la gauche, Olivier Besancenot cède 4 points à 28% et Jean-Luc Mélenchon 2 points à 15%. François Bayrou (26%) recule de 5 points. Eva Joly (23%) en cède 1. Marine Le Pen est l'une des rares à progresser (d'un point), à 19%.
(1) Enquête réalisée du 28 au 31 janvier auprès d'un échantillon de 1000 personnes interrogées en face à face à leur domicile (méthode des quotas).
http://lci.tf1.fr/politique/la-cote-d-avenir-de-dsk-se-lezarde-6257700.html
L'écart entre lui et Martine Aubry (seconde du classement avec 38%, -1) se réduit à 4 points, au lieu de 10 points le mois dernier. François Hollande (31%) et Ségolène Royal (28%) sont stables. Manuel Valls (18%) cède un point, ainsi qu'Arnaud Montebourg (17%).
"Une dégradation globale du rapport au politique"
L'étude relève une baisse de popularité générale qui "n'est pas concentrée sur le couple exécutif mais témoigne d'une dégradation plus globale du rapport au politique. Les baisses sont particulièrement marquées chez les personnalités de droite et n'épargnent pratiquement aucun ministre", ajoute l'institut : Michèle Alliot-Marie (28%, -4 points), Christine Lagarde (28%, -4), Alain Juppé (27%, -4), Frédéric Mitterrand (23%, -3) et Xavier Bertrand (18%, -2) voient leur cote d'avenir reculer. Jean-François Copé perd 4 points à 19%.
A gauche de la gauche, Olivier Besancenot cède 4 points à 28% et Jean-Luc Mélenchon 2 points à 15%. François Bayrou (26%) recule de 5 points. Eva Joly (23%) en cède 1. Marine Le Pen est l'une des rares à progresser (d'un point), à 19%.
(1) Enquête réalisée du 28 au 31 janvier auprès d'un échantillon de 1000 personnes interrogées en face à face à leur domicile (méthode des quotas).
http://lci.tf1.fr/politique/la-cote-d-avenir-de-dsk-se-lezarde-6257700.html
mercredi 2 février 2011
Les petites phrases du jour
POLÉMIQUE SUR MICHÈLE ALLIOT-MARIE - Manuel Valls, sur Radio Classique-i-Télé: Le Canard enchaîné révèle mercredi que Michèle Alliot-Marie aurait profité du prêt d'un jet privé pour ses vacances en Tunisie de la part de l'homme d'affaires Aziz Miled, un proche de Ben Ali. "Ça me parait difficile, si ces faits sont avérés, de continuer à représenter la France aux responsabilités qui sont les siennes", a souligné le député-maire d'Evry à propos de l'article du Canard Enchaîné sur Michèle Alliot-Marie.
POLÉMIQUE SUR MICHÈLE ALLIOT-MARIE ET TVA - Martine Aubry sur RTL: "Si c'est vrai, c'est grave. Quand on est dans un gouvernement, on n'a pas à utiliser des moyens privés", a estimé la maire de Lille à propos de l'affaire MAM. Elle s'est aussi opposée à la proposition de Jean-François Copé d'une hausse de la TVA. "M. Copé pense souvent ce que M. Sarkozy pense tout bas. C'est peut-être l'avant pensée du candidat Sarkozy. C'est ce qu'il nous prépare. On transfère des entreprises vers les consommateurs, c'est-à-dire vers les salariés." Quant à une candidature aux primaires, Martine Aubry a botté en touche: "On y réfléchit tous pour trouver la bonne solution".
SARKOZY ET CHIRAC - Dominique de Villepin, sur RMC-BFMTV: Un rapprochement avec Nicolas Sarkozy? "J'ai entendu que des émissaires déploieraient beaucoup d'effort à cela. Pas que je sache." Sur l'état de la santé de Jacques Chirac, l'ancien secrétaire général de l'Elysée estime que "la question de santé d'un ancien président de la République comme de n'importe quel citoyen relève de la sphère privée".
POLÉMIQUE SUR MICHÈLE ALLIOT-MARIE - Patrick Ollier, sur RTL: Le ministre des Relations avec le parlement et compagnon de Michèle Alliot-Marie a contredit les affirmations du Canard enchaîné. Aziz Miled "est plus une victime qu'autre chose du clan Ben Ali. Il a été spolié par M. Trabelsi, qui lui a, il y a quelques mois, pris 20% de son entreprise. Tout est bon pour attaquer Michèle. On extrapole un mot de ce qu'elle a dit pour attaquer ce mot-là. Là, on fait un amalgame. (…) C'est tout à fait choquant et scandaleux. Bien sûr qu'on attaque Michèle. On n'attaque que ceux qui ont des qualités et des mérites."
EGYPTE - Laurent Fabius, sur Europe 1: Il est "dans l’ordre des choses" que Hosni Moubarak quitte le pouvoir en Egypte, a estimé l'ancien Premier ministre. "C’est une révolution de la dignité" qui se déroule dans le pays, a-t-il martelé, indiquant que "s'il était Egyptien", il participerait aux manifestations. A son sens, la France ne s’implique pas assez dans la résolution de la crise égyptienne. Il s'agit maintenant pour le gouvernement français "de ne pas agir à contre-temps", afin d'"aider" l'Egypte à se redresser politiquement, a-t-il poursuivi. Par ailleurs, le député a annoncé que le Parti socialiste, s'il accédait à la présidence en 2012, appellerait au retrait "rapide" mais "responsable" des troupes françaises d'Afghanistan. "Il faut préparer dès maintenant notre retrait, (...) dès 2011", a-t-il ainsi exposé. "Ce n’est pas une solution militaire qui aidera l'Afghanistan", a-t-il aussi analysé.
