Le journal des élections...présidentielles...législatives...cantonales etc... Tout ce que vous voulez savoir sur une revue de la presse politique!
mercredi 12 février 2014
L'expresso du 12/02
Sur RTL, Najat Vallaud-Belkacem s'est dite "extrêmement choquée par le comportement de Jean-François Copé". Le président de l'UMP, a dénoncé dimanche un livre qu'il avait présenté comme "recommandé aux enseignants" pour les classes primaires, intitulé Tous à poil. "Le prochain coup d'éclat de M. Copé va sans doute consister à amener tous les livres qui lui déplaisent dans une brouette puis les brûler en place publique", a attaqué la porte-parole du gouvernement, qui a précisé "peser chacun de (ses) mots". "Jusqu'où va aller M. Copé dans cette escalade incroyable qui dure maintenant depuis trop longtemps?", a-t-elle insisté.
Lire notre détecteur de mensonges : Copé s'interroge sur le livre Tous à poil!
Le chiffre : 34%
Plus d'un tiers des Français affirme adhérer "aux idées du Front national", selon le baromètre d'image du FN réalisé par TNS Sofres pour Le Monde, France Info et Canal+. Ce niveau d'adhésion, mesuré chaque année depuis 1984, n'a cessé de croître ces dernières années. Il était de 22% en 2011, lors de la prise de fonction de Marine Le Pen à la tête du parti. Il a atteint 31% en 2012 et 32% en 2013
L'opposition
Moue réprobatrice de Christian Estrosi sur France 2 lorsqu'on lui évoque la feuille de route sur l'intégration présentée mardi par le gouvernement. Celle-ci se donne notamment comme objectif de généraliser l’enseignement de l’arabe, de l’hindi ou du mandarin". "Alors là...", a commencé à s'emporter le député-maire UMP de Nice. "On se demande si le gouvernement ne va pas demander aux Français de s'intégrer, de parler les langues africaines, le mandarin, l'arabe…", a-t-il poursuivi, préconisant plutôt de faire une "politique d'assimilation" à l'héritage et l'identité française.
La culture, ce n'est pas seulement de la dépense (...) Je souhaite que le budget de la Culture permette à la France de tenir son rang, qui est un rang d'excellence", a plaidé sur BFMTV et RMC Aurélie Filippetti, ministre de la Culture.
http://www.lejdd.fr/Politique/Vallaud-Belkacem-Jusqu-ou-va-aller-M-Cope-dans-cette-escalade-incroyable-652661
mardi 11 février 2014
L'expresso du 11/02
Il n'y a pas de contreparties" au pacte de responsabilité. C'est la phrase qu'a lâché le patron du Medef, Pierre Gattaz, à des journalistes alors qu'il se trouvait dans l'avion de la délégation qui accompagne le président de la République pour son voyage aux Etats-Unis, selon Le Figaro. "Il faut surtout arrêter de gérer par la contrainte. Quand j'entends parler de contreparties dans ce pacte, j'entends aussi des gens qui me disent : 'On va vous contraindre, on va vous obliger, si vous n'y arrivez pas vous allez être punis, on va vous mettre des pénalités'", a-t-il ajouté. Pierre Gattaz a reçu mardi un soutien surprenant en la personne du patron des sénateurs EELV, Jean-Vincent Placé. "Il y a une contradiction à vouloir faire un socialisme de l'offre et à demander des contreparties (...) Les contreparties au pacte, c'est presque soviétique", a-t-il expliqué sur i-Télé
Le retour
Pour le député de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, le "match retour" entre Nicolas Sarkozy et François Hollande a déjà commencé. "Le délire de rock star organisé à Paris et le mot 'fidélité' sonnaient comme un rappel à l’ordre. Nicolas Sarkozy prend son temps pour faire place nette dans son camp. L’image du jour voulait dire entre François Hollande et moi il n’y a rien. Je suis le seul à pouvoir battre un Président sortant adoubé par Barack Obama. Nous voilà prévenus, le match commence, qui à cette étape ne peut être perturbé que par Marine Le Pen", a-t-il écrit sur son blog mardi. Le député de l'Eure, Bruno Le Maire, et probable candidat à la primaire UMP en 2017, a, lui, affirmé sur RTL que la venue de Nicolas Sarkozy au meeting de NKM lui avait "fait plaisir". "Tout ce qui nous permettra d'améliorer nos chances de gagner aux municipales" ira "dans le bon sens", a ajouté l'ancien ministre. Quant à l'avenir, "quel que soit le choix de Nicolas Sarkozy, il sera un atout pour notre famille politique, dans tous les cas de figure".
La défection
Alors que le directeur de la communication du MoDem Matthieu Lamarre a annoncé dimanche soir son ralliement à la candidate PS à la mairie de Paris Anne Hidalgo, la candidate de l'UMP-UDI-MoDem Nathalie Kosciusko-Morizet a réagi à cette nouvelle défection centriste sur France Info. "Je ne veux pas des gens qui sont là pour des places. Je veux des gens qui sont là pour travailler", a-t-elle glissé.
Le sondage
François Hollande chute encore une fois lourdement dans un sondage BVA/L'Express/France Inter/Presse Régionale/Orange rendu public mardi. Il recule de 4 points par rapport à janvier pour tomber à 27% de bonnes opinions, soit à la fois son deuxième plus bas niveau personnel et le deuxième plus bas niveau historique pour un Président sous la Ve. Comme le relève également un journaliste de L'Express sur Twitter, le président ne garde seulement que 36% de bonnes opinions chez les sympathisants de gauche hors PS.
lundi 10 février 2014
Paris : Sarkozy présent au meeting de NKM ce lundi soir?
Viendra, viendra pas ? Selon BFMTV, Nicolas Sarkozy devrait participer ce lundi soir au meeting de Nathalie Kosciusko-Morizet à Paris. La candidate réunit toutes ses têtes de listes au gymnase Japy, dans le 11e arrondissement lors d'un grand rassemblement public. C'est donc le moment qu'aurait choisi l'ancien chef de l'Etat pour apporter publiquement son soutien à la rivale d'Anne Hidalgo. La rumeur n'est pour l'heure confirmer ni par l'entourage de Nicolas Sarkozy, ni par celui de NKM.
Si sa venue se concrétise, montera-t-il pour autant à la tribune pour prendre la parole ? Si c'était le cas, il s'agirait de la première intervention politique de Nicolas Sarkozy depuis sa défaite en 2012. Il y a quelques jours sur LCI, NKM avait déclaré qu'elle serait "très heureuse d'accueillir son soutien publique".
http://lci.tf1.fr/politique/paris-sarkozy-present-au-meeting-de-nkm-ce-lundi-soir-8362356.html
Si sa venue se concrétise, montera-t-il pour autant à la tribune pour prendre la parole ? Si c'était le cas, il s'agirait de la première intervention politique de Nicolas Sarkozy depuis sa défaite en 2012. Il y a quelques jours sur LCI, NKM avait déclaré qu'elle serait "très heureuse d'accueillir son soutien publique".
http://lci.tf1.fr/politique/paris-sarkozy-present-au-meeting-de-nkm-ce-lundi-soir-8362356.html
L'expresso du 10/02
Interrogé sur le retour éventuel de Nicolas Sarkozy en politique, l'ancien Premier ministre François Fillon a estimé sur BFMTV/RMC que la France "a besoin d'un vrai projet de rupture", dans une allusion au slogan de la campagne présidentielle de 2007 de l'ancien président de l'UMP. "Je n'ai aucun conflit avec Nicolas Sarkozy, c'est un problème de vision de la politique nationale", a-t-il également affirmé.