DOMINIQUE STRAUSS-KAHN ATTAQUE - Pierre Moscovici, dans les couloirs de l'Assemblée nationale: Proche du directeur du FMI, le député du Doubs a dénoncé les critiques émanant de la gauche visant Dominique Strauss-Kahn, dénonçant la "machine à perdre" et la "machine à taper sur DSK". "Je crois simplement qu'il faudrait qu'à gauche on ait une sorte de code de bonne conduite. C'est quand même absurde que certains prennent pour cible celui qui, à l'évidence, est le mieux placé pour permettre à la gauche de l'emporter à l'élection présidentielle", a-t-il déclaré.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Toutes-les-declarations-politiques-du-mercredi-2-fevrier-262779
POLÉMIQUE SUR MICHÈLE ALLIOT-MARIE ET TVA - Martine Aubry sur RTL: "Si c'est vrai, c'est grave. Quand on est dans un gouvernement, on n'a pas à utiliser des moyens privés", a estimé la maire de Lille à propos de l'affaire MAM. Elle s'est aussi opposée à la proposition de Jean-François Copé d'une hausse de la TVA. "M. Copé pense souvent ce que M. Sarkozy pense tout bas. C'est peut-être l'avant pensée du candidat Sarkozy. C'est ce qu'il nous prépare. On transfère des entreprises vers les consommateurs, c'est-à-dire vers les salariés." Quant à une candidature aux primaires, Martine Aubry a botté en touche: "On y réfléchit tous pour trouver la bonne solution".
SARKOZY ET CHIRAC - Dominique de Villepin, sur RMC-BFMTV: Un rapprochement avec Nicolas Sarkozy? "J'ai entendu que des émissaires déploieraient beaucoup d'effort à cela. Pas que je sache." Sur l'état de la santé de Jacques Chirac, l'ancien secrétaire général de l'Elysée estime que "la question de santé d'un ancien président de la République comme de n'importe quel citoyen relève de la sphère privée".
POLÉMIQUE SUR MICHÈLE ALLIOT-MARIE - Patrick Ollier, sur RTL: Le ministre des Relations avec le parlement et compagnon de Michèle Alliot-Marie a contredit les affirmations du Canard enchaîné. Aziz Miled "est plus une victime qu'autre chose du clan Ben Ali. Il a été spolié par M. Trabelsi, qui lui a, il y a quelques mois, pris 20% de son entreprise. Tout est bon pour attaquer Michèle. On extrapole un mot de ce qu'elle a dit pour attaquer ce mot-là. Là, on fait un amalgame. (…) C'est tout à fait choquant et scandaleux. Bien sûr qu'on attaque Michèle. On n'attaque que ceux qui ont des qualités et des mérites."
EGYPTE - Laurent Fabius, sur Europe 1: Il est "dans l’ordre des choses" que Hosni Moubarak quitte le pouvoir en Egypte, a estimé l'ancien Premier ministre. "C’est une révolution de la dignité" qui se déroule dans le pays, a-t-il martelé, indiquant que "s'il était Egyptien", il participerait aux manifestations. A son sens, la France ne s’implique pas assez dans la résolution de la crise égyptienne. Il s'agit maintenant pour le gouvernement français "de ne pas agir à contre-temps", afin d'"aider" l'Egypte à se redresser politiquement, a-t-il poursuivi. Par ailleurs, le député a annoncé que le Parti socialiste, s'il accédait à la présidence en 2012, appellerait au retrait "rapide" mais "responsable" des troupes françaises d'Afghanistan. "Il faut préparer dès maintenant notre retrait, (...) dès 2011", a-t-il ainsi exposé. "Ce n’est pas une solution militaire qui aidera l'Afghanistan", a-t-il aussi analysé.
DOMINIQUE STRAUSS-KAHN ATTAQUE - Pierre Moscovici, dans les couloirs de l'Assemblée nationale: Proche du directeur du FMI, le député du Doubs a dénoncé les critiques émanant de la gauche visant Dominique Strauss-Kahn, dénonçant la "machine à perdre" et la "machine à taper sur DSK". "Je crois simplement qu'il faudrait qu'à gauche on ait une sorte de code de bonne conduite. C'est quand même absurde que certains prennent pour cible celui qui, à l'évidence, est le mieux placé pour permettre à la gauche de l'emporter à l'élection présidentielle", a-t-il déclaré.
http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Toutes-les-declarations-politiques-du-mercredi-2-fevrier-262779
«Il y aura un candidat centriste»
Hervé Morin, ex-ministre de la Défense et président du Nouveau Centre est dans la Somme aujourd'hui. Tour d'horizon avec un probable candidat à l'élection présidentielle.
Hervé Morin, quelle est la place du Nouveau Centre dans le paysage politique français?
Je défends l'idée d'une formation politique qui a les yeux ouverts sur le monde et qui propose des réponses à la fois nationales et européennes. Sur le pan national, il faut réduire les prélèvements sociaux, les cotisations sur le travail qui affaiblissent la compétitivité de nos entreprises. Il faut transformer en profondeur notre fiscalité.
Deuxième idée; il faut construire une Europe qui devienne une puissance pour porter une politique économique commune, avec une convergence fiscale, une politique industrielle. Il faut que nous soyons capables aussi de porter une politique étrangère, une politique de défense pour que le monde ne se fasse pas sans nous.
Ce discours, d'autres le tiennent. Où est votre spécificité ?
Un des malaises de notre société, c'est ce sentiment qu'ont nos compatriotes de ne pas être reconnus. Je veux donc porter une nouvelle idée de la fraternité, une société de la reconnaissance.
Vous avez choisi de ne plus jouer les supplétifs de l'UMP. Quoi qu'il arrive, il y aura un candidat centriste en2012 ?
Toute ma mission en tant que président du Nouveau Centre, c'est cela.
Vous ne redoutez pas un manque de lisibilité, avec une multiplication des candidatures centristes issues de l'ex-UDF?
L'année 2011 sera une période de décantation, de clarification. À l'automne nous verrons qui sera sur la ligne de départ. L'idée c'est que nous soyons assez forts et audibles pour porter certains messages. Il faut regarder la situation avec lucidité; notre pays est très endetté et c'est un facteur d'atteinte à notre souveraineté. Que fait-on pour se remettre à l'équilibre?
Vous avez, vous aussi, le sentiment que le gouvernement s'est nettement droitisé?
Pas plus qu'avant. Sa composition est très RPR mais la politique reste la même.
Vous ne pensez pas qu'il chasse sur les terres du FN, notamment sur le créneau sécuritaire?
La demande de sécurité est très forte, il ne faut pas la négliger. Or on voit bien que nous avons des failles dans nos dispositifs.
Vous pensez que c'est en légiférant à tour de bras qu'on règle la question?
Non. Le meilleur moyen de lutter contre l'insécurité c'est d'abord l'éducation, et malheureusement notre système éducatif produit 20% d'illettrés. Il y a là un gros danger pour notre société. L'éducation doit être une priorité absolue.
On y arrivera en supprimant 16000 postes dans l'Éducation nationale?
Ce n'est pas seulement une question quantitative, il y avait 20% d'illettrés avant. Mais au-delà de cette question, il faut un système judiciaire qui marche mieux avec plus de moyens. Un système dans lequel les sanctions sont appliquées mais dans lequel on donne une deuxième chance, avec des mécanismes de réadaptation et de réinsertion efficaces.
Les élections cantonales seront un test national ou juste une élection locale comme le dit l'UMP?
C'est d'abord et avant tout des gens qui votent pour un homme. Je le constate chez moi.
Il y aura des candidats Nouveau Centre partout, quitte à fragiliser la situation de la droite?
Pas partout. L'idée c'est d'en avoir là où nous aurons des bons candidats. C'est comme ça qu'Olivier Jardé et Stéphane Demilly ont construit les candidatures dans la Somme
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Il-y-aura-un-candidat-centriste
Hervé Morin, quelle est la place du Nouveau Centre dans le paysage politique français?
Je défends l'idée d'une formation politique qui a les yeux ouverts sur le monde et qui propose des réponses à la fois nationales et européennes. Sur le pan national, il faut réduire les prélèvements sociaux, les cotisations sur le travail qui affaiblissent la compétitivité de nos entreprises. Il faut transformer en profondeur notre fiscalité.
Deuxième idée; il faut construire une Europe qui devienne une puissance pour porter une politique économique commune, avec une convergence fiscale, une politique industrielle. Il faut que nous soyons capables aussi de porter une politique étrangère, une politique de défense pour que le monde ne se fasse pas sans nous.
Ce discours, d'autres le tiennent. Où est votre spécificité ?
Un des malaises de notre société, c'est ce sentiment qu'ont nos compatriotes de ne pas être reconnus. Je veux donc porter une nouvelle idée de la fraternité, une société de la reconnaissance.
Vous avez choisi de ne plus jouer les supplétifs de l'UMP. Quoi qu'il arrive, il y aura un candidat centriste en2012 ?
Toute ma mission en tant que président du Nouveau Centre, c'est cela.
Vous ne redoutez pas un manque de lisibilité, avec une multiplication des candidatures centristes issues de l'ex-UDF?
L'année 2011 sera une période de décantation, de clarification. À l'automne nous verrons qui sera sur la ligne de départ. L'idée c'est que nous soyons assez forts et audibles pour porter certains messages. Il faut regarder la situation avec lucidité; notre pays est très endetté et c'est un facteur d'atteinte à notre souveraineté. Que fait-on pour se remettre à l'équilibre?
Vous avez, vous aussi, le sentiment que le gouvernement s'est nettement droitisé?
Pas plus qu'avant. Sa composition est très RPR mais la politique reste la même.
Vous ne pensez pas qu'il chasse sur les terres du FN, notamment sur le créneau sécuritaire?
La demande de sécurité est très forte, il ne faut pas la négliger. Or on voit bien que nous avons des failles dans nos dispositifs.
Vous pensez que c'est en légiférant à tour de bras qu'on règle la question?
Non. Le meilleur moyen de lutter contre l'insécurité c'est d'abord l'éducation, et malheureusement notre système éducatif produit 20% d'illettrés. Il y a là un gros danger pour notre société. L'éducation doit être une priorité absolue.
On y arrivera en supprimant 16000 postes dans l'Éducation nationale?
Ce n'est pas seulement une question quantitative, il y avait 20% d'illettrés avant. Mais au-delà de cette question, il faut un système judiciaire qui marche mieux avec plus de moyens. Un système dans lequel les sanctions sont appliquées mais dans lequel on donne une deuxième chance, avec des mécanismes de réadaptation et de réinsertion efficaces.
Les élections cantonales seront un test national ou juste une élection locale comme le dit l'UMP?
C'est d'abord et avant tout des gens qui votent pour un homme. Je le constate chez moi.
Il y aura des candidats Nouveau Centre partout, quitte à fragiliser la situation de la droite?
Pas partout. L'idée c'est d'en avoir là où nous aurons des bons candidats. C'est comme ça qu'Olivier Jardé et Stéphane Demilly ont construit les candidatures dans la Somme
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Il-y-aura-un-candidat-centriste
Les Cantonales, comment ça marche ?
On élit qui ?
Les électeurs iront aux urnes pour élire les conseillers généraux. Ces élus, qui représentent chacun un canton, siègent au Conseil général, l'assemblée qui administre le département. Elle est renouvelée de moitié tous les trois ans et le mandat d'un conseiller général est de six ans (toutefois, le mandat de ceux élus cette année expirera en 2014, année d'élections des premiers conseillers territoriaux, mis en place par la réforme des collectivités territoriales). Une fois élus, les membres du Conseil général élisent à leur tour un président. Quelque 2023 cantons de métropole et d'outre-mer seront renouvelés cette année.
Les compétences du Conseil général sont assez larges depuis la loi de décentralisation de 2004. Elles concernent la prise en charge des aides sociales (comme le RSA) et économiques, l'éducation, le contrôle du patrimoine, la voirie locale, les transports.
Paris n'est pas concerné par les élections cantonales puisque la ville est également un département : les conseillers municipaux ont la double casquette de conseillers municipaux-généraux.
Comment voter ?
Le vote aura lieu le dimanche 20 mars pour le premier tour et le dimanche 27 mars pour le second. Les conseillers généraux sont élus au suffrage universel direct, lors d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours comme pour les élections présidentielles ou législatives. Un candidat est élu dès le premier tour s'il a obtenu la majorité absolue des suffrages et un nombre de voix égal à 25% des électeurs inscrits. Ceux qui se présentent au second tour ont obtenu au moins 12,5% des voix.
Une nouveauté cette année : tous les candidats devront se présenter avec un suppléant de sexe opposé afin de respecter la parité. Dans la pratique, les conseillers généraux restent toutefois majoritairement des hommes.