La tribune
A l'occasion de la visite d'Etat de François Hollande aux Etats-Unis. Les présidents français et américain signent une tribune commune dans Le Monde et le Washington Post. Dans ce texte, Hollande et Obama évitent les sujets qui fâchent comme l'espionnage des dirigeants européens, révélé par Edward Snowden, mais insistent sur les points d'accords comme sur la Syrie ou l'Iran. Les deux leaders demandent également que davantage de pays "partagent le poids et le prix du leadership".
Le sondage
Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls subit une forte chute de popularité selon le baromètre Clai-Metronews-LCI réalisé par Opinion Way. Habitué à la première place du classement gouvernemental, le locataire de Beauvau (45% de popularité, -12 points) est cette fois devancé par Najat Vallaud-Belkacem, (Porte-parolat, Femmes) en tête avec 49% de satisfaction (-1), Laurent Fabius (Affaires étrangères), inchangé à 48%, et fait jeu égal avec Jean-Yves Le Drian (Défense), qui abandonne 6 points à 45%, et Aurélie Filippetti (Culture, 45%, -2).
La réaction
Après le vote des Suisses à une courte majorité de 50,3%, demandant une limitation de l'immigration, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a qualifié sur RTL ce vote de "préoccupant". "Cela signifie qu'on va revoir nos relations avec la Suisse. On va devoir renégocier les traités", a-t-il ajouté. En outre, à quelques heures de la visite d'Etat de François Hollande aux Etats-Unis où le gaz de schiste est exploité massivement, Laurent Fabius "dit trois fois oui" à des "recherches pour savoir s’il y a une autre possibilité d’exploiter le gaz de schiste" "L'histoire de la gauche, c'est l'histoire du progrès", a-t-il également estimé.
La der'
Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, préside aujourd'hui son dernier conseil de Paris
Le soutien
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a réaffirmé dimanche soir, dans une interview publiée sur le site internet des Echos, sa volonté de "faire baisser l'euro", estimant que son niveau actuel "annihile les efforts de compétitivité" lancés en France. "Par petit pas, il vient vers nous, Monsieur Montebourg" a réagi sur Europe 1, Marine Le Pen. "Je ne soutiens pas Arnaud Montebourg, c'est lui qui commence à nous soutenir", a-t-elle également ajouté.
dimanche 9 février 2014
Pour Sapin, le gouvernement ne fait pas un "cadeau" aux patrons
Critiqué pour son pacte de responsabilité, jugé plutôt à droite, Michel Sapin se défend. Le ministre du Travail a affirmé que le gouvernement ne faisait pas un "cadeau" aux patrons, "mais aux entreprises", auxquelles il donne "les moyens de créer des emplois".
"Ce n'est pas un pacte avec le diable". Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT, qui l'accuse d'avoir passé un pacte avec le Medef, "fait une erreur d'appréciation et même d'expression", ajoute le ministre. Ce dernier assure que le pacte de responsabilité "n'est pas un pacte avec le diable".
"Des intérêts qui peuvent converger dans l'entreprise". "L'entreprise est une communauté humaine dans laquelle il y a, avant toute chose, des travailleurs et des salariés", ajoute Michel Sapin. "Il y a dans l'entreprise des intérêts différents qui, à un moment donné, peuvent converger dans un compromis gagnant-gagnant : c'est cela le dialogue social. Ça n'efface pas le conflit, ça permet de le dépasser. Et c'est de cela que nous avons besoin aujourd'hui", poursuit-il.
"Eviter les destructions d'emplois". Selon lui, "il faut moins afficher mais faire plus, et regarder plusieurs dimensions et pas une seule. Dans certains secteurs, l'enjeu, c'est d'éviter des destructions d'emplois. Dans d'autres, d'en créer le plus possible. Il faut que les engagements soient réels, mesurables et vérifiables". Pour autant, "donner un chiffre global" semble "spectaculaire mais est peu opérationnel", juge-t-il.
Le pacte établit entre mars et juin. Le ministre du Travail rappelle enfin que "le président de la République a dit que ce pacte devait être établi le plus rapidement possible". "L'horizon, c'est celui du printemps, entre mars et juin", selon lui.
Baylet met en garde Hollande
Sénateur du Tarn-et-Garonne, Jean-Michel Baylet est inquiet pour la suite du quinquennat. "Le début de la fin de Sarko a commencé quand il s'est attaqué aux élus locaux. Nous, on va encore plus vite que lui", rappelle le patron des Radicaux de gauche qui se réfère à François Mitterrand : "Il nous disait toujours : “Ne vous mettez pas à dos le réseau des 500.000 élus locaux”. François Hollande devrait faire attention
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Baylet-met-en-garde-Hollande-652212
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Baylet-met-en-garde-Hollande-652212
Baroin: «Hollande fait la politique de Sarkozy»
L'ex-ministre UMP François Baroin, interrogé ce dimanche sur le pacte de responsabilité présidentiel, a jugé que François Hollande appliquait la politique de son prédécesseur, mais avec "beaucoup moins de talent" et sans majorité.
Lors du "Grand Rendez-vous" (Europe 1, i>télé, Le Monde), le député-maire de Troyes a assuré : que le consensus sur la baisse du coût du travail existe, je m'en félicite", "c'est ce que nous avions porté en janvier 2012 avec la TVA sociale". "François Hollande applique la politique de Nicolas Sarkozy avec beaucoup moins de talent, beaucoup moins d'énergie et pas de majorité, 18 mois après avoir démonté, déstabilisé, démoli l'économie", selon l'ex-occupant de Bercy.
Pour lui, le pacte de responsabilité (baisse de charges contre emplois) proposé par le chef de l'Etat aux entreprises, "c'est ce qu'il faut faire". "Mais François Hollande est comme un joueur d'échecs devant son échiquier. Ce qu'il fait avec la baisse du coût du travail, c'est ce qu'on appelle un coup forcé. Il a tellement perdu ses pions et ses pièces qu'il n'a d'autre choix que de faire ce mouvement", a encore dit le responsable d'opposition.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/02/09/97002-20140209FILWWW00038-baroin-hollande-fait-la-politique-de-sarkozy.php
Lors du "Grand Rendez-vous" (Europe 1, i>télé, Le Monde), le député-maire de Troyes a assuré : que le consensus sur la baisse du coût du travail existe, je m'en félicite", "c'est ce que nous avions porté en janvier 2012 avec la TVA sociale". "François Hollande applique la politique de Nicolas Sarkozy avec beaucoup moins de talent, beaucoup moins d'énergie et pas de majorité, 18 mois après avoir démonté, déstabilisé, démoli l'économie", selon l'ex-occupant de Bercy.
Pour lui, le pacte de responsabilité (baisse de charges contre emplois) proposé par le chef de l'Etat aux entreprises, "c'est ce qu'il faut faire". "Mais François Hollande est comme un joueur d'échecs devant son échiquier. Ce qu'il fait avec la baisse du coût du travail, c'est ce qu'on appelle un coup forcé. Il a tellement perdu ses pions et ses pièces qu'il n'a d'autre choix que de faire ce mouvement", a encore dit le responsable d'opposition.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/02/09/97002-20140209FILWWW00038-baroin-hollande-fait-la-politique-de-sarkozy.php
Invités du dimanche
C Politique
Dimanche 19 janvier, Caroline Roux reçoit Bernard Cazeneuve.