Quels enjeux politiques ?
Deux camps politiques se font face. Décidée à briser cette guerre de position, la gauche qui gère 58 départements sur 101 compte atteindre les 60, avec en ligne de mire les Hautes-Alpes, l'Aveyron et la Côte d'Or. Samedi dernier, Martine Aubry a choisi de nationaliser le débat et de faire de ce rendez-vous électoral une étape de la « reconquête » avant 2012.
Sur la défensive, l'UMP cherche à conserver ses départements. Les analystes politiques estiment toutefois que la Corrèze et le Val d'Oise pourraient tomber dans l'escarcelle du parti majoritaire.
Au-delà de cette échéance, les conseillers généraux pèseront directement dans le renouvellement du Sénat à l'automne 2011, les sénateurs étant élus au suffrage indirect par des collèges électoraux réunissant conseillers municipaux, généraux, régionaux et députés. Une victoire de la Gauche aux cantonales motiverait les troupes en vue de faire basculer le Sénat dans l'opposition
http://www.francesoir.fr/actualite/politique/cantonales-comment-ca-marche-69372.html
Les électeurs iront aux urnes pour élire les conseillers généraux. Ces élus, qui représentent chacun un canton, siègent au Conseil général, l'assemblée qui administre le département. Elle est renouvelée de moitié tous les trois ans et le mandat d'un conseiller général est de six ans (toutefois, le mandat de ceux élus cette année expirera en 2014, année d'élections des premiers conseillers territoriaux, mis en place par la réforme des collectivités territoriales). Une fois élus, les membres du Conseil général élisent à leur tour un président. Quelque 2023 cantons de métropole et d'outre-mer seront renouvelés cette année.
Les compétences du Conseil général sont assez larges depuis la loi de décentralisation de 2004. Elles concernent la prise en charge des aides sociales (comme le RSA) et économiques, l'éducation, le contrôle du patrimoine, la voirie locale, les transports.
Paris n'est pas concerné par les élections cantonales puisque la ville est également un département : les conseillers municipaux ont la double casquette de conseillers municipaux-généraux.
Comment voter ?
Le vote aura lieu le dimanche 20 mars pour le premier tour et le dimanche 27 mars pour le second. Les conseillers généraux sont élus au suffrage universel direct, lors d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours comme pour les élections présidentielles ou législatives. Un candidat est élu dès le premier tour s'il a obtenu la majorité absolue des suffrages et un nombre de voix égal à 25% des électeurs inscrits. Ceux qui se présentent au second tour ont obtenu au moins 12,5% des voix.
Une nouveauté cette année : tous les candidats devront se présenter avec un suppléant de sexe opposé afin de respecter la parité. Dans la pratique, les conseillers généraux restent toutefois majoritairement des hommes.
Quels enjeux politiques ?
Deux camps politiques se font face. Décidée à briser cette guerre de position, la gauche qui gère 58 départements sur 101 compte atteindre les 60, avec en ligne de mire les Hautes-Alpes, l'Aveyron et la Côte d'Or. Samedi dernier, Martine Aubry a choisi de nationaliser le débat et de faire de ce rendez-vous électoral une étape de la « reconquête » avant 2012.
Sur la défensive, l'UMP cherche à conserver ses départements. Les analystes politiques estiment toutefois que la Corrèze et le Val d'Oise pourraient tomber dans l'escarcelle du parti majoritaire.
Au-delà de cette échéance, les conseillers généraux pèseront directement dans le renouvellement du Sénat à l'automne 2011, les sénateurs étant élus au suffrage indirect par des collèges électoraux réunissant conseillers municipaux, généraux, régionaux et députés. Une victoire de la Gauche aux cantonales motiverait les troupes en vue de faire basculer le Sénat dans l'opposition
http://www.francesoir.fr/actualite/politique/cantonales-comment-ca-marche-69372.html
mardi 1 février 2011
Président malgré tout
De ce mois de janvier dominé par les cérémonies de voeux, on retiendra ceci : Nicolas Sarkozy a changé. Dans la forme et le fond. Le chef de l'Etat conduit avec détermination et sans raté apparent l'opération 'présidentialisation' engagée au lendemain du laborieux remaniement ministériel du 14 novembre. Dans ses interventions publiques, les énervements ont disparu, les familiarités aussi. Le débit est plus lent, les propos sont sérieux, voire ennuyeux. Voilà pour le style. Mais il y a aussi les mots qui marquent une rupture avec le volontarisme exacerbé qui a longtemps été la marque du sarkozysme. Lire la suite l'article
De la conférence de presse donnée, lundi 24 janvier, sur l'international, les observateurs ont retenu deux choses : le mea culpa sur la Tunisie et la grande prudence sur les objectifs de la présidence française du G20. Tout le contraire de ce qu'ils avaient l'habitude d'entendre.
Dans la quatrième année de sa présidence, M. Sarkozy s'est heurté au réel. Il est enfin devenu président de la République. C'est le seul élément tangible de son entrée dans 2011, marquée par un faisceau serré de faiblesses et de contraintes : il est toujours affligé d'une cote de popularité très basse. Il n'est plus tout à fait certain de contrôler sa majorité. Ses marges de manoeuvre budgétaires sont nulles et les perspectives de croissance restent si faibles qu'il ne peut tabler sur rien pour mettre un peu de baume au coeur des Français.
Dans ce contexte, l'opération présidentialisation n'est pas qu'un habillage. Elle est le seul atout dont dispose M. Sarkozy pour tenter de rebondir d'ici à 2012. Elle est là pour faire oublier les erreurs passées, le bling-bling, l'EPAD, l'affaire Bettencourt, tout ce qui a nourri le ressentiment des Français et donné le sentiment d'une 'République abîmée', comme le pointe le Parti socialiste. La présidentialisation permet aussi de hisser M. Sarkozy une marche au-dessus des autres. Le président a beau être affaibli, il est malgré tout président. Et cela lui donne un degré de crédibilité en plus par rapport aux autres prétendants pour discuter des affaires du monde par ces temps difficiles. C'était le but du coup de projecteur sur les sujets internationaux dans un pays d'ordinaire bien plus tourné vers la scène intérieure.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/01/28/president-malgre-tout_1471922_3232.html#xtor=AL-32280184
De la conférence de presse donnée, lundi 24 janvier, sur l'international, les observateurs ont retenu deux choses : le mea culpa sur la Tunisie et la grande prudence sur les objectifs de la présidence française du G20. Tout le contraire de ce qu'ils avaient l'habitude d'entendre.