Le ministre délégué au Budget sera notamment interrogé sur les engagements de François Hollande pour la nouvelle année, sur le choc de simplification proposé par le chef de l'Etat, sur la fin des cotisations familiales pour les entreprises, sur la lutte contre la fraude fiscale, et sur bien d'autres sujets qui ont marqué l'actualité de ces derniers jours
Grand jury
Jean François Copé président de l'UMP
Dimanche 19 janvier, Caroline Roux reçoit Bernard Cazeneuve.
Le ministre délégué au Budget sera notamment interrogé sur les engagements de François Hollande pour la nouvelle année, sur le choc de simplification proposé par le chef de l'Etat, sur la fin des cotisations familiales pour les entreprises, sur la lutte contre la fraude fiscale, et sur bien d'autres sujets qui ont marqué l'actualité de ces derniers jours
Grand jury
Jean François Copé président de l'UMP
Seulement 40% des Français veulent la victoire des listes de gauche
Et si les municipales intéressaient les Français? Une participation en hausse (67%), c’est le premier enseignement de notre sondage IFOP/JDD. Avec un gros bémol puisque c’est à droite que les électeurs sont davantage mobilisés qu’à gauche. Un différentiel qui risque d’inquiéter un peu plus les maires socialistes sortants candidats à leur réélection.
Ce clivage entre la gauche et la droite se retrouve dans les souhaits de victoire. les listes de de gauche recueille 40% des souhaits de victoire contre 46% pour les listes de droite UMP/UDI/FN. "C’est la première fois depuis 2007 que le souhait de victoire est favorable à la droite", analyse Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. "La gauche n’est pas en effondrement, dit-il. Elle est fragmentée avec une déception chez les électeurs de François Hollande."
Dans le détail, le bloc de gauche est fragile car le PS ne recueille que 21% et ses relations avec le Front de gauche (11%) et EELV (8%). Plus préoccupant encore, seulement 52% des électeurs sont déterminés à revoter pour les listes socialistes
samedi 8 février 2014
Bernadette Chirac persiste sur Sarkozy
Bernadette Chirac, qui avait déjà laissé entendre que Nicolas Sarkozy reviendrait dans la course politique, maintient ses propos de persiste de manière encore plus catégorique dans une interview à Nice-Matin publiée samedi.
Interrogée sur l'impossibilité pour "les grands fauves politiques" de renoncer un jour, l'épouse de l'ex-président Jacques Chirac nuance: "sauf lorsqu'ils deviennent vieux". "Je suis profondément sarkozyste. Il a l'expérience d'un mandat et a mené des sommets internationaux extraordinairement difficiles. Cela va lui servir pour un deuxième mandat", observe Bernadette Chirac.
«Je vous le dis»
"Nicolas Sarkozy sera candidat, je vous le dis", assure celle qui avait soutenu sans faille ses deux campagnes élyséennes. "C'est quelqu'un de très intelligent. Il est rapide, travailleur et joyeux. Et, ce que tout le monde ne sait pas, c'est quelqu'un d'une grande bonté. Et il a une femme, c'est mon amie, qui l'a beaucoup fait progresser. C'est important les femmes de président", glisse celle qui fut douze ans première dame.
Le 22 janvier, pressée de questions par Europe 1 sur un désir de retour de Nicolas Sarkozy, elle avait fini par lâcher: "évidemment !"
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/08/97001-20140208FILWWW00029-bernadette-chirac-persiste-sur-sarkozy.php
Interrogée sur l'impossibilité pour "les grands fauves politiques" de renoncer un jour, l'épouse de l'ex-président Jacques Chirac nuance: "sauf lorsqu'ils deviennent vieux". "Je suis profondément sarkozyste. Il a l'expérience d'un mandat et a mené des sommets internationaux extraordinairement difficiles. Cela va lui servir pour un deuxième mandat", observe Bernadette Chirac.
«Je vous le dis»
"Nicolas Sarkozy sera candidat, je vous le dis", assure celle qui avait soutenu sans faille ses deux campagnes élyséennes. "C'est quelqu'un de très intelligent. Il est rapide, travailleur et joyeux. Et, ce que tout le monde ne sait pas, c'est quelqu'un d'une grande bonté. Et il a une femme, c'est mon amie, qui l'a beaucoup fait progresser. C'est important les femmes de président", glisse celle qui fut douze ans première dame.
Le 22 janvier, pressée de questions par Europe 1 sur un désir de retour de Nicolas Sarkozy, elle avait fini par lâcher: "évidemment !"
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/08/97001-20140208FILWWW00029-bernadette-chirac-persiste-sur-sarkozy.php
vendredi 7 février 2014
L'expresso du 07/02
La ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, a indiqué vendredi sur Radio Classique/LCI que des éléments de la loi Famille reviendrait "avant l'été" au Parlement, évoquant notamment le statut du beau-parent qui fait "consensus". Interrogé par un journaliste pour savoir si elle avait songé à démissionner après l'annonce du report de la loi, Dominique Bertinotti a été catégorique : "Jamais", a-t-elle répondu.
Le ridicule
Interrogé sur la mise en place du pacte de responsabilité, le député PS de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, s'en est pris sur i-Télé au Medef : "Le patronat, après avoir pris sa mise, se dérobe. Il faut que le Medef fasse des propositions et prenne des engagements". Revenant sur les négociations entre le gouvernement et le l'organisation, Jean-Christophe Cambadélis a même raillé le "badge un peu ridicule" de Pierre Gattaz - allusion à un badge à la boutonnière - porté par le patron du Medef, durant les négociations, sur lequel était inscrit "1 million d'emplois".
Le sondage
Pour la première fois depuis son élection, la cote de confiance de François Hollande (19%) est tombé sous la barre des 20%, selon le baromètre de février TNS Sofres/Sopra group/Le Figaro Magazine publié jeudi. Préoccupant pour la majorité, François Hollande n'est plus nettement majoritaire parmi les sympathisants socialistes (49% lui font confiance, 48% non).
L'ambition
Dans une interview au Figaro publiée vendredi, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone se considère dans "la short-list" des prétendants au poste de Premier ministre non par "ambition" mais "par reconnaissance" de son travail au perchoir. Même si Claude Bartolone, prudent, rappelle qu"on ne fait pas campagne pour être Premier ministre".
La critique
Interrogé sur i-Télé sur l'absence du président François Hollande, lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Sotchi, l'ancienne secrétaire d'Etat aux droits de l'homme de Nicolas Sarkozy, Rama Yade (UDI), s'est faite cinglante : "François Hollande a, lui aussi, la médaille de l’hypocrisie, il ne s’est pas justifié".
jeudi 6 février 2014
Sarkozy présente "ses condoléances" au conseiller communication de Hollande
L'ancien président aurait interpellé le gardois d'adoption Claude Sérillon, conseiller communication personnel de François Hollande, dans la loge présidentielle du Parc des princes. Une boutade qui évoque directement la révélation du "CloserGate" avec l'affaire entre François Hollande et Julie Gayet.
La scène se présente comme une partie de billard à trois bandes. Hier mercredi, un spectateur très spécial s'est glissé dans les loges de l'Assemblée nationale, où se placent traditionnellement les conseillers des ministres. Claude Sérillon, conseiller personnel de communication de François Hollande (installé dans le Gard et ancien collaborateur de Midi Libre) depuis janvier 2013, s'est à son tour faufilé dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, révèle Le Monde.
La présence discrète de ce spectateur très spécial n'est toutefois passée inaperçue auprès de personne. Et pour cause : comme le rappelle BFMTV, "c'est la première fois qu'un conseiller du président se montr[e] dans l'hémicycle". Et pourrait être la conséquence directe d'une autre rencontre pour le moins inhabituelle, révélée elle par Le Canard Enchaîné.
"Avec tout ce que vous vivez en ce moment…"
La scène se passe le dimanche 19 janvier. Dans les loges du Parc des Princes, Nicolas Sarkozy, fan éternel de foot, vient assister au match PSG/Nantes. Dans la tribune présidentielle, il "tombe" sur le même Claude Sérillon, lui aussi fan de ballon rond. Mais au lieu d'un salut entre adversaires, l'ancien président présente ses "condoléances" à l'ancien journaliste.
Le Canard ajoute que, face à cette surprenante interpellation, Claude Sérillon aurait demandé à Sarkozy de la lui expliquer. "Avec tout ce que vous vivez en ce moment, je vous présente mes condoléances", précise alors Sarkozy. Une référence à peine voilée à la révélation de la relation de François Hollande et Julie Gayet. Le "cauchemar" de tout conseiller médiatique…
http://www.midilibre.fr/2014/02/06/nicolas-sarkozy-presente-ses-condoleances-au-conseiller-communication-de-hollande,818715.php
La scène se présente comme une partie de billard à trois bandes. Hier mercredi, un spectateur très spécial s'est glissé dans les loges de l'Assemblée nationale, où se placent traditionnellement les conseillers des ministres. Claude Sérillon, conseiller personnel de communication de François Hollande (installé dans le Gard et ancien collaborateur de Midi Libre) depuis janvier 2013, s'est à son tour faufilé dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, révèle Le Monde.
La présence discrète de ce spectateur très spécial n'est toutefois passée inaperçue auprès de personne. Et pour cause : comme le rappelle BFMTV, "c'est la première fois qu'un conseiller du président se montr[e] dans l'hémicycle". Et pourrait être la conséquence directe d'une autre rencontre pour le moins inhabituelle, révélée elle par Le Canard Enchaîné.
"Avec tout ce que vous vivez en ce moment…"
La scène se passe le dimanche 19 janvier. Dans les loges du Parc des Princes, Nicolas Sarkozy, fan éternel de foot, vient assister au match PSG/Nantes. Dans la tribune présidentielle, il "tombe" sur le même Claude Sérillon, lui aussi fan de ballon rond. Mais au lieu d'un salut entre adversaires, l'ancien président présente ses "condoléances" à l'ancien journaliste.
Le Canard ajoute que, face à cette surprenante interpellation, Claude Sérillon aurait demandé à Sarkozy de la lui expliquer. "Avec tout ce que vous vivez en ce moment, je vous présente mes condoléances", précise alors Sarkozy. Une référence à peine voilée à la révélation de la relation de François Hollande et Julie Gayet. Le "cauchemar" de tout conseiller médiatique…
http://www.midilibre.fr/2014/02/06/nicolas-sarkozy-presente-ses-condoleances-au-conseiller-communication-de-hollande,818715.php
Confiance : Hollande passe sous la barre des 20 %
C'est une première depuis son élection : la cote de confiance de François Hollande (19 %) tombe sous la barre des 20 %, selon le baromètre de février TNS Sofres/Sopra group/«Le Figaro Magazine» publié jeudi.
Le président de la République perd trois points de confiance, tandis que la proportion de ceux qui ne lui font pas confiance augmente de deux points pour culminer à 78 %. 3 % ne se prononcent pas. Encore plus préoccupant pour la majorité, plus de la moitié des personnes interrogées (51 %, + 5 points) ne lui fait «pas du tout confiance».
Il s'agit du premier baromètre de TNS Sofres depuis la conférence de presse de François Hollande le 14 janvier, où il avait défendu son pacte de responsabilité et assumé ouvertement un positionnement «social-démocrate». Le premier aussi depuis l'annonce que la courbe du chômage ne s'est pas inversée fin 2013, contrairement au pari affiché de l'exécutif.
François Hollande n'est même plus nettement majoritaire parmi les sympathisants socialistes (49 % lui font confiance, 48 % non). En un mois, il recule de sept points à gauche, sans rien gagner à droite où il reste dans les profondeurs.
Ayrault à 20 %
Vingt-et-un mois après leur élection, Jacques Chirac était à 35% de cote de confiance (1997), et Nicolas Sarkozy à 37 % (2009), rappelle TNS Sofres. Seul Jacques Chirac a été plus impopulaire que François Hollande, en juillet 2006 : l'institut de sondage lui donnait alors 16 % d'opinion favorable.
http://www.leparisien.fr/politique/confiance-hollande-passe-sous-la-barre-des-20-06-02-2014-3565919.php
Le président de la République perd trois points de confiance, tandis que la proportion de ceux qui ne lui font pas confiance augmente de deux points pour culminer à 78 %. 3 % ne se prononcent pas. Encore plus préoccupant pour la majorité, plus de la moitié des personnes interrogées (51 %, + 5 points) ne lui fait «pas du tout confiance».
Il s'agit du premier baromètre de TNS Sofres depuis la conférence de presse de François Hollande le 14 janvier, où il avait défendu son pacte de responsabilité et assumé ouvertement un positionnement «social-démocrate». Le premier aussi depuis l'annonce que la courbe du chômage ne s'est pas inversée fin 2013, contrairement au pari affiché de l'exécutif.
François Hollande n'est même plus nettement majoritaire parmi les sympathisants socialistes (49 % lui font confiance, 48 % non). En un mois, il recule de sept points à gauche, sans rien gagner à droite où il reste dans les profondeurs.
Ayrault à 20 %
Vingt-et-un mois après leur élection, Jacques Chirac était à 35% de cote de confiance (1997), et Nicolas Sarkozy à 37 % (2009), rappelle TNS Sofres. Seul Jacques Chirac a été plus impopulaire que François Hollande, en juillet 2006 : l'institut de sondage lui donnait alors 16 % d'opinion favorable.
http://www.leparisien.fr/politique/confiance-hollande-passe-sous-la-barre-des-20-06-02-2014-3565919.php
L'expresso du 6/02
Jean-Yves Le Drian a jugé sur RTL "vraisemblable" la prolongation du mandat des forces françaises en Centrafrique par l'ONU au-delà de la période initiale de six mois, et rappelé la nécessité à terme de la constitution d'une "mission des Nations unies elles-mêmes". "Mais on va aviser en temps utile", a ajouté le ministre de la Défense. Les forces françaises ont été autorisées le 5 décembre dernier à intervenir pour ramener le calme en Centrafrique, avec une clause de révision de six mois.
Le regret
Alors qu'il a rappelé avoir voté pour France Hollande, Thierry Lepaon est un homme déçu. Sur BFMTV, le secrétaire général de la CGT s'est inquiété de la "dérive libérale du gouvernement". "François Hollande s'est pacsée avec le président du Medef", a-t-il encore réagi. Et de déplorer que "le gouvernement est sensible à ce que peut dire la droite ou le patronat", en prenant exemple sur la révolte des "bonnets rouges" contre l'écotaxe ou du collectif Manif pour tous contre le projet de loi Famille.