Dans la quatrième année de sa présidence, M. Sarkozy s'est heurté au réel. Il est enfin devenu président de la République. C'est le seul élément tangible de son entrée dans 2011, marquée par un faisceau serré de faiblesses et de contraintes : il est toujours affligé d'une cote de popularité très basse. Il n'est plus tout à fait certain de contrôler sa majorité. Ses marges de manoeuvre budgétaires sont nulles et les perspectives de croissance restent si faibles qu'il ne peut tabler sur rien pour mettre un peu de baume au coeur des Français.
Dans ce contexte, l'opération présidentialisation n'est pas qu'un habillage. Elle est le seul atout dont dispose M. Sarkozy pour tenter de rebondir d'ici à 2012. Elle est là pour faire oublier les erreurs passées, le bling-bling, l'EPAD, l'affaire Bettencourt, tout ce qui a nourri le ressentiment des Français et donné le sentiment d'une 'République abîmée', comme le pointe le Parti socialiste. La présidentialisation permet aussi de hisser M. Sarkozy une marche au-dessus des autres. Le président a beau être affaibli, il est malgré tout président. Et cela lui donne un degré de crédibilité en plus par rapport aux autres prétendants pour discuter des affaires du monde par ces temps difficiles. C'était le but du coup de projecteur sur les sujets internationaux dans un pays d'ordinaire bien plus tourné vers la scène intérieure.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/01/28/president-malgre-tout_1471922_3232.html#xtor=AL-32280184
Gilbert Montagné a démissionné de son poste à l'UMP
On se souvient peut-être davantage de Gilbert Montagné comme «acteur» au sein du lib dub des Jeunes populaires que comme secrétaire national au handicap à l’UMP. Toujours est-il que le chanteur a annoncé ce mardi, sur MFM, avoir démissionné de son poste «il y a quelques mois». «Je n’ai aucune divergence à l’UMP, j’ai beaucoup d’amitié pour beaucoup de gens à l’intérieur mais si j’ai démissionné, c’est que j’ai découvert que finalement, je faisais aussi bien depuis le début de ma carrière, à faire avancer les choses dans le domaine de l’handicap», a-t-il déclaré.
«Je n’ai pas besoin d’un titre pour ça, je suis le titre moi-même, j’ai décidé que c’était mieux comme ça», a-t-il continué. Gilbert Montagné a précisé qu’il n’avait pas été «récupéré» par l’UMP car il avait eu «l’envie» et «l’honneur» d’obtenir ce poste. Le chanteur n’exclut d’ailleurs pas de briguer un mandat de maire, mais «seulement dans l’idée de faciliter la vie et l’accessibilitédes personnes handicapées qui ne veulent surtout pas être surhandicappées».
http://www.20minutes.fr/ledirect/662650/people-gilbert-montagne-demissionne-poste-ump
«Je n’ai pas besoin d’un titre pour ça, je suis le titre moi-même, j’ai décidé que c’était mieux comme ça», a-t-il continué. Gilbert Montagné a précisé qu’il n’avait pas été «récupéré» par l’UMP car il avait eu «l’envie» et «l’honneur» d’obtenir ce poste. Le chanteur n’exclut d’ailleurs pas de briguer un mandat de maire, mais «seulement dans l’idée de faciliter la vie et l’accessibilitédes personnes handicapées qui ne veulent surtout pas être surhandicappées».
http://www.20minutes.fr/ledirect/662650/people-gilbert-montagne-demissionne-poste-ump
Les petites phrases du jour
HAUSSE DE LA TVA - Jean-François Copé dans Le Parisien: Face aux lecteurs du Parisien, Jean-François Copé s'est déclaré favorable à une hausse de la TVA en contrepartie d'une baisse des charges sociales, le tout afin d'abaisser le coût du travail. "Une point supplémentaire de TVA, ça se voit à peine. Il faut y réfléchir", a déclaré le secrétaire général de l'UMP, par ailleurs favorable à la suppression définitive des 35 heures.
CANTONALES - Jean-François Copé sur France Info: Le secrétaire général de l'UMP est revenu sur le lancement de la campagne des cantonales par la majorité. "Ça doit être pour un grand parti politique l’occasion de voir aussi l'état de notre organisation. C'est ce que j'ai appelé le tour de chauffe, de voir sur le terrain fédération par fédération comment nous sommes organisés. Est ce que nous avons les bonnes dynamiques? Les bonnes structures dans les circonscriptions?", explique Jean-François Copé. "C'est le rôle d'un secrétaire général (...) d'un grand parti politique de dire que dans un peu plus d'un an il y a une élection présidentielle, voyons l'état de mobilisation de nos troupes pour en tirer des conséquences pour la suite."
HAUSSE DE LA TVA - Christine Lagarde sur RTL: Invitée de RTL mardi matin, la ministre de l'Economie Christine Lagarde s'est frontalement opposée à la proposition de Jean-François Copé d'augmenter d'un point le taux de TVA. "Une augmentation de la TVA entraînerait une augmentation immédiate du volume des prix alors qu'on n'aurait pas immédiatement une diminution des charges sociales", a corrigé la locataire de Bercy, ajoutant toutefois qu'il s'agit d'une "piste intéressante de réflexion".
DE VILLEPIN ET NICOLAS SARKOZY - Bruno Le Maire sur RMC/BFM TV : Le ministre de l'Agriculture a nié le fait de "servir d'intermédiaire" entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin. "Non et je ne le souhaite pas. A aucun moment, le président de la République m'a demandé de faire l'intermédiaire." S'ils "pouvaient s'entendre dans les mois à venir et faire en sorte que notre majorité soit encore plus rassemblée qu'elle ne l'est aujourd'hui, je serai le plus heureux des Hommes", confie Bruno Le Maire.