La une
François Hollande fait l'objet de la une (titrée : "Peut-il réparer la France?") et d'un long article dans le Time. Le président français évoque plusieurs dossiers internationaux dans l'édition à paraître la semaine prochaine du magazine américain. Il regrette notamment que la communauté internationale n'ait pas réellement agi en août 2012 sur la Syrie.
Le sentiment
Interrogé sur France 2 sur son avenir à Matignon, Jean-Marc Ayrault a assuré qu'il n'a "pas de plan de carrière". "C'est ce qui fait que je suis heureux dans ce que je fais", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il n'avait qu'"une préoccupation" : "Que la France reparte de l'avant."
Lire aussi : "Nous sommes au pays des rumeurs", regrette Ayrault
Le bon point
Commentant un document de travail sur la future politique d'intégration du gouvernement, Luc Chatel, ancien ministre de l'Education, a estimé sur i-Télé qu'enseigner "l'arabe ou le chinois mandarin à l'école était une bonne idée". "Je l'avais moi-même préconisé", a rappelé le responsable UMP, préférant que "l'arabe soit enseigné dans l'école de la République plutôt que dans les mosquées ou dans des caves".
L'explication
Depuis l'annonce du pacte de responsabilité, Pierre Gattaz arbore un pin's "un million d'emplois créés", l'objectif chiffré que doit atteindre ce dispositif. Mais pour Thierry Lepaon, c'est "le nombre d'emplois qui se crée naturellement en cinq ans". Mais ces créations d'emplois ne suffisent pas à compenser les destructions de postes.http://www.lejdd.fr/Politique/Centrafrique-Le-Drian-evoque-la-prolongation-de-l-operation-de-l-armee-francaise-651791
mercredi 5 février 2014
A l'assemblée, Manuel Valls lance "je t''emmerde !" au député UMP Pierre Lellouche
Le Lab Europe 1 raconte qu'une violente prise de bec a eu lieu, mardi 4 février, entre Manuel Valls et le député UMP Pierre Lellouche, dans les couloirs de l'assemblée nationale. Un échange qui serait la conséquence d'un climat de plus en plus tendu au gouvernement, selon l'élu de droite.
Nouveau coup de sang de Manuel Valls contre le député UMP Pierre Lellouche. Quelques mois après avoir accusé la droite d'être responsable du "retour du terrorisme" (en réponse à une intervention de Lellouche), Manuel Valls a lancé hier mardi un violent "Je t'emmerde" à ce même député, dans les couloirs de l'Assemblée.
Raconté par Le Lab Europe 1, l'incident trouve son origine dans des propos tenus par Valls lors de son interview publiée dimanche 2 février dans Le JDD. Le ministre de l'Intérieur comparait le climat actuel de France à celui des "années 30", au cours desquelles régnait "la détestation violente dans les mots comme dans les actes de nos valeurs et de nos principes".
"Je t'emmerde aussi !"
Valls y appelait alors la droite républicaine à "se démarquer clairement des mouvements qui n'acceptent pas la démocratie et les choix du Parlement", et sous-entendait que cette réaction n'était pas compatible avec certains dérapages de l'UMP ayant récemment eu lieu à l'assemblée nationale (tels que la remise en cause de la légitimité de François Hollande).
Le Lab raconte que Lellouche aurait, mardi 4 février, interpellé Manuel Valls dans les couloirs du parlement, quelques minutes avant la traditionnelle séance des questions au gouvernement. Lellouche aurait dit à Valls : "Tu y es allé un peu fort dans ton interview, on n’est pas le 6 février 1934 !". Des propos auxquels Valls aurait répondu par un violent : "Je t'emmerde !".
Un "raidissement idéologique" du gouvernement dénoncé
Lellouche aurait alors répliqué dans le même registre, renvoyant à Valls : "La réciproque est vraie. Je t’emmerde aussi. On n’est pas le 6 février 1934".
Quelques heures après l'échange, Pierre Lellouche confirmait l'incident au Lab, assurant que "jamais en vingt ans de politique on ne m’a parlé avec une telle violence". Il en profitait pour dénoncer le "raidissement idéologique" du gouvernement, précisant que "tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des factieux, des fascistes, c’est intolérable".
De son côté, Manuel Valls n'a fait aucun commentaire.
http://www.midilibre.fr/2014/02/05/a-l-assemblee-valls-lance-je-t-emmerde-au-depute-ump-pierre-lellouche,817993.php
Nouveau coup de sang de Manuel Valls contre le député UMP Pierre Lellouche. Quelques mois après avoir accusé la droite d'être responsable du "retour du terrorisme" (en réponse à une intervention de Lellouche), Manuel Valls a lancé hier mardi un violent "Je t'emmerde" à ce même député, dans les couloirs de l'Assemblée.
Raconté par Le Lab Europe 1, l'incident trouve son origine dans des propos tenus par Valls lors de son interview publiée dimanche 2 février dans Le JDD. Le ministre de l'Intérieur comparait le climat actuel de France à celui des "années 30", au cours desquelles régnait "la détestation violente dans les mots comme dans les actes de nos valeurs et de nos principes".
"Je t'emmerde aussi !"
Valls y appelait alors la droite républicaine à "se démarquer clairement des mouvements qui n'acceptent pas la démocratie et les choix du Parlement", et sous-entendait que cette réaction n'était pas compatible avec certains dérapages de l'UMP ayant récemment eu lieu à l'assemblée nationale (tels que la remise en cause de la légitimité de François Hollande).
Le Lab raconte que Lellouche aurait, mardi 4 février, interpellé Manuel Valls dans les couloirs du parlement, quelques minutes avant la traditionnelle séance des questions au gouvernement. Lellouche aurait dit à Valls : "Tu y es allé un peu fort dans ton interview, on n’est pas le 6 février 1934 !". Des propos auxquels Valls aurait répondu par un violent : "Je t'emmerde !".
Un "raidissement idéologique" du gouvernement dénoncé
Lellouche aurait alors répliqué dans le même registre, renvoyant à Valls : "La réciproque est vraie. Je t’emmerde aussi. On n’est pas le 6 février 1934".
Quelques heures après l'échange, Pierre Lellouche confirmait l'incident au Lab, assurant que "jamais en vingt ans de politique on ne m’a parlé avec une telle violence". Il en profitait pour dénoncer le "raidissement idéologique" du gouvernement, précisant que "tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des factieux, des fascistes, c’est intolérable".
De son côté, Manuel Valls n'a fait aucun commentaire.
http://www.midilibre.fr/2014/02/05/a-l-assemblee-valls-lance-je-t-emmerde-au-depute-ump-pierre-lellouche,817993.php
L'expresso du 05/02
Selon un indiscret paru dans Le Canard enchaîné, Ségolène Royal, l'ancienne compagne de François Hollande, a commenté avec ironie l'interview de Valérie Trierweiler dans Paris Match. L'ex-Première dame avait déclaré dans l'hebdomadaire : "Quand j'ai su, j'ai cru tomber d'un gratte-ciel." Commentaire de la présidente de Poitou-Charentes à l'un de ses conseillers : "Il ne faut rien exagérer. Ce n'est quand même pas le 11-Septembre!"
Lire aussi : Le désir de rupture de Hollande
La mise au point
A l'opposition qui lui demandait de quitter ses fonctions après le report de la loi Famille, Dominique Bertinotti, la ministre en charge du dossier, a assuré sur BFMTV : "Je n'ai jamais pensé à démissionner, cela ne m'a pas effleuré." Avant de reconnaître : "La politique demande beaucoup de persévérance, de force."
Le chiffre : 57%
Selon un sondage Harris Interactive pour la chaîne LCP, 57% des Français sont favorables à la procréation médicale assistée (PMA). Un sondage que trouve "un peu étonnant" Alain Vidalies, le ministre chargé des Relations avec le Parlement invité sur i-Télé.
Interrogée sur l'hypothèse d'un débat parlementaire sur la PMA "avant 2017", Dominique Bertinotti a, elle, précisé sur BFMTV : "Je m'y risquerais pas (...) Le temps de ce débat n'est pas venu."
Lire sur le sujet : "Un gouvernement incapable d'avancer sur les réformes de société"
Le mea culpa
Interrogé sur France Info sur le passage de François Bayrou dans l'opposition, le patron des sénateurs socialistes François Rebsamen a dit "avoir dû mal suivre" le patron du MoDem. "Mais présenter un candidat socialiste lors des élections législatives (de juin 2012) à Pau alors même que François Bayrou avait appelé à voter François Hollande était une erreur", a-t-il reconnu.
Lire aussi : Bayrou grand favori à Pau
La mise en garde
Nicolas Hulot a tenu à mettre en garde le gouvernement sur la question des gaz de schiste : "Un échec à la conférence climat 2015 (qui aura lieu à Paris, Ndlr) sera préjudiciable pour l'humanité toute entière." Mais l'envoyé spécial de l'Elysée pour la protection de la planète dit "croire aux mots, aux engagements" de François Hollande : "Je suis certain qu'on ne bougera pas sur les gaz de schiste en France (…) Je crois que la France qui accueille la conférence climat 2015 ne se mettra pas dans la situation incohérente (de les exploiter, Ndlr)."
mardi 4 février 2014
Municipales : la chômeuse qui avait interpellé Hollande sera candidate sur une liste PS
La chômeuse qui avait interpellé le chef de l'Etat lors d'un déplacement en Vendée début août est candidate aux municipales sur la liste PS du maire sortant de La Roche-sur-Yon, Pierre Regnault.
Le 6 août dernier, une quinquagénaire au chômage avait interpellé François Hollande sur les conditions de vie des chômeurs seniors. Alors que le chef de l'Etat s'apprêtait à visiter une agence de Pôle Emploi à La Roche-sur-Yon, Nathalie Michaud avait poussé un véritable "coup de gueule" qui avait ému l'opinion. Ce mardi, elle a indiqué qu'elle serait présente sur la liste municipale du maire sortant socialiste de La Roche-sur-Yon, Pierre Regnault.
"Quand on m'a contactée, j'ai rencontré un maire, mais au-delà d'un maire, j'ai rencontré une personne qui m'a semblé humaine, qui m'a vraiment semblé s'investir pour les habitants de sa ville", a expliqué Nathalie Michaud, lors de la conférence de presse de présentation de la liste.
"Cela m'a vraiment touchée, je me suis dit: j'ai envie de m'investir moi aussi pour mes concitoyens. J'ai envie de travailler pour eux, d'être à leur écoute et cette équipe me semblait la plus proche de mes convictions", a-t-elle ajouté. "Nous avons à la fois des syndicalistes, des enseignants, des professions libérales mais aussi des chefs d'entreprise parce que l'économie aujourd'hui c'est important et c'est un signal en faveur de l'emploi en faveur de l'attractivité de la Roche-sur-Yon", a expliqué Pierre Regnault, maire de la Roche-sur-Yon depuis 2004.
"Etre critique ça veut pas dire être contre"
"Je vais peut-être apporter le discours des personnes qui sont comme moi, qui vivent encore ou qui ont vécu la précarité, la dureté de la vie", a souligné Nathalie Michaud. "Je pense qu'il faut y croire pour faire bouger les choses: il faut une politique forte face à ce monde économique, que les politiques arrivent à retrouver la place qu'ils occupaient avant." "Etre critique ça veut pas dire être contre, il faut être critique pour être constructif", a-t-elle ajouté.
En interpellant François Hollande, elle avait notamment mis en lumière la diminution brutale, après 50 ans, des chances de retrouver un emploi, et la situation de ceux qui comme elle sont alors obligés de retourner vivre chez leurs parents. Fin août, le président l'avait reçue en secret à l'Elysée. Début septembre elle avait lancé un blog. Sur la liste municipale, Nathalie Michaud apparaît comme "assistante d'éducation", un poste à temps partiel qu'elle a entamé à l'automne dans une école.
L'expresso du 4/02
Si l'UMP Eric Ciotti, sur RFI, s'est félicité du report du projet de loi famille - "c'est la victoire du bon sens" -, Marion Maréchal-Le Pen a plutôt qualifié cette décision de "victoire temporaire". "Dans ces projets de loi, il y a toujours un risque. Ils en profitent pour faire passer des choses par amendement qui n'ont rien à voir avec le projet de départ", a-t-elle expliqué.
L'explication
Au lendemain du report du projet de loi famille, Najat Vallaud-Belkcaem, la porte-parole du gouvernement, et Christiane Taubira, la ministre de la Justice, ont eu la lourde tâche de justifier ce choix. La première, sur France 2, a indiqué que la décision n'a "pas été prise à l'aune de la manifestation" de dimanche… avant de reconnaître : "C'est vrai, l'hystérisation (autour de ce dossier, Ndlr) était préoccupante et problématique. Et nous ne voulons pas que ce projet de loi soit discuté dans ces conditions." "Je ne crois pas qu'il n'y ait plus de texte!", s'est pour sa part exclamé la garde des Sceaux sur Europe 1, ajoutant que "le texte va revenir".
Lire sur le sujet : Comment le gouvernement a enterré la PMA
Le chiffre : 14 milliards d'euros pour 74.000 morts
Alors que François Hollande va annoncer son troisième "plan cancer", Le Figaro a interviewé le professeur Catherine Hill qui fait les comptes : "Les recettes fiscales (liées au tabac pour l'Etat) en euros courants ont triplé entre 1990 et 2012, passant de 5 à 14 milliards d'euros." C'est "quatre fois moins que ce que coûte chaque année le tabac en dépenses de santé, pertes de revenus, pertes de productivité et prélèvements obligatoires non perçus", complète le quotidien qui rappelle le nombre de victimes chaque année : 74.000 morts de maladies liées au tabac, dont 44.000 cancers.
Lire aussi : Ils s'attaquent au gaspillage des anticancéreux
L'autopromo
Sur LCI, l'UMP Christian Estrosi a attaqué le bilan d'Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif : "Quand deux usines ferment, une seule ouvre." Et de glisser : "Montebourg n'a aucun impact sur l'industrie française même s'il a repris une politique que j'avais initiée."
Lire aussi : Montebourg sur les traces de Besson… et Gandhi
Le chronique média
"Eric Zemmour est tendance", a regretté Julien Dray sur BFMTV avant d'expliquer : "Dans beaucoup d'émissions, les chroniqueurs de droite se font plus entendre. J'aimerais bien (…) que la gauche soit plus violente."