NICOLAS HULOT ET 2012 - Daniel Cohn-Bendit sur France Inter: Le député européen a évoqué une candidature écologiste pour la présidentielle. "Je ne sais pas s'il sera candidat (...)il a visiblement envie, il règle des problèmes", affirme Daniel Cohn-Bendit à propos de Nicolas Hulot. "Je suis pour que le parti Europe-Ecologie-Les Verts décide de soutenir un candidat de l'écologie. Mais je veux que ni Eva (Joly) ni Nicolas (Hulot) ne soit le candidat du parti. Pour une présidentielle il faut élargir." Ce candidat doit être "soutenu par Europe-Ecologie-Les Verts mais ce n'est pas le parti qui a les manettes, la main mise sur la candidature." Il doit être "situer clairement contre Nicolas Sarkozy. Mais entre Nicolas Sarkozy et la gauche il y a un espace politique qu'il faut reconnaître."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-mardi-1er-fevrier-2011-262269
Daniel Cohn-Bendit
envoyé par franceinter. - L'actualité du moment en vidéo.
CANTONALES - Jean-François Copé sur France Info: Le secrétaire général de l'UMP est revenu sur le lancement de la campagne des cantonales par la majorité. "Ça doit être pour un grand parti politique l’occasion de voir aussi l'état de notre organisation. C'est ce que j'ai appelé le tour de chauffe, de voir sur le terrain fédération par fédération comment nous sommes organisés. Est ce que nous avons les bonnes dynamiques? Les bonnes structures dans les circonscriptions?", explique Jean-François Copé. "C'est le rôle d'un secrétaire général (...) d'un grand parti politique de dire que dans un peu plus d'un an il y a une élection présidentielle, voyons l'état de mobilisation de nos troupes pour en tirer des conséquences pour la suite."
HAUSSE DE LA TVA - Christine Lagarde sur RTL: Invitée de RTL mardi matin, la ministre de l'Economie Christine Lagarde s'est frontalement opposée à la proposition de Jean-François Copé d'augmenter d'un point le taux de TVA. "Une augmentation de la TVA entraînerait une augmentation immédiate du volume des prix alors qu'on n'aurait pas immédiatement une diminution des charges sociales", a corrigé la locataire de Bercy, ajoutant toutefois qu'il s'agit d'une "piste intéressante de réflexion".
DE VILLEPIN ET NICOLAS SARKOZY - Bruno Le Maire sur RMC/BFM TV : Le ministre de l'Agriculture a nié le fait de "servir d'intermédiaire" entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin. "Non et je ne le souhaite pas. A aucun moment, le président de la République m'a demandé de faire l'intermédiaire." S'ils "pouvaient s'entendre dans les mois à venir et faire en sorte que notre majorité soit encore plus rassemblée qu'elle ne l'est aujourd'hui, je serai le plus heureux des Hommes", confie Bruno Le Maire.
NICOLAS HULOT ET 2012 - Daniel Cohn-Bendit sur France Inter: Le député européen a évoqué une candidature écologiste pour la présidentielle. "Je ne sais pas s'il sera candidat (...)il a visiblement envie, il règle des problèmes", affirme Daniel Cohn-Bendit à propos de Nicolas Hulot. "Je suis pour que le parti Europe-Ecologie-Les Verts décide de soutenir un candidat de l'écologie. Mais je veux que ni Eva (Joly) ni Nicolas (Hulot) ne soit le candidat du parti. Pour une présidentielle il faut élargir." Ce candidat doit être "soutenu par Europe-Ecologie-Les Verts mais ce n'est pas le parti qui a les manettes, la main mise sur la candidature." Il doit être "situer clairement contre Nicolas Sarkozy. Mais entre Nicolas Sarkozy et la gauche il y a un espace politique qu'il faut reconnaître."
http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Ils-l-ont-dit-aujourd-hui-mardi-1er-fevrier-2011-262269
Daniel Cohn-Bendit
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PRÉSIDENTIELLE 2012 - Les militants UMP peuvent-ils troubler les primaires PS ?
Université d'été de La Rochelle, fin août 2010. Arnaud Montebourg fait face à quelque 200 militants avides de connaître les détails de l'organisation des primaires qui désigneront le candidat PS pour 2012. Ils sont aussi un peu inquiets, ces militants... Le corps électoral de ce scrutin - qui se tiendra en octobre 2011 - sera pour la première fois élargi à toute personne qui s'acquittera d'un euro symbolique et signera une déclaration sur l'honneur stipulant qu'elle adhère aux valeurs de la gauche.
Certains imaginent donc déjà des cars pleins à craquer, déversant devant les bureaux de vote des centaines de milliers de militants UMP sans scrupules. Ils glisseraient dans l'urne le nom du plus mauvais candidat, celui qui s'inclinerait à coup sûr face à Nicolas Sarkozy... Du calme, ce scénario apocalyptique est en fait jugé totalement improbable, voir ridicule, par le PS. En cette fin d'été, Montebourg décide de rassurer la salle en faisant un test. L'artisan des primaires demande : "Parmi vous, qui serait prêt à payer et à signer sur l'honneur qu'il adhère aux valeurs de la droite pour aller perturber des primaires UMP ?" Moins de cinq mains se lèvent.
"C'est pas facile d'être un menteur"
La démonstration est irréfutable, selon Olivier Ferrand, coauteur avec Arnaud Montebourg de Primaire : comment sauver la gauche ? "Si un cadre de parti peut être assez pervers ou tordu pour s'amuser à aller perturber le jeu démocratique du camp d'en face, un citoyen n'est en revanche pas pervers", assure-t-il. Il se base sur une observation approfondie des primaires organisées en Italie et aux États-Unis, où "il n'y a pas eu d'infiltration du camp d'en face". Sans compter que "les primaires vont réunir des millions de votants. Pour que le parasitage ait un impact, il faudrait la mobilisation de beaucoup de militants de droite..."
Par ailleurs, il juge les obstacles à franchir assez rédhibitoires pour ceux qui seraient tout de même tentés par l'aventure. "Déjà, il faut mentir, c'est pas facile d'être un menteur", relève Olivier Ferrand en allusion à la déclaration d'adhésion aux valeurs de la gauche. "Et puis, il faut financer la gauche pour ce mensonge"... "Signer Je m'engage à soutenir les valeurs de la gauche, c'est proprement insupportable pour un militant de droite", renchérit François Lamy, le conseiller politique de Martine Aubry.
"Trop compliqué" pour Lancar
Ensuite, Olivier Ferrand fait valoir une organisation logistique compliquée à contourner : "Il faut s'inscrire dans le bureau de vote à côté de chez soi. Dans une zone rurale où tout le monde se connaît, un militant UMP qui voudra venir voter repartira avec du goudron et des plumes", dit-il en riant. Il concède toutefois "que l'idée passera sans doute par la tête de Benjamin Lancar", patron des jeunes UMP et auteur d'un lipdub qui l'a rendu célèbre, celui dans lequel certains ministres voulaient "changer le monde".
Pour écarter tout doute, nous avons demandé à Benjamin Lancar s'il comptait voter. "C'est vrai qu'entre militants, on en parle", nous répond-il avant de minimiser l'importance du débat : "Ça ne représente que 10 %, peut-être 5 % de nos conversations." "Dans le fond, on est très concentrés sur comment faire gagner Nicolas Sarkozy en 2012", insiste-t-il. "Et puis de toute façon, on n'y comprend pas grand-chose à leurs primaires, à la manière dont il faut s'inscrire, etc. Ça paraît trop compliqué et puis on n'a pas envie de participer à un concours d'ego." Ou quand le PS peut se satisfaire de la complexité de son organisation.
http://www.lepoint.fr/politique/presidentielle-2012-les-militants-ump-peuvent-ils-troubler-les-primaires-ps-01-02-2011-133993_20.php
Certains imaginent donc déjà des cars pleins à craquer, déversant devant les bureaux de vote des centaines de milliers de militants UMP sans scrupules. Ils glisseraient dans l'urne le nom du plus mauvais candidat, celui qui s'inclinerait à coup sûr face à Nicolas Sarkozy... Du calme, ce scénario apocalyptique est en fait jugé totalement improbable, voir ridicule, par le PS. En cette fin d'été, Montebourg décide de rassurer la salle en faisant un test. L'artisan des primaires demande : "Parmi vous, qui serait prêt à payer et à signer sur l'honneur qu'il adhère aux valeurs de la droite pour aller perturber des primaires UMP ?" Moins de cinq mains se lèvent.
"C'est pas facile d'être un menteur"
La démonstration est irréfutable, selon Olivier Ferrand, coauteur avec Arnaud Montebourg de Primaire : comment sauver la gauche ? "Si un cadre de parti peut être assez pervers ou tordu pour s'amuser à aller perturber le jeu démocratique du camp d'en face, un citoyen n'est en revanche pas pervers", assure-t-il. Il se base sur une observation approfondie des primaires organisées en Italie et aux États-Unis, où "il n'y a pas eu d'infiltration du camp d'en face". Sans compter que "les primaires vont réunir des millions de votants. Pour que le parasitage ait un impact, il faudrait la mobilisation de beaucoup de militants de droite..."
Par ailleurs, il juge les obstacles à franchir assez rédhibitoires pour ceux qui seraient tout de même tentés par l'aventure. "Déjà, il faut mentir, c'est pas facile d'être un menteur", relève Olivier Ferrand en allusion à la déclaration d'adhésion aux valeurs de la gauche. "Et puis, il faut financer la gauche pour ce mensonge"... "Signer Je m'engage à soutenir les valeurs de la gauche, c'est proprement insupportable pour un militant de droite", renchérit François Lamy, le conseiller politique de Martine Aubry.
"Trop compliqué" pour Lancar
Ensuite, Olivier Ferrand fait valoir une organisation logistique compliquée à contourner : "Il faut s'inscrire dans le bureau de vote à côté de chez soi. Dans une zone rurale où tout le monde se connaît, un militant UMP qui voudra venir voter repartira avec du goudron et des plumes", dit-il en riant. Il concède toutefois "que l'idée passera sans doute par la tête de Benjamin Lancar", patron des jeunes UMP et auteur d'un lipdub qui l'a rendu célèbre, celui dans lequel certains ministres voulaient "changer le monde".
Pour écarter tout doute, nous avons demandé à Benjamin Lancar s'il comptait voter. "C'est vrai qu'entre militants, on en parle", nous répond-il avant de minimiser l'importance du débat : "Ça ne représente que 10 %, peut-être 5 % de nos conversations." "Dans le fond, on est très concentrés sur comment faire gagner Nicolas Sarkozy en 2012", insiste-t-il. "Et puis de toute façon, on n'y comprend pas grand-chose à leurs primaires, à la manière dont il faut s'inscrire, etc. Ça paraît trop compliqué et puis on n'a pas envie de participer à un concours d'ego." Ou quand le PS peut se satisfaire de la complexité de son organisation.
http://www.lepoint.fr/politique/presidentielle-2012-les-militants-ump-peuvent-ils-troubler-les-primaires-ps-01-02-2011-133993_20.php
DSK sème la zizanie entre Moscovici et Copé
Le secrétaire général de l'UMP aimerait que le directeur du FMI dévoile enfin son jeu...
DSK à tout prix. Le mystère qui plane sur l'éventuelle candidature de Dominique Strauss-Kahn à la présidentielle de 2012 en France a donné lieu ce mardi à une passe d'armes musclée entre Jean-François Copé et Pierre Moscovici par médias interposés.
Le secrétaire général de l'UMP a tiré le premier dans les colonnes du Parisien, critiquant en termes peu amènes le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), candidat préféré des socialistes selon les sondages.
Copé, «à la fois vulgaire et arrogant»
«J'en ai marre de cette espèce de figure tutélaire, de statut de commandeur, d'oracle, de ce type dont on dit: il sait tout sur tout», s'emporte Jean-François Copé. «D'accord, mais qu'il le dise. Il ne parle plus, or il faut parler aux Français. Eh bien, qu'il parle!», ajoute-t-il.