Le choix
La semaine dernière, Marion Maréchal-Le Pen a fait le buzz malgré elle, n'arrivant pas à reconnaître lors d'une matinale de radio la chanson phare des Daft Punk qui venaient de remporter plusieurs Grammy Awards. Sur i-Télé, mardi matin, elle a reconnu "n'avoir pas fait attention". "Mais j'écoute les Daft Punk", a-t-elle assuré avant d'ajouter : "J'écoute peut-être plus Stromae. Ça, c'est quelque chose que j'aime beaucoup."
La non-réaction
L'élue socialiste marseillaise Samia Ghali voit la déclaration de candidature de Pape Diouf à la prochaine élection municipale comme "un plus pour la gauche" et non comme une dissidence à l'encontre du candidat PS Patrick Mennucci. "Pape Diouf est un grand garçon. Les Marseillais veulent des élus qui s'occupent d'eux au quotidien, et pas de savoir qui est candidat ou pas", a-t-elle ajouté sur i-Télé.
lundi 3 février 2014
Confiance: Hollande stable, Ayrault remonte
La cote de confiance de François Hollande est resté stable à 28% en janvier, Jean-Marc Ayrault reprenant trois points en un mois à 27%, selon un sondage de Harris Interactive publié aujourd'hui.
45% des personnes interrogées ne font "pas du tout confiance" au président de la République et 26% "plutôt pas confiance", 23% "plutôt confiance" et 5% "tout à fait confiance", selon cette enquête pour le site internet. 1% des sondés ne se prononcent pas.
Quant au Premier ministre, 46% des sondés ne lui font "pas du tout confiance", 26% "plutôt pas confiance", alors que 24% lui font "plutôt confiance" et 3% "tout à fait confiance".
Les sympathisants socialistes sont 84% à conserver leur confiance en François Hollande (+2 points en un mois), selon Harris Interactive.
Et "derrière la stabilité apparente" de la cote du chef de l'Etat auprès des Français, le directeur du Département Politique-Opinion de l'institut Jean-Daniel Lévy pointe "deux évolutions importantes" : "sociale" avec une progression des catégories supérieures et "politique" avec "un net décrochage des sympathisants du Front de Gauche".
Quant aux membres du gouvernement, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, chute de neuf points de confiance en un mois à 48%, mais reste en tête. Il devance Jean-Yves Le Drian (40%) et Laurent Fabius (39%).
L'enquête a été réalisée en ligne du 24 au 27 janvier auprès d'un échantillon de 1.682 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, à partir du panel de Harris Interactive par la méthode des quotas.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/03/97001-20140203FILWWW00291-confiance-hollande-stable-ayrault-remonte.php
45% des personnes interrogées ne font "pas du tout confiance" au président de la République et 26% "plutôt pas confiance", 23% "plutôt confiance" et 5% "tout à fait confiance", selon cette enquête pour le site internet. 1% des sondés ne se prononcent pas.
Quant au Premier ministre, 46% des sondés ne lui font "pas du tout confiance", 26% "plutôt pas confiance", alors que 24% lui font "plutôt confiance" et 3% "tout à fait confiance".
Les sympathisants socialistes sont 84% à conserver leur confiance en François Hollande (+2 points en un mois), selon Harris Interactive.
Et "derrière la stabilité apparente" de la cote du chef de l'Etat auprès des Français, le directeur du Département Politique-Opinion de l'institut Jean-Daniel Lévy pointe "deux évolutions importantes" : "sociale" avec une progression des catégories supérieures et "politique" avec "un net décrochage des sympathisants du Front de Gauche".
Quant aux membres du gouvernement, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, chute de neuf points de confiance en un mois à 48%, mais reste en tête. Il devance Jean-Yves Le Drian (40%) et Laurent Fabius (39%).
L'enquête a été réalisée en ligne du 24 au 27 janvier auprès d'un échantillon de 1.682 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, à partir du panel de Harris Interactive par la méthode des quotas.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/03/97001-20140203FILWWW00291-confiance-hollande-stable-ayrault-remonte.php
L'expresso du 3/02
Manuel Valls a fumé la moquette. Où a-t-il vu de la délinquance dans les manifs (de dimanche)?", a analysé le député UMP de l'Eure Bruno Le Maire sur i-Télé.
Lire notre interview de Manuel Valls : "J'en appelle à un réveil de la gauche"
Le Détecteur de mensonges express
Sur BFMTV, Christian Jacob l'assure : les députés UMP, dont il est le patron de groupe, ont voté contre le projet de loi sur le mariage pour tous… avant de se reprendre : "Il y a 200 députés UMP, deux ont voté pour. Donc ça veut dire que 198 ont voté contre."
Certes, 183 des 199 membres du groupe UMP à l'Assemblée nationale ont voté contre le texte en seconde lecture, mais le rappel des résultats du scrutin par Christian Jacob n'est pas tout à fait exact. En effet, six élus ont voté pour le texte (dont Benoist Apparu, Luc Chatel et… Henri Guaino qui a fait une erreur de vote) et cinq autres se sont abstenus, dont NKM et Bruno Le Maire. Ce dernier a d'ailleurs rappelé sa position lundi matin sur i-Télé : "Je revendique ma position sur le mariage homosexuel. Je ne me suis fixé qu'une ligne rouge simple, il n'y a pas le droit à l'enfant."
Lire aussi : Manif pour tous, les embarras de l'UMP
La rupture
Sur France 2, Eva Joly a sévèrement jugé le pacte de responsabilité de François Hollande. Et l'écologiste d'estimer que "le pacte (du PS) avec les écologistes est rompu". "Le moment est venu de faire les comptes", a estimé l'ancienne candidate à la présidentielle avant de proposer de faire "le bilan de notre participation au gouvernement" après les élections européennes. "Et je suis pour quitter le gouvernement", a-t-elle ajouté.
L'explication
Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé, a soutenu sur i-Télé que l'UMP était bien présente au sein de la manifestation de dimanche contre la "familiphobie" supposée du gouvernement. La preuve? "Sens commun", une association créée par d'anciens membres du collectif Manif pour tous et qui a rallié l'UMP en décembre. "Nous sommes le débouché principal des gens qui manifestaient dimanche dans la rue", a conclu celui qui est aussi candidat UMP aux européennes dans le Nord.
dimanche 2 février 2014
La prophétie de Jacob sur Edouard Martin
Le succès en politique de l'ex-syndicaliste d'Édouard Martin "dépendra de sa capacité à se détacher de la CFDT", observe le président du groupe UMP à l'Assemblée Christian Jacob, lui-même ancien président du Centre national des jeunes agriculteurs. "Jacques Chirac me l'avait expliqué : à partir du moment où l'on passe en politique, on ne peut plus avoir la double casquette."
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-prophetie-de-Jacob-sur-Edouard-Martin-651301
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-prophetie-de-Jacob-sur-Edouard-Martin-651301
Kuster la première
Alors que Nathalie Kosciusko-Morizet s'épuise à boucler ses listes pour les municipales parisiennes, la maire UMP copéiste du 17e, Brigitte Kuster, se targue d'être la première des 20 têtes de liste à y être parvenue. On y trouve des fillonistes (son vieil ennemi Bernard Debré, l'ex-sénatrice Catherine Dumas, le directeur de campagne de NKM Jean-Didier Berthault), l'ancien flic sarkozyste Frédéric Péchenard et le délégué général du Medef-Île-de-France, le copéiste Jérôme Dubus. Sans compter des UDI.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Kuster-la-premiere-651306
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Kuster-la-premiere-651306
Bourgi le médiateur
L'avocat Robert Bourgi a déjeuné mardi au restaurant parisien Le Stresa avec François Fillon. Spécialiste de l'Afrique, Me Bourgi est l'un des rares a voir régulièrement Nicolas Sarkzoy et son ancien Premier ministre. À l'ordre du jour du déjeuner, notamment, comment rapprocher les deux hommes. Me Bourgi "ne désespère pas d'y arriver un jour", mais pour l'heure aucun rendez-vous Fillon-Sarkozy n'est encore pris.
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Bourgi-le-mediateur-651304
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Bourgi-le-mediateur-651304
Robert Hue le contrôleur
Mercredi, Jean-Marc Ayrault a reçu à déjeuner pour la troisième fois depuis octobre les chefs de parti de la majorité et les présidents de groupe. "On a parlé de la séquence depuis le 31 décembre. Il y a un début de déclic", veut croire l'écolo François de Rugy. Robert Hue a plaidé pour que le "pacte de responsabilité" soit assorti de vraies conditions : "L'Observatoire des contreparties ne suffit pas. Il y a un contrôle à imaginer."
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Robert-Hue-le-controleur-651303
http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Robert-Hue-le-controleur-651303
Manif pour tous : les tergiversations d'Henri Guaino
Le député UMP des Yvelines Henri Guaino, en première ligne dans l'opposition à la loi Taubira en 2013, a assuré dimanche au Grand rendez-vous Europe 1/iTélé/Le Monde qu'il ne savait pas encore s'il irait manifester ce dimanche après-midi aux côtés de la “Manif pour tous” qui organise un grand rassemblement national à Paris. L'ancienne plume de Nicolas Sarkozy partage les combats de l'association ( loi sur la famille, Procréation Médicalement Assistée, fin de vie, etc.) et estime que le gouvernement est en train de toucher à des choses très profondes sans précautions, uniquement pour faire de la politique politicienne".
Henri Guaino espère "qu'il y aura beaucoup de monde et que la manifestation sera pacifique", sans trop sembler croire à cette dernière option. "Ce qui s'est passé dimanche dernier (NDLR : lors de la manifestation Jour de colère) m'inquiète", a reconnu le député UMP des Yvelines. "Quand j'entends des gens dire 'A bas les juifs, les homosexuels, les francs-maçons, ca me rappelle des périodes de notre histoire que je ne veux pas revivre". Et l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy de conclure : "Il y a ce risque de voir des éléments incontrôlés pourrir la manifestation sous l'œil satisfait de certains ténors de la majorité actuelle".
Invités du dimanche 2 février
C Politique
Claude Bartolone, président de l'Assemblée Nationale, répond aux questions de Caroline Roux cette semaine. Les reportages et la rubrique de Bastien Hugues permettent de confronter les propos de l'invité aux réactions des internautes. Par ailleurs, les téléspectateurs peuvent en permanence commenter l'interview et poser leurs questions via les réseaux sociaux et francetv info.
Le Grand Jury
Pierre Moscovici, ministre de l’Economie et des Finances, invité du Grand Jury RTL – Le Figaro – LCI le dimanche 2 février 2014
Matignon a lancé cette semaine la grande concertation sur la fiscalité, prélude à la « remise à plat » promise par Jean-Marc Ayrault.
Claude Bartolone, président de l'Assemblée Nationale, répond aux questions de Caroline Roux cette semaine. Les reportages et la rubrique de Bastien Hugues permettent de confronter les propos de l'invité aux réactions des internautes. Par ailleurs, les téléspectateurs peuvent en permanence commenter l'interview et poser leurs questions via les réseaux sociaux et francetv info.
Le Grand Jury
Pierre Moscovici, ministre de l’Economie et des Finances, invité du Grand Jury RTL – Le Figaro – LCI le dimanche 2 février 2014
Matignon a lancé cette semaine la grande concertation sur la fiscalité, prélude à la « remise à plat » promise par Jean-Marc Ayrault.
Pacte de responsabilité, assises de la fiscalité, choc de compétitivité. On peut tourner le problème dans tous les sens, on est toujours ramené à la même question : comment trouver 50MM d'euros d’ici 2017? C’est ce qu’il faut pour tenir les engagements de réduction des déficits.
Pierre Moscovici est le premier à avoir senti monter la fronde anti-impôt. Quand il a parlé de "ras-le-bol fiscal" au sortir de l'été, certains de ses amis lui sont tombé dessus. Aujourd'hui, François Hollande admet lui aussi que "les impôts sont lourds, trop lourds".
Le ministre des Finances a toujours défendu la ligne social-démocrate au PS, ligne désormais assumée ouvertement par le président. Le gouvernement a perdu le pari du chômage en 2013. Peut-il gagner celui de la croissance en 2014 ?
Pierre Moscovici devant le Grand Jury, c'est dimanche 2 février 2014 de 18h30 à 19h30 avec Jérôme Chapuis (RTL), Alexis Brézet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI)
Pierre Moscovici est le premier à avoir senti monter la fronde anti-impôt. Quand il a parlé de "ras-le-bol fiscal" au sortir de l'été, certains de ses amis lui sont tombé dessus. Aujourd'hui, François Hollande admet lui aussi que "les impôts sont lourds, trop lourds".
Le ministre des Finances a toujours défendu la ligne social-démocrate au PS, ligne désormais assumée ouvertement par le président. Le gouvernement a perdu le pari du chômage en 2013. Peut-il gagner celui de la croissance en 2014 ?
Pierre Moscovici devant le Grand Jury, c'est dimanche 2 février 2014 de 18h30 à 19h30 avec Jérôme Chapuis (RTL), Alexis Brézet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI)
samedi 1 février 2014
Trierweiler: "manque d'élégance" de l'Élysée
Selon Le Parisien, l'ex-première dame n'a pas apprécié la rapidité avec laquelle ses photos et sa notice biographique ont disparu du site internet de l'Elysée, après l'annonce par François Hollande de leur séparation. "Elle n'a pas été prévenue, elle trouve le procédé un peu radical et estime que cela manque d'élégance", assure une de ses amies sur le site internet du quotidien.
Qui affirme également que Valérie Trierweiler chercherait à récupérer toutes les lettres de soutien qu'elle a reçues depuis son départ de l'Élysée. "Elle souhaite que son courrier soit au moins acheminé à son domicile de la rue Cauchy, dans le XVe arrondissement. Mais pour l'instant elle se heurte à un silence glacé de l'Élysée", précise cette même source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/01/97001-20140201FILWWW00138-trierweiler-manque-d-elegance-de-l-elysee.php
Qui affirme également que Valérie Trierweiler chercherait à récupérer toutes les lettres de soutien qu'elle a reçues depuis son départ de l'Élysée. "Elle souhaite que son courrier soit au moins acheminé à son domicile de la rue Cauchy, dans le XVe arrondissement. Mais pour l'instant elle se heurte à un silence glacé de l'Élysée", précise cette même source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/01/97001-20140201FILWWW00138-trierweiler-manque-d-elegance-de-l-elysee.php
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