La réplique, cinglante, est venue de Pierre Moscovici. «Jean-François Copé, pour parler comme lui, est un type intelligent, mais ce propos est à la fois vulgaire et arrogant. On ne parle pas comme ça du directeur général du FMI», a déclaré le député socialiste du Doubs sur I-Télé et Radio Classique. «Je dis aux impatients, aux impatients polis du Parti socialiste (...) et aux impatients grossiers, comme monsieur Copé, “il faut poireauter mon pote!”», a-t-il ajouté.
http://www.20minutes.fr/article/662460/politique-dsk-seme-zizanie-entre-moscovici-cope
DSK à tout prix. Le mystère qui plane sur l'éventuelle candidature de Dominique Strauss-Kahn à la présidentielle de 2012 en France a donné lieu ce mardi à une passe d'armes musclée entre Jean-François Copé et Pierre Moscovici par médias interposés.
Le secrétaire général de l'UMP a tiré le premier dans les colonnes du Parisien, critiquant en termes peu amènes le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), candidat préféré des socialistes selon les sondages.
Copé, «à la fois vulgaire et arrogant»
«J'en ai marre de cette espèce de figure tutélaire, de statut de commandeur, d'oracle, de ce type dont on dit: il sait tout sur tout», s'emporte Jean-François Copé. «D'accord, mais qu'il le dise. Il ne parle plus, or il faut parler aux Français. Eh bien, qu'il parle!», ajoute-t-il.
La réplique, cinglante, est venue de Pierre Moscovici. «Jean-François Copé, pour parler comme lui, est un type intelligent, mais ce propos est à la fois vulgaire et arrogant. On ne parle pas comme ça du directeur général du FMI», a déclaré le député socialiste du Doubs sur I-Télé et Radio Classique. «Je dis aux impatients, aux impatients polis du Parti socialiste (...) et aux impatients grossiers, comme monsieur Copé, “il faut poireauter mon pote!”», a-t-il ajouté.
http://www.20minutes.fr/article/662460/politique-dsk-seme-zizanie-entre-moscovici-cope
Paillé redoute que les débats lancés par Copé nuisent au futur candidat UMP
L'ancien porte-parole de l'UMP Dominique Paillé a redouté lundi que "les débats non maîtrisés" lancés par le nouveau secrétaire général du Mouvement populaire, Jean-François Copé, nuisent au candidat UMP en 2012.
"Je crains surtout que la mise sur le chantier de débats tous azimuts non maîtrisés ne nuise à la lisibilité de l'action gouvernementale et ne nuise à la crédibilité même du candidat que nous aurons à soutenir à la prochaine élection présidentielle", a-t-il dit à LCI. "Je crains fort que la chasse aux sorcières, dont il a dit qu'il n'était pas un partisan, ne se traduise dans les faits", a ajouté Dominique Paillé, privé de porte-parolat après l'accession de Jean-François Copé à la tête de l'UMP.
Dominique Paillé a par ailleurs souhaité que Jean-Louis Borloo ne soit pas candidat à l'élection de 2012 : "Pour créer une dynamique au premier tour de l'élection, il ne faut pas de division", a-t-il dit, demandant "une association de Jean-Louis Borloo la plus étroite et la plus constante possible" à la future campagne
http://www.lepoint.fr/politique/paille-redoute-que-les-debats-lances-par-cope-nuisent-au-futur-candidat-ump-01-02-2011-1289987_20.php
"Je crains surtout que la mise sur le chantier de débats tous azimuts non maîtrisés ne nuise à la lisibilité de l'action gouvernementale et ne nuise à la crédibilité même du candidat que nous aurons à soutenir à la prochaine élection présidentielle", a-t-il dit à LCI. "Je crains fort que la chasse aux sorcières, dont il a dit qu'il n'était pas un partisan, ne se traduise dans les faits", a ajouté Dominique Paillé, privé de porte-parolat après l'accession de Jean-François Copé à la tête de l'UMP.
Dominique Paillé a par ailleurs souhaité que Jean-Louis Borloo ne soit pas candidat à l'élection de 2012 : "Pour créer une dynamique au premier tour de l'élection, il ne faut pas de division", a-t-il dit, demandant "une association de Jean-Louis Borloo la plus étroite et la plus constante possible" à la future campagne
http://www.lepoint.fr/politique/paille-redoute-que-les-debats-lances-par-cope-nuisent-au-futur-candidat-ump-01-02-2011-1289987_20.php
Cantonales: Sophie Favier plus candidate
L'animatrice de télévision Sophie Favier a décidé lundi de ne pas être candidate aux élections cantonales de mars prochain à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) comme suppléante de Bernard Lepidi, membre du CNI (Centre national des indépendants).
Dans un communiqué, Sophie Favier, dont la candidature avait été annoncée samedi, explique avoir décidé "finalement après quelques jours de réflexion de ne pas être candidate". "Pour autant", ajoute-t-elle, "je serai aux côtés (de Bernard Lepmidi, ndlr) pendant la campagne car j'adore ma ville de Neuilly".
"Sophie Favier, qui présente actuellement une émission sur la chaîne Vivolta (...) souhaite aujourd'hui se consacrer entièrement à son métier et à ses projets de télévision et de radio", conclut le communiqué.
Mme Favier avait déjà été candidate dans l'ancienne ville de Nicolas Sarkozy aux municipales de 2008, où elle figurait en troisième position derrière M. Lepidi. Leur liste avait recueilli 4,97% des voix.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/31/97001-20110131FILWWW00668-cantonales-sophie-favier-plus-candidate.php
Dans un communiqué, Sophie Favier, dont la candidature avait été annoncée samedi, explique avoir décidé "finalement après quelques jours de réflexion de ne pas être candidate". "Pour autant", ajoute-t-elle, "je serai aux côtés (de Bernard Lepmidi, ndlr) pendant la campagne car j'adore ma ville de Neuilly".
"Sophie Favier, qui présente actuellement une émission sur la chaîne Vivolta (...) souhaite aujourd'hui se consacrer entièrement à son métier et à ses projets de télévision et de radio", conclut le communiqué.
Mme Favier avait déjà été candidate dans l'ancienne ville de Nicolas Sarkozy aux municipales de 2008, où elle figurait en troisième position derrière M. Lepidi. Leur liste avait recueilli 4,97% des voix.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/01/31/97001-20110131FILWWW00668-cantonales-sophie-favier-plus-candidate.php
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